Spelling suggestions: "subject:"radicalism"" "subject:"syndicalisme""
1 |
"La Dépêche" journal de la démocratie : contribution à l'histoire du radicalisme en France sous la Troisième République /Lerner, Henri. January 1978 (has links)
Thèse--Lettres--Paris X, 1975. / Bibliogr. p. 3-48. Index.
|
2 |
The men of no property : Irish radicals and popular politics in the late eighteenth century /Smyth, Jim. January 1992 (has links)
Texte remanié de: Ph. D. diss.
|
3 |
"Like parchment in the fire" : literature and radicalism in the English Civil war /Chakravarty, Prasanta. January 2006 (has links)
Texte remanié de: Thesis Ph. D.--Buffalo, N.Y.--State university of New York. / Bibliogr. p. 203-208.
|
4 |
Elin Wägner i 1920-talet rörelseintellektuell och internationalist /Wistrand, Birgitta, January 2006 (has links)
Proefschrift Uppsala. / Met lit.opg., reg. en samenvatting in het Engels.
|
5 |
Le radicalisme d'Edouard Herriot et la crise des institutions, 1905-1954 / Edouard Herriot radicalism and the institutionnal crisis, 1905-1954Henning, Jérôme 09 December 2017 (has links)
Entre 1905 et 1954, Édouard Herriot incarne l’une des tendances principales du radicalisme français. De la mairie de Lyon à la présidence du Conseil, Édouard Herriot rassemble autour de ses idées une nouvelle génération d’élus pour lesquels la République constitue le régime définitif de la France. En rupture avec la doctrine radicale de la fin du XIXe siècle qui faisait de la révision constitutionnelle un des points de son programme, le radicalisme d’Édouard Herriot accepte définitivement les lois de 1875. Dès lors, malgré la crise des institutions qui caractérise le début du XXe siècle, Herriot tente de préserver le modèle républicain formé à la fin XIXe siècle. Selon lui, les institutions politiques et administratives républicaines doivent être modernisées pour correspondre aux promesses du régime républicain en faveur de la démocratie et de l’application de la science à la politique. Jusqu’en 1926, la tendance radicale menée par Herriot se caractérise par une volonté de refaire la République. Après 1926, contre les différents réformismes qui abordent le problème de la crise institutionnelle, Édouard Herriot et ses partisans résisteront favorisant ainsi la paralysie du régime. Enfin face à la Seconde guerre mondiale et au début de la Quatrième République, ils tenteront, avec moins de succès cette fois, de rétablir ce qu’ils considèrent être la tradition républicaine. Cet itinéraire politique d’un homme et d’un groupe de partisans participant aux principales fonctions de l’État pendant près de cinquante ans permet de comprendre la permanence et les ressorts de la crise institutionnelle française au XXe siècle / Between 1905 and 1954, Edouard Herriot embodies one of the most important tendencies of French radicalism. From Lyon city hall to the council presidency, Edouard Herriot gathers around his ideas a new generation of elected officals. According to them, the republic is the French definitive regime. Breaking with the radical doctrine of the end of the 19th century, which made consitutional revision one of the points of its program, Edouard Herriot radicalism definitely accepts the laws of 1875. From this point and despite the institutional crisis that characterizes the beginning of the 20th century, Herriot tries to preserve the republican model construted at the end of the 19th century. According to Herriot, the republican political and administrative institutions should be modernized to match with the promises of the republican model for democracy and the application of science to politics. Until 1926, the radical tendency led by Herriot is characterized by a desire to rebuild the republic. After 1926, Herriot and his supporters resist against the many reforms concerning the institutional crisis problem. This way, they will favorise the regime paralysis. Finally, when confronted to world war II and the beginning of the 4th republic they will try unsuccessfully to restore what they consider to be the republican tradition. This political career of a man and his supporters occupying the main political state functions during almost fifty years helps to understand the permanence and the mechanisms of the French institutional crisis during the 20th century
|
6 |
Der Radikalismus in Lyon 1870-1890 zur Entwicklung französischer Parteien : eine lokale Fallstudie /Schober, Chistoph. January 1997 (has links)
Dissertation--Philosophische Fakultäten--Freiburg im Breisgau--Albert-Ludwigs-Universität, 1996. / Bibliogr. p. 284-299.
|
7 |
Les rapports de pouvoir au sein des groupes militants radicauxQuirion, Marie-Ève January 2008 (has links) (PDF)
Cette étude s'intéresse aux modes organisationnels des groupes militants radicaux du Québec et à leur gestion des rapports de pouvoir. Douze entrevues (semi directives) avec des activistes de Montréal et de Québec (membres de six groupes proches des courants libertaires et féministe radical) ont servi de base pour dresser un portrait des militant-e-s de la frange radicale de l'altermondialisme. Dans un contexte d'individuation et de désillusion quant aux aspirations révolutionnaires, il demeure, pour les activistes, une adhésion aux idéologies (en particulier à l'anarchisme) et un sentiment d'appartenance aux groupes militants. Les interviewé-e-s mettent d'ailleurs l'engagement au centre de leur vie et tentent de concilier l'individuel et le collectif. Les militant-e-s radicaux-les s'organisent ici et maintenant selon leurs affinités, les coalitions à former et leurs désirs de se réseauter. Malgré le caractère éphémère et flexible des groupes, on retrouve de forts liens d'appartenance et de proximité dans ces lieux qui deviennent des refuges pour les militant-e-s. Les radicaux-les aspirent à mettre en pratique leurs idéaux de liberté, d'égalité et de solidarité, d'où leur prise en considération des rapports de pouvoir qui se développent à l'intérieur des groupes militants. Ressentant un sentiment d'urgence, ils et elles cherchent également à faire apparaître leurs visées sociales et politiques dans l'espace public et à combattre les formes tangibles d'oppressions systémiques. Vivant souvent avec tension la difficile application de leurs idéaux (en reproduisant même au sein de leurs groupes ce qu'ils et elles dénoncent), les militant-e-s radicaux oscillent donc entre le front intérieur et le front extérieur de leur lutte. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Militantisme, Engagement, Organisation, Radicalisme, Anarchisme, Féminisme, Affinitaire, Altermondialisme, Révolution, Désillusion, Oppression systémique, Leadership, Autorité, Pouvoir.
|
8 |
Pour un syndicalisme de lutte de classe! les groupes marxistes-léninistes et le mouvement syndical au Québec, 1972-1983Dubois-Campagna, Alexis January 2009 (has links)
Dès la fin des années 1960, se développe une nouvelle tendance socialiste au Québec dans un contexte marqué par l'épuisement de la Révolution tranquille et par une ébullition idéologique sur la scène internationale. Dans ce climat politique, des groupuscules marxistes-léninistes (m-l) de tendance maoïste voient le jour au Québec, principalement dans la deuxième moitié des années 1970. Au même moment, sur le front syndical québécois, la lutte est intense entre travailleurs et employeurs. Les fronts communs de 1972 et 1975 et d'importantes grèves en font foi. De plus, de nombreux chefs syndicaux n'hésitent pas à s'attaquer directement au patronat et à l'État dans des discours clairement nourris par l'idéologie socialiste. Le radicalisme politique, même s'il n'est pas homogène et généralisé dans les centrales québécoises, s'impose de plus en plus dans les syndicats locaux comme dans les instances supérieures. C'est précisément les liens entre ces deux mondes, celui des groupuscules marxistes-léninistes et celui des centrales syndicales, qui nous intéressent. L'originalité de notre travail tient au fait qu'il lie les historiographies du marxisme-léninisme et du syndicalisme, ce qui représente un angle intéressant afin de renouveler la réflexion dans ces deux champs de recherche, certes très proches, mais malheureusement trop souvent étanches. À l'aide de diverses sources écrites, notamment les publications des organisations m-l et les archives des mêmes groupes, mais aussi d'entrevues menées par l'auteur avec d'anciens militants syndicaux, nous observons les relations entre les deux principaux groupuscules marxistes-léninistes, à savoir En Lutte! et la Ligue communiste (marxiste-léniniste) du Canada, et les centrales syndicales québécoises entre 1972 et 1983. Effectivement, il nous semble pertinent de mieux comprendre la nature des liens et des influences réciproques entre ces acteurs sociaux. L'objectif premier de cette recherche est de mettre en relief le militantisme des marxistes-léninistes au sein de ces institutions syndicales. En effet, la structure ouverte des syndicats, c'est-à-dire démocratique et accessible à tous les travailleurs syndiqués, a permis à un grand nombre de membres et sympathisants m-l de s'y intégrer et d'y faire valoir des positions d'extrême gauche. Et c'est justement le militantisme soutenu des m-l qui, contrastant avec celui beaucoup plus passif de l'ensemble des membres syndiqués, leur a permis d'influencer les positions et les stratégies des centrales syndicales, du moins de s'y faire entendre et de susciter des débats, particulièrement entre 1975 et 1980. Notre recherche sur cet aspect du militantisme syndical des marxistes-léninistes québécois éclaire des zones d'ombre de l'histoire politique récente de la province. De plus, cette étude amène une connaissance plus profonde de la place du radicalisme dans la culture politique québécoise et une meilleure compréhension du militantisme et de ses rouages. Afin d'atteindre nos objectifs, nous analysons d'abord le discours des marxistes-léninistes au sujet du monde syndical. Il sera notamment question des critiques sévères lancées contre les chefs syndicaux, ainsi que de la lutte idéologique qui secoue les différents groupes marxistes. Nous étudions ensuite les stratégies et les actions des m-l face aux syndicats, comme la volonté de se présenter à des postes électifs. Finalement, ce mémoire tente de mettre en lumière le militantisme m-l dans les différentes instances de la Confédération des syndicats nationaux, tout particulièrement le Conseil central de Montréal.
|
9 |
Alfred Naquet et ses amis politiques : patronage, influence et scandale en République (1870-‐ 1898) / Alfred Naquet and his political friends : patronage, influence and scandal during the Third RepublicPortalez, Christophe 29 May 2015 (has links)
Cette thèse porte sur l'étude d'un réseau composé d'élus du Vaucluse de 1870 à 1898, autour de la figure d'Alfred Naquet et de ses amis politiques. On s'attachera à montrer comment ce réseau s'est peu à peu constitué et implanté à partir de 1870 grâce aux victoires électorales, et structuré par des fidélités personnelles, des échanges d'influence, et l'utilisation d'un vocabulaire de l'amitié. Cela avant d'être progressivement détruit et écarté de la scène politique locale durant les années 1888 à 1897, remis en cause par l'engagement d'une partie de ses membres dans le boulangisme, puis par leur implication dans le scandale de Panama. Au travers de l'étude de ce réseau, on cherche à appréhender les relations de clientèle et de fidélité entre ces élus du Vaucluse, leur relais locaux et de simples citoyens, dans la cadre de la politique des patronages, grâce à l'étude de la correspondance de ces élus et des fonds publics. Le deuxième évènement qui cause la fin du réseau Naquet est le scandale de Panama, plus précisément "l'affaire Arton". Accusés d'avoir reçu de l'argent pour leur vote lors d'une loi favorable à la compagnie universelle du canal interocéanique du Panama, certains membres du réseau sont poursuivis en justice. Par ailleurs, le scandale révèle des liens entre les puissances de l'argent et le monde politique, notamment au travers de la société centrale de la dynamite, et pose la question de l'existence d'un groupe de pression composé d'hommes politiques et d'hommes d'affaires à la chambre. De la même manière, les stratégies de défense des élus face à l'accusation de corruption, les déviances et les débats normatifs autour de cette thématique seront étudiées en ce qui concerne ce réseau. / This thesis deals with the study of a network composed with MPs of Vaucluse from 1870 to 1898, gathered around Alfred Naquet and his political friends.We will try to show how this network works, how it was built and got rooted from 1870 thanks to electoral victories, then structured by personal loyalties, exchanges of influence and the use of friendship vocabulary.This was before it got progressively destroyed and isolated from the local political scene from 1888 to 1898, questionned first by the engagement from one part of its membersin the boulangisme, then by their implication in the Panama scandal. Throught the study of this network, we search to apprehend the relation of clientelism and loyalty between the MPs of Vaucluse, their local relay and simple citizens. The second event that caused the end of Naquet's network is the Panama scandal, more precisely the "Arton Affaire". Being accused of receiving money for their vote when a law in favour of the Panama company is voted,some members of the network are being prosecuted. The scandal also reveals links between businessmen and political men, especially throw the société centrale de la dynamite, created by Alfred Nobel, and raise the question of the existence of a group of pressure composed by politcal and business men. In the same way, the defence strategies of the electives facing corruption accusation, the deviances and normative debates around this theme will be studied regarding this network.
|
10 |
Le discours radical en Grande-Bretagne, entre patriotisme et universalisme, 1768-1789 / Between Patriotism and Universalism : Radical Discourse in Great Britain, 1768-1789Duthille, Rémy 25 November 2009 (has links)
Les radicaux britanniques réclament une réforme parlementaire profonde et une limitation de l’influence royale, et encouragent la participation populaire à la vie politique. L’étude porte sur les membres de deux sociétés londoniennes, la Society for Constitutional Information et la Revolution Society, et en particulier sur deux de leurs figures de proue, Richard Price (1721-1791) et sur John Cartwright (1740-1823). Leur discours oscille entre des références patriotiques à l’histoire nationale [constitutionnalisme] et une ouverture à l’universel (jusnaturalisme). La guerre de l’indépendance américaine révèle à leurs yeux les failles du système politique britannique et l’Amérique leur offre désormais un nouveau modèle de liberté. A la même époque, leur discours prend une dimension britannique et non plus seulement anglaise. L’évolution de leur discours se mesure à la différence entre la xénophobie marquant le début de la période, chez John Wilkes par exemple, et l’idée de bienveillance universelle défendue par Price en 1789 dans un éloge conjoint de la révolution anglaise de 1688-1689 et de la Révolution française. / British radicals demanded a thorough reform of parliament and limitations on the influence of the crown, and encouraged popular political participation. This study is concerned with members of two London-based societies, the Society for Constitutional Information and the Revolution Society, and in particular with two leading figures of the movement, Richard Price (1721-1791) and John Cartwright (1740-1823). Their discourse alternates between patriotic references to national history (constitutionalism) and an appeal to universal values [natural rights]. Under the influence of the War of American Independence, they opened their eyes to the shortcomings of the British political system, and came to consider America as a new model of liberty. During the same period, their discourse widened from an English to a British dimension. This evolution is nowhere more apparent than in the contrast between the xenophobia of the early years of the reform movement (associated with John Wilkes) and the idea of universal benevolence that Price defended in 1789, when he paid a double tribute to the Glorious Revolution of 1688-1689 and to the French Revolution.
|
Page generated in 0.0653 seconds