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The little presses that did : a history of First statement press, Contact press and Delta Canada, and an assessment of their contribution to the rise and development of modernist poetry in Canada during the middle part of the twentieth century

Tracey, Collett January 2001 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'oracle en son jardin : William Carlos Williams et Allen Ginsberg / The oracle in the garden : William Carlos Williams & Allen Ginsberg

Aublet, Anna 27 October 2018 (has links)
La tension analysée par Leo Marx dans son essai The Machine in the Garden: Technology and the Pastoral ideal in America (1964), entre l’Arcadie américaine comme terre de pureté naturelle et le trope de la menace mécanique, sous-tend les œuvres des deux poètes du XXe siècle que nous nous proposons ici d’étudier, William Carlos Williams (1883-1963) et Allen Ginsberg (1926-1997). Leur abondante correspondance est la trace d’une relation poétique mais aussi filiale : Pater-Son, pour jouer sur le titre du long poème de Williams. Cet échange épistolaire vient également remettre en question la périodisation des mouvements littéraires trop souvent conçue comme une série de ruptures. L’état du New Jersey, Garden State, dont ils sont tous deux originaires, jardin dévasté par la révolution industrielle, apparaît comme un terrain fertile au surgissement d’une langue unique et autochtone. Cet espace commun et métamorphique offrira également une échappatoire à l’impasse de la classification des œuvres : du modernisme à la Beat Generation. Il faudra donc revenir sur les délinéaments des tracés cartographiques pour mieux dessiner à notre tour la carte poétique de leur relation littéraire et personnelle. Au gré des passions humaines, extases et tribulations, les poètes arpentent les sillons du vers qu’ils creusent à même le sol de leur New Jersey natal, pour faire sourdre le flot autochtone d’une poésie résolument américaine. / The tensions analyzed by Leo Marx in his 1964 essay The Machine in the Garden: Technology and the pastoral ideal in America, between the American Arcadia as a land of original purity and the trope of industrial threat is ghostly present throughout the works of both poets at stake in this dissertation: William Carlos Williams (1883-1963) and Allen Ginsberg (1926-1997). In this research I intend to analyze the processes by which the poets manage to claim ownership of their land in spite of the lurking mechanic apocalypse. Writing, each in his own time, both poets endeavor to reclaim the original historical and spatial meaning of their continent, by devising an autochthonous language that would provide a new “point of view” and a new “point of voice”, as means to prophesy a collective future for the nation from their personal “local” anchorage in their natal New Jersey. Striving to “make a start out of particulars” they intend to escape the vastness of the continent by focusing on the minute details surrounding them in their own garden state. The correspondence between the two poets also questions the periodization of literary movements, too often conceived as a series of breaks and schisms. The Garden State, metamorphic space covered with the remnants of industrialization provides us with a way to break free from the shackles of such categorization : from modernism to the Beat Generation.
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Une pratique sans théorie. Le très long poème américain de seconde génération / A Practice without a Theory. The Second Generation of the American Long Poem

Bucher, Vincent 01 December 2012 (has links)
Les États-Unis n’ont eu de cesse d’attendre depuis Emerson le grand chef d’œuvre national qui célèbrerait le destin d’exception de la jeune démocratie et affranchirait la littérature et la langue américaines de la tutelle du vieux continent. Cette tâche ne pouvait incomber à l’épopée dont on a pu juger qu’elle était inapte à décrire le monde contemporain et qu’elle contredisait une modernité poétique de l’intensité lyrique. La renaissance spectaculaire du « long poème » américain au cours des XIXe et XXe siècle ne peut donc s’inscrire dans la filiation de « formes » jugées obsolètes. Elle paraît d’ailleurs d’autant plus problématique qu’après avoir été rapportée au lyrisme démocratique de Walt Whitman, le « long poème » fut approprié par T.S. Eliot et Ezra Pound et assimilée aux excès d’un « high modernism » autoritaire, élitiste et systématique. C’est ainsi que la critique n’est parvenue à rendre compte paradoxalement de cette « forme » qu’en la niant, confirmant ainsi son illisibilité : le long poème ne pouvait être qu’un recueil de poèmes courts, un chef d’œuvre ruiné ou une parodie de la pensée systématique et de l’exceptionnalisme américain. En étudiant « A » de Louis Zukofsky, Paterson de William Carlos William et les Maximus Poems de Charles Olson, je vise à démontrer qu’il est au contraire possible de lire cette forme en tant que telle sans avoir recours à des typologies génériques ou à la dichotomie modernisme/postmodernisme. Je tenterai aussi de suggérer que, dans ces trois œuvres, la poésie se conçoit comme une activité en devenir qui tente modestement d’articuler le poème au monde, au temps et à la lecture. / Ever since Emerson the United-States have been expecting the great national masterpiece that would not only celebrate the unique destiny of this young democracy but would also free American language and literature from the European model. However, it did not seem that it was for the epic poem to accomplish this task given that it appeared not only ill-suited to describe the modern world but also incompatible with the demands of a poetic modernity predicated on lyrical intensity. Hence, the planned obsolescence of this “form” has made it all the more difficult to explain the spectacular rebirth of the “American long poem” in the 19th and 20th centuries. It has appeared all the more problematic since, after having been associated to Walt Whitman’s democratic lyricism, the “long poem” was appropriated by T.S. Eliot and Ezra Pound making it the symbol of the authoritarian, elitist and systematic tendencies of “high modernism”. It will thus come as no surprise that the critical community has tended to view the “long poem” negatively confirming in a way its illegibility: the “long poem” could only be viewed as a short lyric sequence, an impossible masterpiece or a parody of systematic thought and American exceptionalism. In undertaking this study of Louis Zukofsky’s “A”, William Carlos William’s Paterson and Charles Olson’s Maximus Poems I wish to demonstrate that it is possible to read the “long poem” as such without having to resort to generic categories and to the modern/postmodern dichotomy. I also hope to show that, in these three works, poetry is understood as a kind of ongoing activity which modestly attempts to articulate the poem to the world, time and reading.
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A poetics of apprehension : indeterminacy in Gertrude Stein, Emily Dickinson and Caroline Bergvall

Haslam, Bronwyn 09 1900 (has links)
Ce mémoire examine les poétiques de trois poètes très différentes, mais dont les œuvres peuvent être qualifiées d'indéterminées et de radicales : Emily Dickinson (1830-1886), Gertrude Stein (1874-1946) et Caroline Bergvall (née en 1962). Dickinson et Stein sont anglo-américaines, tandis que Bergvall est d’origine franco-norvégienne, bien qu'elle choisisse d’écrire en anglais. Toutes les trois rompent la structure syntaxique conventionnelle de l’anglais par leurs poétiques, ce qui comporte des implications esthétiques et politiques. Dans ce qui suit, j’analyse l’indétermination de leurs poétiques à partir de la notion, décrite par Lyn Hejinian, de la description comme appréhension qui présente l’écriture comme un mode de connaissance plutôt qu'un moyen d’enregistrer ce que le poète sait déjà. La temporalité de cette activité épistémologique est donc celle du présent de l’écriture, elle lui est concomitante. J'affirme que c'est cette temporalité qui, en ouvrant l’écriture aux événements imprévus, aux vicissitudes, aux hésitations, aux erreurs et torsions de l’affect, cause l'indétermination de la poésie. Dans le premier chapitre, j'envisage l'appréhension chez Gertrude Stein à travers son engagement, tout au long de sa carrière, envers « le présent continu » de l’écriture. Le deuxième chapitre porte sur le sens angoissé de l’appréhension dans la poésie de Dickinson, où le malaise, en empêchant ou en refoulant une pensée, suspend la connaissance. Le langage, sollicité par une expérience qu'il ne peut lui-même exprimer, donne forme à l'indétermination. Un dernier chapitre considère l’indétermination linguistique du texte et de l’exposition Say Parsley, dans lesquels Bergvall met en scène l’appréhension du langage : une appréhension qui survient plutôt chez le lecteur ou spectateur que chez la poète. / This thesis investigates the poetics of three very different female poets, whose works nevertheless are characterized as both indeterminate and radical: Emily Dickinson (1830-1886), Gertrude Stein (1874-1946), and Caroline Bergvall (b. 1962). Dickinson and Stein are Anglo-American, while Bergvall is of French-Norwegian descent yet writes in English, but all three fracture the conventional syntactic structures of the English language in their poetics. This move bears both aesthetic and political implications. In this thesis, I read the indeterminacies of their poetics through Lyn Hejinian’s notion of description as apprehension, which figures writing as a mode of knowing rather than a means of recording something the poet already knows. The temporality of epistemology in their work is thus the present tense of writing; thinking is concomitant with it. Following Hejinian, I contend that it is this temporality that, in making writing open to the vicissitudes, hesitations, reprisals, unexpected events, errors, and the torsions of affect, perturbs determination. The first chapter explores apprehension in Gertrude Stein’s work through her career-long commitment to the present tense of writing: perception occurs concurrently with composition. The second chapter, on Dickinson, hinges on the anxious dimension of apprehension, in which unease, in thwarting or repressing a thought, suspends its understanding. Indeterminacy figures as language claimed by an experience it can’t itself claim. Finally, the last chapter considers the linguistic indeterminacies of Say Parsley, where Bergvall stages the apprehension of language itself in using indeterminacy as a poetic strategy to determinate ends, placing the possibilities, uncertainties and responsibilities of apprehension onto the reader or spectator.
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Noisy and haptic interventions in the feminist codex : daring refusals by H. D., Lisa Robertson, Rachel Zolf, and Erín Moure

MacEachern, Jessica N. 12 1900 (has links)
No description available.
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A poetics of apprehension : indeterminacy in Gertrude Stein, Emily Dickinson and Caroline Bergvall

Haslam, Bronwyn 09 1900 (has links)
Ce mémoire examine les poétiques de trois poètes très différentes, mais dont les œuvres peuvent être qualifiées d'indéterminées et de radicales : Emily Dickinson (1830-1886), Gertrude Stein (1874-1946) et Caroline Bergvall (née en 1962). Dickinson et Stein sont anglo-américaines, tandis que Bergvall est d’origine franco-norvégienne, bien qu'elle choisisse d’écrire en anglais. Toutes les trois rompent la structure syntaxique conventionnelle de l’anglais par leurs poétiques, ce qui comporte des implications esthétiques et politiques. Dans ce qui suit, j’analyse l’indétermination de leurs poétiques à partir de la notion, décrite par Lyn Hejinian, de la description comme appréhension qui présente l’écriture comme un mode de connaissance plutôt qu'un moyen d’enregistrer ce que le poète sait déjà. La temporalité de cette activité épistémologique est donc celle du présent de l’écriture, elle lui est concomitante. J'affirme que c'est cette temporalité qui, en ouvrant l’écriture aux événements imprévus, aux vicissitudes, aux hésitations, aux erreurs et torsions de l’affect, cause l'indétermination de la poésie. Dans le premier chapitre, j'envisage l'appréhension chez Gertrude Stein à travers son engagement, tout au long de sa carrière, envers « le présent continu » de l’écriture. Le deuxième chapitre porte sur le sens angoissé de l’appréhension dans la poésie de Dickinson, où le malaise, en empêchant ou en refoulant une pensée, suspend la connaissance. Le langage, sollicité par une expérience qu'il ne peut lui-même exprimer, donne forme à l'indétermination. Un dernier chapitre considère l’indétermination linguistique du texte et de l’exposition Say Parsley, dans lesquels Bergvall met en scène l’appréhension du langage : une appréhension qui survient plutôt chez le lecteur ou spectateur que chez la poète. / This thesis investigates the poetics of three very different female poets, whose works nevertheless are characterized as both indeterminate and radical: Emily Dickinson (1830-1886), Gertrude Stein (1874-1946), and Caroline Bergvall (b. 1962). Dickinson and Stein are Anglo-American, while Bergvall is of French-Norwegian descent yet writes in English, but all three fracture the conventional syntactic structures of the English language in their poetics. This move bears both aesthetic and political implications. In this thesis, I read the indeterminacies of their poetics through Lyn Hejinian’s notion of description as apprehension, which figures writing as a mode of knowing rather than a means of recording something the poet already knows. The temporality of epistemology in their work is thus the present tense of writing; thinking is concomitant with it. Following Hejinian, I contend that it is this temporality that, in making writing open to the vicissitudes, hesitations, reprisals, unexpected events, errors, and the torsions of affect, perturbs determination. The first chapter explores apprehension in Gertrude Stein’s work through her career-long commitment to the present tense of writing: perception occurs concurrently with composition. The second chapter, on Dickinson, hinges on the anxious dimension of apprehension, in which unease, in thwarting or repressing a thought, suspends its understanding. Indeterminacy figures as language claimed by an experience it can’t itself claim. Finally, the last chapter considers the linguistic indeterminacies of Say Parsley, where Bergvall stages the apprehension of language itself in using indeterminacy as a poetic strategy to determinate ends, placing the possibilities, uncertainties and responsibilities of apprehension onto the reader or spectator.

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