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Coming and going, the effects of displacement in novels by Atwood, Poulin, Robin, UrquhartMoore, Monica Leigh-Anne January 1999 (has links) (PDF)
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La construction du moi et les rituels, autobiographie et récitsBureau, Ginette. January 1998 (has links) (PDF)
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Sophie, récit ; suivi de Essai de représentation de la vie psychique d'un personnage féminin de la décennie soixanteDésy-Giguère, Denyse January 2000 (has links) (PDF)
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La double personnalité de Simone de BeauvoirFlynn-Simard, Françoise 06 April 2024 (has links)
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L'abolition de la dualité sexuelle chez Jacques Poulin : condition ou obstacle au bonheur? étude de Volkswagen blues et de La tournée d'automneCharlot, Adeline 12 April 2018 (has links)
Notre mémoire a pour objectif de déterminer le rôle de la dualité sexuelle chez les personnages mis en scène par Jacques Poulin dans Volkswagen blues et La tournée d'automne. Les caractéristiques et les interactions entre hommes et femmes pouliniens, ainsi que leur évolution d'un roman à l'autre, constituent-elles un obstacle au bonheur à deux ou en sont-elles une condition sine qua non ? C'est sur cette question que se fondera notre mémoire, et nous verrons si le caractère ambivalent des personnages leur permet réellement d'être heureux ou si la négation des antagonismes sexuels ne représenterait pas au contraire un obstacle les empêchant d'accéder au bonheur. Notre analyse sera menée à la lumière d'une approche thématique enrichie de théories telles que le postmodernisme, qui permettra d'aborder la thématique de l'identité sexuelle, indispensable pour comprendre les différentes formes de la dualité sexuelle, dans Volkswagen blues et La tournée d'automne, et l'enjeu représenté par une telle ambivalence dans la course au bonheur.
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Processus de guérison par les actions rituelles et l'image archétypique : témoignages d'un parcours avec Ryszard Nieoczym (LeTHAL)Caron, Annie 23 November 2018 (has links)
Ce projet de création-recherche s’inscrit dans une démarche parathéâtrale menée de 2006 à 2012 à travers les ateliers du théâtre de recherche et performance LeTHAL (Le Theatre de l’Homme Actor’s Laboratorium). Le présent mémoire a pour objectif d’approfondir le questionnement sur le potentiel de guérison du théâtre, plus spécifiquement celui de l’image archétypique et des actions rituelles. Il s’agit d’une description des éléments (les universels du mythe, du théâtre et du rituel) qui ont eu le plus grand potentiel de guérison dans mon processus de recherche d’équilibre. Ce mémoire s’articule autour des témoignages que constituent le projet de création Auto-autopsie et certains extraits de mon journal d’expériences avec le maître de théâtre Ryszard Nieoczym. / This creation-research project is a paratheatrical research process experienced through workshops with LeTHAL Theatre (Le Theatre de l’Homme Actor’s Laboratorium) between 2006 and 2012. This Master’s thesis aims at deepening the questioning about the healing potential of theatre, more specifically archetypal images and ritual actions. The following document describes the elements (the universals of myth, theatre and ritual) that have had the greatest healing potential in my process of looking for a state of balance. This thesis includes testimonials : the creation project Auto-autopsie, and selected excerpts from my journal of experiences with the theatre master Ryszard Nieoczym.
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Mise en scène de soi et posture d'écrivaine dans Le baobab fou et Mes hommes à moi de Ken BugulGendron, Karine 20 April 2018 (has links)
Par une analyse sociopragmatique du premier roman de Ken Bugul, Le baobab fou (1982), et du dernier, Mes hommes à moi (2008), il s'agira de questionner les modalités de l'énonciation de soi en regard de ce qu'elles disent du jeu postural de l'écrivaine. Nous soutiendrons que l'énonciation de soi chez Ken Bugul passe par des procédés poétiques (jeux de figuration, mises en abyme, métatextualité, rêverie) qui accentuent la mise en scène de son identité de romancière. Ciblant d'abord la figuration d'un personnage biographé et d'une narratrice autobiographe (Le baobab fou), l'œuvre se centre ensuite sur la mise en scène des modalités du récit de soi et des identités narratives diversifiées qu'une posture romanesque permet d'adopter (Mes hommes à moi). Cette figuration délibérée de l'activité d'écriture dévoilée par le dernier roman découle d'une posture créatrice de plus en plus assumée, allant de pair avec une reconnaissance grandissante dans le champ littéraire.
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Communications paradoxales et conflit intérieur : analyse de la pièce Grand-peur et misère du IIIe Reich de Bertolt BrechtBruneau, Élyse 16 April 2018 (has links)
Ce mémoire présente une analyse de l'aspect comportemental des personnages de la pièce Grand-peur et misère du Ille Reich dans le contexte sociopolitique où l'auteur BertoIt Brecht les fait évoluer, afin de mieux comprendre ce qui pousse, ou plutôt ce qui semble obliger les personnages à adopter des comportements contradictoires. Dans un premier temps, c'est grâce aux concepts empruntés à la pragmatique de la communication qu'il nous est possible de décortiquer l'ensemble des situations de communication développées dans la pièce afin de déterminer les règles, ou lois communicationnelles auxquelles doivent se soumettre les personnages. Puis, la combinaison de ces résultats nous permet de déterminer deux modèles interactionnels représentatifs de la dynamique communicationnelle adoptée entre les personnages ; deux modèles interactifs en totale opposition et ayant pour répercussion directe de déstabiliser l'ensemble du système illustré par l'oeuvre, créant ainsi un environnement dans lequel les personnages agissent et évoluent de manière paradoxale
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La nuit comme un visage suivi de Paradoxes de l'écriture du deuil dans La plus que vive et Noireclaire de Christian Bobin / Paradoxes de l'écriture du deuil dans La plus que vive et Noireclaire de Christian BobinGarneau, Sara 12 April 2024 (has links)
Ce mémoire explore la relation entre la littérature et le deuil. La première partie, « La nuit comme un visage », constitue un récit de deuil à caractère autofictionnel. Il met en scène une femme qui écrit à son amoureux après que celui-ci l’ait quittée en posant un geste suicidaire. Il lui laisse en héritage un petit paquet contenant des oeuvres de Friedrich Nietzsche, d’Henry-David Thoreau, d’Albert Camus, d’Herman Melville et de Lou-Andréas Salomé. À travers ces lectures, la narratrice entreprend une sorte de pèlerinage pour retracer l’origine de l’insaisissable fissure qui lui avait échappé. Un impératif d’écriture s’impose à elle, envahissant l’espace laissé vacant par la perte. Le récit pose la question des raisons qui enjoignent le sujet à mettre en récit son expérience. La problématique qui sous-tend ce projet est celle des interactions entre l’écriture du deuil et sa résolution. Nous nous attarderons à cette question dans la partie critique : « Les paradoxes de l’écriture du deuil dans La plus que vive et Noireclaire ». L’écriture favorise-t-elle la résolution du deuil ou, au contraire, en révèle-t-elle l’impossibilité ? La poétique du deuil de Christian Bobin sera analysée à partir de cette interrogation.
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"Mais je n'avais pas le droit d'abandonner la partie" : le récit autobiographique, entre équilibre et déséquilibre : le cas de Thomas BernhardChaloux-Gendron, Virginie 30 January 2024 (has links)
Le récit autobiographique, et à plus forte raison le récit d’enfance autobiographique, trace une frontière difficile à circonscrire. L’écrivain la ressent, pourtant. Elle existe. Mais cette frontière semble n’avoir ni commencement ni fin et est d’abord l’histoire d’une limite qu’il porte en lui et doit franchir, afin de reculer les yeux ouverts. « On court pour échapper à quelque chose mais on l’emporte avec soi », répondait Thomas Bernhard à Andrée Müller lors d’un entretien en 1979. C’est dans cette perspective que ce mémoire propose d’étudier les cinq récits autobiographiques de Thomas Bernhard. L’écriture ne permet pas au narrateur de retrouver la forme antérieure du Moi tel qu’il était avant que des forces destructrices s’abattent sur lui. Inévitablement, les traumatismes déforment le Moi. Or il est possible, par le biais du langage, de décomposer, de fragmenter les diverses forces à l’oeuvre et de trouver leur point d’application, soit l’endroit où elles agissent en soi. Puisque le récit autobiographique ne dépend pas toujours de la vérité du texte par rapport au monde dans lequel il se situe, ou se situait, il est entendu qu’il peut au contraire faire la promotion d’un nouveau monde et engager, en se fondant sur la liberté qui la caractérise, de nouvelles expériences. Les théories de la subjectivation et de la reconnaissance, ainsi que celles portant sur la vulnérabilité et la honte, guident ma réflexion et m’aident à répondre à la question suivante : que peut l’écriture face aux jeux de relais entre équilibre et déséquilibre psychiques? C’est à la mise en scène d’un soi oscillant constamment entre ces deux pôles que me convie Bernhard, un spectacle auquel chacun d’entre nous prend part à l’instant où il ouvre un de ses récits.
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