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L'intégration du développement durable dans les projets de quartier : le cas de la ville d'Hanoï

Bui, To Uyen 05 July 2012 (has links) (PDF)
L'évolution de l'aménagement urbain s'oriente actuellement vers la démarche du développement durable. C'est à travers les projets à l'échelle locale - les quartiers durables -que sont initiées et appliquées les politiques des collectivités en la matière. Le nombre croissant et la diversité de ces opérations reflètent toutefois un manque d'études sur l'approche et le processus d'élaboration propre à cette échelle du quartier ainsi que la question de l'adaptation de la démarche dans chaque contexte urbain. A partir de ce constat, nous avons défini le sujet central de notre recherche comme le croisement et l'intégration de la notion de la durabilité dans la complexité des contextes locaux.Notre approche s'appuie sur un regard transversal et croisé des thématiques interdisciplinaires du développement durable en insérant les questionnements propres à la conduite des projets architecturaux et urbains. Notre principal objectif est de contribuer à une base de réflexion synthétique pour l'aide à la décision et la programmation des projets de quartiers, avec le cas d'étude de la ville d'Hanoï. Nous mettons en place une approche systémique sous forme de grilles d'analyse multicritères génériques pour l'évaluation des projets de quartiers durables. Nous proposons des recommandations et des préconisations par une analyse croisée des expériences européennes du domaine, en vue d'une démarche opérationnelle de l'élaboration des quartiers durables. Il s'agit d'un travail de référence permettant d'actualiser et d'enrichir les connaissances sur les dispositifs architecturaux et urbains durables adaptés aux contextes des villes des pays émergents comme le Vietnam.
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Le cheminement scolaire jusqu'aux études universitaires de personnes issues d'un milieu socio-économique défavorisé /

Robertson, Annick, January 2004 (has links)
Thèse (M.Ed.) -- Université du Québec à Chicoutimi, 2004. / Bibliogr.: f. [213]-218. Document électronique également accessible en format PDF. CaQCU
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La sécurité routière sur les axes urbains avec sections commerciales /

Samson, Luc. January 1997 (has links)
Thèse (M.ATDR)--Université Laval, 1997. / Bibliogr.: f. [190]-199. Publié aussi en version électronique.
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Transformações urbanísticas em um bairro planejado: o caso do projeto habitacional mangabeira em João Pessoa-PB

Silva, Antonio Willamys Fernandes da 09 September 2005 (has links)
Made available in DSpace on 2015-05-14T12:09:45Z (GMT). No. of bitstreams: 1 parte1.pdf: 1600183 bytes, checksum: ee3ed65378226e9e26a49605dc69e28b (MD5) Previous issue date: 2005-09-09 / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior - CAPES / Ce travail a pour but d analyser les changements urbains de nature physique qui ont eu lieu dans un quartier populaire planifié, construit par le pouvoir public, grâce aux actions individuelles de ses habitants, entreprises au fil d une vingtaine d années. Ce quartier est celui de Mangabeira, situé à João Pessoa, capitale de l État brésilien de Paraíba, et bâti à partir de la fin des années 1970 par la CEHAP-PB, une compagnie publique chargée de la production de logements sociaux dans cet État. Ces changements ont été importants et reproduisent, dans une large mesure, d autres qui ont été vérifiés dans d autres quartiers du même genre, en plusieurs villes du Brésil. On a constaté um écart substantiel entre les plans des urbanistes et les réels besoins des couches populaires, ce que a entraîné les changements observés, qui n ont été qu une manière d adapter le quartier construit à la réalité sociale de ces couches. / Este trabalho tem por objetivo analisar as transformações urbanas de natureza física que ocorreram num bairro popular planejado, construído pelo poder público, decorrentes das ações individuais de seus habitantes, empreendidas ao longo de duas décadas. Tal bairro é o de Mangabeira, situado em João Pessoa, capital da Paraíba, e construído a partir de fins dos anos 1970 pela CEHAPPB, a companhia de habitação popular desse estado. Tais tranformações foram consideráveis e reproduzem, em grande medida, outras que foram verificadas em outros bairros do mesmo gênero, em várias cidades do Brasil. Constatou-se um distanciamento substancial entre os planos dos urbanistas e as reais necessidades das camadas populares, o que acarretou as mudanças observadas, que foram uma maneira de adaptar o bairro construído à realidade social dessas camadas.
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Reflexão sociológica sobre espaços êmicos. Processos psicossociais do individualismo nos espaços urbanos contemporâneos: breve leitura de anúncios de bairros planejados

MAIA, Rita de Cássia Batista 18 May 2016 (has links)
Submitted by Irene Nascimento (irene.kessia@ufpe.br) on 2016-07-20T17:50:48Z No. of bitstreams: 2 license_rdf: 1232 bytes, checksum: 66e71c371cc565284e70f40736c94386 (MD5) dissertação para tranferir PDF.pdf: 3194953 bytes, checksum: afd8c320d25de82ec185f9ca20b62483 (MD5) / Made available in DSpace on 2016-07-20T17:50:48Z (GMT). No. of bitstreams: 2 license_rdf: 1232 bytes, checksum: 66e71c371cc565284e70f40736c94386 (MD5) dissertação para tranferir PDF.pdf: 3194953 bytes, checksum: afd8c320d25de82ec185f9ca20b62483 (MD5) Previous issue date: 2016-05-18 / cnpq / Este trabalho é uma investigação teórica multidisciplinar à luz da Sociologia, do Urbanismo, dialogando com a Psicanálise freudiana. Propondo elaborar uma reflexão sociológica sobre a relação entre individualismo contemporâneo e os processos psicossociais e civilizadores, identificando o reflexo dessa relação na produção material do espaço urbano. Sabe-se que o individualismo emerge de um processo social alavancado pelo capitalismo, e nessa perspectiva, pode se tornar um forte viabilizador da fragmentação físico material do espaço urbano. Em particular a fragmentação planejada com o objetivo de divisão de classes social. Uma dessas implicações refere-se ao fato desses bairros planejados produzirem metaforicamente espaços “êmicos”, ou seja, que se assemelham às “tribos” que evitam, dificultam ou inviabilizam o convívio com indivíduos pertencentes a outras “tribos”. Outra implicação refere-se à “autogestão” desses espaços, que é equivocadamente apresentada à sociedade civil como uma alternativa viável para soluções de problemas sociais e urbanos, contudo deveriam ser solucionados em caráter público, e não de forma particularizada pelo “polo riqueza” da sociedade. Trabalhou-se para responder a seguinte indagação: Como os processos psicossociais do individualismo interferem na produção material do espaço urbano? Sugerindo-se a hipótese de que tanto o desamparo psicossocial quanto a busca por privilégios remanescentes de uma natureza narcísica, fazem o indivíduo desenvolver uma dualidade comportamental que reorganiza os valores sociais na sociedade. Percebeu-se ao final que o processo civilizador ainda não constituiu o saber conviver com o “estranho”, ao contrário equivocadamente fortaleceu estratégias “êmicas”. Agindo assim, o indivíduo alimentou um novo processo social que desta vez reconfigura o individualismo levando-o a construções de “tribos”, intituladas “bairros planejados”. A autogestão é a marca desses bairros, onde o indivíduo vive afastado do Poder Público e da ideia de sociedade em geral. / Ce travail est une étude pluridisciplinaire d'investigation théorique à la lumière de la sociologie, de l'Urbanisme et de la psychanalyse freudienne. Il vise à développer une réflexion sociologique sur la relation entre l'individualisme contemporain et des processus psychosociaux et civilisatrices, identifier le reflet de cette relation dans la production matérielle de l'espace urbain. Il est connu que l'individualisme émerge d'un processus social stimulé par le capitalisme, et dans cette perspective, peut devenir un puissant activateur de la fragmentation des trucs physique de l'espace urbain. En particulier la fragmentation du quartier avec l‟objetif du division class sociale.Une préoccupation au sujet de les possibles implications causée pour la fragmentation urbaine planifiée. Une de ces implications, se réfère au fait que ces quartiers prévus produisent espaces "émique", sens qui ressemblent à "tribus" qui empêchent, entraver ou de contact fiable avec les personnes appartenant à d'autres «tribus». Une autre implications se réfère à «l'auto-gestion" dans ces espaces, qui son à tort présenté à la société civile comme une alternative viable pour la résolution des problèmes sociaux et urbains, mais ils devraient être résolus dans un caractère public, et non sous individualisée dans la «richesse de polo" de la société. A travaillé pour répondre à la question suivante: Comme l'individualisme des processus psychosociaux on interfèrent dans la production matérielle de l'espace urbain ? Il est suggéré l'hypothèse que tant la détresse psychosociale comme la recherche de privilèges restant de la nature narcissique, il fait rendré l'individu à développer une dualité de comportement qui réorganise les valeurs sociales de la société. Il a été remarqué à la fin que le processus civilisateur il ne fait pas la civilité de savoir comment vivre avec le “étranger”. Ce faisant, l'alimentation d'un nouveau processus social cette fois reconfigure l'individualisme menant la la construction de «tribus», intitulé «quartiers prévus." L'autogestion est la marque de ces quartiers, où l'individu vit loin du gouvernement et de la société idée générale
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Violences criminelles et contexte démocratique : la politique des imaginaires de la punition au Brésil

Décary-Secours, Benoit January 2016 (has links)
Depuis les années 1980, le processus de retour à la norme démocratique au Brésil s’accompagne d’une augmentation inédite des violences criminelles et policières. La présente thèse procède à l’analyse de cette problématique de la violence à partir d’une étude des dimensions politiques des imaginaires de la punition au Brésil. Un constat empirique motive notre démarche : bien que la société brésilienne n’ait jamais connu de taux d’incarcération aussi élevés que depuis la transition démocratique, l’exigence d’une lutte contre l’ « impunité » des criminels et délinquants occupe désormais une place prépondérante dans les discours médiatiques et politiques. Notre thèse souligne les limites d’une littérature qui aborde cette violence de manière contingente aux « dysfonctionnements institutionnels » des appareils juridiques et sécuritaires d’une « nouvelle » démocratie. La démarche adoptée dans notre étude s’inscrit plutôt dans une seconde littérature qui souligne la nécessité de tenir compte, en Amérique latine, d’une histoire de la violence inscrite dans les hiérarchies et discours qui se trouvent en tension avec le contenu égalitaire des institutions formelles et perdure malgré les changements de régimes politiques. En dialogue avec cette littérature, notre thèse propose la notion d’« imaginaire pénal » comme moyen d’étudier les significations sociales de la punition qui prévalent aujourd’hui au Brésil et donnent sens à la violence. Cette notion émerge d’une lecture critique du champ de la « sociologie de la punition », ainsi que des écrits du philosophe contemporain Cornelius Castoriadis sur la dimension politique des imaginaires sociaux. À partir d’une démarche généalogique inspirée de Foucault, la thèse démontre dans un premier temps que la formule de la « lutte contre l’impunité » s’enracine dans un imaginaire pénal inégalitaire dont il est possible de retracer l’émergence au moment même où les idéaux d’égalité sont institués par l’avènement de la modernité politique et de la Première République (1889-1930). Dans un second temps, nous démontrons que, depuis le retour à la norme démocratique, cet imaginaire pénal inégalitaire se matérialise à travers l’apparente neutralité d’un « discours sécuritaire » qui cautionne pourtant l’adoption de mesures plus punitives et d’une action policière plus violente à l’encontre de certains secteurs des populations marginalisées et paupérisées. Ce discours sécuritaire est exposé à travers l’analyse actantielle des récits médiatiques et politiques de deux des plus importants événements de violence étatique depuis la fin du régime militaire : le « Massacre de Carandiru » de 1992 et les « Crimes de mai » de 2006 à São Paulo. Finalement, l’une des principales contributions de la thèse est de démontrer l’émergence au sein des quartiers populaires d’un contre-discours qui subvertit le présupposé d’un appui populaire à la violence policièreles ainsi que les principales catégories du discours sécuritaire.
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Voter dans les quartiers populaires : dynamiques électorales comparées des agglomérations de Paris, Madrid et Birmingham / Voting in deprived neighborhoods : compared voting patterns in Paris, Madrid and Birmingham’s outskirts

Jardin, Antoine 05 December 2014 (has links)
Cette thèse porte sur l’évolution de la participation électorale des habitants des quartiers populaires depuis 1999. En France, après les émeutes de 2005, ces quartiers ont été marqués par une forte hausse de l’inscription et de la participation lors de l’élection présidentielle de 2007. Pourtant ils cumulent les caractéristiques susceptibles d’éloigner leurs habitants du vote. C’est ce paradoxe que la thèse cherche à expliquer. Pour y parvenir, elle croise plusieurs champs théoriques (sociologie urbaine, sociologie/géographie électorale, action publique) dans une perspective comparative, analysant ces évolutions électorales dans les périphéries marginalisées de Paris, Madrid et Birmingham. L’hypothèse centrale est celle d’une inclusion politique croissante des habitants des quartiers populaires français. La méthodologie est mixte, croisant analyse de données agrégées resituant le contexte, données de sondage, entretiens avec des habitants des quartiers marginalisés, observations de bureaux de vote en région parisienne et analyse des politiques d’incitation au vote. Les résultats montrent qu’il n’y a pas de fatalité à la non-participation des périphéries urbaines marginalisées. Enfin dans les trois pays les dispositifs d’incitation au vote influencent de façon très inégale l’évolution des comportements politiques. Les politiques publiques généralistes inspirées par la tradition républicaine se révèlent être plus mobilisatrices que les actions ciblées menées au Royaume Uni à destination de groupes sociaux ou de quartiers particuliers. / This research studies the evolution of voting turnout in in Paris, Madrid and Birmingham’s deprived neighborhoods since 1999. In France, after the 2005 riots, both registration and turnout increased sharply during the 2007 presidential election in those places. Yet their inhabitants face numerous social and physical barriers, reducing the likelihood that they would vote. We try to explain this paradox using combined theoretical frameworks from urban sociology, electoral sociology, electoral geography and public policies in a comparative research design. The core hypothesis is that those social groups are increasingly involved in politics and in voting. This study uses several methodological tools involving aggregate data analysis, survey data analysis, polling station observation and field interviews. The results show that public policies designed to influence turnout are sharply divided. Universalistic approaches appear more likely to get voters to participate.
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L’action publique en faveur des quartiers défavorisés au Chili (2006-2010) : généalogie et développement des nouvelles approches territoriale et participative / La acción pública en favor de barrios vulnerables en Chile (2006-2010) : genealogía y desarrollo de los nuevos enfoques territorial y participativo / The public action for disadvantages neighborhoods in Chile (2006-2010) : enealogy and development of the new territorial and participatory approaches

Ulriksen Moretti, Constanza 05 December 2015 (has links)
Une des priorités des gouvernements chiliens entre 1990 et 2005 était la réduction du déficit de logements. Les progrès ont été significatifs sur le plan quantitatif mais pas sur le qualitatif. Dans ce contexte, la première administration Bachelet a mis en place la Nouvelle politique du logement et d’amélioration de la qualité et l'intégration sociale, qui comprend le premier programme de réhabilitation des quartiers vulnérables, Quiero mi Barrio (PQMB). Une première étape d’étude reconstruit la généalogie et formulation du PQMB et une deuxième examine le développement, notamment à partir d’une étude de cas de deux quartiers. Les résultats indiquent qu’une intégration sociale à l’intérieur des territoires a primé sur une intégration sociale urbaine des quartiers par rapport au reste de la ville. PQMB apparaît comme un programme participatif d’amélioration d’espaces publiques, résultat qui renferme un processus dialectique provenant des décisions et des pratiques de tous les acteurs impliqués. PQMB a toutefois réussi à changer le référentiel des politiques de logement, de la satisfaction de la quantité à la considération de standards de qualité, ainsi qu’à introduire la participation comme un processus indispensable. Plutôt qu’une approche territoriale globale on observe une territorialisation des dépenses publiques, n’étant jamais suffisante pour répondre à la complexité du problème. Nous identifions ainsi trois impératifs pour la réhabilitation chilienne des quartiers défavorisés : le développement d’un système d’appui institutionnel collaboratif, riche et varié, un véritable travail interdisciplinaire, et une pratique d’échanges permanents entre chercheurs et praticiens. / One of the Chilean governments priorities between 1990 and 2005 was the reduction of the housing deficit. Progress has been significant quantitatively, but not qualitatively. In this context, the first Bachelet administration has implemented New housing policy of quality improvement and social integration, which includes the first rehabilitation program for distressed neighborhoods, Quiero mi Barrio (PQMB). A first research stage reconstructs the genealogy and formulation of the PQMB, and a second examines its development, in particular through a case study of two neighborhoods. The results show that a social integration within the territories took precedence over an urban social integration of the neighborhoods in relation to the rest of the city. PQMB appears as a participatory program to improve public spaces, which contains a dialectical process coming from the decisions and practices of all actors involved. However, PQMB has achieved a paradigm shift from quantity to quality in terms of Chilean housing policies, as well as the introduction of citizen participation as an indispensable process. Rather than a comprehensive territorial approach, a territorialization of public spending is observed, which is nonetheless never sufficient to tackle the complexity of the problem. We thus identify three imperatives for the Chilean rehabilitation of disadvantaged neighborhoods: the development of a collaborative institutional support system, rich and varied; a real interdisciplinary work; and a permanent exchange between researchers and practitioners. / Una de las prioridades de los gobiernos chilenos entre 1990 y 2005 fue la reducción del déficit habitacional. Los progresos han sido significativos en el plano cuantitativo, pero no así en el cualitativo. En este contexto, la primera administración de Bachelet implementó la Nueva Política Habitacional de Mejoramiento de la Calidad y la Integración Social, que incluye el primer programa de recuperación de barrios vulnerables, Quiero mi Barrio (PQMB). Una primera etapa de investigación reconstruye la genealogía y formulación del PQMB, y una segunda examina su desarrollo, particularmente a partir de un estudio de caso de dos barrios. Los resultados indican que una integración social al interior de los territorios primó por sobre una integración social urbana de los barrios respecto al resto de la ciudad. El PQMB aparece como un programa participativo de mejoramiento de espacios públicos, resultado que encierra un proceso dialéctico derivado de las decisiones y prácticas de todos los actores implicados. No obstante, el PQMB logró cambiar el referencial de las políticas habitacionales, de la satisfacción de la cantidad a la consideración de estándares de calidad, así como también introducir la participación como un proceso indispensable. En lugar de un enfoque territorial integral, se observa una territorialización del gasto público que nunca es suficiente para satisfacer la complejidad del problema. La tesis identifica tres imperativos para la recuperación de barrios vulnerables en Chile: el desarrollo de un sistema de apoyo institucional y de colaboración, rico y variado, un auténtico trabajo interdisciplinario, y una práctica de intercambio permanente entre investigadores y profesionales ejecutores.
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De la clandestinité à la fierté : l'appropriation de l'espace urbain par la communauté gay

Sousa, Barbara Andrade 24 April 2018 (has links)
À partir de la décennie 1970, on voit surgir dans la plupart des métropoles en Occident des quartiers comprenant une grande concentration de ménages gays et d’établissements commerciaux destinés à cette clientèle. Les recherches menées sur le phénomène ont négligé de se pencher sur la façon dont la trajectoire de la communauté homosexuelle locale s’articule au parcours historique, politique et urbain de la ville où le quartier est situé. Ce travail vise à combler cette lacune et à éclairer la trajectoire qui a mené la population gay à s’approprier un espace urbain. Il dresse d’abord un panorama des quartiers étant devenus le secteur homosexuel de la ville et de la vie de ses habitants dans les métropoles de San Francisco, Paris et Montréal, à partir de sources secondaires sur l’urbanisation du quartier et sur la communauté gay locale depuis 1900 jusqu’à nos jours. Ensuite, il compare leur évolution selon une périodisation comportant deux axes principaux : l’époque où les homosexuels avaient un vécu clandestin dans la ville et la période où les gays cherchaient à vivre leur sexualité dans la sphère publique. Le résultat montre une trajectoire similaire où la sortie de la clandestinité aboutisse à un quartier ouvert, gentryfié et touristique qui passe par une formation de ghetto liée au contexte économique et politique national, mais aussi au cadre urbain de la ville. En identifiant les facteurs déterminants, il était possible de concevoir l’existence de figures types de quartier gay rendant possible la vie communautaire : le quartier gay portuaire et militant, le quartier symbole d’une culture et le quartier bastion ethnique. / Since the 70's most of major western cities have witnessed the proliferation of neighbourhoods with a large concentration of gay households as well as commercial establishments for this patrons. Previous research have neglected the correlation between the trajectory of homosexual community and the historical, political and urban course of the cities in which those neighbourhoods are located. This paper aims to fill that gap by analyzing the course which lead to the gay population to appropriate urban space. Firstly, through secondary sources about urbanization going back to the 1900, this study establishes an overview of locations that turned into the gay quarters of the city and that of the life of the inhabitants of the metropolitan areas of San Francisco, Paris and Montreal. Then their evolution is compared using two distinct periods: when homosexuals had a clandestine life in the city and the period when gay sought to live their sexuality in the public sphere. The result shows a similar trajectory where the exit of the underground lead to an open district, gentrified and touristic zone which goes through the formation of a ghetto strongly tied with the economic and politic spheres as well as with the urban background of the city. By identifying this scenario as key it was possible to conceive the existence of figures types of gay area making community life as possible: the port and militant gay district, the district symbol of a culture and the neighbourhood ethnic bastion.
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La ville et les quartiers en train de se faire au rythme des projets urbains : une sociologie de l’expérience socio-spatiale des nouveaux quartiers. / Sociological study of a processing district, rhythmed by urban projects.

Aimé, Julien 16 November 2018 (has links)
Plusieurs villes moyennes de l’est de la France se sont lancées, dans le courant des années 2000, dans la conception de nouveaux quartiers principalement dédiés à l’habitation. Dix ans plus tard, les premiers logements sont livrés aux propriétaires et aux locataires qui investissent les lieux et commencent à se les approprier. Ce travail de thèse a pour objectif de rendre compte de l’expérience socio-spatiale de ces habitants à partir d’une méthode de recherche qualitative et d’une approche sociologique compréhensive. Cette recherche porte plus précisément sur trois quartiers en train de se faire dans deux villes moyennes de l’est de la France et s’appuie sur un matériau empirique constitué d’entretiens semi-directifs et non-directifs menés auprès des habitants des quartiers, indépendamment de leur statut d’occupation, et des concepteurs (élus, techniciens, urbanistes, etc.). À la manière d’Henri Lefebvre, l’espace des nouveaux quartiers est analysé au prisme de la triplicité de l’espace, laquelle distingue l’espace conçu, l’espace perçu et l’espace vécu. Ces différents moments de l’espace sont étudiés séparément – afin de mettre en exergue la dialectique propre à chaque moment – puis assemblés à nouveau dans le but de montrer la tension qui les anime. Porter attention à l’espace conçu invite à questionner le mode de production contemporain de la ville qui s’incarne depuis les années 1980 dans la notion de projet urbain. L’espace conçu est aussi un espace vendu, un espace virtuel, modélisé en 3D dans des publicités qui présentent les lieux en construction de manière utopique et les donnent comme « prêts-à-habiter ». Pourtant, ces espaces idéaux sont aseptisés, lissés et standardisés. Les nouveaux quartiers existent également dans la pratique concrète de l’espace, dans l’espace vécu. Même si les habitants sont pris dans divers réseaux d’appartenances, mêmes s’ils pratiquent la ville à la carte, en fonction de leurs histoires, de leurs habitudes ou de leurs compétences propres de mobilité, le nouveau quartier est un espace qui fait sens, à la fois comme lieu, comme territoire et comme milieu. Seulement, la présente étude montre que le nouveau quartier ne fait pas toujours sens de la même manière, qu’il est dépendant des moments, des contextes et des situations dans lesquels il est mobilisé, qu’il est un enjeu identitaire et représentationnel / In the course of the 2000 s, several medium-size cities in the East of France decided to design new neighborhoods dedicated mostly to housing. Ten years after, the first accommodations were made available to both homeowners and tenants, who began to occupy and appropriate those locations. The aim of this research, which relies on a ‘‘comprehensive’’ sociological approach in conjunction with qualitative research methods, is to give full account of the socio-spatial experience of the residents. More precisely, this PhD focuses on three neighborhoods in the making located in two medium-size cities in the East of France and is based on empirical material that includes semi-structured as well as unstructured interviews of the residents – independently of their occupancy status – and of the designers (elected officials, technicians, city planners, etc.). The space of the developing neighborhoods is analyzed following Henri Lefebvre’s model of the “spatial triad”, which divides space into “the conceived space” (or representations of space), “the perceived space” (or spatial practice) and “the lived space” (or representational space). Each of these moments is studied separately – to highlight the dialectic behind each moment – then together again to show the tensions at work. Focusing on the conceived space invites us to question the contemporary production method of cities which is embodied since the 1980 s by the concept of ‘‘urban project’’. The conceived space is also a marketed space, a virtual space, a 3D model space appearing in advertisements presenting the accommodations which are still under construction as a ready-to-live-in utopia. However, these ideal spaces are aseptic, bland and standardized. The developing neighborhoods also exist through their concrete practice, through the lived space. Although the local residents develop multiple identities and affiliations, even if they practice the urban world differently because of their backgrounds, their habits or their own mobility capabilities, the new neighborhood is a significant place both as a location, a territory and a milieu. Nevertheless, this research shows that new neighborhoods do not always carry the same significance but are highly dependent on the moments, contexts and situations when they are mobilized, that they truly represent an identity and representational issue

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