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Colour a study of its position in the art theory of the Quattro- & Cinquecento /

Gavel, Jonas, January 1979 (has links)
Thesis--Stockholm. / Includes bibliographical references (p. 163-178).
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The iconography of Judith in Italian Renaissance art

Kubiak, Richard. January 1965 (has links)
Thesis (M.A.)--University of Wisconsin--Madison, 1965. / Includes bibliographical references (leaves 82-87).
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The iconography of Judith in Italian Renaissance art

Kubiak, Richard. January 1965 (has links)
Thesis (M.A.)--University of Wisconsin--Madison, 1965. / Title from title screen (viewed Sept. 20, 2007). Bibliography: l. 82-87. Online version of the print original.
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Théorie et pratique sociale de la danse noble en Italie centro-septentrionale au XVeme siècle / Theory and social practice of noble dance in fifteenth-century central northern Italy

Acone, Ludmila 23 March 2013 (has links)
Objet d'histoire à part entière, la danse est un « fait social total » à l'interface du corps et de l'esprit de l'individuel et du collectif : du féminin et du masculin, du religieux et du profane, du technique et du spontané. Au XVe siècle, Domenico da Piacenza, Antonio Comazzano et Guglielmo Ebreo da Pesaro, incarnent l'émergence d'une nouvelle figure intellectuelle, artistique et technique, celle du maître à danser, élevant la danse au rang d'art libéral. Ils construisent l'esthétique d'une danse noble en opposition à celle des danses dites populaires établissant des normes à la fois artistiques, sociales et genrées, conformes à la morale de la cour et répondant aux anathèmes religieux. La danse, vecteur d'une idéologie de cour et d'une communication entre les cours et la société, est tout autant instrument d'une évolution des disciplines du corps, voire d'une thérapeutique fondée sur l'harmonie du corps et de l'esprit. Les fondements philosophiques, techniques et pédagogiques de la danse noble s'inscrivent dans la culture des cours italiennes de la fin du Moyen Age et créent un nouveau langage du corps en mouvement, s'inscrivant de manière novatrice dans de la culture humaniste de l'époque. Une lecture attentive des sources (littéraires, iconographiques théâtrales, et musicales...) rend visible ce qui est apparemment invisible, voire caché et permet de comprendre, interpréter et restituer la richesse de l'activité chorégraphique d'une époque. Il ne s'agit pas d'histoire de la danse, mais de danse dans l'histoire de révéler un aspect de la civilisation de la fin du Moyen Age, également par tout ce que le corps en mouvement est capable de nous révéler. / Dance, a fully historical subject, is a 'total social fact' at the interface between body and soul, between individual and collective, feminine and masculine, religions and profane, and between technique and spontaneity. In the fifteenth century, Domenico da Piacenza, Antonio Cornazzano and Guglielmo Ebreo da Pesaro represent the rise a new intellectual, artistic and technical figure, that of the master of dance, thus promoting dance as a liberal art. The construct the aesthetics of a noble dance in opposition to those of the so-called popular dances, by creating artistic as we as social and gender norms in conformity with courtly ethics, and by offering a response to religious anathemas. Dance vector of a courtly ideology and a communication between courts and society, remains the instrument of evolving corporeal disciplines, and even a therapy founded on conceptual harmony between body and soul. The philosophical technical and pedagogical foundations of noble dance are inscribed in the culture of Italian courts from the end of the Middle Ages and create a new language of the moving body, innovating it and making it part of the humanistic culture those times. An attentive reading of the sources -literary, iconographical, theatrical and musical- makes visible what seems invisible even hidden, and enables us to understand and interpret, as well as summon up the richness of the chorographical activity of a certain period. This is not a history of dance but a history of dance in history, or rather the illumination of an aspect of late-medieval civilization, thanks, also, to what the body and movement are capable of revealing to us.
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Plumes royales : l’art épistolaire chez les souverains et souveraines de Navarre et de France au XVIe siècle. / The art of letter-writing by the kings and queens of Navarre and France in the sixteenth century.

Pardanaud-Landriot, Chloé 24 May 2012 (has links)
La première partie présente l'état des connaissances actuelles sur les souverains et souveraines de Navarre et de Franceau XVI' siècle. Elle recense les publications de leurs écrits ainsi que les différents angles sous lesquels ils ont étéenvisagés jusqu'à présent par les chercheurs. Elle précise enfin selon quels critères a été établi le corpus étudié (choixdes lettres, compléments inédits).La deuxième partie définit les contextes culturels et matériels des correspondances royales. Elle fait le point sur l'étatdu genre épistolaire à la Renaissance, sur l'éducation et la culture des princes et princesses, ainsi que sur les contraintesmatérielles qui pèsent sur la rédaction de leurs missives.Les deux dernières parties sont consacrées à l'étude des lettres. Les stratégies discursives mises en place par les rois etles reines dépendent du rapport qu'ils entretiennent avec leur destinataire. Cela oblige à distinguer les lettres adresséesaux membres de la sphère publique de celles qui sont réservées à la sphère privée. Au-delà de cette distinction, onconstate que les différences stylistiques dépendent également de l'exercice (ou non) de l'autorité royale ainsi que dugenre (masculin ou féminin) de l'épistolier. Les différences de genre ne sont nullement <<naturelles>>, mais construitessocialement pour répondre à des objectifs précis.À partir de ces travaux, on peut faire l'hypothèse que la pratique épistolaire des rois et des reines exerce une influencesur les théories de l'époque. Enfin, ils confirment qu'au-delà d'une pratique d'écriture commune, la plupart dessouverains et souveraines possèdent un véritable style personnel. / The first part shows what is known toda y about the Royals of Navarre and France in the sixteenth century. It lists thepublications of their writings as well as different researchers' points of view about them up to now. Finally it specifiesunder which criteria the studied corpus bas been established (choice of letters, unpublished works).The second part describes the cultural and material contexts of the royal correspondence. It demonstrates the genre ofletter writing during the Renaissance period, the education and culture of princes and princesses as weil as the materialconstraints which influenced the ability of writing their letters.The last two parts are devoted to the study of letters. The language used by the kings and queens depended on therelationship between them and their correspondents. This makes a distinction between letters to members of the publicand those intended for personal correspondence. Beyond this distinction, it is noticed thal the differences in styledepend also on the exercising (or not) of royal authority, as well as on the gender of the writer. The different genresused in writing are in no way "natural" but dictated by society in order to address specific requirements.From these works the following hypothesis can be made: the kings' and queens' practices of letter writing influencedthe theories of the period. Furtherrnore, this study confirms thal beyond the practice of a universal way of writing, themajority of kings and queens bad their own unique persona! style.
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Principes vitruviens dans l'architecture italienne et espagnole entre les années 1540 et 1575. Deux exemples de l'architecture périphérique dans le contexte du plan impérial : Jaén et Gênes / Vitruvian principles in Italian and Spanish architecture between 1540 and 1575. Two examples of peripheral architecture in the context of the imperial plan : Jaén and Geneva

Gaitán Salinas, Candela 12 September 2017 (has links)
Ce projet de thèse, développée en co-tuelle entre l’université de Malaga et l’EPHE, est centré les mutations des langages architecturaux telles qu’elles se profilent en Italie et en Espagne, particulièrement en Andalousie, au milieu du XVIème siècle. Vis-à-vis de l’Italie, l’assimilation des principes vitruviens par les architectes espagnols est tardive et s’appuie sur des traités. Dès les années trente fut publié celui de Diego de Sagredo, Las medidas del romano, centré sur les proportions du corps humain et les ordres architecturaux. En 1552, eut lieu traduction du Quatrième et Troisième Livre de Sebastiano Serlio par Francisco de Villalpando, suivi par deux traductions du traité de Vitruve, rédigées d’une part par Miguel de Urrea en 1568, mais éditée seulement en 1582, et d’autre part celle de Lazaro de Velasco, entre 1554 et 1564. C’est en Andalousie que l’on peut observer un processus d’assimilation des règles provenant de l’Antiquité dans l’œuvre d’Andres de Vandelvira comme la Sacrée Chapelle du Sauveur et la sacristie de Cathédrale de Jaén, l’un des témoignages les plus remarquables de la Renaissance espagnole. Dans le domaine profane, Pedro Machuca avait instauré déjà vers 1527 au palais de Charles V à Grenade des ordres vitruviens avec lesquels il s’était familiarisé pendant un séjour à Rome en 1517-1520. Le long chantier de ce monument révèle la manière dont les spécificités du vocabulaire changent dans les décennies suivantes, en passant d’un classicisme sincère vers un classicisme ornemental. Ce travail propose d’analyser de manière détaillée l’influence de ces traités sur l’évolution des langages architecturaux, en se concentrant sur un choix de monuments des deux pays représentatifs des mutations qui se profilent durant cette période. Ces analyses éclairciront la manière dont se conjuguent les modèles importés et les traditions locales dans de nouvelles synthèses. Une attention particulière sera prêtée aux savoir-faire techniques qui, dans le cas de l’Espagne, restent étroitement liée aux corporations et aux chantiers des cathédrales tardo-médiévales. En-dehors d’une confrontation des modes d’assimilation dans les deux pays, nous allons également suivre la mise au point d’un processus codification des langages dans les deux pays qui se met progressivement en place, selon des rythmes différents, sans toutefois unifier le répertoire formel. Nous allons procéder par une étude détaillée de monuments, particulièrement de Vandelvira et d’Alessi, fondée sur une analyse archéologique et archivistique. L’objectif est de s’éloigner des concepts généralement admis comme celui du maniérisme en faveur d’une analyse ciblée des témoignages. Après avoir détecté les modèles provenant des traités qui ont été adoptés, nous allons nous interroger sur les modalités d’assimilation, sur le plan formel et technique. Une étude du contexte historique dans lequel se place cette adoption révélera la signification du prototype, souvent lié à des légitimations politiques. Ce parallélisme entre l’Italie et l’Espagne révélera l’importance que revêtent les traditions autochtones lors de ces mutations progressive. D’autre part, notre réflexion cherchera aussi à mettre en évidence la persistance de principes classiques instaurés pendant cette période, dont certains garderont une actualité pendant plusieurs siècles. Ce travail assurera une meilleure compréhension du classicisme des années 1550-1560 en Espagne, appuyée sur une mise en parallèle avec l’Italie. Il permettra de dégager clairement le rôle joué par les traditions locales et la manière dont ces dernières forment de nouvelles synthèses avec des modèles provenant des traités. / This thesis project, developed under the tutorship shared by Málaga University and L’EPHE, focuses on the transformations which the architectural languages experience in Italy and Spain, particularly in Andalusia, during the second half of the sixteenth century. In comparison to Italy, the Spanish architects’ assimilation of the Vitruvian principles occurred later in time and it was based on the treatises. During the thirties decade, Diego de Sagredo’s treatise The Roman’s Measures was published, which deals with the human body proportions and the architectural orders. The translation of Sebastiano Serlio’s Quarto and Terzo Libro, by Francisco de Villalpando, happened in 1552, and subsequently two more translations of the Vitruvian treatise were written by Miguel de Urrea in 1568, though published in 1582, and Lázaro de Velasco, between 1554 and 1568. In Andalusia we may observe the process of assimilation of Antiquity principles in Andres de Vandelvira’s works, as in the Sacred Chapel of the Saviour and in the Sacristy of Jaén’s Cathedral, one of the most remarkable testimonies of the Spanish Renaissance. In the profane architecture domain, Pedro Machuca, in the Palace of King Charles the Fifth, circa 1527, had already incorporated the Vitruvian principles that he had acquired during his voyage to Rome between 1517 and 1520. The the long building process of this monument shows the manner in which the specificities of the architectural vocabulary changed in the following decades, evolving from a more honest Classicism to a more ornamental one. This project proposes a detailed analysis of the influence of artistic treatises on the evolution of architectural languages, concentrating on a classification of the most representative works in this period in Jaén and Geneva. This study will elucidate the manner in which imported models merge with local traditions. We devote especial attention to the technical craftsmanship that, in the case of Spain, is narrowly linked to the stonemasons’ skill and the building system for the later medieval cathedrals. We proceed through a detailed study of the monuments, mainly works of Vandelvira and Alessi, based on architectural and archival research. The objective is distance our conclusions from generally assumed concepts, like Mannerism, in favour of an analysis determined by testimonies. Once we identity the models that emerge from the adapted treatises, we question ourselves about the way those models are assimilated at a formal and technical level. The study of the historical context in which this adaptation develops will reveal the significance of the models, often related to political legitimizations. This parallelism between Italy and Spain shows the importance that local traditions gain in the event of these progressive transformations. On the other hand, we will evince in our reflection the persistence of the classical principles established during this period, some of which would endure for centuries. This project ensures a better understanding of Classicism between 1540 and 1575 in Spain, supported by a parallelism with Italy. Thus we may clarify the role local traditions play and the way they produce a new synthesis with the models extracted from the artistic treatises.
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L'Augustin de François de Sales / Francis of Sales' Augustine

Gueydier, Thomas 03 June 2019 (has links)
L’Augustin de François de Sales est un Augustin « digéré ». A la suite de Montaigne, l’évêque de Genève s’approprie, en effet, l’oeuvre du docteur de la grâce en toute liberté. Il l’intègre, plus précisément, au sein du triple dialogue qu’il entretient avec les protestants, les humanistes et les mystiques, au soir de la Renaissance, en opérant non seulement des rapprochements particulièrement attendus, après un siècle de querelles théologiques, mais aussi des ruptures franches et de multiples dépassements. Pour parvenir à une telle assimilation, l'auteur de l'Introduction à la vie dévote puise abondamment dans la tradition théologique et mystique, qui accorde une place centrale à l’évêque d’Hippone. Il prépare aussi les décennies à venir qui seront marquées par l’augustinisme littéraire des moralistes et la fameuse querelle du pur amour. Il va sans dire que cette proximité de François de Sales avec le pessimiste auteur de La Cité de Dieu renvoie de lui une image qui tranche avec l’optimisme auquel il est généralement associé. / Francis of Sales’ Augustine is a “digested” one. Following Montaigne, the bishop of Geneva freely adopts the Doctor of Grace’s works. More precisely, he integrates it in the threefold dialogue he maintains with Protestants, humanists and mystics at the twilight of the Renaissance, making not only rapprochements, particulary expected after a century of theological quarrels, but also clear-cut breaks and several overruns. To achieve such assimilation, the author of the Introduction to the Devout Life draws on theological and mystical tradition that gives a central place to the bishop of Hippo. He prepares too the coming decades that will be marked by the literary Augustinism of moralists and the famous quarrel of pure love. It goes without saying that this proximity of Francis of Sales with the pessimistic author of The City of God conveys an image that severs with the optimism he is usually associated with.
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Les images "italiennes" de François Ier entre 1515 et 1530 : l'attente, la crainte, la célébratiοn et la déceptiοn chez les hοmmes de culture de la péninsul / Italian depictions of Francis I of France between 1515 and 1530 : expectations, fear, praise and disillusion among the Italian learned men

Allaire, Valeria 30 November 2018 (has links)
Dans l’imaginaire collectif, François Ier est à la fois le Roi chevalier, le Roi mécène, le Père des Lettres ; il est aussi le Roi bâtisseur, le Roi veneur et séducteur, le Roi captif ou encore le Traître à la Chrétienté. Notre étude propose d’enrichir ce portrait kaléidoscopique en présentant une perspective toute italienne. Dès le début de son règne, ce monarque si complexe semble hanté par la domination de l’espace politique péninsulaire. À travers la lecture de la correspondance d’ambassadeurs et de nonces, ainsi que d’ouvrages historiques et littéraires de l’époque, nous nous intéressons ici à la construction de son image à l’intérieur de la péninsule, entre 1515 et 1530. Nous avons choisi d’observer des moments considérés comme significatifs pour l’espace italien dans son rapport avec le monarque : la victoire à Marignan et la rencontre bolonaise avec Léon X en 1515, l’échec à l’élection impériale en 1519, les défaites de la Bicoque, en 1522, et de Pavie, en 1525, la campagne napolitaine de 1528. Nous souhaitons montrer comment l’élaboration de l’image du monarque ne dépend pas exclusivement des succès ou des échecs politiques et militaires, mais varie au gré des espoirs et des craintes des acteurs politiques de l’époque, offrant, parfois, une représentation inattendue. En 1529, le roi signe la Paix des Dames avec Charles Quint et abandonne ses alliés italiens à la merci de son éternel ennemi. À ce moment, une cassure s’opère ; le roi ne renonce pas définitivement à ses ambitions italiennes, mais le portrait que l’on brosse alors de lui se transforme pour s’adapter à une nouvelle configuration politique. / This analysis deals with the representation of King Francis I wihthin the Italian peninsula spanning the period from 1515 to 1530. In the collective imagination, King Francis I is known as the Knight-King, the « Father and Restorer of Letters » and a Renaissance patron of the arts. He is equally remembered for his contribution to architecture, his hunting activities and amorous conquests, but also for his captivity and his alliance with the Turks. This study aims to broaden the range of King Francis I's multifaceted depictions by adopting a new Italian prespective in order to cast a new light on his representation. From the very beginning of his reign, this highly manifold monarch appears to have been haunted by the idea of dominating the peninsular political arena. The study is based on a corpus of letters written by ambassadors and papal nuncios as well as on historical and literary works. Emhphasis has been laid on several milestones in the history of Italy's relationships with its sovereign : the victory at the battle of Marignano and the King's meeting in Bolonia with Pope Leo X in 1515, the failure of the imperial election in 1519, the defeat at the Battle of the Bicocca, in 1522, and at the Battle of Pavia in 1525, as well as the Neapolitan campaigns of 1528. This thesis demonstrates that the king's image does not solely rely on his successes and defeats, but it largely depends on the changeing shifts in Italian political hopes and fears of the day. Our findings show that some of the depictions of King Francis I belie all expectations. In 1529, the king signs a treaty in Cambrai with Charles V and abandons his Italian allies to his long-lasting enemy. From that point onwards, a shift in politics occurs: the king does not wholly give up his Italian ambitions, but his representation changes, adapting to new political stakes.
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Beauty, Power, Propaganda, and Celebration: Profiling Women in Sixteenth-Century Italian Commemorative Medals

Wolken, Christine Chiorian 27 August 2012 (has links)
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Scotland triumphant : the relevance of Stewart triumphal celebrations in shaping Scottish Renaissance architecture

Guidicini, Giovanna January 2009 (has links)
This thesis discusses Scottish triumphal entries, and Scottish triumphal culture in general, and aims to advance understanding of the local application of Renaissance ideas, in relation to art and architecture. Triumphal language represented a strongly unifying element in XVI century European culture. Through temporary architecture, decorations, and entertainments, many sovereigns showed visually to a local and international audience their increasing power, legitimate rule, personal qualities, and ambitions. Urban entries also represented an important moment of dialogue with the local authorities of the city hosting the triumph, who would have used this unique opportunity to communicate with the ruler, presenting issues, asking for help, or offering advice. Although the importance of triumphal language has been recognized with regard to Europe, the use of triumphal language in Scotland and by the Stewart monarchs has been only marginally considered: in particular, each entry has been considered separately, and not in connection with each other, with their architectural setting –the city- or as a source of inspiration for permanent architecture. This thesis will show how local triumphal entries and ceremonies can be used to analyze the development of Scottish culture during the Renaissance. Some of the topics treated will be, the imperial aspiration and increasingly absolutist ideas of the Stewarts, the surfacing of religious issues and the uneasy coexistence of different creeds, and the increasing interest in classical language in and beyond the court. This thesis will reinforce the connection between the Scottish Renaissance and the European Renaissance, Italian in particular, showing how many aspects of Scottish architecture of the time can be interpreted not as surprising, isolated expression of taste, but as consequences or related facts to the spectacularization of life of which triumphal culture was a politicized, dynastical expression. Two of James V’s main architectural enterprises, the refashioning of Linlithgow Palace with the creation of a fountain in the central courtyard, and the elaborated stone decoration created for Stirling Castle, will be shown as derivations and expression of international triumphal culture. The perfect king and queen represented through them, presiding over a perfect court, are similar to the idealized figures presented to the crowd during a triumphal entry, and can be connected with foreign sources of inspiration, particularly French, Italian, and German. Outdoor spaces like the garden of Edzell Castle will be interpreted as the permanent, private recreation of the controllable, perfect world created through triumphal entries, inspired by triumphal decoration and foreign designs. The messages delivered through the decorations also reflected the usual admonitions to an entering queen, and the politicized messages suitable to a ruler of international prestige. The city of Edinburgh will be analyzed in its role as a stage and a protagonist of Stewart royal entries in the period 1503-1636. As an active character, it will pose limits and offer opportunities through its very geological conformation and the positioning of its main buildings. As a stage, it was endowed with timber settings, the Piazzas and upper promenades, where and from where the spectacle of everyday life could be performed and enjoyed. An artificially tamed natural landscape was also granted temporary access, showing with its presence the ruler’s control upon the forces of the world which he can evoke and govern at will, creating a perfectly balanced, renewed cosmos.

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