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Nyktra svenskar : Godtemplarrörelsen och den nationella identiteten 1879-1918 /Edquist, Samuel, January 2001 (has links)
Avhandling--Uppsala, 2001. / Bibliogr. p. 309-333. Index. Résumé en anglais.
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Die Rolle der Francophonie in den franko-afrikanischen Beziehungen /Pierrot, Olivier. January 1900 (has links)
Dissertation--Wissenschaftliche Politik--Freiburg im Breisgau--Albert-Ludwigs-Universität, 2002. / Bibliogr. p. 315-331.
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International organizations before national courts /Reinisch, August. January 2000 (has links) (PDF)
Univ., Habil.-Schr.--Wien, 1997. / Literaturverz. S. 394 - 443.
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Protection of refugees in Africa /Aiboni, Sam Amaize. January 1978 (has links)
Akademisk avhandling--Internationell rätt--Uppsala, 1978. / Contient le texte de la convention de l'OUA, concernant le problème des réfugiés en Afrique, adoptée à l'assemblée des chefs d'État et de gouvernement lors de la 6e session ordinaire, Addis Abeba, septembre 1969. Bibliogr. p. 151-155.
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Canadian labor laws and the treatyStewart, Bryce M. January 1926 (has links)
Thesis (Ph. D.)--Columbia University, 1926. / Vita. Published also as Studies in history, economics, and public law, no. 278. eContent provider-neutral record in process. Description based on print version record. Includes bibliographical references (p. 488-490).
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Schiedsgerichtsbarkeit in Internationalen Verwaltungsunionen : (1874-1914) : die Verrechtlichung der zwischenstaatlichen Streitbeilegung /Kneisel, Sebastian. January 2009 (has links)
Zugl.: Frankfurt am Main, Universiẗat, Diss., 2008.
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Injustice du système international actuel et quête d'un nouvel ordre mondial électif : le cosmopolitisme institutionnel en questionMiambanzila, Michel Esdras Franck 24 April 2018 (has links)
J'entends défendre une position qui s'inscrit dans le cadre du projet de démocratie globale. Cette position se distancie cependant de certaines thèses en philosophie politique contemporaine, notamment les thèses du cosmopolitisme institutionnel, qui présupposent que le système international actuel serait fondé sur un schème de coopération injuste conçu pour les intérêts des pays occidentaux et défavorable en général aux pays les plus pauvres. Le problème de ces thèses est qu'en présupposant cela, elles finissent généralement par en appeler à une profonde refonte démocratique des institutions internationales. Nous soutiendrons qu'un tel parti pris, qui ne nous semble d'ailleurs pas plausible, perd de vue les véritables lieux où il conviendrait de soutenir les réels processus démocratiques. Si nous concédons que les institutions internationales actuelles rencontrent quelquefois d'énormes difficultés face à certaines problématiques mondiales, une telle reconnaissance ne conduit pas en déduire qu'elles sont foncièrement injustes. Nous arguerons que le projet de démocratie globale devrait plus se préoccuper de réels processus démocratiques qui ont cours dans toutes les régions du monde, en accompagnant les peuples et les individus qui, à l'intérieur des États encore autocratiques ou despotiquement doux, ont soif de liberté. Dès lors, il n'est pas seulement question d'un simple transfert des vivres et de ressources monétaires vers les pays pauvres. Il faut bien plus s'intéresser aux divers facteurs (politiques, économiques et sociaux) de nature à susciter chez une population l'éveil de la conscience citoyenne, l'urgence de la participation, la passion du débat public raisonné, et la défense des libertés et de la qualité de vie, autant de paramètres qui sont nécessaires à l'éclosion de réels processus démocratiques. De fait, notre approche vise à renforcer l'esprit de colégislateur et l'empowerment des peuples et des individus, ouvrant ainsi à la démocratie d'infinies possibilités d'ancrage autant au niveau national qu'international.
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Les organisations internationales, le principe de souveraineté et la gestion des crises politiques internes : cas de la francophonie et de l’union africaine / International organizations, the principle of sovereignty and the management of internal political crises : the case of the francophonie and the african unionNwatchock A Birema, Ousmanou 23 March 2018 (has links)
La gestion des crises politiques internes est devenue l’activité à la fois la plus visible et la plus controversée des organisations internationales aujourd’hui. C’est en raison de cette ambivalence que cette thèse prend prétexte de la gestion des crises politiques par la Francophonie et l’Union Africaine pour interroger l’articulation entre le multilatéralisme politique et le principe de souveraineté des États en situation de crise politique interne en Afrique. La question centrale est de savoir ce qui reste du principe de souveraineté devant la récurrence des interventions multilatérales de ces deux organisations dans des problématiques relevant de la stricte souveraineté. La réponse est donnée à travers une analyse profonde des trajectoires politique, juridique et philosophique de l’interaction entre la souveraineté des États et les ingérences multilatérales dans l’histoire des relations internationales de facture westphalienne. Par ailleurs, cette thèse fait une rétrospective théorique sur la question des ingérences en général, avant de s’appesantir de manière spécifique et empirique sur les trajectoires interventionnistes de la Francophonie et de l’Union Africaine en Côte d’Ivoire, à Madagascar et en République Centrafricaine. L’analyse aboutit au constat que la gestion multilatérale des crises politiques internes se caractérise par sa complexité opérationnelle : d’une part elle permet aux organisations internationales intervenantes de pratiquer une sorte de « rançon » de la liberté politique de leurs États membres, et d’autre part elle est une opportunité d’instrumentalisation des organisations internationales qui s’y engagent. / The management of internal political crises has become the most visible and controversial activity of international organizations today. It is because of this ambivalence that this thesis takes the pretext of the management of political crises by the Francophonie and the African Union to examine the articulation between the political multilateralism and the principle of sovereignty of the States in situation of internal political crisis in Africa. The principal question is to know what remains from the principle of sovereignty in view of the recurrence of the multilateral interventions of these two organizations in issues of strict States sovereignty. The answer is given through a deep analysis of the political, legal and philosophical trajectories of the interaction between State sovereignty and multilateral interferences in the history of Westphalian bill international relations. Moreover, this thesis makes a theoretical retrospective on the question of interferences in general, before dwelling in a specific and empirical way on the interventionist trajectories of the Francophonie and the African Union in Ivory Coast, Madagascar and Central African Republic. The analysis leads to the conclusion that the multilateral management of internal political crises is characterized by its operational complexity: on the one hand, it enables the intervening international organizations to practice a kind of "ransom" for the political freedom of their member States, and on the other hand, it is an opportunity to “instrumentalize” the international organizations that engage in it.
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Power, knowledge, interests : understanding the emerging regime to control small arms and light weaponsLloyd, Carolyn Elizabeth January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Bordering subjects, souls and states : an enquiry into "bordercratic" practices and rationalities in Turkey / La frontièrisation des sujets, des âmes et des Etats : une enquete sur les pratiques et rationalités "bordercratic" en TurquieFine, Shoshana 17 March 2016 (has links)
Cette thèse aborde la question de la (re)frontiérisation en Turquie face aux problématique liés à la gouvernance des « indésirables ». Par qui et pour qui est-elle faite, et avec quels effets ? Le positionnement particulier de la Turquie comme étant ni entièrement européenne, ni entièrement non-européenne, a alimenté la problématisation du paysage migratoire en Turquie. Ce positionnement ambivalent est d’une part dû à un regard orientaliste qui encadre la manière dont sont perçus la Turquie et les migrants qui y résident, et d’autre part à cette démarche de séduction et de mise en conformité émenant de l’UE et de sa stratégie d’externalisation. En prenant le cas de la Turquie, nous soutenons que nous devons comprendre la gouvernance de la mobilité comme une affaire de pouvoir diffus, dont sont particulièrement investies les organisations intergouvernementales, mais aussi les organisations que l’on pourrait appeler bordercrats périphériques. Nous proposons les concepts de bordercracies, clans bordercratic transnationaux et objets frontierisés pour comprendre l’autorité épistémique, les connectivités et l’agentivité comprisent dans ce pouvoir diffus. Nous affirmons que les clans bordercratic transnationaux dépendent de rationalités gestionnaire, sécuritaire, humanitaire, et orientaliste, imbriquées dans la gouvernance de mobilité, qui génère une logique de filtrage basé sur la sélection des désirables/indésirables. Nous conclurons que les fonctions performatives des clans bordercratic transnationaux incluent, lorsqu’elles intègrent la Turquie dans le cercle à suivre et excluent, lorqu’elles constituent et maintiennent les « indésirables » loin de l’Occident. / This doctoral thesis seeks to explore how bordering is performed in Turkey with respect to the governance of the ‘undesirables’, by whom, for whom, and with what effects. This enquiry argues that Turkey’s migration and refugee landscape has been problematised through its particular positionality as neither completely European nor completely non-European. This ambivalent positionality is partly due to the permeation of orientalist ways of seeing Turkey and the migrants and refugees who inhabit this landscape, and partly an effect of the courtship/compliance externalisation strategy of the EU. In taking the Turkey case, I argue that mobility governance has to be understood as a matter of diffuse power that is particularly vested in IGOs, but also in organisations that might be called peripheral bordercrats. I advance the notion of bordercracies, transnational bordercratic tribes and bordered objects to make sense of the workings, epistemic authority, connectivities and the agentic forces of this diffused power. I argue that bordercratic tribes rely on intermingling managerial, security, humanitarian and orientalist rationalities of mobility governance, which generate a filtering logic based on selections of desirable/undesirable. I conclude that the performative functions of transnational bordercratic tribes include as they bring Turkey into an in-group and exclude as they constitute and contain ‘undesirables’ away from the West.
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