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Prévision de la prime de marché canadienne et américaine

Lemay-Crilly, Maxime January 2016 (has links)
Dans le cadre de cette étude, il est question de prédire les primes de risque de marché pour les États-Unis et le Canada sur un horizon d’un mois en se basant sur les données économiques des 20 dernières années. En se basant sur les modèles élaborés précédemment dans la littérature, ce mémoire a pour but d’effectuer des prévisions plus précises que celles générées précédemment. Ainsi, on observe que l’ensemble des modèles retenus, tant univariés, multivariés ou par agrégation sectorielle obtiennent un pouvoir explicatif supérieur au modèle naïf, et ce tant pour le marché américain que le marché canadien. Pour le marché américain, le modèle multivarié Stepwise Backward obtient la meilleure performance du groupe étudié avec un R[indice supérieur 2] de 0.10714 dans un contexte In-Sample et un R[indice supérieur 2] de 0.22284 dans un contexte Out-Of-Sample selon le test de McCracken (2007). Ce modèle permet donc d’expliquer 22.28% de la variation mensuelle de la prime de risque américaine dans le contexte de l’échantillon observé dans cette étude. Le modèle en question est composé des variables économiques représentant les variations mensuelles au niveau de l’inflation, de la masse monétaire M2, ainsi que du dernier taux journalier du mois observé pour les obligations gouvernementales ayant une échéance de deux ans, cinq ans et dix ans. Pour le marché canadien, le modèle multivarié Stepwise Forward obtient la meilleure performance du groupe étudié dans un contexte In-Sample avec un R[indice supérieur 2] de 0.07760 selon le test de McCracken (2007). Cependant, dans un contexte Out-Of-Sample, le modèle de prévision par agrégation sectorielle élaboré à la section 4.4 obtient de loin la meilleure performance avec un R[indice supérieur 2] de 0.17773 selon le test de McCracken (2007), permettant donc d’expliquer 17.77% de la variation mensuelle de la prime de risque canadienne. La performance accrue des modèles de prévision dans un contexte Out-Of-Sample semble provenir d’une meilleure performance notamment dans les premières années d’observation, (2001 à 2007) grâce à l’exclusion des grandes variations affectant les dernières années de la période d’observation (2008 à 2011).
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CAPM de consommation : évidence du marché canadien

Ndiaye, Ousseynou January 2009 (has links) (PDF)
Le marché financier américain et canadien présentent beaucoup de similitudes. La question qu'on se pose est que les incohérences détectées chez le premier vont-elles se généraliser partout. En effet une évaluation des données boursières américaines a montré que les primes de risque constatées sont trop excessives par rapport aux prévisions du modèle de CAPM de consommation. Ce modèle qui fait partie des plus parfaits dont disposent les économistes et financiers, va nous permettre de faire des prévisions de primes de risque avec les données canadiennes. Pour la période retenue, les résultats obtenus ont confirmé la tendance constatée dans les précédentes études. C'est à dire des primes de risques anormalement élevées. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : CAPM, CAPM de consommation, MEDAF, MEDAF de consommation, CCAPM, Énigme de la prime de risque, Prime de risque excédentaire.
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Les actions françaises depuis 1854 : analyses et découvertes

Le bris, David 01 February 2011 (has links) (PDF)
Le Bris a collecté environ 200 000 données sur les actions françaises entre 1854 et 1988 pour construire un indice de performances.Différents biais qui surestimaient la rentabilité dans les indices français existants sont identifiés. D'autres probables cas à l'étranger sont présentés.Sur le long terme, les actions offrent une meilleure rentabilité que les autres actifs mais sans prime particulière.Par rapport aux actions américaines, les françaises sous-performent y compris durant les périodes de paix.Le marché est très sensible aux changements de gouvernements et surperforme sous ceux de gauche.Une nouvelle méthode de détection des krachs est proposée. Elle identifie des krachs cohérents avec l'histoire.Les entreprises de services dominent la capitalisation boursière de manière quasi-continue depuis 1854.La rationalité des investissements en emprunts russes avant 1914 est démontrée grâce à une optimisation de portefeuille parmi les actifs français (action, obligation, rente) et huit emprunts d'Etats étrangers.Une nouvelle méthode de décomposition du bénéfice de diversification est proposée ; les investisseurs français étaient attirés par la faible corrélation plus que par les rentabilités étrangères supérieures avant 1914.Les actions françaises et américaines présentent une hausse de corrélation sur le long terme probablement suivant l'intégration des économies. Ainsi, l'incitation à diversifier internationalement a baissé.Le risque de marché enregistre une forte hausse durant l'entre-deux-guerres et le niveau pré-1914 n'est jamais retrouvé. Il semble lié à la fin du Gold Standard, à l'inflation et aux déficits publics.Conséquence de la hausse de ce risque commun, la corrélation entre actions françaises augmente, réduisant l'effet de diversification domestique ; a l'opposé un " super effet portefeuille " est identifiée avant 1914.
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Prévision de la prime de risque au Canada

Girard, Philippe January 2017 (has links)
Ce mémoire a pour objectif de bonifier les connaissances quant à la prévision de la prime de risque du marché des actions au Canada. La méthodologie présentée s’appuie sur l’hypothèse que les variables, permettant de prévoir la prime de risque, caractérisent la conjoncture économique et sont définies comme des variables d’état dans le modèle de Merton (1973). Les deux modèles de prévision utilisés peuvent être différenciés par leur caractère univarié et multivarié. Le second modèle fait usage de l’analyse en composantes principales afin de créer des facteurs capturant la majeure partie de la covariance des groupes de variables. On identifie trois groupes de variables spécifiques; ces groupes se distinguent par leur caractère macroéconomique, technique ou leur lien avec le sentiment du marché. Une innovation est présentée dans la création de cinq séries de données mensuelles afin de refléter le sentiment du marché des actions canadiennes. Une approche globale est employée dans le but de prévoir la prime de risque mensuelle du S&P/TSX, puis une approche segmentée répète le même processus pour dix secteurs d’activités. Pour chacune de ces deux approches, une série de tests hors échantillon, « out of sample » en anglais est étudiée. Le pouvoir de prévision de la prime de risque des groupes de variables est alors testé en contexte de récession et de période d’expansion. Finalement, le gain d’utilité des modèles est calculé à l’aide d’une simulation de l’allocation d’un portefeuille en fonction des prévisions préétablies. De façon globale, bien que plus d’indicateurs techniques soient statistiquement significatifs, les variables macroéconomiques semblent mieux performer dans la prévision de la prime de risque du Canada sur la période observée. Le ratio dividende-prix, le ratio de distribution des bénéfices et une prime de crédit semblent dominer les autres variables. L’utilisation d’indicateurs techniques est particulièrement intéressante lors de la prévision sectorielle, le momentum sur douze mois se distinguant de façon notable.
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L'efficience des dépenses publiques et son impact sur les taux d'intérêt et la cote de crédit dans les pays de l'OCDE.

Fontaine, Joanie January 2014 (has links)
Dans le cadre de la crise de la dette publique débutant en 2010, plusieurs pays ont dû revoir la gestion de leurs dépenses publiques. En ce sens, nous cherchons à déterminer si certains gouvernements pourraient améliorer la situation économique et sociale de leur pays avec une même quantité de dépenses publiques. Plus précisément, l’objectif de ce mémoire est de déterminer l’efficience des dépenses publiques des pays de l’OCDE entre 1991 et 2010 et de déterminer l’impact de cette efficience sur les taux d’intérêt à travers la prime de risque. En fait, nous cherchons à savoir si la confiance des investisseurs envers les obligations gouvernementales est influencée par l’inefficience dans l’utilisation des dépenses publiques. Cette recherche apporte une vision différente de l’efficience en ce sens qu’elle en évalue les conséquences sur les taux d’intérêt et la confiance des investisseurs. En premier lieu, l’efficience est calculée à l’aide de la méthode d’analyse par enveloppement des données (DEA) bootstrap. Afin de déterminer si les pays sont efficients en termes de bien-être quatre outputs différents sont testés: le taux de croissance du PIB, l’indice de développement humain (IDH), l’indicateur vivre mieux et l’indicateur vivre mieux modifié. L’utilisation de l’indicateur vivre mieux est également un apport intéressant à la recherche puisque cet indicateur permet de mesurer l’efficience des gouvernements en ce qui a trait au bien-être des citoyens. À l’aide des mesures d’efficience, nous concluons que le taux de croissance du PIB est inadéquat comme mesure de bien-être. Pour les trois autres indicateurs, l’inefficience moyenne est respectivement de 8 %, 22 %, et 31 %. En second lieu, nous nous attardons aux conséquences de l’inefficience sur les taux d’intérêt à travers la prime de risque. Après analyse, il est difficile d’obtenir une conclusion claire quant à l’impact de l’inefficience sur les taux d’intérêt. L’inefficience semble avoir un impact sur la cote de crédit et doit donc être considéré dans le risque évalué. Notre conclusion comporte cependant quelques bémols.
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Trois essais sur la volatilité boursière et ses variations asymétriques

Ben Bader, Mohamed 03 1900 (has links) (PDF)
La volatilité boursière joue un rôle central en finance. Elle intervient dans une multitude de décisions telles que le choix de portefeuille et sa diversification, la gestion du risque financier et l'évaluation des contrats financiers dérivés. Connue comme étant l'une des principales mesures de risque, la volatilité a suscité l'intérêt des chercheurs qui visent, notamment, à l'estimer et expliquer son évolution. Plusieurs résultats révèlent que la volatilité se caractérise, entre autres, par ses variations asymétriques (Avramov, Chordia et Goyal, 2006; Mele, 2007; Shamila, Shambora et Rossiter , 2009; etc.). Cette asymétrie veut que pour la même variation absolue du rendement, la hausse de la volatilité due à la variation négative dépasse sa baisse résultant de la variation positive. La contribution de cette thèse, composée de trois essais, consiste à proposer un modèle permettant de refléter au mieux les variations asymétriques de la volatilité et caractériser la prime de risque qui s'y rattache. Dans le premier essai, nous couvrons, en général, les principaux écrits majeurs, notamment récents, sur la volatilité boursière. En particulier, nous vulgarisons d'abord le concept de la volatilité comme mesure de risque où nous distinguons, d'une part, entre risque et incertitude et d'autre part entre risque existant et risque perçu. Puis, nous présentons les résultats marquants sur ses composantes (systématique et spécifique) en contexte des modèles classiques (de marché, CAPM). Ensuite, nous discutons de l'effet du marché d'options sur la volatilité boursière. Notre intérêt à cet effet se justifie par la croissance grandissante du volume des transactions sur les marchés des options depuis la création en 1973 du marché standardisé des options à Chicago (CBOE). Finalement, nous synthétisons les acquis en matière d'estimation de volatilité et faisons un tour critique des principales classes de modèles servant à en décrire l'évolution où des modèles représentatifs de chaque classe sont caractérisés tant dans leurs hypothèses et leurs dynamiques que dans leur performance au niveau des tests subis. Dans le deuxième essai, nous proposons un modèle à volatilité stochastique où l'asymétrie de la volatilité résulte de deux effets : l'effet de levier financier et l'effet rétroactif (ou effet feedback). Notre modèle suppose que, pour une firme donnée, la volatilité de son rendement boursier dépend et de la variabilité de sa valeur marchande (reflet de son risque d'exploitation) et de son levier financier (reflet de son risque financier). Nous recourons au filtrage particulaire, technique attribuée à Gordon, Salmond et Smith (1993), pour tester notre modèle en considérant son caractère non linéaire. Notre étude empirique est menée avec un échantillon de 332 firmes américaines non financières à données journalières. Elle porte sur la période qui s'étend du 2 janvier 1996 au 31 décembre 2008. Les résultats montrent que l'inclusion de la variation du levier financier dans le processus de la volatilité permet d'améliorer la performance de prédiction du modèle. Ils révèlent également que l'asymétrie de la volatilité résulte, notamment, de l'effet rétroactif en périodes d'instabilité. Par contre, son ampleur dépend du niveau du levier financier en périodes de stabilité. Dans le troisième essai, nous caractérisons la prime de risque de la volatilité asymétrique ainsi que les facteurs qui expliquent ses variations. En utilisant les prix d'options (d'achat et de vente) sur l'indice américain S&P 100, pour la période qui s'étend du 3 janvier 2006 au 18 décembre 2010, nous trouvons que cette prime est, en moyenne, négative. Cela transparaît d'ailleurs doublement, et dans l'écart significatif entre la volatilité implicite dans les prix d'options et la volatilité instantanée du S&P 100, et dans le rendement moyen négatif des portefeuilles de réplication jugés sûrs à risque près, celui de la volatilité. De plus, la prime de risque de la volatilité asymétrique s'avère changeante et dépend du niveau de la volatilité et de l'échéance des options vu que la sous-performance des portefeuilles de réplication augmente en périodes de volatilité accrue, surtout pour les portefeuilles formés avec des options à longue échéance. Également, les résultats dévoilent une asymétrie dans la variation de cette prime voulant qu'en valeur absolue sa hausse due à une volatilité élevée dépasse généralement sa baisse résultant d'une relative stabilité du marché. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : risque, volatilité boursière, variation asymétrique, effet de levier financier, effet rétroactif, filtrage particulaire, prime de risque de la volatilité.
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L'efficience des dépenses publiques et son impact sur les taux d'intérêt et la cote de crédit dans les pays de l'OCDE.

Fontaine, Joanie January 2014 (has links)
Dans le cadre de la crise de la dette publique débutant en 2010, plusieurs pays ont dû revoir la gestion de leurs dépenses publiques. En ce sens, nous cherchons à déterminer si certains gouvernements pourraient améliorer la situation économique et sociale de leur pays avec une même quantité de dépenses publiques. Plus précisément, l’objectif de ce mémoire est de déterminer l’efficience des dépenses publiques des pays de l’OCDE entre 1991 et 2010 et de déterminer l’impact de cette efficience sur les taux d’intérêt à travers la prime de risque. En fait, nous cherchons à savoir si la confiance des investisseurs envers les obligations gouvernementales est influencée par l’inefficience dans l’utilisation des dépenses publiques. Cette recherche apporte une vision différente de l’efficience en ce sens qu’elle en évalue les conséquences sur les taux d’intérêt et la confiance des investisseurs. En premier lieu, l’efficience est calculée à l’aide de la méthode d’analyse par enveloppement des données (DEA) bootstrap. Afin de déterminer si les pays sont efficients en termes de bien-être quatre outputs différents sont testés: le taux de croissance du PIB, l’indice de développement humain (IDH), l’indicateur vivre mieux et l’indicateur vivre mieux modifié. L’utilisation de l’indicateur vivre mieux est également un apport intéressant à la recherche puisque cet indicateur permet de mesurer l’efficience des gouvernements en ce qui a trait au bien-être des citoyens. À l’aide des mesures d’efficience, nous concluons que le taux de croissance du PIB est inadéquat comme mesure de bien-être. Pour les trois autres indicateurs, l’inefficience moyenne est respectivement de 8 %, 22 %, et 31 %. En second lieu, nous nous attardons aux conséquences de l’inefficience sur les taux d’intérêt à travers la prime de risque. Après analyse, il est difficile d’obtenir une conclusion claire quant à l’impact de l’inefficience sur les taux d’intérêt. L’inefficience semble avoir un impact sur la cote de crédit et doit donc être considéré dans le risque évalué. Notre conclusion comporte cependant quelques bémols.
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La modélisation du risque en immobilier d'entreprise / The risk modelling in the office investment market

Vu Anh Tuan, Eric 15 April 2014 (has links)
L’immobilier est un actif récalcitrant, hétérogène et illiquide, ces incertitudes constituent l`appréhension du risque en immobilier d`entreprise. Nous suggérons que le risque peut être évaluer à travers une somme de mesure de risque : en premier lieu dans une approche globale de la volatilité, ce que peut nous proposer une analyse de portefeuille, puis dans une approche plus fine, que peut nous donner la prime de risque d`un marché bureau. Notre travail doctoral se propose d’adapter les outils hérités du monde financier à l’évaluation du risque dans les principaux marchés de bureau Européen. Notre thèse sera rédigée en anglais et la question de recherche s`articulera autour de trois grands axes que nous illustrons sous forme d’articles. / The real estate asset class is tangible, heterogeneous and illiquid. It gives a specific investment universe that needs to be understood by investors, because the uncertainties created by this universe compose the risk of real estate investment. We suggest modelling risks across a sum of risk unit appraisal, on one hand, in constructing portfolio analysis, and on the other hand, through the office market risk premium modelling. Our doctoral study proposes to adapt financial theorems to risk modelling in the main European office markets. Our thesis will be written in Englishand its body will be articulated around three axes whereby those will be illustrated under the form of article.
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Essais sur l'évaluation de la prime de risque : Cas de la crise financière des subprimes. / Trials evaluating the risk premium : the case of the subprime financial cisis

Ben Amor, Abderaouf 22 April 2016 (has links)
Cette thèse a pour vocation principale d’expliquer l’énigme de la prime de risque en évaluant l’impact de la crise financière récente des Subprimes aux Etats-Unis sur la prime de risque. Etant donné que le coefficient du risque systématique demeure le facteur majeur de la prime de risque, nous avons recouru à une version conditionnelle du MEDAF afin d’étudier l’impact de la crise sur le bêta conditionnelle en utilisant comme spécification économétrique le GARCH multivarié (BEKK) d’Engel et Kroner (1995). La crise des subprimes qui a débuté à la fin de l’année 2007 avec l’effondrement du marché immobilier américain, a d'abord eu des conséquences sur la sphère financière locale. Mais elle a pris de l'ampleur, diffusant aux autres grandes places financières. Depuis longtemps, l’aversion au risque n’avait pas été aussi élevée et la faillite de la banque d’affaires Lehman Brothers en mi-septembre, a constitué le point d’orgue de la crise. Dans ce travail, nous nous sommes basé sur le marché boursier français et nous avons essayé de détecter l’impact de la crise financière sur la prime de risque des indices sectoriels. Pour ce faire, nous avons essayé de montrer l’effet de la crise sur le risque systématique bêta des indices. D’abord, nous avons créé des bêtas journaliers par le modèle GARCH bivarié (BEKK) d’Engel et Kroner sur la période allant de 01 Janvier 2007 au 31 Décembre 2014. Ensuite, nous avons régressé le bêta en introduisant comme variables explicatives la variance conditionnelle de l’indice et la variance conditionnelle du marché. Des variables Dummy y sont introduites pour détecter l’effet de la crise sur le bêta à partir du 15 Septembre 2008.Nos résultats ont montré que la crise financière a provoqué une hausse de volatilité des indices sectoriels. Cette hausse a eu un impact direct sur le risque systématique bêta ( positif significatif). Celle-ci a augmenté pour la majorité des secteurs durant la période après crise. / This thesis aims primarily to explain the enigma of the risk premium by assessing the impact of the recent financial subprime crisis in the United States on the risk premium. Since the systematic risk factor remains the major factor in the risk premium, we used a conditional version of the CAPM to study the impact of the crisis on the conditional beta using econometric specification as the multivariate GARCH ( BEKK) Engel and Kroner (1995). The subprime crisis that started in late 2007 with the collapse of the US housing market, first had an impact on the local financial sector. But it gained momentum, spreading to other major financial centers. Long time, risk aversion was not as high and the bankruptcy of investment bank Lehman Brothers in mid-September, was the organ of the crisis developed. In this work, we based on the French stock market and we tried to detect the impact of the financial crisis on the risk premium sector indices. To do this, we tried to show the effect of the crisis on the systematic risk beta indices. First, we created daily by the beta bivariate GARCH (BEKK) Engel and Kroner on the period from January 1, 2007 to December 31, 2014. Then we dropped the beta introducing explanatory variables variance conditional index and the conditional variance of the
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Intertemporal utility models for asset pricing : reference levels and individual heterogeneity

Semenov, Andrei January 2003 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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