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Pouvoir et impouvoir du verbe : le dit, l'inter-dit, le silence : approche des oeuvres de Maurice Blanchot et Georges Bataille / The power and powerlessness of the verb : saying and silence in the works of Maurice Blanchot and Georges Bataille

Radouk, Fatima 05 February 2010 (has links)
Qu'en est-il de la communication de l'impossible dans son rapport au pouvoir du langage ? En révélant la face a-dialectique du langage littéraire, Maurice Blanchot et Georges Bataille, liés par une amitié essentielle, ont redéployé l’espace désoeuvré de l’Impossible comme espace scripturaire. La présente étude s’est articulée en trois parties, regroupant chacune quatre chapitres. La première s’est intéressée à la nomination comme stricte révélation de la négativité, d’une part, et de l’altérité, d’autre part. Elle a analysé les stratégies de contestation du discours dialectique adoptées en vue de redessiner un nouvel espace communautaire grevé d’absence. Cette dernière, induisant par ailleurs le mouvement infini de la répétition, ouvre l’exigence scripturaire à l’in-fini du re-dire. La seconde a mis au centre de ses préoccupations, à l’exemple des auteurs eux-mêmes, la mort. Liée au déploiement scripturaire, la mort creuse littéralement le Dire dans lequel domine l’oscillation entre pouvoir et impouvoir. La dimension thanatique des œuvres des deux auteurs convoque les notions de limite, de transgression, de dehors, de chance et de neutre qui envisagent toutes l’ouverture de l’expérience scripturaire sur son impossible horizon. La dernière partie, quant à elle, a mis en évidence la manière dont l’écriture, en son mouvement disjoint et imaginaire, s’abstrait du domaine du possible en s’ouvrant finalement sur le silence dont elle se fait complice pour ouvrir le Dire au partage de l’Impossible. / This thesis discusses the saying of the Impossible in its relationship to the power of language in the works of Maurice Blanchot and Georges Bataille. By unveiling the a-dialectical aspect of the literary language, Maurice Blanchot and Georges Bataille, who were bound by an essential friendship, deployed anew the idle space of the Impossible as a writerly space. This study is composed of three parts, each divided into four chapters. The first part discusses nomination as a strict unveiling of negativity on the one hand, and of alterity on the other hand, before analysing the strategies of contesting the dialectical discourse which were adopted by both writers with a view of delineating a new community space marked by absence. By inducing an endless movement of repetition, absence is shown to open the writerly exigence to the infiniteness of re-saying. The second part focuses on death as explored by both writers themselves. As linked to the writerly deployment, death literally enacts a saying dominated by the oscillation between Power and Unpower. The thanatical dimension of the works of both authors relies on the notions of limits, transgression, exteriority, chance and neutre, all of which lead to the opening of the writerly experience on its impossible horizon. The third part highlights how writing, in its disjointed and imaginary movement, abstracts itself from the realm of the possible by opening itself to the silence and becoming thus its accomplice to open the saying to the sharing of the Impossible.
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Le sujet dans le temps chez Hélène Dorion : le profil d'une éthique poétique

Bédard, Jacinthe January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Les romans libertins du XVIIIe siècle ou la philosophie des sens dessus dessous / Libertine novels of the eighteenth century or the philosophy turning senseand senses upside down

Sultan, Élise 03 July 2018 (has links)
Loin de faire seulement l'apologie des mœurs licencieuses, les romanciers libertins sont au XVIIIe siècle les artisans d'une rencontre inédite entre philosophie et la littérature. Ils sont à l'origine d'un dispositif original tant philosophique que littéraire par lequel la fiction pense et donne à penser. De Sylphe de Crébillon (1730) à I' Histoire de Juliette de Sade (1797), la grande hétérogénéité du corpus des romans libertins a pour point commun une oscillation caractéristique entre des scènes érotiques et des débats philosophiques. Plus qu'une simple réécriture de thèses philosophiques, les romans libertins proposent une manière proprement littéraire de philosopher. En déplaçant la philosophie dans le boudoir, ils offrent une expérience qui marie l'esprit et le corps, la théorie et la pratique. / Libertine novels are not only pornography. During the 18th century, they are at the root of a philosophical and literary device, where fiction reflects and inspires reflection. Although the body of Libertine novels from Crébillon's Sylphe ( 1730) to Sade's Juliette ( 1797) is very diverse, the scam that runs through it is a distinctive oscillation between erotic scenes and philosophical debates. Rather than rewriting philosophical theories, the Libertine novels offer a literary way to philophize. Those novels offer experiences to the reader. Shilling philosophy towards the “boudoir”, the Libertine novel reconcile body and mind, theory and practice.
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Lumière de la vie / L'image dans l'oeuvre poétique et théorique de Friedrich Hölderlin.

Layet, Clément 22 February 2013 (has links)
Le divin peut-il être à la fois mort et vivant ? Résonnant pour nous à partir de Nietzsche et de Heidegger, cette question traverse l’œuvre, d’abord poétique mais aussi pleinement philosophique, de Friedrich Hölderlin (1770-1843). Dès la querelle du panthéisme qui anime le débat intellectuel germanique au cours des années 1780, le dieu de la métaphysique identifié avec le dieu chrétien semble perdre son effectivité. Mais le divin n’est pas seulement pour Hölderlin un contenu dogmatique ou conceptuel : il désigne avant tout le lien qui s’établit avec la nature lorsque l’homme réfléchit le sentiment que celle-ci produit en lui-même. Dès lors, même s’il semble exposé à la mort en tant que Créateur transcendant du monde, Dieu ne cesse pas de pouvoir être approché comme la source vive de toute apparition. Il ne se manifeste toutefois comme tel qu’à condition de s’effacer comme antériorité et de donner lieu aux choses singulières, en une rupture de toute union prétendument originelle. Or, dire que le principe doit nier sa propre primauté, c’est dire que l’un tend à se séparer de soi pour accéder à sa propre unité, et qu’il doit nécessairement produire une image de lui-même. En défendant cette thèse héritière d’Héraclite et du néoplatonisme, Hölderlin s’oppose aux philosophes idéalistes subjectifs, qui identifient alors le principe de toute réalité avec le Moi, et il s’expose du même coup à l’objection d’être incohérent et exalté. Mais l’effet produit par ses poèmes, par son roman et par sa tragédie fait s’évanouir tout soupçon de Schwärmerei. La poésie hölderlinienne est réellement image de Dieu. L’étude de la méditation et de la mise en œuvre progressive d’une telle effectivité exige de distinguer trois périodes dans le développement de sa pensée. Entre 1785 et 1795, Hölderlin s’efforce de parvenir, après avoir lu Kant, Schiller, Fichte et Schelling, à une compréhension à la fois non subjective et non dogmatique de l’être. Entre 1795 et 1802, en nommant le principe à la fois « beauté » à partir de Platon et « un se différenciant en lui-même » à partir d’Héraclite, il conceptualise les moyens de traduire poétiquement la profusion de la vie divine. Entre 1802 et 1843, comme si la mort de Susette Gontard, l’isolement et la folie affrontés sur le plan biographique rejoignaient, sur les plans théorique et poétique, la méditation de Pindare, de Sophocle et de la figure du Christ, Hölderlin montre la dépendance de l’infini à l’égard de la finitude. Ainsi son œuvre entière donne-t-elle à voir, en sa tension interne entre le poème et la philosophie, la vie divine harmoniquement opposée. / Can the divinity be at once dead and alive? Resonating for us since the time of Nietzsche and Heidegger, this question runs all through the works of Hölderlin, in the first place poetic, but also, in the fullest sense, philosophic. From the time of the controversy over pantheism among German intellectuals in the 1780s the identification of the god of metaphysics with the Christian god seems to have lost its effectiveness. But the divinity for Hölderlin was not only a written dogma or concept ; it denotes above all the link established with nature when man reflects the feelings it arouses in him. From then on, god, even if he seems exposed to death as the transcendent creator of the world, continues to be approachable as the deepest source of all apparitions. However, god only manifests himself in this way if he effaces himself as anteriority, and breaking all union supposedly original, makes way for singular things. Now, to say that the principle denies its own primacy is to say that the one tends to separate from itself in order to reach its own unity, and that it must necessarily produce an image of itself. In defending this proposition, Hölderlin set himself in opposition to the subjective idealist philosophers, who identified the principle of all reality with the "I", and he exposed himself at the same time to the objection that he was incoherent and fanatical. But the effect produced by his poems, novel and tragedy dispels all suspicion of Schwärmerei. Hölderlin’s poetry really is the image of god. A study of his meditation and the progressive implementation of such a level of effectiveness makes it necessary to distinguish three periods in the evolution of his thought. Between 1785 and 1795, after having read Kant, Schiller, Fichte and Schelling, Hölderlin tried to achieve an understanding both non-subjective and non-dogmatic of Being. Between 1795 and 1802 he conceptualised the means of conveying through poetry the profusion of divine life, naming the principle both "beauty", after Plato, and "one differentiating in itself", after Heraclitus. Between 1802 and 1843, as if the death of Susette Gontard, isolation and madness confronted at a biographical level had conjoined, at a theoretic and poetic level, the meditation on Pindar, Sophocles and the face of Christ, Hölderlin showed the dependence of the infinite with regard to the finite. Thus, the whole body of his work, in its internal tension between poem and philosophy, reveals divine life in harmonic opposition.
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Le sujet dans le temps chez Hélène Dorion : le profil d'une éthique poétique

Bédard, Jacinthe January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Le voyage extraordinaire : la méthode et le discours de Michel Serres

Gendron, Pierre-Marc 12 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2007-2008. / Quelle est la méthode de Michel Serres pour l'analyse littéraire ? C'est à cette question que répond ce mémoire en définissant d'abord les termes généraux qui la fondent, termes empruntés aussi bien au structuralisme mathématique de Bourbaki qu'aux théories de la complexité, et en s'intéressant en un deuxième temps à Jouvences. Sur Jules Verne, titre considéré comme exemplaire du travail du philosophe. Comme, à la suite de cette lecture, il apparaît néanmoins que la méthode est indissociable du discours philosophique qu'elle sous-tend, et que par conséquent le travail d'analyse littéraire serrésien ressort d'un projet philosophique plus large, la troisième et dernière partie de ce mémoire synthétise sous la forme d'un abécédaire la pensée serrésienne pour montrer les fondements philosophiques de la méthode.
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La filosofía de un marginal : el rastro bergsoniano en las nouvelles de Felisberto Hernández

Frandsen, Gabriela 04 1900 (has links)
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El carácter cínico en Armando Ramírez, Guillermo Fadanelli y Rocío Boliver : una exploración de la escritura, el cuerpo y la sexualidad

Klein Jara, Paula 03 1900 (has links)
Ce projet de recherche explore l’univers narratif de trois auteurs mexicains : Armando Ramírez, Guillermo Fadanelli et Rocío Boliver. En apparence dissemblables entre eux, leurs œuvres partagent une qualité que je propose ici d’identifier de « cynique ». Le cynisme, en tant qu’approche théorique, ouvre des possibilités interprétatives pour les manifestations artistiques, culturelles et politiques dans lesquelles est évident une friction avec les systèmes de valeurs dominantes. À travers différents langages (le roman, le conte, le récit et la performance), l’univers discursif de ces auteurs exprime un malaise envers le monde, réfléchit sur les conflits existentiels du sujet social mexicain et s’approprie de l’écriture, du corps et de la sexualité comme matière de dénonciation pour exhiber les dispositifs politiques avec lesquels vont être façonnées les catégories sociales ainsi que les canons et normes qui vont régler les codes éthiques et esthétiques de l’environnement culturel. En même temps, dans ces productions, le corps et la sexualité émergent comme une irruption et déplacement des discours en amenant l’exercice plein du langage corporel et écrit au bout de l’abjection. Dans le cas d’Armando Ramírez, le caractère cynique se construit à partir de la violence du langage et de l’attaque sexuelle pour dénoncer, depuis la voix du secteur dominé, le conflit historique des classes sociales. En ce qui concerne Guillermo Fadanelli, le cynisme va s’exprimer à partir de la destruction des grands récits qui donnent un sens linéal à l’existence. L’auteur profane l’écriture, les genres littéraires, la famille, la figure maternelle et les tabous sexuels. De son côté, l’œuvre de Rocío Boliver devient cynique lorsqu’elle conteste l’absence d’une représentation positive de la sexualité et de la vieillesse féminine. Cet artiste fait appel à la non-identification avec la religion catholique et les mécanismes de capitalisation du corps. Toutes ces raisons nous permettent de situer ces trois auteurs dans une tradition cynique pas seulement occidentale, mais notamment mexicaine, car cette recherche reconnait aussi la présence historique du cynisme critique dans la production culturelle du pays et dans la construction des identités nationales. / The present investigation explores the narrative universe of three Mexican authors: Armando Ramírez, Guillermo Fadanelli and Rocío Boliver. Despite obvious differences, their works share characteristics that I propose to identify as “cynical”. In this dissertation, we use cynicism as a theoretical approach that makes possible new interpretations of artistic, cultural, and political expressions that have entered into conflict with dominant value systems. Through different narrative genres and idioms (novel, short story, literary essays and performance), these authors’ shared discursive universe expresses a discomfort with the world and reflects on the existential conflicts of the Mexican social subject. The authors appropriate writing, the body and sexuality as prime material for the denunciation of the political devices that configure social categories, as well as the canons and norms that regulate the cultural environment’s ethical and aesthetic codes. At the same time, by taking bodily and written languages to the extremes of abjection, the body and sexuality emerge in these productions as an irruption and displacement of official discourses. Armando Ramírez gives his novel a the cynical dimension by using the violence of language and sexual assault to denounce, with the voice of the subjugated, a long history of class conflict. In Guillermo Fadanelli, cynicism expresses itself through the destruction of universal discourses that give linear meaning to existence. Fadanelli profanes writing, literary genres, the family as a social institution, the maternal figure and sexual taboos. For her part, Rocío Boliver’s work becomes cynical when she questions the absence of a positive representation of female sexuality and old age. She resorts to disidentification with the Catholic religion and the mechanisms of capitalization of the body. This allows me to situate these three authors in the Western, and especially Mexican, cynical tradition, as this dissertation also recognizes the historical presence of critical cynicism in Mexico’s cultural production and in the construction of its national identities. / El presente proyecto de investigación explora el universo narrativo de tres autores mexicanos: Armando Ramírez, Guillermo Fadanelli y Rocío Boliver. Aparentemente disímiles entre sí, sus respectivas obras comparten un carácter que aquí proponemos identificar como cínico. El cinismo, como enfoque teórico, abre las posibilidades interpretativas de manifestaciones artísticas, culturales y políticas en las que se observa una fricción con los sistemas de valores dominantes. A través de distintos lenguajes (novela, cuento, ensayo y performance), el universo discursivo de estos tres autores expresa un malestar con el mundo, reflexiona sobre los conflictos existenciales del sujeto social mexicano y se apropia de la escritura, del cuerpo y de la sexualidad como material de denuncia. Con ello, exhibe los dispositivos políticos con los que son configuradas las categorías sociales, así como los cánones y normas que regulan los códigos éticos y estéticos del entorno cultural. Al mismo tiempo, el cuerpo y la sexualidad emergen en estas producciones como una irrupción y desplazamiento de los discursos al llevar a los extremos de la abyección el ejercicio pleno del lenguaje corporal y escrito. En el caso de Armando Ramírez, el carácter cínico se construye a partir de la violencia del lenguaje y del ataque sexual para denunciar, desde la voz del sector dominado, el histórico conflicto de clases sociales. En Guillermo Fadanelli el cinismo se expresa a partir de la destrucción de los grandes relatos que le dan un sentido lineal a la existencia. Este autor profana la escritura, los géneros literarios, la familia, la figura materna y los tabúes sexuales. Por su parte, la obra de Rocío Boliver se torna cínica cuando cuestiona la ausencia de una representación positiva de la sexualidad y de la vejez femenina, y recurre a la desidentificación con la religión católica y con los mecanismos de capitalización del cuerpo. Lo anteriormente dicho nos permite ubicar a estos tres autores en una tradición cínica no sólo occidental sino particularmente mexicana, ya que este ensayo también reconoce históricamente la presencia del cinismo crítico en la producción cultural del país y en la construcción de las identidades nacionales.
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Dramaturgie et morale dans les comédies de Ménandre et de Plaute. La question de l'axiologie / Dramaturgy and Morals in Menander’s and Plautus’ comedies. The question of axiology

Lhostis, Nathalie 29 November 2013 (has links)
Notre étude intitulée « dramaturgie et morale », porte sur la mise en scène des valeurs morales dans les comédies de Ménandre et de Plaute. Notre approche consiste à repérer quelles sont les valeurs mobilisées, à étudier la manière dont elles sont exprimées et articulées entre elles. Il s’agit d’analyser leur traitement et la place qui leur est conférée : sont-elles soumises à réflexion, confirmées, mises à l’épreuve ? Ainsi l’enjeu n’est pas tant de chercher la « morale » des pièces ou le message moral qu’elles délivreraient, mais de décrire l’architectonique des valeurs dans les comédies. Nous nous sommes intéressée plus particulièrement à l’axiologie, c’est-à-dire à la forme que prend l’évaluation morale dans les comédies de Ménandre et de Plaute. Quels sont les critères qui déterminent cette évaluation ? Quel est l’enjeu de cette évaluation ? La valeur, telle qu’elle apparaît dans les comédies de Ménandre et de Plaute, est essentiellement de trois types : matérielle, symbolique et éthique. La question est de comprendre comment elles sont pensées et articulées les unes aux autres dans chacun des deux corpus. Cette perspective rejoint la question du rapport entre l’intérêt particulier et l’intérêt d’autrui, centrale dans les philosophies antiques qui posent la question de savoir dans quelle mesure il est nécessaire pour l’agent éthique de prendre en compte l’intérêt d’autrui pour atteindre son propre bonheur.Une première partie est consacrée aux notions de valeurs et d’échange, autour de deux types d’échange : l’échange marchand et l’échange social, le premier mettant en œuvre une morale de type utilitariste et le second faisant appel à des vertus coopératives. Une seconde partie étudie la notion d’infraction. Il s’agit d’examiner les modalités d’évaluation d’une action singulière. Dans une troisième partie, nous étudions la comédie comme expérimentation éthique. / This study, entitled “dramaturgy and morals”, looks at the dramatization of moral values in the comedies of Menander and Plautus. I employ an approach that identifies which values are evoked and looks at how they are conveyed and structured in relation to one another. The aim is to analyse how they are treated and the place that is accorded to them. Are they subjected to reflection, affirmed, or critiqued? Thus what is at stake is less about finding the “morals” in the plays or their supposed moral message, but rather delineating the architectonics of values in these comedies. This study will focus more specifically on axiology, that is to say the form that moral evaluation takes in the comedies of Menander and Plautus. According to which criteria is this evaluation carried out? What is at stake in this evaluation?The concept of value, as it appears in the comedies of Menander and Plautus, entails essentially three domains: the material, the symbolic, and the ethical. The issue at hand is understanding how they are conceived of and related to one another in the comedies of Menander and Plautus. Such a perspective intersects with the question of the relationship between personal interest and the interests of others, a key concern in Ancient philosophy which seeks to discover to what extent an ethical agent is obliged to take into consideration others in order to achieve happiness. The first section is concerned with the concepts of moral values and trade. It looks at two types of trade: commercial trade, which outlines the primacy of utilitarian morals, and communal trade, which is based on co-operative values. The second section deals with the idea of contravention. It examines the procedures used to judge a particular action. The third section looks at comedy as ethical experimentation.

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