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Aprovechamiento y gestión de recursos malacológicos marinos en la fachada mediterránea de la Península Ibérica durante la Prehistoria recienteLuján Navas, Alicia 21 July 2016 (has links)
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La construcción con tierra en la Prehistoria reciente del Levante meridional de la península ibérica: materiales, técnicas y procesos constructivosPastor Quiles, María 20 September 2019 (has links)
Esta investigación aborda el uso constructivo de la tierra, en combinación con otros materiales, a lo largo de la Prehistoria reciente en el marco sur del Levante de la península ibérica. Se enfoca fundamentalmente al estudio de los aspectos productivos de la arquitectura prehistórica, a partir del estudio de una amplia muestra material procedente de diversos contextos y cronologías. Desde una metodología que combina varias aproximaciones, se basa en un análisis macrovisual para llevar a cabo la observación, caracterización y documentación de las evidencias. Junto a este estudio macroscópico se ha recurrido a la comparación etnoarqueológica y experimental. Además, estos estudios se han completado con un programa de análisis de tipo microscópico a una serie de muestras, seleccionadas entre los elementos estudiados. En esta investigación se refleja que el uso constructivo de la tierra es abundante y constante en la conformación de los asentamientos durante el marco cronológico que se aborda, desde el Neolítico hasta los inicios de la Edad del Hierro, en la península ibérica y en concreto en el área meridional del Levante. En este sentido, se registra el uso de diversos materiales y técnicas constructivas, identificándose el uso de algunos de ellos desconocidos hasta el momento en el marco de estudio. También ha podido apreciarse lo extendido del uso de la tierra en el acondicionamiento de los espacios de hábitat y de trabajo, ya que en todos los conjuntos estudiados se han identificado restos de instalaciones de barro, que servirían para equipar estos espacios, externos e internos y para el desarrollo de distintas actividades, así como en la fabricación de elementos muebles. En estas páginas se evidencia que el estudio de los restos arqueológicos de la construcción con tierra en la Prehistoria es un terreno lleno de dudas y que, no obstante, permite plantear un buen número de cuestiones mediante la obtención de información básica que de otro modo se perdería, además de poder proporcionar hallazgos importantes e inesperados, en un campo en el que queda todavía mucho por conocer.
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El Megalitismo en el sur de la Península Ibérica : arquitectura, construcción y usos de los monumentos del área de Huelva, Andalucía occidental / Le mégalithisme dans le sud de la Péninsule Ibérique : architecture, construction et usages des monuments de la région de Huelva, Andalousie Occidentale / Megalithism in the south of the Iberian Peninsula : architecture, construction and uses of monuments in the area of Huelva, Western AndalusiaLinares Catela, José Antonio 18 December 2017 (has links)
La région de Huelva se démarque par la grande variabilité architecturale et par la singularité des monuments mégalithiques. L’étude de la région permet d'établir une séquence architecturale et une temporalité du Néolithique Récent jusqu’à l'Ancien Âge de Bronze. Pour cela, la recherche se concentre sur l'étude de trois domaines de monuments: l'architecture, la construction et les usages (funéraires, rituels et territoriaux). L'identification et la caractérisation des projets architecturaux des sites analysés (Los Llanetes et El Seminario) a été réalisée à travers une méthodologie orientée vers la connaissance des chantiers de construction, des architectures et des diachronies. La séquence architecturale de l'Andalousie occidentale comprend une temporalité du début du IVème au début du IIème millénaire av. n.è. Au cours de cette chronologie, plusieurs modèles de monuments et de rituels funéraires ont été érigés avec une variété de techniques constructives, représentant l'existence de styles régionaux ou de spécialisations locales selon les différents groupes sociaux. A titre de synthèse, la séquence régionale met en évidence le processus suivant : La construction des premiers dolmens au début du IVème millénaire cal. av. n.è, en témoignent les monuments à chambre ovale-allongée de Los Llanetes, bâtis le c. 3950-3750 cal av. n.è. Dans le sud de la péninsule, c. 3800 cal av. n., fait irruption le collectivisme funéraire comme un rituel de la mort, en développant des sépultures en dolmens à chambres simples, des tombes proto-mégalithiques, des caves-nécropoles ou des grottes sépulcrales ; La formation des dolmens à chambre-allongée, c. 3750-3650 cal av. n.è, de deux manières: a) des modèles ex novo; b) par des réaménagements et des transformations de monuments anciens, cas de Los Llanetes. La réitération de projets architecturaux similaires conditionnerait le développement de monuments allongés, comme l'a confirmé le dolmen 4 d'El Pozuelo, c. 3650-3200 cal av. n.è. Des caractéristiques et des formules architecturales similaires pourraient être présentées dans les «allées couvertes» d'Andalousie, construites pendant les siècles centraux et la seconde moitié du IVème millénaire av. n.è. ; Les dolmens à chambres doubles de Los Llanetes ont été construits sur les monuments précédents, c. 3650-3200 cal av. n.è, parallèle aux dolmens à couloir et aux structures allongées des autres zones. Les monuments à chambres multiples (El Pozuelo, Mesa de Las Huecas, Los Gabrieles, etc.) ont dû présenter des processus de transformation équivalents, étant des modèles uniques, particuliers et exclusifs de la région de Huelva et des zones environnantes ; Dans les différents monuments dolmeniques, des projets de monumentalisation ont été réalisés et des structures ont été aménagées dans les atriums et les espaces extérieurs selon les nouveaux usages rituels de l’Âge du Cuivre, c. 3300-2600 cal av. n.è, en plus de l'intégration d'autres constructions funéraires (tholoi) dans les monuments tumulaires, c. 2600-2250 cal av. n.è, cas du dolmen 2 de Los Llanetes ; La mise en place et la consolidation de trois modèles de monuments funéraires à l'Âge du Cuivre: les hypogées, les hypogées mixtes et les tholoi, comme en montré la séquence diachronique des sépultures collectives d'El Seminario, c. 3000-2400 cal av. n.è. Ces tombes partagent des éléments spatiaux et des gestes funéraires communs ; L'existence d'autres formes de monumentalité de l'Âge du Bronze Ancien, c. 2250-1950 cal av. n.è, à la suite de la réappropriation des espaces ancestraux: 1) les enceintes de terrasses du groupe de Los Llanetes; 2) le monumentalisme funéraire du Séminaire, intégrant des tombes individuelles (caves souterraines, fosses et structures à couverture tumulaire) et des tombes collectives (fosses) dans les sépultures chalcolithiques ; Réutilisation dans diverses phases de l'Âge du Bronze et dans plusieurs périodes historiques. / The area of Huelva stands out for the architectural variability and singularity of the megalithic monuments. The study of this area allows us to propose an architectural sequence and a temporality from the Neolithic to the Early Bronze Age in western Andalusia, contrasting with the southern models of the Iberian Peninsula and contextualizing the dynamics of western European megalithism. To do this, the research focuses on the study of three spheres of monuments: architecture, construction and uses (funerary, ritual and territorial). The identification and characterization of the architectural projects of the analyzed sites (Los Llanetes and El Seminario) has been carried out through a methodology oriented to the knowledge of construction works, architectures and diachronies. The architectural sequence of western Andalusia encompasses a temporality from the beginning of the 4th millennium to the beginning of the 2nd millennium BC. During this chronology several models of funerary monuments and rituals erected with a variety of constructive techniques, representing the existence of regional styles or local specializations according to the different social groups. By way of synthesis, the regional sequence evidences the following process : The construction of the first dolmens at the beginning of the 4th millennium cal BC, as evidenced by the oval-elongated chamber monuments of Los Llanetes, built c. 3950-3750 cal BC. In the south of the peninsula c. 3800 cal BC burst the funerary collectivism as a ritual of death, developing burials in simple chamber dolmens, proto-megalithic tombs, necropolis-caves or sepulchral caves ; The formation of the elongated-chamber dolmens, c. 3750-3650 cal BC, through two ways: a) ex novo models; b) by processes of transformation of old monuments, case of Los Llanetes. The reiteration of similar architectural projects would condition the development of elongated monuments, as has been confirmed in the dolmen 4 of El Pozuelo, c. 3650-3200 cal BC. Characteristics and similar architectural formulas could be presented in the "covered gallery graves" of Andalusia, built during the central centuries and the second half of the 4th millennium BC ; The dual chamber dolmens of Los Llanetes were built on the previous monuments, c. 3650-3200 cal BC, parallel to the passage grave and elongated structures of other areas. The monuments of multiple chambers (El Pozuelo, Mesa de Las Huecas, Los Gabrieles, etc.) had to present equivalent transformation processes, being unique, particular and exclusive models of the area of Huelva and surrounding areas ; In the various orthostatic monuments were carry out the monumentalization projects and structures arranged in the atriums and external spaces according to the new ritual uses of the Copper Age, c. 3300-2600 cal BC, in addition to the integration of other funerary constructions (tholoi) in the tumular monuments, c. 2600-2250 cal BC, case of the dolmen 2 of Los Llanetes ; The implantation and consolidation of three models of funerary monuments in the Copper Age: hypogeums, mixed hypogeums and tholoi, as witnessed by the diachronic sequence of the collective graves of El Seminario, c. 3000-2400 cal BC. These tombs share common space elements and funerary practices ; The existence of other forms of monumentality of the Ancient Bronze Age, c. 2250-1950 cal BC, as a consequence of the reappropriation of the ancestral spaces: 1) the terrace enclosures of the Llanetes group; 2) the funerary monumentalism of El Seminario, integrating individual tombs (subterranean caves, pits and structures with tumular coverings) and collective graves (pits) in the chalcolithic tombs ; Reuse in various phases of the Bronze Age and in several historical periods.
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Monde funéraire de l'âge du Bronze ancien et moyen de la façade nord de l'Espagne jusqu'au sud-ouest de la France : identités et espaces / Funerary world at the early and middle Bronze Age of the north front of Spain up to the southwest of France : identities and spaces / Mundo funerario de la Edad del Bronce antiguo y medio de la fachada norte de España hasta el suroeste de Francia : identidades y espaciosNonat, Laure 15 December 2017 (has links)
Ce travail de doctorat vise à valoriser la pertinence du concept du - complexe culturel atlantique -, pour les périodes du Bronze ancien et du Bronze moyen, à partir de l'analyse des manifestations funéraires documentées de la façade nord de l'Espagne jusqu'au sud-ouest de la France. Nous avons, effectivement, choisi pour cette réflexion, d'étudier les régions les moins visibles de la documentation du domaine atlantique afin, d'une part, de les valoriser individuellement, et d'autre part, de comprendre les relations qu'elles ont entretenues entre elles, mais aussi avec celles du domaine continental Ibérique. Sur cet espace méridional atlantique, les données ont été considérablement renouvelées ces trente dernières années, grâce au développement de l'activité archéologique préventive, et permettent ainsi de contextualiser celles issues des anciennes explorations. Notre objectif consiste à caractériser les solutions funéraires ainsi que les mobiliers qui ont été adoptés sur cet espace afin de définir et de délimiter les groupes culturels en présence. Pour cela, nous avons mis en place une double échelle d'analyse : - une micro-échelle centrée sur la Galice et le bassin de l'Adour, et - une macro-échelle, sur les régions centres et orientales de la façade atlantique Ibérique. La première échelle nous permet d'analyser la documentation de façon exhaustive, en intégrant des données inédites, tandis qu'avec la seconde, globale et synthétique, nous dressons un panorama général et critique sur celle des régions cantabriques et du Pays Basque espagnol. La conjugaison de ces deux approches nous permet d'effectuer des comparaisons variées sur la documentation de ces espaces et d'identifier de nombreuses convergences, en particulier à partir d'aspects de la culture matérielle qui n'avaient pas été abordés lorsque le concept du Bronze Atlantique a été bâti. Elles concernent, notamment, des mobiliers céramiques, mais aussi la réponse unanime de ces régions atlantiques face aux cultures de la Meseta : celle de l'immobilisme. Ces éléments ainsi que les changements funéraires qui se sont opérés entre le Bronze ancien et le Bronze moyen nous permettent de caractériser ce qu'il convient de considérer comme des dynamiques atlantiques communes. Enfin, notre base documentaire, constituée de plus de 260 sites, nous amène, également, à aborder la question des facteurs qui ont été à l'origine de la constitution des groupes culturels, multiples, de cet espace, en valorisant la place des influences extérieures, des substrats locaux ainsi que des obstacles topographiques dominants du paysage. / This doctoral work to highlight the relevance of the - atlantic cultural complex - concept, spanning the ancient and middle Bronze age, based on the analysis of funeral manifestations documented throughout Northern Spain and South-Western France. The choice to study regions which remain less visible with respect to the available documentation on the atlantic domain, as a point of reference for this research, was done in order to acknowledge their individual value and to understand the relationships between these regions and with those of the continental iberian domain. Data for the meridional atlantic zone has considerably expanded over the past thirty years, thanks to the development of preventive archaeological activities, thus enabling the contextualisation of data from past explorations. The main objective of this research is to characterise the funeral finalities and furniture used by people in this area, in order to define and delimit different cultural groups. In order to do this we used a double-scale for analysis : a micro-scale centered on Galicia and the Adour basin, and a macro-scale encompassing the central and east-central front of atlantic Iberia. The first scale allowed us to analyse the data in a very exhaustive manner, integrating brand-new data, whereas with the second scale, which is much more global and synthetic, we established a general and critical panorama of the data for the cantabrian and Basque regions of Spain. The combination of these two approaches allows us to establish a variety of comparisons on the documentation about these areas, and to identify many convergences, especially with regards to material culture that had not been addressed when constructing the Atlantic Bronze concept. This includes pottery items, as well as a certain immobilism on behalf of the atlantic regions in response to the Meseta cultures. These elements, along with funeral changes that occurred between the ancient and middle Bronze age allow us to characterise what can be considered as the common atlantic dynamics. Lastly, our database of over 260 sites, raises the question of what factors might have caused the composition of the various different cultural groups in the area, emphasizing the role played by exterior influences, local substrates and topographical obstacles. / Ese trabajo de doctorado pretende valorar la pertinencia del concepto del - complejo cultural atlántico -, para los periodos del Bronce antiguo y medio, mediante el análisis de las manifestaciones funerarias documentadas de la fachada norte de España hasta el suroeste de Francia. Hemos elegido para esta reflexión el estudio de las regiones menos visibles de la documentación del ámbito atlántico con el fin, por una parte, de valorar cada una de ellas individualmente, y por otra, de comprender los tipos de relaciones que mantenían entre ellas, pero también, con las del ámbito continental Ibérico. Sobre ese espacio meridional atlántico, los datos se incrementaron de forma significativa estos últimos treinta años, gracias al desarrollo de la actividad arqueológica preventiva, y permiten, por lo tanto, contextualizar las que provienen de las antiguas exploraciones. Nuestro objetivo consiste en caracterizar las soluciones funerarias así como los mobiliarios que han sido adoptados, para definir y delimitar los grupos culturales presentes en ese espacio. Para eso, hemos procesado a una doble escala de análisis: - una micro-escala centrada sobre Galicia y la cuenca del Adour, y una macro-escala, sobre las regiones centrales y orientales de la fachada atlántica Ibérica. La primera escala nos permite analizar la documentación de forma exhaustiva, integrando datos inéditos a nuestro discurso, mientras que, con la segunda, global y sintética, establecemos un panorama general y crítico de Asturias, Cantabria y del País Vasco. La combinación de estos dos tipos de enfoques nos permite efectuar unas variadas comparaciones sobre la documentación de esos espacios e identificar numerosas convergencias, en particular en relación con aspectos de la cultura material que no habían sido tratados cuando el concepto del Bronce Atlántico nació. Estas implican, especialmente, los recipientes cerámicos, pero también la respuesta unánime de las regiones atlánticas hacia las culturas de la Meseta: la del inmovilismo. Esos elementos, así como los cambios funerarios que se operan entre el Bronce antiguo y el Bronce medio, nos permite caracterizar lo que conviene considerar como una dinámica atlántica común. Por fin, nuestra base documental, constituida por más de 260 yacimientos, nos lleva a abordar la cuestión de los factores que han estado en el origen de la constitución de los grupos culturales, múltiples, de este espacio, valorizando el papel de las influencias exteriores, de los substratos locales, así como de los obstáculos topográficos dominantes del paisaje.
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