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Vie et système chez G.W.F. Hegel

Chaput, Emmanuel 23 February 2022 (has links)
Cette thèse s’intéresse au traitement de la notion de vie au sein du système hégélien. Que ce soit comme vie logique, organique ou comme vie de l’esprit, cette notion représente un élément structurant dans le discours philosophique de Hegel. À un point tel que l’on peut, à partir de la systématicité dynamique de la vie et du vivant tel qu’ils sont thématisés chez Hegel, penser le caractère dynamique et vivant du système hégélien. Ce faisant, nous sommes en mesure de situer l’entreprise hégélienne dans le contexte de la philosophie postkantienne visant à un renouvellement de la pratique philosophique comme philosophie vivante capable d’articuler raison spéculative et vie pratique. Cela permet également de mieux situer l’entreprise hégélienne vis-à-vis des critiques tendant à faire de son système un système clos et ossifié. Partant du système hégélien tel qu’il se présente au cours de la période berlinoise au sein de l’Encyclopédie des sciences philosophiques, nous retraçons ainsi l’entreprise hégélienne dans sa volonté de penser à la fois la vie de la pensée et la rationalité du vivant.
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Critique et science : étude sur la transformation du criticisme dans les premiers écrits de F. W. J. Schelling / Critique and Science : a Study on the Transformation of Criticism in the Early Writings of F. W. J. Schelling

Gomes Figueiredo Pedro, Teresa Alexandra 04 December 2009 (has links)
La présente thèse s'interroge sur le statut de la pensée du jeune Schelling en tant que philosophie postkantienne : s’agit-il d’une philosophie qui revient en-deçà des acquis de la philosophie critique kantienne, comme plusieurs lectures le laissent entendre, ou s'inscrit-elle, comme elle le prétend, dans les possibilités ouvertes par le criticisme? Et si c'est le cas, dans quelle mesure cette philosophie s'inspire-t-elle de la philosophie kantienne? A travers ces questions, ce travail se propose de faire une lecture des premiers écrits de l’auteur (1794-1800) à partir de la réélaboration et de la réappropriation du criticisme qui sous-tend le projet schellingien de philosophie en tant que « science ».Cet axe de lecture nous a permis de montrer, d'une part, que le rapport de la philosophie de Schelling avec la philosophie kantienne a un rôle opératoire dans la maturation du projet philosophique propre à Schelling et, d'autre part, que l'évolution de la pensée schellingienne dans sa première philosophie se comprend à partir d'une réflexion sur sa propre possibilité et que, en ce sens, la philosophie de Schelling est bien une philosophie postkantienne. C'est à partir de la question du rapport entre la philosophie comme « science » et le questionnement critique sur les conditions de possibilité de notre connaissance que nous tentons d’élucider le motif de la révolution philosophique chez le jeune Schelling. Puisqu’il y va de conception que l'on se fait de la tâche philosophique elle-même, le fil directeur de ce travail est la reformulation par Schelling de la question kantienne de la possibilité des jugements synthétiques a priori et la remise en chantier qu'il propose de la conception de l’unité de la raison comme raison théorico-pratique. / The thesis examines the status of the young Schelling’s thought as a post-Kantian philosophy: is it a philosophy which falls back behind the gains of Kantian critical philosophy, as some readings suggest, or is it a philosophy which, as Schelling himself claims, takes up possibilities opened by criticism? If the latter, to what extent does this philosophy inspire itself from Kantian thought? Through these questions, this work intends to give a reading of Schelling’s first writings (1794-1800) focusing on the reelaboration and the reappropriation of criticism at the base of his project of philosophy as « science » . It is shown through this line of interpretation, first, that the relation of Schelling’s philosophy to Kant's plays a vital role in the later development of his philosophical project and, second, that the evolution of Schelling's thought in his early philosophy can be understood as a reflection on its own possibility. In this sense, Schelling’s philosophy is indeed a post-Kantian philosophy. The motives for the young Schelling’s philosophical revolution are elucidated by investigating the relation between a philosophy as « science » and the critical inquiry into the conditions of possibility of our knowledge. Since this concerns the task of philosophy itself, the guiding theme of this study is Schelling’s reformulation of the Kantian question about the possibility of synthetic a priori judgments as well as his reworking of the concept of the unity of reason as theoretical and practical reason.
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Lumière de la vie / L'image dans l'oeuvre poétique et théorique de Friedrich Hölderlin.

Layet, Clément 22 February 2013 (has links)
Le divin peut-il être à la fois mort et vivant ? Résonnant pour nous à partir de Nietzsche et de Heidegger, cette question traverse l’œuvre, d’abord poétique mais aussi pleinement philosophique, de Friedrich Hölderlin (1770-1843). Dès la querelle du panthéisme qui anime le débat intellectuel germanique au cours des années 1780, le dieu de la métaphysique identifié avec le dieu chrétien semble perdre son effectivité. Mais le divin n’est pas seulement pour Hölderlin un contenu dogmatique ou conceptuel : il désigne avant tout le lien qui s’établit avec la nature lorsque l’homme réfléchit le sentiment que celle-ci produit en lui-même. Dès lors, même s’il semble exposé à la mort en tant que Créateur transcendant du monde, Dieu ne cesse pas de pouvoir être approché comme la source vive de toute apparition. Il ne se manifeste toutefois comme tel qu’à condition de s’effacer comme antériorité et de donner lieu aux choses singulières, en une rupture de toute union prétendument originelle. Or, dire que le principe doit nier sa propre primauté, c’est dire que l’un tend à se séparer de soi pour accéder à sa propre unité, et qu’il doit nécessairement produire une image de lui-même. En défendant cette thèse héritière d’Héraclite et du néoplatonisme, Hölderlin s’oppose aux philosophes idéalistes subjectifs, qui identifient alors le principe de toute réalité avec le Moi, et il s’expose du même coup à l’objection d’être incohérent et exalté. Mais l’effet produit par ses poèmes, par son roman et par sa tragédie fait s’évanouir tout soupçon de Schwärmerei. La poésie hölderlinienne est réellement image de Dieu. L’étude de la méditation et de la mise en œuvre progressive d’une telle effectivité exige de distinguer trois périodes dans le développement de sa pensée. Entre 1785 et 1795, Hölderlin s’efforce de parvenir, après avoir lu Kant, Schiller, Fichte et Schelling, à une compréhension à la fois non subjective et non dogmatique de l’être. Entre 1795 et 1802, en nommant le principe à la fois « beauté » à partir de Platon et « un se différenciant en lui-même » à partir d’Héraclite, il conceptualise les moyens de traduire poétiquement la profusion de la vie divine. Entre 1802 et 1843, comme si la mort de Susette Gontard, l’isolement et la folie affrontés sur le plan biographique rejoignaient, sur les plans théorique et poétique, la méditation de Pindare, de Sophocle et de la figure du Christ, Hölderlin montre la dépendance de l’infini à l’égard de la finitude. Ainsi son œuvre entière donne-t-elle à voir, en sa tension interne entre le poème et la philosophie, la vie divine harmoniquement opposée. / Can the divinity be at once dead and alive? Resonating for us since the time of Nietzsche and Heidegger, this question runs all through the works of Hölderlin, in the first place poetic, but also, in the fullest sense, philosophic. From the time of the controversy over pantheism among German intellectuals in the 1780s the identification of the god of metaphysics with the Christian god seems to have lost its effectiveness. But the divinity for Hölderlin was not only a written dogma or concept ; it denotes above all the link established with nature when man reflects the feelings it arouses in him. From then on, god, even if he seems exposed to death as the transcendent creator of the world, continues to be approachable as the deepest source of all apparitions. However, god only manifests himself in this way if he effaces himself as anteriority, and breaking all union supposedly original, makes way for singular things. Now, to say that the principle denies its own primacy is to say that the one tends to separate from itself in order to reach its own unity, and that it must necessarily produce an image of itself. In defending this proposition, Hölderlin set himself in opposition to the subjective idealist philosophers, who identified the principle of all reality with the "I", and he exposed himself at the same time to the objection that he was incoherent and fanatical. But the effect produced by his poems, novel and tragedy dispels all suspicion of Schwärmerei. Hölderlin’s poetry really is the image of god. A study of his meditation and the progressive implementation of such a level of effectiveness makes it necessary to distinguish three periods in the evolution of his thought. Between 1785 and 1795, after having read Kant, Schiller, Fichte and Schelling, Hölderlin tried to achieve an understanding both non-subjective and non-dogmatic of Being. Between 1795 and 1802 he conceptualised the means of conveying through poetry the profusion of divine life, naming the principle both "beauty", after Plato, and "one differentiating in itself", after Heraclitus. Between 1802 and 1843, as if the death of Susette Gontard, isolation and madness confronted at a biographical level had conjoined, at a theoretic and poetic level, the meditation on Pindar, Sophocles and the face of Christ, Hölderlin showed the dependence of the infinite with regard to the finite. Thus, the whole body of his work, in its internal tension between poem and philosophy, reveals divine life in harmonic opposition.

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