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Les travaux des peintres de la Société de l'art monumental: leurs antécédents et leurs prolongementsGuisset, Jacqueline January 1995 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La peinture monumentale d'histoire dans les édifices civils en Belgique (1842-1923): naissance, histoire, caractéristiquesOgonovszky, Judith January 1994 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'origine de l'Académie des Beaux-Arts de Rio de JaneiroCipiniuk, Alberto January 1990 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La poésie graphique : Christian Dotremont, Roland Giguère, Henri Michaux et Jérôme Peignot / Graphic poetry : Christian Dotremont, Roland Giguère, Henri Michaux and Jérôme PeignotPelard, Emmanuelle 01 March 2013 (has links)
L’objet de cette thèse est de définir un type de poésie visuelle moderne (XXe-XXIe), que nous avons nommé la poésie graphique et qui attache une importance considérable à l’expérimentation plastique du signe graphique, qui manifeste une conscience aiguë des ressources visuelles de la graphie et entend réaliser la poésie dans la matérialité des formes de l’écriture. La poésie graphique désigne une pratique de la poésie à caractère spécifiquement graphique, qui recouvre tant une peinture du signe qu’un travail typographique de la lettre pour élaborer le poème. Cette pratique graphique et plastique du poème s’inscrit dans la continuité, mais également dans un certain renouveau des avant-gardes poétiques et artistiques du XXe siècle, notamment du surréalisme. Les logogrammes de Christian Dotremont, les poèmes-estampes et les livres d’artistes (Éditions Erta) de Roland Giguère, les recueils de signes inventés et d’encres d’Henri Michaux et la typoésie de Jérôme Peignot constituent des formes de poésie graphique. Notre étude porte donc sur des œuvres francophones, issues des domaines belge, français et québécois, produites entre 1950 et 2004. Trois caractéristiques définissent principalement la poésie graphique : l’ambiguïté et le nomadisme du signe du poème par rapport aux ordres sémiotiques — scriptural, iconique et plastique —, la présence d’un rythme et d’un lyrisme graphiques, comme modalités de l’expression du sujet dans la matière graphique, et une remise en cause de la ligne de partage entre les arts autographiques et allographiques, nécessitant de nouveaux modes de perception et de lecture du poème et du livre, soit une « iconolecture » et une « tactilecture ». / The purpose of this thesis is to define a type of modern visual poetry (20th – 21st), that we called graphic poetry. The graphic poetry focuses on a plastic and visual experimentation of the graphic sign, demonstrates an important conscience of the visual potential of the written form and tries to produce poetry in the materiality of the writing shapes. The graphic poetry refers to a practice of poem which is specifically graphic and includes a painting of the sign as a typographic work of the letter in order to produce the poem. This artistic practice of poetry follows and also renews the poetic and plastic avant-gardes of the 20th century, more particularly surrealism. Christian Dotremont’s logograms, Roland Giguère’s artists’ books (Editions Erta) and prints-poems, Henri Michaux’s anthologies of invented painted signs and Jérôme Peignot’s typoems are some forms of graphic poetry. Our study focuses on francophone works, which come from Belgian, French and Quebec fields, published between 1950 and 2004. Three characteristics mainly define the graphic poetry : the ambiguity and the nomadism of the sign in relation to the semiotic systems (graphic, iconic and plastic), graphics rhythm and lyricism, as modalities of the expression of the subject in the graphic material, and a questioning of the distinction between autographic arts and allographic arts, requiring new ways of perception and reading of the poem and the book, that we called visual-reading and touch-reading.
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La peinture religieuse dans le Haut-Maine au XVIIe siècle / Religious painting in Haut-Maine in the 17th centuryPalonka-Cohin, Anetta 13 December 2014 (has links)
Le recensement des tableaux du XVIIe siècle conservés dans les églises sarthoises a permis de constater une forte activité des peintres manceaux à cette époque, jusque là encore très mal connue. Pourtant, elle a contribué à l’élaboration d’une manière propre aux milieux artistiques manceaux d’alors qui ont su prolonger loin dans le siècle la séduction du maniérisme, sans pour autant raidir celui-ci. La prédominance, puis la persistance du maniérisme s’expliquent par l’immense diffusion de la gravure anversoise à la charnière des XVIe et XVIIe siècles. Plus tard, l’autorité des maîtres parisiens, italiens et flamands reposa sur la reproduction de leurs oeuvres par l’intermédiaire des estampes. Éloignée des grands foyers artistiques, la peinture mancelle était en général conservatrice et répétitive, cherchant tout d’abord à vivement frapper le fidèle. Les tableaux religieux de l’époque post tridentine étaient surtout des oeuvres fonctionnelles, limitées à l’interprétation stricte des scènes, et pour lesquels pouvaient suffire des talents médiocres, et où le recours à la copie était très courant. Cette thèse permet de constater que le milieu des peintres manceaux, tout en gardant ses particularités provinciales, fût dynamique, ouvert aux apports nouveaux et riche en personnalités intéressantes. Leurs oeuvres ont constitué une sorte de tournant dans la production régionale dont l’évolution a suivi les mêmes directions que les grands courants parisiens, quoique avec un écart inévitable. Sont d’abord étudiés la Commande, les Peintres, la Création, les OEuvres et l’Évolution de la peinture mancelle (I). Vient ensuite le Dictionnaire des peintres manceaux (II), et enfin le Catalogue des oeuvres (III). / The inventory of 17th-century paintings in churches in the département of Sarthe reveals that painters in Le Mans, hitherto little known, were prolific at that time. This hive of activity gave rise to an artistic scene in the province of Maine, in and around the city of Le Mans, which prolonged the style of mannerism well into the century, until it was replaced by the authority of Parisian, Italian and Flemish masters. A far cry from main artistic centres, Maine painting was generally conservative and repetitive. Above all, it sought to strike religious believers. Religious works by Maine painters during the post-Tridentine era were functional works, content to merely portray a scene. They required little or no talent and copying was very widespread. This thesis shows that the painting scene in and around Le Mans, although doggedly provincial, was dynamic, open to new contributions and full of interesting characters. Their work marked a turning point in regional production and its evolution followed the same trends as the major Parisian currents, albeit with an evitable delay. We shall examine commissioning, the artists, creation, works and the evolution of painting in Le Mans (I). This will be followed by the dictionary of Maine painters (II) and the catalogue of works (III).
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La structure spatiale des oeuvres cubistes de Picasso et Braque de 1910 et 1911Perron, Katia 08 February 2019 (has links)
Cette recherche vise à développer quatre aspects particuliers qui concernent le cubisme de Braque et Picasso. D’abord quels ont été les faits marquants du cubisme au moment de sa naissance à travers les critiques du français Louis Vauxcelles. Puis, pour mieux saisir le mouvement, une synthèse des nombreuses définitions avancées par les critiques et les historiens d’art durant tout le 20e siècle, constituera la base d’une tentative de redéfinition globale du cubisme en sa phase analytique. On souligne ensuite l’importance de la réflexion cubiste en s’arrêtant à la modification de la représentation picturale par la décomposition de l’objet sur une surface plane qui aboutit sous l’empire de l’hermétisme à une nouvelle structure spatiale mettant alors l’accent sur la dissolution de l’objet et de la figure humaine. Finalement, l’analyse sémiotique de deux œuvres clés de Picasso et Braque de 1910 et 1911 permet de cerner plastiquement la notion même de réalisme que l’on trouve dans cette période analytique la plus hermétique. / Montréal Trigonix inc. 2018
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Étude et essai expérimental sur les costumes antiques : exemples de formes et de couleurs provenant de la peinture de la Villa des Mystères à PompéiBoissonneault, Jeanne D'Arc 11 April 2018 (has links)
Les peintures de Pompéi ont été très souvent étudiées surtout celle de la Villa des Mystères. Les vêtements que portent les femmes de cette peinture sont d'un attrait particulier. Une description très détaillée des six principaux vêtements étudiés comparés à des exemples similaires quant à leurs formes et, si possible, quant à leurs couleurs nous permet de noter plusieurs problèmes. C'est pourquoi nous avons approfondi nos connaissances sur les textiles, sur les différentes colorations utilisées à cette époque et sur les diverses techniques connues dans l'Antiquité pour permettre la réalisation de certains de ces vêtements. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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La peinture de Groupe de Beaupré (1896-1904) : à la recherche des origines : le terroir québécois comme représentation du CanadaLandry, Madeleine 16 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2008-2009 / La présente recherche porte sur la production d'un groupe de peintres anglophones de Montréal et de Toronto, qui ont séjourné à Beaupré de façon intermittente entre les années 1896 et 1904. Son originalité tient au fait qu'il s'agit d'une pratique collective réalisée dans un milieu rural canadien-français. Le cadre de cette recherche se limite au noyau principal de la colonie d'artistes présente à Beaupré à l'époque, passant sous silence la contribution des étudiants et des visiteurs occasionnels. Seuls les amis proches et membres du Pen and Pencil Club de Montréal ont été retenus, pour se concentrer sur les idées et les opinions qu'ils partageaient et ainsi chercher à cerner leur pensée, dont les textes de Paul Lafleur, écrivain et collègue de longue date, sont apparus comme un reflet significatif. À regarder de près les points communs qui unissaient les peintres, aux plans familial, académique et artistique, nous voulons mieux comprendre les motivations qui les ont poussés à s'arrêter à Beaupré, un lieu dont la spécificité s'est avérée très significative. L'analyse de cette spécificité de lieu, de temps et de mémoire a permis de mieux saisir comment Beaupré pouvait soutenir une quête identitaire. À une époque où on cherchait à développer un art national, l'image de Beaupré comme berceau des origines de la nation, apportait une réponse en termes historique et mythique aux aspirations profondes des peintres. / This project has to do with a group of English-speaking artists from Montréal and Toronto, who worked together in Beaupré, a small French rural community near Québec city, between 1896 and 1904. The group included William Brymner, William Cruikshank, Maurice Cullen, Edmond Dyonnet, James Wilson Morrice and Edmund Morris. We did limit the study to the artists who also belonged to the Pen and Pencil Club of Montréal at that time. The Club includes artists and writers, which allows us to gather informations on opinions and mentalities of the day. Paul Lafleur, a close friend of the artists in Montréal, accompanied them in Beaupré. We studied the production of Beaupré ( > 300 works of art ) which can be best qualified as regionalist and nationalist. A comparison was established between the ideologies behind the paintings on the one hand and the writing of Paul Lafleur on the other hand ( 33 texts ). The type of painting produced in Beaupré has to do with an identity quest ; we believe Beaupré was chosen by the artists because of its link with the origins of the country. In fact, Beaupré goes back ta 1626, when Champlain built there the first farm in Canada. Being a « lieu de mémoire » ( mythic site ), it had attracted English artists since 1790. The group of Beaupré created a representation of Canada as a French colonial settlement, some sort of primitive and idealistic society, far away from the threats of an overindustrial world.
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Portraits of children in Québec art 1800-1860Nicolai, Eric 07 February 2019 (has links)
Ce mémoire a pour objet l'étude d'un corpus de portraits d'enfants peints au Québec entre 1800 et 1860. Nous présentons d'abord un aperçu général du thème de 1'enfance tel qu'il s'est manifesté dans la peinture européenne et américaine dès le XVIe siècle. Cet aperçu est suivi d'une synthèse du contexte historique et artistique au sein duquel le portrait bourgeois s'est développé au Québec avec un examen de quelques-uns des premiers portraits d'enfants connus au Québec. Dans la deuxième partie, nous avons procédé à une étude stylistique et comparative du corpus à partir des différentes compositions que les artistes ont employées pour représenter l'enfant. Le corpus est divisé en deux catégories: les portraits de l'enfant en buste et ceux où l'enfant est représenté à 1'intérieur d'un groupe. Des comparaisons avec des portraits américains ont permis de dégager différentes similitudes mais aussi quelques éléments spécifiques propres au portrait d'enfant au Québec. / The object of this thesis is the study of a corpus of portraits of children painted in Quebec between 1800 and 1860. After introducing the theme of childhood in European and American painting since the sixteenth century, we go on in the first part to examine the historical and artistic context in which the bourgeois portrait developed in Quebec as well as some of the earliest known portraits of children in Quebec. In the second part, we have undertaken a stylistic and comparative study of the corpus, using as our starting point the compositional arrangements employed by the artists to represent children. This led us to divide the corpus into two main categories : bust-length portraits of the child and group portraits. Comparison with American portraits has permitted us to identify compositional similarities as well as characteristic elements that constitute what is specific to portraits of children in Quebec. / Montréal Trigonix inc. 2018
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Entre réalité et fiction : "Les Festivités du papegai en 1615 à Bruxelles" de Denijs van Alsloot (1568 ? - 1625/26) et de son collaborateur Antoon Sallaert (1594-1650), Analyse et mise en contexte d'une suite de tableaux commandée par les archiducs Albert et Isabellevan Sprang, Sabine 06 March 2006 (has links)
La thèse a pour objet l'étude approfondie d'une série de huit tableaux monumentaux intitulée "Les Festivités du papegai en 1615 à Bruxelles". Exceptionnelle par le type de sujet et par le format, cette série fut commandée par les archiducs Albert et Isabelle (1598-1621) à leur peintre Denijs van Alsloot (1568 ?-1625/26) afin de célébrer la victoire de l'infante au tir de l'oiseau de bois (le "papegai") du Grand Serment des arbalétriers à Bruxelles. Elle est aujourd’hui incomplète, mais la confrontation des sources écrites avec les tableaux subsistants (en ce compris quelques répliques et variantes) permet d’établir qu’elle se composait à l'origine de six toiles ayant pour objet l’Ommegang communal – qui eut lieu le 31 mai 1615 et fut placé sous le signe de l’exploit de l’infante –, d’une peinture représentant "Isabelle tirant l’oiseau", et d’une toile montrant une "Fête au Vivier d’Oie en présence des archiducs", dans la forêt domaniale de Soignes.
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Sans doute en raison de leur aspect descriptif, les tableaux conservés n'ont jamais été soumis à une analyse qui prenne en compte leur spécificité artistique, la plupart des chercheurs s'étant contentés jusqu'à présent d'examiner les spectacles dépeints dans une perspective historique. La thèse propose dès lors une étude qui non seulement repose sur une analyse des sources écrites et cherche à identifier les motifs représentés, mais aussi explore les composantes formelles, techniques et conventionnelles des peintures. Ceci afin, précisément, de mieux définir le rapport entre l’image donnée et la réalité des faits historiques. Car si les "Festivités" n'ont nullement valeur de reportage, leur raison d’être n’en a pas moins été de témoigner par le menu détail de certains événements. Et c’est très exactement la nature de ce témoignage, formulé avec les moyens propres à la peinture, qui est au cœur du questionnement.
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La thèse se compose de deux parties. Dans la première partie, l'attention est portée sur la vie et la production de Denijs van Alsloot en général. Le peintre avait en effet été peu ou mal étudié jusqu’à présent. Or, de toute évidence, une meilleure connaissance de l’ensemble des activités artistiques de Van Alsloot permet d’aborder avec plus de justesse l’étude des "Festivités". Plusieurs éléments de la carrière de l'artiste furent en outre déterminants dans le choix d’Albert et Isabelle de faire appel à ses services pour la réalisation de la série.
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La seconde partie se concentre sur l'examen des "Festivités". Le premier chapitre fait le point sur ce que les archives nous apprennent à propos de la commande et de l’historique des peintures originales comme des répliques et des variantes. Le second chapitre analyse la technique et le style de chacun des tableaux. Il vise également à reconstituer les étapes préparatoires dans la réalisation des peintures et à définir la nature des rapports entre les tableaux du point de vue de l’exécution. Une attention particulière est en outre portée à l'intervention comme sous-traitant du peintre Antoon Sallaert (1594-1650).
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La signification politique des tableaux constitue le thème du troisième chapitre. Sont étudiés d'abord les circonstances historiques qui amenèrent Isabelle à participer au tir du Grand Serment et la cour à commander la série peinte des "Festivités". Le cadre d’origine des toiles est examiné ensuite, afin de mesurer l’influence potentielle de ce cadre sur la forme et le contenu des œuvres. Car si celles-ci contiennent une foule de renseignements valables sur les célébrations, il n’en demeure pas moins qu’il ne peut s’agir d’images objectives. Les "Festivités" servaient des intentions particulières qui ont amené les artistes à opérer des choix et à soumettre les scènes à des structures iconographiques signifiantes. C’est donc à déchiffrer et à interpréter la "rhétorique de l'image" que la thèse s'attache en dernier lieu.
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En définitive, par la réévaluation d'un type particulier d'iconographie politique, l'auteure de la thèse espère contribuer aux travaux toujours plus nombreux sur le rôle de l'image dans l'élaboration du discours princier.
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