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Vectors of Revolution : The British Radical Community in Early Republican Paris, 1792-1794 / Vecteurs de la Révolution : la communauté radicale britannique à Paris au moment de la fondation de la république, 1792-1794

Rogers, Rachel 30 November 2012 (has links)
Des militants britanniques fondèrent un club pro-révolutionnaire à Paris à la fin de l’année 1792, au moment où leur propre gouvernement, dirigé par William Pitt le Jeune, avait proscrit tout soutien ouvert pour la Révolution française. Le club des expatriés fut créé alors à un carrefour dans la culture politique et diplomatique de la Grande-Bretagne, ainsi qu’à un stade important dans l’évolution de la Révolution française. Souvent victimes de poursuites judiciaires à la fois en Grande-Bretagne et en France, les membres du club ont été considérés comme des « hommes sans pays » par un commentateur au dix-neuvième siècle. Cependant, ces militants ne furent pas simplement des pions dans un conflit diplomatique plus large. Au sein de la jeune république, ils créèrent une communauté radicale à l’hôtel de White, lieu où des programmes politiques croisèrent des projets privés. Ce monde associatif fit partie d’un réseau plus large de réforme qui traversa la Manche. L’impact d’une tradition de « enquiry » et de « improvement », qui se développa au cours de la deuxième moitié du dix-huitième siècle, fut grand. Cette tradition poussa des membres de la communauté radicale à intervenir dans les débats révolutionnaires sur le devant de la scène publique française. Ces interventions furent aussi l’expression d’une volonté de mener à bien une réforme de la culture politique en Grande-Bretagne. Les membres de la communauté expatriée intervinrent alors au sujet de la création d’une nouvelle constitution républicaine à la fin de l’année 1792, proposant des modèles divers qui reflétaient le caractère hétérogène du club. D’autres, en tant que spectateurs, esquissèrent des témoignages pour un public britannique qui avait été trompé, à leurs yeux, par une presse ennemie de la Révolution. / British radicals established a pro-revolutionary society in Paris in the late months of 1792, at a time when their own government, under William Pitt the Younger, had proscribed all overt support for the French Revolution. The expatriate club was founded at a crossroads in British political and diplomatic culture therefore, and at a vital stage in the course of the French Revolution. Often the victims of judicial pursuit in both Britain and France, the members of the British Club have been deemed “men without countries” by one nineteenth-century commentator. Yet British radical activists in Paris were not simply pawns in a wider diplomatic struggle. In the early French republic, they founded a radical community at White’s Hotel, where political agendas intersected with private initiatives. This associational world was part of a broad network of reform stretching across the Channel. It was influenced by a tradition of enquiry and improvement which had developed in Britain during the latter half of the eighteenth century. This tradition led members of the radical community to engage with the Revolution on issues which dominated public debate in France but which also echoed their concern for the overhaul of British political culture. They intervened on the question of the foundation of a new republican constitution at the turn of 1793, providing a range of blueprints which reflected the varied nature of the club’s political character. Some also wrote eyewitness observations of the Revolution back to Britain, sketching their impressions for an audience who had, in their view, been misled by a hostile British press.
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The legacy of colonialism in Chinua Achebe's work

Jabur, Ala January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Une écriture de combat : Fiction et politique dans l'entre-deux-guerres aux États-Unis : John Dos Passos (1920-1938) / We have only words against : Fiction and Politics in America in the 1920s and 1930s : John Dos Passos (1920-1938)

Béja, Alice 04 December 2010 (has links)
Les œuvres de John Dos Passos [1896-1970] sont souvent étudiées à l’aune – ou à l’ombre – de son parcours politique. L’enjeu de cette thèse est de revenir sur ce lien entre fiction et politique, en partant non plus des positions politiques de l’auteur mais des œuvres elles-mêmes, pour analyser si et en quoi la fiction peut se faire politique. Des romans de jeunesse aux œuvres de la maturité [notamment Manhattan Transfer et la trilogie U.S.A.], Dos Passos construit sa critique politique, fondée sur la remise en cause du récit linéaire. Il remplace la « destinée manifeste » de l’Amérique par le portrait des « deux nations » qui la composent, et travaille le genre du roman pour le défaire de sa dimension providentielle. En mettant à l’épreuve l’intrigue, le protagoniste et la temporalité, il inscrit cette critique politique au cœur même de l’écriture, et invite à porter un nouveau regard sur les œuvres politiques de l’entre-deux-guerres, et sur les liens entre modernisme et radicalisme, dénoués par la critique de la Guerre Froide. Ses œuvres mettent en scène la difficulté de construire une littérature protestataire dans un pays fondé sur des idéaux démocratiques. Plutôt qu’un perpétuel retour au mythe des origines, cependant, elles mettent en place un véritable dialogue avec les textes fondateurs, dialogue au sein duquel la fiction fait peu à peu émerger, entre les lignes, le non-dit du politique / The novels of John Dos Passos [1896-1970] are often analyzed with reference to his politics. This dissertation aims to recast the link between politics and fiction in his work, starting from the texts themselves rather than from the author’s political pronouncements, to see how fiction itself can become political. Dos Passos’s political criticism built up progressively throughout his career, from his early fiction to the crowning success of U.S.A., and rested on a criticism of linear narrative. He went against America’s “manifest destiny” to portray a divided country, made up of “two nations", and rooted his political criticism within the genre of the novel itself. By undermining the concepts of plot, protagonist and temporality, he created a form of political fiction where politics are an integral part of writing, rather than an imposition upon it. Dos Passos thus invites us to cast a new glance at the interwar period, and at the links – severed by Cold War criticism – between modernism and radicalism. His works bear witness to the difficulty of writing protest in a land of consensus; however, rather than resorting to a tempting return to the myth of origins, they enact a dialogue with the founding texts, through which fiction progressively reveals how the nation’s political – and textual – foundation rests on gaps and omissions
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I.F. Stone, journaliste politique independant. Parcours au coeur de réseaux militants / I.F. Stone, an independent political journalist. A journey into militant networks

Guenifi, Soraya 10 September 2012 (has links)
La carrière d’I.F. Stone (1907‐1989) le place en témoin privilégié des grands événements du XXe siècle. Par‐delà le sacro‐saint principe d’objectivité comme neutralité, ce journaliste politique indépendant s’implique personnellement dans les grandes causes radicales de la gauche américaine et internationale, d’abord au sein de la Old Left des années 1930 et 1940, puis contre le maccarthysme et la guerre froide dans les années 1950, et enfin, aux côtés de la jeunesse radicale de la New Left dans les années 1960 et 1970. À la fois observateur et participant, Stone favorise une méthode d’investigation proche de celle des muckrakers du tournant du XXe siècle, en particulier dans les pages de son propre journal I.F. Stone’s Weekly (1953‐1971), dans le but de révéler les discours mensongers du pouvoir et de dynamiser le débat démocratique. À travers l’étude du parcours d’I.F. Stone, cette thèse revêt un double enjeu : il s’agit d’abord de rendre compte d’une carrière restée en marge des récits historiques et marquée à la fois par le radicalisme et l’indépendance. Puis, parce qu’elle est jalonnée d’étapes constitutives de l’expérience radicale, l’historicisation de ce parcours permet de restaurer les aspects de continuité et de cohérence d’un engagement à la fois individuel et collectif, bien souvent présenté de façon tronquée. Grâce à une perspective enrichie par l’observation des réseaux militants proches de Stone, l’expérience formatrice des années 1930 résonne jusque dans les années 1960, confirmant au passage l’existence d’une résistance politique opposée au maccarthysme et au conformisme des années 1950. / The career of I.F. Stone (1907‐1989) placed him at the center of the great events of the 20th century. Questioning American journalism’s equation of objectivity with neutrality, this independent political reporter was personally involved in all the great left‐wing, radical struggles both in the US and internationally. He was part of the Old Left of the 1930s and 1940s, an opponent of McCarthyism and the Cold War in the 1950s, and finally stood alongside the radical youth of the New Left in the 1960s and 1970s. Playing the role both of an observer and of a participant, Stone favored an investigation method similar to that used by the muckrakers at the beginning of the 20th century, especially in his own newspaper, I.F. Stone’s Weekly (1953‐1971). His goal was to expose the government’s fibs and lies, and energize the democratic debate. By studying I.F. Stone’s trajectory, this dissertation attempts to chart a career that has been kept on the margins of historical discourse, and which was characterized by both radicalism and independence. The dissertation also places Stone’s contribution in the constitutive stages of the radical experience in the U.S. The historicization of Stone’s career allows us to restore key elements of continuity and consistency to a set of political commitments which were both individual and collective, and often depicted in a disconnected manner. Our perspective is enriched by the analysis of militant networks Stone related to, revealing that the formative experience of the 1930s continued to resonate through the 1960s, marking a political resistance to McCarthyism and the conformism of the 1950s.
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Politique et poétique du roman radical en Angleterre (1782-1805) / Politics and poetics of the English radical novel (1782-1805)

Leclair, Marion 15 September 2018 (has links)
Cette thèse étudie un corpus de romans anglais, encore peu étudiés en France et jamais étudiés collectivement, publiés entre 1782 et 1805 par des écrivains et des écrivaines se rattachant par leurs idées et, pour certains, leur militantisme actif, au mouvement radical qui se développe en Angleterre dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, s’amplifie et s’organise sous l’impulsion de la Révolution française, puis, sévèrement réprimé par le gouvernement de William Pitt, s’effondre à la fin de la décennie. Cette séquence historique laisse des traces profondes dans l’œuvre des romanciers radicaux, dont beaucoup, comme William Godwin, Mary Wollstonecraft et John Thelwall, sont philosophes ou polémistes avant d’être romanciers et prennent la plume pour défendre les droits de l’homme (et de la femme) dans le débat anglais sur la Révolution française qui oppose Edmund Burke à Thomas Paine. En croisant l’histoire des idées politiques, l’histoire sociale et culturelle du mouvement radical, l’histoire du livre et la narratologie classique, ce travail s’efforce de mettre en lumière la façon dont les romans encodent une certaine idéologie politique dans leurs formes – du discours des locuteurs au format de publication des romans, en passant par leurs narrateurs, leurs intrigues, leurs personnages, leur style et leurs silences signifiants. Un tel examen fait ressortir, plutôt qu’une idéologie radicale unifiée, une tension récurrente entre deux versions, libérale et jacobine, bourgeoise et plébéienne, du radicalisme, dont l’articulation conflictuelle revêt différentes formes d’un auteur à l’autre et d’un terme à l’autre de la période étudiée, à mesure que la réaction conservatrice enterre les espoirs radicaux de réformes. / This dissertation examines a corpus of English novels which have been little studied in France as yet and never as a whole. The novels were published between 1782 and 1805 by a group of writers who, by their ideas and in some cases active political commitment, belong to the radical movement which developed in England in the second half of the eighteenth century, gained impetus and structure in the wake of the French Revolution, and collapsed at the end of the decade when faced with repression from the government of William Pitt. Radical novelists, many of whom, like William Godwin, Mary Wollstonecraft and John Thelwall, were philosophers and pamphleteers before they took to novel-writing, flew to the defence of the rights of man (and of the rights of woman) in the revolution controversy which pitted Thomas Paine against Edmund Burke – and their work bears the mark of the rise and demise of the radical movement. Combining intellectual history with classical narratology, book history, and the social and cultural history of radicalism, this dissertation seeks to highlight the way in which political ideology is built into the very forms of the novels – in the characters’ speech and the characters themselves, in the novels’ plot and narration type, in their style and publishing format, as well as in their meaningful silences. Such a study brings to light, rather than a coherent radical ideology, a recurring tension between two versions of radicalism, liberal and jacobin, bourgeois and plebeian, whose partly conflicting conjunction assumes different shapes from one novelist to the other and between the early 1780s and late 1790s, as radical hopes of reform sink under the conservative backlash.
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Le radicalisme Tory à travers le prisme du Montreal Herald et la mobilisation des milices dans le district de Montréal (1834-1837)

Deschamps, François 06 1900 (has links) (PDF)
L'exploration du Montreal Herald comble en partie les lacunes que révèle la revue du dossier historiographique sur l'irruption de la violence armée dans le district de Montréal en novembre 1837. Ces lacunes se ramènent toutes à la thèse de l'unité d'action du gouvernement et au ralliement de dernière minute des forces loyales. La vue d'ensemble de la période 1834-1840 permet d'abord de dégager l'axe argumentatif de ce journal radical tory : l'opposition frontale à la politique de conciliation du cabinet Melbourne et la lutte de prédominance dans laquelle il est engagé simultanément contre les meneurs du parti majoritaire, mais aussi contre les Canadiens investis de l'autorité suprême dans la magistrature, la milice et l'Exécutif. À travers le filtre de ce collectif anonyme, les miliciens, les hommes du guet et les magistrats tory réaffirment ainsi leur intention de former le seul point d’appui sur lequel, tôt ou tard, le pouvoir impérial devra s'appuyer. Les liens privilégiés qu'ils entretiennent avec l'état-major en sont la clef de voûte. Évoqué d'entrée de jeu, le recours aux armes se cristallise principalement sur les patrouilles nocturnes dans le cadre municipal naissant. Toute la stratégie organisationnelle de l'aile radicale tory s'y rapporte. A l'instar du British Rifle Corps, le Doric Club doit être ainsi considéré à la fois comme une police parallèle privée et l'avant-garde d'une faction politique. Revendiqué par le propriétaire du Montreal Herald, le rôle précurseur de ce dernier favorise le basculement du conflit politique dans la violence armée. La crise latente d'autorité envers le gouverneur culmine le 15 novembre 1837 : deux plans d'intervention distincts semblent avoir été préconisés par les autorités civiles et l’état-major. Les vues antagonistes aux plus hauts échelons de l'État se répercutent jusque dans le traitement des prisonniers politiques, prélude de l'insurrection de 1838. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : rébellions de 1837-1838, milice volontaire, guet, torysme, violence armée, orangisme
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Une écriture de combat : Fiction et politique dans l'entre-deux-guerres aux États-Unis : John Dos Passos (1920-1938)

Béja, Alice 04 December 2010 (has links) (PDF)
Les œuvres de John Dos Passos [1896-1970] sont souvent étudiées à l'aune - ou à l'ombre - de son parcours politique. L'enjeu de cette thèse est de revenir sur ce lien entre fiction et politique, en partant non plus des positions politiques de l'auteur mais des œuvres elles-mêmes, pour analyser si et en quoi la fiction peut se faire politique. Des romans de jeunesse aux œuvres de la maturité [notamment Manhattan Transfer et la trilogie U.S.A.], Dos Passos construit sa critique politique, fondée sur la remise en cause du récit linéaire. Il remplace la " destinée manifeste " de l'Amérique par le portrait des " deux nations " qui la composent, et travaille le genre du roman pour le défaire de sa dimension providentielle. En mettant à l'épreuve l'intrigue, le protagoniste et la temporalité, il inscrit cette critique politique au cœur même de l'écriture, et invite à porter un nouveau regard sur les œuvres politiques de l'entre-deux-guerres, et sur les liens entre modernisme et radicalisme, dénoués par la critique de la Guerre Froide. Ses œuvres mettent en scène la difficulté de construire une littérature protestataire dans un pays fondé sur des idéaux démocratiques. Plutôt qu'un perpétuel retour au mythe des origines, cependant, elles mettent en place un véritable dialogue avec les textes fondateurs, dialogue au sein duquel la fiction fait peu à peu émerger, entre les lignes, le non-dit du politique
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Le discours de Sayyid Quṭb, littérature et civilisation / The Discoure of Sayyid Quṭb, literature and civilization

Wayall, Seydou 08 July 2017 (has links)
Les études concernant la production de Sayyid Quṭb se limitent généralement à ses écrits religieux et politiques fondés sur sa vision extrémiste de l’islam, en occultant sa production littéraire. Ce procédé nous empêche de voir l’œuvre quṭbienne dans toute sa complexité.Notre recherche se propose d’étudier l’œuvre de Quṭb dans sa globalité. Elle porte ainsi sur son discours dans ses différents domaines religieux, social, politique et littéraire, et tient compte de son évolution, afin de mettre en évidence ses transformations et contradictions.Dans sa première partie, cette recherche présente d’abord le contexte historique, socio-politique et culturel de l’œuvre de Quṭb, avant d’analyser sa vision religieuse, sociale et politique. Dans sa deuxième partie, elle traite, dans un premier temps, de la littérature de Quṭb pour mieux percevoir sa vision littéraire. Ensuite, ce travail procède à une analyse, basée sur une approche narratologique et sémiologique, de la production romanesque de Quṭb, négligée par les chercheurs. Ainsi apparaît la prédominance de sa dimension « prophétique », morale et didactique. Dans une dernière partie, nous confrontons la littérature « islamique » de Quṭb, et son œuvre romanesque à sa production poétique dominée par une vision romantique, de manière à bien mettre en évidence ses contradictions internes. / Studies relating to the production of Sayyid Quṭb are generally limited to his religious and political writings, which mirror his extremist views of Islam, and they thus obscure his literary production.Our research aims to study the works of Quṭb as a whole. It focuses on his discourse in various areas, be they religious, social, political or literary, as well as it takes into account the evolution in his views, in order to better highlight his changes of positions and his contradictions.It begins, in its first part, with the historical, socio-political and cultural context, within which Qutb’s work took place, before analyzing his religious, social and political views. In its second part, it addresses, at first, Qutb's literature in order to better grasp his literary vision. Then, basing its analysis on a narratological and semiological approach, this research goes on to analyze the novels of Quṭb, which are neglected by researchers, thus bringing into light the predominance of its “prophetic”, moral and didactic dimension. In its last part, we compare Qutb’s “Islamic” literature and his novels with his poetic production which is dominated by a romantic vision, so as to clearly highlight its internal contradictions.
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Le conspirationnisme dans la culture politique et populaire aux Etats-Unis : une approche sociopolitique des théories du complot / Conspiracism in American politics and popular culture : a sociopolitical approach of conspiracy theories

Giry, Julien 06 October 2014 (has links)
Du 11 septembre aux extraterrestres, des camps de concentration américains à l'assassinat de Kennedy, cette thèse a pour objectif d'éclairer sous un angle sociopolitique les fondements, les mécanismes et les enjeux de la pensée conspirationniste aux États-Unis depuis la révolution jusqu'à nos jours. S'il ne s'agit pas de dresser un catalogue exhaustif de toutes les théories du complot en vogue, le but demeure de démontrer que le conspirationnisme est un véritable fait social aux États-Unis, un élément de culture politique et populaire. Cette thèse se propose alors d'étudier les rouages et les origines du conspirationnisme sous trois aspects différents et complémentaires qui forment un triangle. D'abord, sous l'angle factuel, c'est-à-dire en étudiant les thèses du complot relatives à un événement extraordinaire (9/11, assassinat de JFK, etc.). Ensuite, sous l'angle des acteurs du conspirationnisme : les leaders conspirationnistes (LaRouche, Icke, etc.), les citoyens enquêteurs et les boucs-émissaires (communistes, juifs, illuminatis, etc.). Enfin, sous l'angle culturel en mettant en perspective le conspirationnisme avec la culture américaine : l'anti-étatisme, la présence de mafias ou encore le cinéma de masse. / From 9/11 to UFOs, from American concentration camps to the Kennedy's assassination, this dissertation aims to enlighten, through a sociopolitical analysis, the grounds, the mechanics and the goals of the conspiratorial thought in the United States since the Revolution. Even Though it is no question to draw an exhaustive catalog of each and every conspiracy theory, I would stress that conspiracism is part of the American political and popular culture. Then, this dissertation studies the origins and the developments of conspiracism through three complementary focuses. First, a factual approach which dwells on specific conspiracy theories such as the 9/11 attacks or the assassination of Kennedy. Secondly, I will come on the actors of conspiracism : the conspiracist leaders (LaRouche, Icke) the citizens sleuths and the scapegoats (Communists, Jews, Illuminatis). Finally, under a cultural angle, I will outlook conspiracism and the American culture of anti-statism, the presence of mafias or the role of mass-medias.
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The people's keepers : le discours néo-populiste et le New Deal au Congrès des États-Unis, 1933-1935

Gendron, Étienne 11 April 2018 (has links)
Le présent ouvrage cherche à démontrer comment le néo-populisme, un mouvement radical très populaire au cours de la Grande Dépression, se manifesta au Congrès des États-Unis lors des débats sur le New Deal ayant eu lieu de 1933 à 1935. Celui-ci préconisait des solutions drastiques à la Crise, soit une inflation massive, la saisie des grosses fortunes suivie de leur redistribution, ainsi que l'élimination d'une influence attribuée à Wall Street et à l'Europe sur le gouvernement fédéral, dans le but de restaurer la prospérité et de sauvegarder les bases traditionnelles du rêve américain. À la suite d'une consultation attentive du Congressional Record, il semble probable que le discours néo-populiste des parlementaires, directement inspiré de l'argumentaire populiste datant de la fin du XIXème siècle, traduisait surtout les craintes latentes de la classe politique devant le programme interventionniste du New Deal qui modifiait durablement les relations entre les Américains et leur gouvernement. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014

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