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La prévalence et la sévérité des problèmes de santé mentale chez des étudiantes et des étudiants universitaires canadiens francophones de premier cycle

Desroches, Isabel January 2017 (has links)
Ce mémoire vise à décrire les problèmes de santé mentale chez des étudiantes et des étudiants universitaires canadiens francophones de premier cycle. Puisqu’ils sont à l’âge où la majeure partie des problèmes de santé mentale se déclare, les étudiantes et les étudiants universitaires sont particulièrement à risque sur le plan de la santé mentale. Qu’il soit question d’abandon scolaire, d’employabilité moindre ou autres expériences de vie négatives, les conséquences des problèmes de santé mentale précoces sont indéniables. Or, plusieurs écrits font mention d’un manque au regard de l’évaluation des problèmes de santé mentale précoces, une évaluation sans laquelle il est difficile, voire impossible, d’intervenir adéquatement. Du fait de cette sous-évaluation, et d’un faible taux de consultation, il est délicat de se prononcer sur la prévalence et la nature réelle des problèmes de santé mentale chez les étudiantes et les étudiants universitaires, des informations qu’il importe de connaître pour être en mesure de mieux orienter les actions de prévention des problèmes de santé mentale. En ce sens, une étude au sujet de la prévalence et de la sévérité des problèmes de santé mentale chez des étudiantes et des étudiants universitaires appert justifiée et pertinente. Ce mémoire s’intéresse plus spécialement à la prévalence et à la sévérité des problèmes de santé mentale chez des étudiantes et des étudiants universitaires canadiens francophones, ainsi qu’à la comorbidité et aux différences entre les sexes sur le plan de la santé mentale. Les données proviennent d’une étude sur l’équivalence inter-formes de l’adaptation canadienne-française (Le Corff, Yergeau, Proulx-Bourque, Busque-Carrier, Roy-Charland, Lévesque, Tivendell et Forget, 2017) de l’ASR. Les personnes participantes (n = 305) sont des étudiantes et des étudiants bilingues de premier cycle en provenance de quatre universités canadiennes situées au Québec, en Ontario, au Manitoba et au Nouveau-Brunswick. Des analyses descriptives et bivariées ont été réalisées afin de répondre aux objectifs spécifiques de ce mémoire. Les résultats démontrent, entre autres, une prévalence élevée de l’anxiété au sein de la population étudiante étudiée. Les résultats mettent par ailleurs en évidence quelques différences entre les étudiantes et les étudiants. À ce propos, conformément à d’autres études menées dans le passé, il s’avère que les étudiantes sont plus sujettes aux problèmes intériorisés, alors que les étudiants sont plus sujets aux problèmes extériorisés. Finalement, bien que les résultats aient démontré la présence de comorbidité, les analyses n’ont mis en lumière aucun profil spécifique de comorbidité des problèmes de santé mentale. Ce mémoire présente plusieurs forces et se démarque d’autres études en raison notamment de la population étudiée, une population francophone, et l’instrument psychométrique utilisé. À cet égard, l’Adult Self-Report, une échelle d’évaluation des comportements, a permis d’évaluer plusieurs problèmes de santé mentale sous un angle non seulement catégoriel, mais aussi dimensionnel. En dépit de ses forces, l’échantillonnage constitue néanmoins une limite importante de ce mémoire et ses résultats ne peuvent être généralisés à l’ensemble de la population étudiante universitaire canadienne francophone de premier cycle. Pour cette raison, les résultats obtenus dans le cadre de ce mémoire donnent davantage un aperçu de la prévalence et de la sévérité des problèmes de santé mentale et d’autres études devront être menées dans le futur pour obtenir une description plus représentative de ces problèmes chez les étudiantes et les étudiants universitaires canadiens francophones de premier cycle.
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Étude de l’effet d’interaction entre l’âge, le sexe, et les problèmes anxieux ou les comportements perturbateurs associés à la dépression, chez les adolescents de 12 à 15 ans

Zavaglia, Elissa 08 1900 (has links)
Il y a peu de recherche sur la comorbidité concomitante entre les problèmes de santé mentale et la dépression, tels que perçus par les adolescents de 12-15 ans. L’objectif de cette étude est d’effectuer des analyses secondaires pour vérifier l’association entre quatre problèmes de santé mentale (phobies spécifiques (PS), anxiété généralisée (AG), opposition avec provocation (OP), problème des conduites (PC)) et la dépression ainsi que les interactions de ces associations avec l’âge (12-13 ans; 14-15 ans) et le sexe. Ces problèmes ont été évalués par le Dominique Interactif pour Adolescents (DIA), un questionnaire informatisé et auto-administré. L’analyse de la régression logistique a été réalisée séparément dans un échantillon clinique (n=141) et dans un échantillon scolaire (n=464) composés d’adolescents francophones. Les résultats indiquent un effet d’interaction significatif dans l’échantillon clinique suggérant que les filles ont trois fois plus de chance d’avoir une comorbidité entre les PS et la dépression comparativement aux garçons. Les modèles multivariés révèlent que pour les autres associations, la comorbidité ne varie pas significativement selon l’âge et le sexe. Cependant, dans les deux échantillons, une forte association entre AG, OP, ou PC et la dépression a été observé indépendamment de l’âge et du sexe, ce qui suggère l’importance de la comorbidité globale entre ces problèmes. L’utilisation du DIA pour évaluer la perception des adolescents concernant leurs problèmes de santé mentale représente une contribution originale de cette étude. Les résultats obtenus suggèrent que l’évaluation clinique de la comorbidité devrait inclure l’information provenant de l’adolescent. / There is a lack of research on concurrent comorbidity between mental health problems and depression in youth aged 12-15 years based on adolescent-reports. The objective of this study is to assess the presence of this type of comorbidity and its variation across age and sex subgroups. Secondary analyses were conducted to examine the associations between four mental health problems (specific phobia (SPh), generalized anxiety (GAD), oppositional (ODD) and conduct disorders (CD) and depression, as well as interaction effects with age-groups (12-13 years; 14-15 years) and sex. Mental health problems were measured by the Dominic Interactive for Adolescents (DIA), a highly structured computerized self-report measure. Multivariate logistic regression models were built separately in clinical (n=141) and school (n=464) samples of French-speaking adolescents. There was a significant interaction effect in the clinical sample suggesting that girls were 3 times more likely to present comorbidity between SPh and depression compared to boys. Multivariate models revealed that for other patterns of comorbidity, there was no significant variation of comorbidity across age or sex subgroups. In both samples, global comorbidity was found for GAD, CD, or ODD and depression. Findings highlighted an important comorbidity between anxiety or disruptive problems and depression regardless of age and sex. Measuring the perception of these problems by adolescents aged 12-15 years using the DIA represents an original contribution. It suggests that clinical evaluation of comorbidity should take into account adolescent-reports.
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«Tout perdre» : causes sociales des problèmes de santé mentale à travers le récit de vie de personnes en situation d’itinérance.

Lupien, Pierre-Luc 04 1900 (has links)
Alors que, dans les années soixante, l’étude des conditions sociales dans leurs conséquences sur la santé mentale semblait une voie d’avenir pour la recherche psychiatrique (Sicot, 2001), il semble que, dans le contexte actuel, elle soit redevenue « hors propos ». Dans ce contexte où la plupart reconnaissent l’hégémonie de l’approche biologique en psychiatrie, quelle place peut être réservée aux conditions sociales pour expliquer l’origine des problèmes de santé mentale? Plusieurs auteurs, issus de la psychiatrie et des sciences humaines, se sont attardés à cette question. De leur avis, certaines conditions sociales, comme celles vécues par les bonnes à tout faire, les assistés sociaux, les immigrants, seraient particulièrement propices au développement de problèmes de santé mentale. Il est proposé dans ce mémoire de se concentrer sur l’impact d’une condition sociale particulière, l’itinérance, sur la santé mentale des personnes qui la vivent. Au terme d’une recension des écrits, des auteurs comme Furtos (2007) ont conclu que l’itinérance, en tant que forme extrême d’exclusion sociale, est à même d’engendrer des problèmes de santé mentale. Toujours avec l’objectif de répondre à la question de l’impact des conditions sociales sur la santé mentale, ce mémoire s’intéresse au point de vue des premières concernées, c’est-à-dire celui des personnes en situation d’itinérance ayant des problèmes de santé mentale. Sur le plan méthodologique, il se fonde sur 10 récits de vie de participants au projet Chez soi, projet de recherche et démonstration sur la santé mentale et l’itinérance de Montréal. Ce mémoire met en lumière les facteurs explicatifs soulignés par les participants au fil de leurs récits de vie et les compare à ceux identifiés dans la littérature se situant dans le courant sociogénétique. / During the 1960s, the study of the impact of social conditions on mental health seemed to be a logical path for psychiatric research (Sicot, 2001), it seems that it has once again become ''irrelevant'' in the present context. In a context wherein most are acknowledging the biological approach in psychiatry, where is the role of social conditioning to explain the roots of mental health issues? Many authors from the field of social sciences and psychiatry have adressed that issue. From their perspective, specific social conditions, immigration, welfare recipients or housekeepers are particularly favorable to mental illness. The objective of this Dissertation is to focus on the impact of homelessness on the mental health of people living with that condition. Authors such as Furtos (2007) have acknowledged that homelessness - as an extreme form of social exclusion- can readily generate mental health disorders. Keeping with the objective of adressing the issue of the consequences of social conditioning on mental health, thie aim of this Dissertation is to present the views of homeless people living with mental health problems. The methodology used is based on the life histories of 10 participants in the At home initiative, a research and demonstration project in Montreal. The objective of the Dissertation is to identify explanatory factors brought by participants during the sharing of their life stories and to compare them with the available and current sociological data in the field of socio-genesis.
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«Tout perdre» : causes sociales des problèmes de santé mentale à travers le récit de vie de personnes en situation d’itinérance

Lupien, Pierre-Luc 04 1900 (has links)
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