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The Bourgeoisie in the dining-room : meal ritual and cultural process in Parisian families of today /Sjögren-De Beauchaine, Annick. January 1988 (has links)
Avhandling--Filosofie--Stockholm--Institutet för folklivsforskning, 1988.
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Associations prospectives entre l'environnement des repas en famille et le développement bio-psycho-social d'enfants d'âge scolaireHarbec, Marie-Josée 06 1900 (has links)
Contexte. Depuis quelques années, plusieurs études se sont intéressées aux effets protecteurs des repas en famille sur divers aspects du développement des enfants et des adolescents. Objectif. Identifier les associations prospectives entre l'environnement des repas en famille à 6 ans et le développement bio-psycho-social à 10 ans. Méthode. Les participants sont 1 085 filles et 1 138 garçons faisant partie de l'Étude Longitudinale du Développement des Enfants du Québec (ÉLDEQ), qui a sélectionné un échantillon aléatoire et stratifié en utilisant le registre des naissances du Québec. Dans ce devis prospectif-longitudinal, les parents ont fourni une mesure sur l'environnement de leurs repas en famille à l'âge de 6 ans. Quatre années plus tard, les parents ont également fourni des mesures sur le niveau de condition physique de leur enfant ainsi que sa fréquence de consommation de boissons gazeuses; les enseignants ont mesuré la réussite en lecture et en mathématiques; les enfants ont auto-rapporté leurs niveaux d’agressivité physique globale, d’opposition, du trouble du comportement non agressif et d’agressivité réactive. Des analyses de régressions multiples ont été réalisées. Résultats. Un environnement plus sain lors des repas en famille à 6 ans a prédit les bénéfices suivants à 10 ans : une augmentation de la condition physique (β = 0,24; 95 % intervalle de confiance [IC], 0,12 à 0,36) ainsi qu'une diminution de la consommation de boissons gazeuses (β = -0,43; 95 % IC, -0,62 à -0,23), de l'agressivité physique globale (β = -0,38; 95 % IC, -0,58 à -0,18), de l'opposition (β = -0,72; 95 % IC, -1 à -0,4), du trouble du comportement non agressif (β = -0,33; 95 % IC, -0,50 à -0,17) et de l'agressivité réactive (β = -0,70; 95 % IC, -0,98 à -0,42). Contrairement à nos attentes, l'environnement des repas en famille n'était pas significativement relié au rendement scolaire. Conclusion. Les repas familiaux ont une forte influence à long terme sur le développement de l'enfant, par rapport à sa santé physique et à son ajustement social. Par conséquent, ils pourraient nourrir une campagne informative intéressante qui porterait sur la promotion de la santé mentale et physique des jeunes à travers ce rituel social. / Background. Recent research suggests that family meals have a strong influence as a child-rearing environment variable, which could in turn be beneficial to adaptive functioning. Objective. To examine the influence of family meal environment at age 6 on later bio-psycho-social developmental outcomes at age 10. Methods. Participants are from a prospective longitudinal birth cohort of 1 085 girls and 1 138 boys from the Quebec Longitudinal Study of Child Development (QLSCD) with parent-reported data on family meal environment at age 6. We conducted a series of ordinary least-squares regressions in which children’s scores on parent reports of general fitness and soft drink consumption, teacher reports of reading and mathematics success, as well as child self-reports of physical aggression, opposition behavior, non-aggressive delinquency, and reactive aggression, were linearly regressed on early family meal environment. Results. A healthier family meal environment at age 6 predicted the following outcomes at age 10: increases in general fitness (β = 0.24; 95%confidence interval [CI], 0.12 to 0.36) and decreases in soft drink consumption (β = -0.43; 95% CI, -0.62 to -0.23), physical aggression (β = -0.38; 95% CI, -0.58 to -0.18), opposition behavior (β = -0.72; 95% CI, -1 to -0.4), non-aggressive delinquency (β = -0.33; 95% CI, -0.50 to -0.17), and reactive aggression (β = -0.70; 95% CI, -0.98 to -0.42). Surprisingly, family meal environment was not significantly related to school achievement. Conclusions. From a population-health perspective, family meals have a strong long-term influence on child development, with respect to health habits and social adjustment. Therefore, they could be potentially featured in an informative campaign on mental and physical health of young people.
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Étude des stratégies employées par des parents d’enfants d’âge préscolaire pour favoriser la saine alimentation et le repas en famille agréablePernice, Stéphanie 12 1900 (has links)
Contexte. Les attitudes et comportements alimentaires développés pendant la petite
enfance influencent grandement la relation future du mangeur à l’égard des aliments. Le
parent s’avère en ce sens des plus déterminants.
Objectifs. Cette étude vise à connaître les pratiques et attitudes employées par les parents
québécois d’enfants d’âge préscolaire pour favoriser le « bien manger » ainsi que le repas
familial agréable.
Méthodes. La collecte de données a été effectuée à l’aide de cartes postales qui étaient
distribuées dans six cent cinquante Centres de la Petite Enfance parmi les mille retrouvés
dans la province de Québec pour ensuite être remises aux parents. L’analyse des réponses
aux deux questions ouvertes figurant sur la carte postale a été effectuée en se basant sur le
modèle des prises alimentaires de Jean-Pierre Poulain.
Résultats. Plus de mille (1257) cartes postales ont été retenues aux fins d’analyses. Les
données recueillies permettent dans un premier temps de connaître la perception des parents
quant à la notion de manger bien. Les notions de qualité et de quantité, diamétralement
opposées se démarquent. Dans le cas du repas familial, la discussion, la présence de tous les
membres à table ainsi que l’absence de télévision sont abondamment mentionnées.
Conclusion. Cette étude permet de constater la variété des stratégies employées par les
parents québécois au moment du repas. Ces données d’une grande pertinence pour la santé
publique permettront de cibler les messages clés à promouvoir auprès de ces acteurs
d’influence dans le développement des habitudes alimentaires des tout petits. / Context. Food attitudes and behaviors developed during early childhood greatly influence
the future relationships that children will have with food. Parents play a major role in this
part of their preschool child’s life.
Objective The main goal of this study is to explore attitudes and behaviors that Quebec
parents adopt at meal time with their preschooler in order to encourage healthy eating
practices as well as enjoyable family meals.
Methodology. To collect data, postcards, an innovative tool, were sent to six hundred fifty
day-care centres, also known as Centres de la petite enfance (CPE), of which there are
more than a thousand in Quebec. The postcards were then distributed to parents, who were
asked to respond to two open-ended questions. Analysis of the qualitative data was based
on Jean-Pierre Poulain’s food intake model.
Results. More than a thousand (1,257) postcards were used in the analysis. Data collected
illustrate first and foremost the vision that parents have of healthy eating and reveal two
diametrically opposed perspectives: quality and quantity. With regard to family meals,
respondents frequently mentioned conversation at the table, the presence of all family
members and the absence of television while eating.
Conclusion. Findings from this study show the diverse strategies used by Quebecers during
mealtimes. The data are essential to defining key public health messages about eating
habits for children that should be promoted among these influential actors.
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Étude des stratégies employées par des parents d’enfants d’âge préscolaire pour favoriser la saine alimentation et le repas en famille agréablePernice, Stéphanie 12 1900 (has links)
Contexte. Les attitudes et comportements alimentaires développés pendant la petite
enfance influencent grandement la relation future du mangeur à l’égard des aliments. Le
parent s’avère en ce sens des plus déterminants.
Objectifs. Cette étude vise à connaître les pratiques et attitudes employées par les parents
québécois d’enfants d’âge préscolaire pour favoriser le « bien manger » ainsi que le repas
familial agréable.
Méthodes. La collecte de données a été effectuée à l’aide de cartes postales qui étaient
distribuées dans six cent cinquante Centres de la Petite Enfance parmi les mille retrouvés
dans la province de Québec pour ensuite être remises aux parents. L’analyse des réponses
aux deux questions ouvertes figurant sur la carte postale a été effectuée en se basant sur le
modèle des prises alimentaires de Jean-Pierre Poulain.
Résultats. Plus de mille (1257) cartes postales ont été retenues aux fins d’analyses. Les
données recueillies permettent dans un premier temps de connaître la perception des parents
quant à la notion de manger bien. Les notions de qualité et de quantité, diamétralement
opposées se démarquent. Dans le cas du repas familial, la discussion, la présence de tous les
membres à table ainsi que l’absence de télévision sont abondamment mentionnées.
Conclusion. Cette étude permet de constater la variété des stratégies employées par les
parents québécois au moment du repas. Ces données d’une grande pertinence pour la santé
publique permettront de cibler les messages clés à promouvoir auprès de ces acteurs
d’influence dans le développement des habitudes alimentaires des tout petits. / Context. Food attitudes and behaviors developed during early childhood greatly influence
the future relationships that children will have with food. Parents play a major role in this
part of their preschool child’s life.
Objective The main goal of this study is to explore attitudes and behaviors that Quebec
parents adopt at meal time with their preschooler in order to encourage healthy eating
practices as well as enjoyable family meals.
Methodology. To collect data, postcards, an innovative tool, were sent to six hundred fifty
day-care centres, also known as Centres de la petite enfance (CPE), of which there are
more than a thousand in Quebec. The postcards were then distributed to parents, who were
asked to respond to two open-ended questions. Analysis of the qualitative data was based
on Jean-Pierre Poulain’s food intake model.
Results. More than a thousand (1,257) postcards were used in the analysis. Data collected
illustrate first and foremost the vision that parents have of healthy eating and reveal two
diametrically opposed perspectives: quality and quantity. With regard to family meals,
respondents frequently mentioned conversation at the table, the presence of all family
members and the absence of television while eating.
Conclusion. Findings from this study show the diverse strategies used by Quebecers during
mealtimes. The data are essential to defining key public health messages about eating
habits for children that should be promoted among these influential actors.
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La qualité des repas en famille conditionne différemment l’association prospective entre les tendances d’habitudes télévisuelles à la petite enfance et les relations sociales à l’adolescenceHarandian, Kianoush 06 1900 (has links)
Contexte : Malgré les directives sur le temps d’écran, les enfants passent plus de temps sur des appareils électroniques qu’auparavant, ce qui en fait un facteur de risque important pour le développement social ultérieur. Les facteurs de protection à l’utilisation prolongée des écrans dans le contexte de l’enfance sont peu explorés. Partager des repas dans un contexte familial pourrait offrir un moyen de favoriser le développement psychosocial et de contrer les risques associés au temps d’écran élevé. Cette étude examine l’interaction entre l’environnement des repas en famille et la tendance de temps d’écran à la petite enfance sur les principales relations sociales des adolescents. Il est attendu qu’une meilleure qualité des repas en famille joue un rôle protecteur sur l’association entre les tendances d’habitudes d’écran et les relations sociales adolescentes. Méthode : Les participants sont 1 455 enfants (50,9 % de filles) de la cohorte de naissances de l’Étude longitudinale du développement des enfants du Québec. Les parents ont rapporté l’utilisation d’écrans des enfants à 2 et 6 ans et la qualité de l’environnement des repas en famille à 6 ans. Les parents et les enfants ont respectivement fourni des mesures sur la relation parent-enfant et la victimisation à 13 ans. Les analyses ont testé l’association directe entre les tendances du temps d’écran et la qualité de l’environnement familial durant les repas sur les relations sociales ultérieures, en utilisant des régressions linéaires. Les analyses de modération ont ensuite examiné l’interaction entre les tendances de temps d’écran et la qualité de l’environnement des repas en famille sur les relations sociales. Résultats : Nous avons observé qu’une hausse dans le temps d’écran était associée à une relation père-fille moins conflictuelle et moins de victimisation chez les filles ainsi qu’à des relations moins positives avec les deux parents et moins de victimisation chez les garçons. Pour tous, un meilleur environnement lors des repas était associé à des relations sociales plus saines avec les parents et les pairs. L’environnement familial lors des repas avait un effet modérateur distinct sur l’association entre les habitudes télévisuelles et les relations des filles avec leur mère ainsi que leurs pairs. Entre autres, lorsque les repas représentaient une occasion d’expression et de communication, une hausse du temps d’écran était associée à une relation mère-fille plus positive et moins conflictuelle. Étonnamment, les filles participant à des repas en famille moins positifs et ayant une tendance de temps d’écran plus élevée éprouvaient moins de victimisation à l’adolescence. L’interaction entre les tendances de temps d’écran et la qualité de l’environnement des repas en famille n’était pas trouvée significative pour les garçons. Conclusion : Encourager les repas familiaux représente une activité simple/rentable qui peut compenser certains risques à long terme associés à une utilisation accrue des écrans au-delà des caractéristiques individuelles et familiales préexistantes et concurrentes. Les initiatives de santé publique devraient considérer les repas en famille comme une stratégie d’intervention complémentaire aux directives d’utilisation des écrans. Les directives sur l’utilisation des écrans devraient considérer les repas en famille comme une stratégie compensatoire. / Background: Despite screen time recommendations, children are increasingly spending time on electronic devices, rendering it an important risk factor for subsequent developmental outcomes. Not much is known about protective factors in childhood context. Sharing meals could offer a way to promote psychosocial development and counter risks associated with screen use. This study examines the interaction between family meal environment and early childhood screen time on key adolescent social relationships. We expect that better mealtime environment plays a protective role in the association between screen time trends and adolescent social relationships. Method: Participants are 1455 millennial children (50.9% girls) from the Quebec Longitudinal Study of Child Development birth cohort. Parents reported on child screen use at ages 2 and 6 years and family meal environment quality at age 6 years. Parents and children reported on parent-child relationships and victimization experiences, respectively, at age 13 years. Multiple regression estimated the direct association between screen time trends and family meal environment quality and the interaction between screen time trends and family meal environment quality on later social relationship outcomes. Results: We observed that a greater increase in screen time was associated with a less conflictual father-daughter relationship and less peer victimization for girls as well as less positive relationships with both parents and less victimization for boys. For both girls and boys, a better mealtime environment was associated with better social relationships with parents and peers. For girls, early childhood screen time trends had distinct impacts on relationships with mothers and peers, conditional on mealtime environment. When family meals are an opportunity to express feelings and communicate, increasing trends in screen time are associated with more positive and less conflictual mother-daughter relationships. These same increases in screen time were associated with less peer victimization when family meal environment quality was more dysfunctional. No meaningful non-linear associations between screen time trends and family meal environment quality were observed for boys. Conclusion: Capitalizing on family meal environment represents a simple/cost-efficient activity that can compensate for some long-term risks associated with increased screen use, above and beyond pre-existing and concurrent individual and family characteristics. Public health initiatives may benefit from considering family meals as a complementary intervention strategy to screen use guidelines.
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