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Il 'Trattato della formazione meccanica delle lingue e dei principi fisici dell'etimologia' (1765) di Charles de Brosses : un caso di materialismo linguistico-cognitivo nell'età dei Lumi.

Nobile, Luca 13 May 2005 (has links) (PDF)
Il "Traité de la formation méchanique des langues et des principes physiques de l'étymologie" (1765) di Charles de Brosses presenta una teoria materialistica dell'origine e dell'evoluzione del linguaggio nella quale il significato delle parole è considerato come un'immagine dell'articolazione fisiologica dei suoni. Questa teoria ha influenzato la "Grammaire" (1775) di Condillac e ha svolto un ruolo importante nella nascita di una concezione scientifica del linguaggio.
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Evolution d'une société artificielle d'agents de parole : un modèle pour l'émergence des structures phonétiques

Berrah, Ahmed-Réda 12 June 1998 (has links) (PDF)
Un des grands enjeux de l'étude de la Communication Parlée est la justification des tendances universelles des systèmes phonologiques des langues du monde. En effet, il s'agit d'expliquer les principes gouvernant la distribution des briques de base qui permettent la construction du langage. Ces éléments sonores sont désignés par le nom de phonèmes. Les travaux présentés dans cette thèse s'inscrivent dans ce cadre de recherche. Nous avons utilisé une approche novatrice qui consiste en la simulation d'une société d'agents communicants. Le but est d'analyser dans quelle mesure un code linguistique commun est établi dans une telle société par le jeu de la communication parlée, et dans quelle mesure également les inventaires phonétiques émergent des principes d'interaction entre agents communicants. Nous avons développé un modèle d'échanges perceptifs de voyelles au sein d'une communauté d'agents de parole. Ce modèle, appelé ESPECE, a été validé à l'issue d'une application à la prédiction des systèmes vocaliques. Les résultats des simulations se sont avérés encourageants suite à leur confrontation aux données connues sur les inventaires phonétiques des langues du monde. En outre, le cadre de simulation ESPECE a été étendu en vue de la mise en oeuvre du principe du MUAF (Maximum Use of Available distinctive Features). Ce principe permet d'expliquer l'apparition de traits supplémentaires dans les larges systèmes vocaliques.
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Le langage humain est-il une adaptation biologique? : un regard critique sur une explication adaptationniste

Demars, Louis-Philippe 03 1900 (has links)
Pinker et Bloom (1990), deux représentants de la psychologie évolutionniste, soutiennent que le langage est une adaptation biologique ayant pour fonction la communication. Ils prétendent ainsi jeter un éclairage sur l’origine et l’évolution du langage. Le présent mémoire propose une analyse critique de leur argumentation, et ce, du point de vue de la philosophie de la biologie. D’une part, il tente de dissiper la confusion entourant la conception du langage adoptée par Pinker et Bloom, afin de mieux définir le trait censé constituer une adaptation biologique. Ce faisant, ce mémoire fait ressortir certains présupposés de leur conception du langage et en souligne l’aspect problématique. En ce sens, les concepts d’innéité, de modularité, de grammaire universelle et de systématicité sont abordés de façon critique. D’autre part, ce travail entend expliciter un concept clé de l’argumentation de Pinker et Bloom : celui d’adaptation. L’analyse montre que l’opposition entre adaptationnisme et anti-adaptationnisme tient, dans le cas présent, à une divergence quant à la façon de définir l’adaptation biologique. Une distinction importante doit être faite entre une adaptation résultant exclusivement de la sélection naturelle dans un contexte fonctionnel particulier et une adaptation qui n’exclut pas a priori d’autres facteurs évolutifs, dont l’exaptation. Dans la mesure où l’argumentation de Pinker et Bloom conduit à affirmer que le langage constitue une adaptation seulement au deuxième sens du terme, ce mémoire montre qu’ils ne sont pas à même de rendre compte de l’origine du langage. / Pinker and Bloom (1990), two proponents of evolutionary psychology, argue that language has evolved as a biological adaptation for the function of communication. In doing so, they claim to shed light on the origin and evolution of language. This paper proposes a critical analysis of their argument from the point of view of the philosophy of biology. On the one hand, it attempts to clarify Pinker and Bloom’s conception of language in order to better define the trait that is regarded as an adaptation. Thus, this paper brings to the fore several problematic assumptions underlying their conception of language. In this context, the concepts of innateness, modularity, universal grammar and systematicity are addressed in a critical manner. On the other hand, this paper aims to make explicit a key concept of their argument: the concept of adaptation. The analysis shows that the opposition between adaptationism and anti-adaptationism is due, in the present instance, to a divergence in the way biological adaptation is defined. An important distinction has to be drawn between an adaptation resulting exclusively from natural selection in a particular functional context and an adaptation that does not a priori exclude other evolutionary factors such as exaptation. In so far as Pinker and Bloom’s argument allows them to conclude that language is an adaptation only in the second meaning of the term, this paper shows that they are not in a position to provide an account of the origin of language.
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La systématicité kantienne et le changement de la conception du langage autour de 1800 / Kants begriffliche Systematik und der Wandel des Sprachbewusstseins um 1800 : das Versprechen der natürlichen Sprache / Kantian systematicity and the new conception of language at the turn of the 18th century

Ottmann, François 07 December 2018 (has links)
La philosophie critique de Kant entretient un rapport ambigu à la question du langage. Bien que le système critique ne semble pas contenir de théorie du langage à proprement parler, les effets du registre transcendantal sur la façon d’appréhender le langage en philosophie semblent aussi massifs que souterrains. Pour envisager ce paradoxe, une hypothèse nouvelle est formulée : la philosophie kantienne serait l’expression paradoxale mais particulièrement paradigmatique d’une crise du langage de grande ampleur observable en Allemagne autour de 1800. Ce n’est qu’en replaçant le système critique dans ce contexte de crise que l’on pourra saisir sa portée pour traiter des problèmes du langage. Cela engage paradoxalement à saisir les effets positifs de la mise entre parenthèses du langage. Pour cela, la philosophie critique est d’abord située dans la crise épistémologique de grande ampleur qui accompagne autant un changement de paradigme des théories du langage (de la grammaire générale à la grammaire comparée), que la naissance d’une linguistique « scientifique ». Elle est ensuite située dans un faisceau de symptômes convergeant vers une crise du langage étudiée successivement à travers les exemples des crises poétique, métacritique et de la crise de la langue philosophique. Ces deux contextualisations permettent de poser à nouveaux frais les raisons systématiques qui expliquent un tel travail souterrain du langage par la philosophie critique. La lecture du système kantien comme modélisation topique de la subjectivité permet alors de rendre compte du statut nouveau qu’acquiert le langage et en particulier l’idée de langue naturelle dans le sillage de la philosophie transcendantale. / Kant’s critical philosophy maintains an ambiguous relationship with language. Even though no proper theory of language seems to be found in the critical system, the transcendental method of the Critique has both highly and unexpectedly influenced the philosophical approach to language. Such a paradox can be accounted for by the following hypothesis: Kantian philosophy is the expression of a major language crisis occurring in Germany at the turn of the 18th century, in a paradigmatic but paradoxical way. It is necessary to put the critical system in this context to understand the far-reaching consequences of setting aside language as a philosophical issue. This will lead to analyse the positive effects of Kant’s attitude on new way to deal with language issues. Three steps will be taken in this purpose. The first one examines the meaning of Kant’s critical philosophy in the light of an epistemic crisis mainly embodied by the theoretical shift from “general grammar” to “comparative grammar” and the emergence of scientific linguistics. The second step sheds light on the place of critical philosophy within the framework of a broader language crisis, which will be studied in three fields: 1) Poetry, 2) “Metacritique”, 3) Philosophical language. Systematic reasons for the strong influence of critical philosophy on language will emerge from this double contextualisation. Indeed, understanding the Kantian system as a topical modelling of subjectivity enables to account for the new status of language – and more specifically, for the concept of natural languages – in the wake of transcendental philosophy.
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Le langage humain est-il une adaptation biologique? : un regard critique sur une explication adaptationniste

Demars, Louis-Philippe 03 1900 (has links)
Pinker et Bloom (1990), deux représentants de la psychologie évolutionniste, soutiennent que le langage est une adaptation biologique ayant pour fonction la communication. Ils prétendent ainsi jeter un éclairage sur l’origine et l’évolution du langage. Le présent mémoire propose une analyse critique de leur argumentation, et ce, du point de vue de la philosophie de la biologie. D’une part, il tente de dissiper la confusion entourant la conception du langage adoptée par Pinker et Bloom, afin de mieux définir le trait censé constituer une adaptation biologique. Ce faisant, ce mémoire fait ressortir certains présupposés de leur conception du langage et en souligne l’aspect problématique. En ce sens, les concepts d’innéité, de modularité, de grammaire universelle et de systématicité sont abordés de façon critique. D’autre part, ce travail entend expliciter un concept clé de l’argumentation de Pinker et Bloom : celui d’adaptation. L’analyse montre que l’opposition entre adaptationnisme et anti-adaptationnisme tient, dans le cas présent, à une divergence quant à la façon de définir l’adaptation biologique. Une distinction importante doit être faite entre une adaptation résultant exclusivement de la sélection naturelle dans un contexte fonctionnel particulier et une adaptation qui n’exclut pas a priori d’autres facteurs évolutifs, dont l’exaptation. Dans la mesure où l’argumentation de Pinker et Bloom conduit à affirmer que le langage constitue une adaptation seulement au deuxième sens du terme, ce mémoire montre qu’ils ne sont pas à même de rendre compte de l’origine du langage. / Pinker and Bloom (1990), two proponents of evolutionary psychology, argue that language has evolved as a biological adaptation for the function of communication. In doing so, they claim to shed light on the origin and evolution of language. This paper proposes a critical analysis of their argument from the point of view of the philosophy of biology. On the one hand, it attempts to clarify Pinker and Bloom’s conception of language in order to better define the trait that is regarded as an adaptation. Thus, this paper brings to the fore several problematic assumptions underlying their conception of language. In this context, the concepts of innateness, modularity, universal grammar and systematicity are addressed in a critical manner. On the other hand, this paper aims to make explicit a key concept of their argument: the concept of adaptation. The analysis shows that the opposition between adaptationism and anti-adaptationism is due, in the present instance, to a divergence in the way biological adaptation is defined. An important distinction has to be drawn between an adaptation resulting exclusively from natural selection in a particular functional context and an adaptation that does not a priori exclude other evolutionary factors such as exaptation. In so far as Pinker and Bloom’s argument allows them to conclude that language is an adaptation only in the second meaning of the term, this paper shows that they are not in a position to provide an account of the origin of language.

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