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501

La place du spectateur dans l'esthétique de l'abbé Du Bos /

Webster, Maureen. January 1983 (has links)
No description available.
502

L'absence de mesures spécifiques face à un délit méconnu : les faux en peinture

Bensimon, Philippe January 1995 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / La première partie est abordée par le biais de trois courants épistémologiques; le rationalisme de Gaston Bachelard, la dialectique matérialiste de Karl Marx et de Friedrich Engels puis le constructivisme de Pierre Bourdieu. La deuxième partie se voit consacrée à l'historique du marché de l'art, à la définition de tableau, à la terminologie et au phénomène de la contrefaçon. La troisième partie repose sur le droit d'auteur au Canada. La quatrième partie présente l'apport critique de l'expertise légitimée par le travail de faussaire et ses limites. La cinquième partie démontre qu'il ne peut y avoir de protection légale sans article spécifique aux différentes lois civiles et criminelles. La sixième partie tend à démontrer que si certaines dispositions légales peuvent endiguer le phénomène du faux en art, la prévention par la connaissance demeure à la base de toute civilisation.
503

Portraits de l'objet abstrait

Moisan-Dufour, Olivier 28 March 2024 (has links)
356181\u Ce mémoire est une réflexion philosophique sur l’infini et l’indéfini, champ de recherche en arts visuels en relation avec ma pratique personnelle. Je vous propose une recherche basée sur les enjeux impliqués dans la construction, la présentation et la représentation de mes œuvres produites au cours de ma maîtrise, soit de 2017 à 2019. Ce projet d’écriture accompagne l’exposition «Reproduire l’improbable », qui a pour but d’amplifier l’appréciation de l’objet abstrait en présentant son portrait en peinture.
504

Construire des mondes : une démarche picturale immersive

Thibault-Morin, Maude 24 May 2024 (has links)
Dans ce texte destiné à accompagner mon travail d’atelier, j’aborde mon besoin de solitude et son rôle dans ma pratique artistique. Je tenais aussi à expliquer l’importance que je porte à la dimension charnelle de l’art. D’abord, je décris la relation que j’entretiens avec mes médiums de création et mes matériaux, tout en observant les caractéristiques formelles de mon travail de dessin et de peinture. Puis, j’expose comment j’ai canalisé mes gestes instinctifs dans des contextes de création prédéterminés. Ainsi, j’explique que mes démarches picturale et graphique ont pris la forme de corpus qui ont généré des univers stylistiques et narratifs distincts. Durant mes deux années de maîtrise, j’ai réalisé des corpus qui composent trois mondes fictifs différents. En analysant ma façon de procéder, j’ai constaté que même si j’avais une approche figurative, je cherchais constamment à esquiver toute référence qui reproduisait directement le monde réel. J’ai par la suite réfléchi au rôle que l’émotion prenait dans mon travail. J’ai compris que, jusqu’à maintenant, ma démarche artistique cherchait à combler des besoins de contemplation et de rêverie. Finalement, ce texte est une occasion, pour moi, d’exposer la méthode de création qui a dirigé mon travail en atelier, durant mes deux années de maîtrise. Mots clés : solitude, dessin, peinture, corpus, monde, narration
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La peinture ce n'est pas que peindre

Rousseau, Etienne 02 February 2024 (has links)
Ma pratique en art se conçoit uniquement en peinture. Elle est orientée vers l’abstraction où je travaille la forme et la couleur exclusivement liées à mes états émotionnels. Ma préoccupation première tourne autour du principe de l’équilibre pictural qui consiste à répartir les éléments visuels dans un tableau de manière à harmoniser la composition et les proportions. Afin d’arriver à ce stade, j’équilibre mes peintures selon leurs éléments plastiques. Chacune des composantes picturales interagit avec ses voisines, nécessitant ainsi une préoccupation constante du poids visuel de celles-ci. Ce poids s’établit en termes de pesanteur (légèreté/lourdeur), au niveau des formes (ovale/cubique), des couleurs (claire/foncé) et des espaces (allégé, surchargé). L’aspect de dualités entre deux notions plastiques (transparence/opacité, chaud/froid, traits/masses) est aussi présent dans mon travail pour créer ce que j’appelle des tensions spatiales. Ces rapports de dualité complètent, avec l’équilibre, le dynamisme visuel qui se construit devant mes yeux. Composées d’un amas de masses de couleurs de différentes grosseurs et de formes aléatoires, mes peintures sont créées en majorité par des traces de vitesse. Travailler avec la peinture acrylique est un avantage puisqu’elle sèche très vite et qu’elle me permet de venir camoufler, juxtaposer, altérer et foncer une ancienne tache sans que les couleurs ne se mélangent. La conception de mes toiles est donc un processus d’accumulation et de superposition de masses ou de formes colorées qui se conçoit rapidement et instinctivement, dans l’esprit postmoderne qui suppose que l’œuvre s’édifie sans plan préétabli, sur ses propres avancées.
506

Fabriquer le sensible

Dionne, Camille 04 September 2024 (has links)
Ce mémoire-création propose une réflexion, des questionnements et quelques réponses sur le développement de ma pratique en peinture. Le corpus d'œuvres ainsi que le texte qui l'accompagne présentent la façon dont je conçois chaque tableau et le processus ayant mené à sa création tels des univers sensibles, véhicules d'affects agissant comme des formes de matérialisation de la mémoire et des souvenirs formant la trame de ma vie. Chaque tableau détient une part de vérité et de fiction que je suis la seule à pouvoir déceler. C'est à partir d'un tiraillement actif entre le passé et aujourd'hui ainsi que de cette zone floue qui accompagne chacun de mes souvenirs que je crée chaque œuvre tel un espace où cohabitent plusieurs moments, plusieurs lieux et plusieurs temps. À ces derniers éléments s'ajoute tout le pouvoir de l'imagination, de l'âme et de l'esprit qui me permet de créer ces nouveaux lieux, présents dans mes œuvres, devenus possibles seulement par la peinture. Peindre à partir d'éléments qui ont fait partis de sa vie, c'est conjurer un peu du temps qui s'enfuit inexorablement sans que l'on ne puisse rien y faire pour créer un nouveau présent.
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Ce n'est pas l'espace qui m'importe, pourtant les choses sont là

Belzile, Laurence 28 March 2024 (has links)
À travers la réalisation d’un corpus d’oeuvres peintes abstraites, j’investigue la place du corps dans la perception du réel et de ce fait, également, dans la perception de mes oeuvres. Grâce à une certaine concordance entre le positionnement spatial d’objets dans mon environnement immédiat et celui des formes dans l’espace pictural, je m’interroge sur la compréhension physique de mes oeuvres. Ce mémoire explore le cheminement qui m’a amené vers ce questionnement de nature artistique, le parcours qui s’opère lors de la création, ainsi que l’importance de la mise en espace dans la compréhension du corpus d’oeuvres réalisées.
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POTLATCH

Lachapelle De Serres, Olivier 25 July 2024 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2017 / Bien que ce texte accompagne l'exposition du même nom, il ne peut pas être tenu de la décrire ou de l'expliquer directement. Je ne tenterai pas de rendre compte de quelque chose qui ne s'est pas encore réalisé car je ne planifie jamais ainsi, qu'il s'agisse de peindre un tableau ou de mettre en place une exposition. Toute planification doit être mise à l'épreuve de son incarnation physique en se gardant toujours la liberté nécessaire au changement ou à la disparition. De là vient l'impertinence de faire état d'intentions aussi précises, comme si une maquette attendait quelque part de prendre vie. Je suis confiant que les raisons pour cela sauront transparaître à la lecture de ce qui suit. Ce que je tenterai de mettre en mots sont des processus, approches, positions, façons de vivre la peinture et conditions de pratique qui sont actuelles et donc cohérentes avec l'exposition en question. Je tenterai également de montrer comment mon évolution dans le monde du graffiti, antérieure et souvent indépendante de tout travail en atelier, aura été pour moi une influence majeure et durable dans tout ce que je fais. J'écris ceci à un moment où plusieurs de mes intérêts et pratiques convergent et s'influencent plus que jamais, tendant même à se confondre dans l'à-venir.
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Antoine Plamondon (1804-1895) : le chemin de croix de l'église Notre-Dame de Montréal

Lacasse, Yves, Lacasse, Yves 23 April 2024 (has links)
« Inaugurée en juin 1829 et considérée à l'époque comme le plus remarquable édifice de toute l'Amérique du Nord, l'actuelle église Notre-Dame de Montréal est l'oeuvre de l'architecte James O'Donnell (1774-1830). En 1834, on commandait au peintre américain James Bowman (1793-1842), alors de passage à Montréal, un chemin de croix pour la nouvelle église. Pris de découragement devant l'ampleur de la tâche à accomplir, ce dernier abandonna toutefois rapidement son chantier. C'est en 1836 que l'on songea à faire appel au talent reconnu du peintre Antoine Plamondon pour que les paroissiens de Notre-Dame puissent enfin bénéficier de tous les privilèges et indulgences rattachés à la nouvelle dévotion au chemin de croix, implantée ici en 1820. Terminé en 1839, le chemin de croix de Plamondon se rallia les éloges les plus enthousiastes. Malgré une critique favorable unanime, les autorités ecclésiastiques, pour des raisons d'orthodoxie religieuse, se virent pourtant dans l'obligation de refuser au peintre ses quatorze tableaux, étant donné que les scènes de la Passion, sélectionnées par Plamondon, ne correspondaient pas aux épisodes habituels du chemin de croix. Un chemin de croix importé de Rome prie finalement place sur les murs de l'église Notre-Dame en 1847 avant d'être remplacé, dans les années 1870, par l'actuel chemin de croix. D'abord remisé à l'atelier du peintre, le chemin de croix de Plamondon orna finalement la nef de la nouvelle église Saint-Patrick de Montréal, à compter de 1847. A la fin du 19e siècle, on entreposa à nouveau les oeuvres et c'est sans doute à cette époque que plus de la moitié d'entre elles disparurent. Au début des années 1930, les six tableaux qui restaient du chemin de croix initial prirent place sur les murs de l'Institution des Sourds-Muets de la rue Saint-Laurent à Montréal pour se retrouver enfin dans les collections du Musée des beaux-arts de Montréal à partir de 1961. On ne saurait aborder ces six grandes compositions sans tenir compte des huit oeuvres aujourd'hui disparues. A cet effet, nous avons tenté, grâce à de nombreux recoupements, une première reconstitution du chemin de croix intégral de Plamondon. Cet exercice nous aura permis de mesurer l'effort qu'ont pu exiger de l'artiste la conception et la réalisation de cet ensemble. Après avoir sélectionné les sources qui allaient lui servir de modèles pour chacune des quatorze stations de son chemin de croix, Plamondon a entrepris de les transposer sur des toiles tout en s'efforçant de maintenir une certaine unité. L'utilisation de sources gravées dans au moins une dizaine de cas lui aura permis de démontrer son indéniable talent de coloriste. Il n'est alors pas étonnant que l'artiste ait tenu à signer la plupart de ses copies, comme il l'aurait fait pour des compositions originales. En redonnant la place qui lui revient à cet ensemble unique dans la production artistique québécoise de la première moitié du 19e siècle, nous avons tenté de démontrer à quel point ce groupe d'oeuvres, par sa facture, témoigne à la fois de la formation, du talent et des conceptions artistiques de l'un des chefs de file de notre école de peinture. Par leur iconographie, ces oeuvres nous révèlent en outre l'âme d'une époque et nous permettent d'éclairer le contexte dans lequel elles ont été produites et reçues. »--Pages préliminaires
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En quête de chemins illusoires : genèse et présentation d'une peinture multilemmée

Gagnon, Lucie 02 February 2024 (has links)
Ce mémoire présente En quête de chemins illusoires, un diptyque qui est aussi un bas-relief à la suite du traitement singulier de sa toile. Cette œuvre tente d'exprimer l'énergie et le foisonnement qui caractérisent les illusions visuelles à partir desquelles je peins et invite à plonger au cœur d'une collection de narrations compliquées, vivantes, composites et dont l'interprétation est ouverte. En quête de chemins illusoires, ce sont d'abord deux peintures de très grand format réalisées dans une manière distincte, le multilemma. Entre figuration et abstraction, son originalité consiste d'abord dans l'abandon de toute intention formelle, c'est-à-dire sans choix préalable de sujets et dans le délaissement de toute recherche de narration. La manière multilemmée implique également une présentation tridimensionnelle qui se distingue du simple accrochage. Ainsi, les effets de gonflement et de drapé créés par un capitonnage irrégulier complètent l'œuvre et lui apportent du volume. Cette manipulation ajoute aussi au brouillage des formes peintes et à leur enchevêtrement. L'ambition derrière En quête de chemins illusoires est triple. Elle correspond en premier lieu au désir d'allonger l'activité perceptive, d'assurer que le premier coup d'œil à l'œuvre se transforme en une halte généreuse et de longue durée. En conséquence, elle vise aussi à favoriser le phénomène de l'attention qui entraîne une complexification de l'interprétation. Enfin, elle cherche à générer une illusion de mouvement à partir des effets induits par une fixation prolongée, à savoir le déplacement et la déformation des éléments qui entourent les zones sous regard. À l'instar des œuvres des artistes du fluxus du siècle dernier, En quête de chemins illusoires veut supprimer l'idée d'une création finie en mettant de l'avant l'importance de son interprétation / This master' thesis presents En quête de chemins illusoires (Towards Illusory Paths), a diptych which is also a bas-relief following its unique hanging. It tries to express the idea of energy and abundance that characterizes the visual illusions from which I paint and invites to get away with a collection of complicated, full of life, composite and open interpretation narratives. En quête de chemins illusoires is, first of all, two very large canvas paintings made in a distinctive way, multilemma. Between figuration and abstraction, its originality consists in the abandonment of any formal intention, that is to say without prior choice of subjects or any conscious search of narrative. The multilemmé way also involves a three-dimensional presentation that differs from a single hanging. Thus, the swelling and draping effects created by irregular padding complete the work and give it volume. This manipulation also adds to the blurring of the painted shapes and their entanglement. The ambition behind En quête de chemins illusoires is threefold. It is driven in the first place by the desire to lengthen perceptual activity, to ensure that the first glance to the work will turn into a generous and longer halt. Consequently, it also aims at encouraging the phenomenon of attention which leads to a complication of the interpretation. Finally, it seeks to generate an illusion of movement from the effects induced by prolonged fixation, namely the displacement and deformation of the elements that surround the areas under gaze. Like the fluxus artist's works of the last century, En quête de chemins illusoires wants to suppress the idea of a finite work, by putting forward the importance of its interpretation.

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