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Active and Marginal Religious Affiliates in Canada: Describing the Difference and the Difference it MakesThiessen, Joel January 2011 (has links)
In 2002, Reginald Bibby surprisingly asserted that a renaissance of religion is, or soon will be taking place in Canada. However, the assertion clashes with the dominant belief based largely on Bibby’s accumulated data about Canadians’ religious beliefs and practices, that Canada is becoming an increasingly secularized society. Based on forty-two in-depth interviews, this dissertation tests the “renaissance thesis” and improves our grasp of how Canadians subjectively understand their religious involvements by comparing the views of active religious affiliates (those who identify with a religious group and attend religious services nearly every week) and marginal religious affiliates (those who identify with a religious group and attend religious services primarily on Christmas or Easter, or for rites of passage such as weddings and funerals). What explains their higher and lower levels of religious involvement, what is the likelihood that marginal affiliates could eventually become active affiliates, and how does this understanding help us to assess the degree of religiosity or secularity in Canada? I argue that active and marginal affiliates are distinct mainly because of their different experiences with the supernatural or their local congregation, and the social influences that either encourage or discourage involvement in a religious group. These conclusions emerge from a close examination and testing of fundamental principles in Rational Choice Theory, a theory currently popular in the sociology of religion and in Bibby’s ongoing analysis of religion in Canada. Contrary to Bibby’s prediction, there is little reason to believe that marginal affiliates will eventually become active affiliates, regardless of changes to the supply of religion in Canada. In general, marginal affiliates appear content with their current levels of religiosity. As a result, I think it is likely that we will witness continued secularization at the individual level in Canada, which if proven correct, could strain Canada’s civic fabric in the future.
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Anarchy, self-Interest and rationality: Assessing the impact of the international system on modern English School theoryMurray, Robert W 11 1900 (has links)
Since its reorganization in the early 1990s, the English School of international relations has emerged as a popular theoretical lens through which to examine global events. Those that use the international society approach promote it as a middle-way of theorizing due to its supposed ability to incorporate features from both systemic and domestic perspectives. A noticeable trend in the School since the end of the Cold War has been its interest with domestic and critical theory concerns, often focusing on individual, discursive or emancipatory issues. As a result, the English School has been able to accommodate the growing trends in international theory more generally, with the decline of problem-solving theory and the rise of critical projects. While the School and its practitioners may, for the most part, see value in discussing how domestic or critical variables impact the society of states, such examinations tend to neglect or overlook the systemic level of analysis. This project takes exception to the decline of the English Schools problem-solving foundations and argues that the School must place more emphasis on the systemic level of analysis if it hopes to be relevant in international theory debates. To this end, the criticisms of American scholars regarding the Schools lack of methodological rigour and explanatory power are addressed by demonstrating the added value to the international society approach if the constraints of the international system are included in theoretical explanations. In order to demonstrate how the systemic level alters English School analyses, two areas of popular examination within the School are explored, namely the role of international institutions and the debate over humanitarian intervention. Ultimately, the contention of this work is that English School scholars can greatly benefit from including systems-level thinking because of what it adds to the Schools explanatory power and also its ability to provide methodological rigour. In doing so, it is more likely the English School can penetrate the mainstream of international theory in the future.
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Religion till salu? en sociologisk studie av New Age i Sverige /Brodin, Jenny-Ann. January 1900 (has links)
Thesis (doctoral)--Stockholms universitet. / Includes bibliographical references (p. 129-142).
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Shaving with Ockham's razor complexity and individual political behavior /Mueller, Paul D. January 2005 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Notre Dame, 2005. / Thesis directed by Benjamin Radcliffe for the Department of Political Science. "April 2005." Includes bibliographical references (leaves 183-191).
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Topics in Rational Choice Theory altruism, consequentialism, and identityAkhtar, Sahar Zahida. January 2008 (has links)
Thesis (Ph. D.)--Duke University, 2008. / Includes bibliographical references.
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Religion till salu? en sociologisk studie av New Age i Sverige /Brodin, Jenny-Ann. January 1900 (has links)
Thesis (doctoral)--Stockholms universitet. / Includes bibliographical references (p. 129-142).
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An economic theory of political communication effects how the economy conditions political learning /Shen, Fei, January 2009 (has links)
Thesis (Ph. D.)--Ohio State University, 2009. / Title from first page of PDF file. Includes vita. Includes bibliographical references (p. 124-138).
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La théorie de la dissuasion et sa rationalité coûts/bénéfices: les remises en question d'une rationalité du risqueLabonté, Sébastien January 2013 (has links)
La théorie moderne de la dissuasion et la rationalité coûts/bénéfices sont étroitement liées l’une à l’autre. En fait, sans cette dernière, la théorie de la dissuasion n’aurait plus de fondements puisqu’elle repose sur la croyance voulant que sous certaines conditions — ayant trait notamment à sa sévérité et à sa certitude — la sanction pénale peut décourager quiconque aurait l’audace de défier la norme pénale. La rationalité coûts/bénéfices constitue donc cette prémisse selon laquelle l’être humain gouvernerait son comportement, incluant le comportement criminel, à partir d’un calcul fait de coûts et de bénéfices. La généralisation de la portée de cette théorie de la décision constitue notre objet de recherche. La question qui se pose est celle de savoir si la théorie elle-même n’aurait pas trop exagéré la portée de cette rationalité coûts-bénéfices. Il ne s’agit pas tant de remettre en question le fait qu’elle puisse opérer ici et là, mais bien de réfléchir aux limites de sa généralisation, de se poser la question de savoir si compte tenu des données dont on dispose il est encore raisonnable, aujourd’hui, d’entretenir cette croyance à l’effet que tous les comportements dits criminels sont opérés dans le cadre de cette rationalité coûts/bénéfices. C’est la question que nous posons dans cette recherche exploratoire dont l’objectif est de cerner une rationalité inédite développée théoriquement par Pires (2002) et vérifiée empiriquement par Dubé (2012) : la rationalité du risque.
Dans cette recherche, ces dernières considérations nous amènent à traiter les postulats de la rationalité coûts/bénéfices comme des hypothèses et non comme des faits. Cette posture épistémologique se situe en dehors du positivisme et réintroduit le doute dans l’observation. Ce doute est alors confronté à une empirie particulière : il ne s’agit plus de tester la sévérité ou la certitude des peines telles que les conçoivent le droit criminel, mais bien de comprendre comment, dans la commission de leurs infractions, les individus se les représentent, comment ils les perçoivent, et quel poids leur attribuent-ils dans la décision de commettre ou de commettre à nouveau une infraction. Dans cette perspective qui s’inspire directement des approches phénoménologiques, la dissuasion est ainsi conçue comme un phénomène d’abord et avant tout subjectif. Au plan méthodologique, nous avons cherché à saisir ces « réalités subjectives » à partir d’entretiens qualitatifs semi-dirigés réalisés auprès d’individus ayant commis des crimes graves. Dans ces entretiens, plusieurs postulats de la théorie de la dissuasion sont ébranlés sous le poids d’une phénoménologie faisant ressortir les traits et fondements de la rationalité du risque, rationalité qui réduit la portée de la rationalité coûts/bénéfices tout en frappant d’impertinence le réductionnisme qui associe à la qualité de la peine la qualité de l’effet dissuasif.
À partir de nos observations empiriques, nous avons élaboré quatre (4) idéaux-types de trajectoires décisionnelles : pris dans leur ensemble, ceux-ci suggèrent que l’effet dissuasif de la sanction pénale est loin d’être aussi déterminant que nous a habitués à le croire le droit criminel moderne. Les résultats de notre recherche semblent en effet indiquer que dans bien des cas, la menace de la conséquence pénale se retrouve neutralisée par la rationalité du risque qui intervient dans l’esprit de l’individu pour reconvertir la « certitude » du coût en incertitude, en probabilité. Le coût n’est alors plus vécu comme un coût, mais bien comme un risque, comme une possibilité parmi d’autres et que l’individu a l’impression de pouvoir contrôler. La dissuasion générale se retrouve ainsi fragilisée. Par ailleurs, face à la condamnation, lorsque l’individu l’associe à l’échec du passage à l’acte, la rationalité du risque intervient encore pour remettre en question non pas tant, dans l’absolu, la décision de commettre le crime, mais bien la manière de le commettre. L’échec est alors associé soit à une mauvaise décision (qui n’est pas celle de commettre le crime), soit au fruit du hasard contre lequel on ne pouvait rien. Dans un cas comme dans l’autre, la dissuasion spécifique se retrouve ainsi fragilisée.
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Varför väljer studenter Uppsala universitet? : En studie om vad som påverkat studenters val av universitetWikström, Jonas, Jons, Jonas January 2020 (has links)
Denna studie ämnar belysa vad det är som fick studenter att välja just Uppsala universitet för vidarestudier och vad studenterna prioriterade i sin valprocess. Individernas prioriteringar kategoriseras in i olika faktorer, där faktorerna ämnar förklara de olika konsekvenserna av valet, exempelvis de geografiska avståndet till universitetet eller universitetets akademiska rykte. För att identifiera detta har studien använt sig av en kvantitativ metod, nämligen en enkät. Enkäten riktade sig till individer som studerar eller har studerat på Uppsala universitet och var ämnad att identifiera hur en större mängd individer resonerade kring sin valprocess, exempelvis vad de prioriterade i valet eller hur informerade de ansåg sig själva vara om sina valmöjligheter. Resultaten påvisade med stor likhet till tidigare studier att Akademiskt Rykte, Universitetsstadens Atmosfär och tillgängligheten till studentaktiviteter är de tre mest inflytelserika faktorerna. För att vidare identifiera hur valprocessen kan beskrivas tillämpades de teoretiska ramverken sociologiska modeller samt rational choice theory vilket ämnar att identifiera ifall en rationell beslutsprocess har tagit form. En rationell beslutsprocess identifieras av att faktorer som förbättrar ens framtida möjligheter och vinst maximeras, medans temporära bekvämligheter som är mindre värda ur samma perspektiv förminskas. Studien har dock funnit att valprocessen uppvisar tendenser på både rationella beslutstaganden samt icke-rationella så som de geografiska faktorerna. Vad detta innebär är således att om man vill förstå hur valprocessen sker kan man inte göra de utifrån antagandet att individ agerar rent rationellt.
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Social Sources of the Spirit: Connecting Rational Choice and Interactive Ritual Theories in the Study of ReligionBaker, Joseph O. 01 December 2010 (has links)
In recent years rational choice approaches have increasingly been employed in the sociological study of religion; however, theory and research from this perspective typically overlook the role of emotionally efficacious collective rituals. This study synthesizes interactive ritual theory with the rational choice concept of strictness, which highlights the level of behavioral prohibitions religious groups place on adherents. Analyses of data from the first wave of the National Congregations Study indicate a positive relationship between a group's level of behavioral strictness and the production of an enthusiastic, outwardly emotive worship style. In general, the effort is made to highlight the utility of combining a focus on the production of collective, social "goods" in religious groups with considerations of interactive rituals and emotion.
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