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Inégalités environnementales en région Ile-de-France : répartition socio-spatiale des ressources, des handicaps et satisfaction environnementale des habitants

Gueymard, Sandrine 16 November 2009 (has links)
Encore peu explorée à ce jour, la thématique des inégalités environnementales fait l’objet d’un intérêt grandissant en France. Parmi les multiples définitions proposées et les quelques tentatives d’évaluation réalisées, une acception semble toutefois plus fréquemment rencontrée. Cette dernière renvoie à l’existence d’inégalités sociales dans l’accès aux ressources environnementales et l’exposition aux nuisances, risques et pollutions. Cette thèse s’est donc proposée, à l’échelle de la région Ile-de-France, d’explorer les relations qu’entretiennent les caractéristiques physiques de l’environnement et les caractéristiques socio-économiques des individus et des territoires. Partant d’indicateurs statistiques usuels, sociaux et environnementaux, deux typologies multicritères ont été réalisées à l’échelle des 1300 communes franciliennes. Leur croisement permet de confirmer l’existence d’une correspondance globale entre les caractéristiques environnementales et sociales des communes et ce, à la fois à l’échelle régionale ainsi qu’à l’échelle plus réduite des départements de première couronne francilienne. Nos résultats révèlent toutefois des liaisons plus ou moins prononcées selon les facteurs environnementaux renseignés et plus particulièrement selon la nature même de ces facteurs, porteurs d’aménités ou de désaménités environnementales. Cette première lecture est alors complétée par une enquête par questionnaires auprès des habitants de 6 communes franciliennes (600 personnes). L’enquête, centrée sur le vécu environnemental des habitants, réaffirme en premier lieu l’importance de la qualité de l’environnement en tant que facteur de choix et d’arbitrage résidentiel des ménages. Parmi les variables renseignées, deux registres explicatifs apparaissent plus particulièrement structurants des différences de satisfaction constatées: (i) l’ancrage résidentiel et la relation affective qui s’instaure au lieu de vie ; (ii) la confiance que les individus accordent aux moyens d’action collectifs pour prendre en charge les attentes qu’ils expriment en matière d’environnement. Aussi, l’analyse des déterminants de la satisfaction environnementale révèle que la satisfaction serait peut être moins directement dépendante des variables socio-économiques stricto sensu, des caractéristiques « objectives » de l’environnement, que des capacités et aptitudes différenciées des individus de contrôler leur environnement et d’agir sur celui-ci. Ce faisant, les informations livrées par le ressenti de la population in situ adressent des questions à la mesure empirique des inégalités environnementales et au cadre d’analyse, encore aujourd’hui en débat, de telles situations inégalitaires. / Still little investigated until now, the issue of environmental inequalities is a subject of growing interest in France. Among numerous definitions and a few evaluation attempts, one understanding seems to be more common. It refers to social inequalities in regard of both the access to environmental resources and the exposure to nuisances, risks and pollution. This thesis’ purpose was to explore the relations between the physical characteristics of the environment and the socio-economic characteristics of the individuals and the territories on the scale of the Paris metropolitan area. Two multi-criteria typologies were carried out on the scale of the 1300 cities belonging to the Paris metropolitan area, based on usual statistical indicators – both social and environmental. The crossing of these typologies confirmed the existence of an overall match between the environmental and social characteristics of the cities. This appeared to be true both on the regional scale and on a smaller scale, the departments of Paris’ inner suburbs. Our results revealed connections that are more or less distinct depending on the examined environmental factors and particularly on the very nature of these factors, i.e. whether they encompass environmental amenities or desamenities. The empirical research in form of questionnaires and distributed among inhabitants of 6 cities of the Paris metropolitan area (600 people) completed this first approach. The survey, focusing on the personal environmental experience of the inhabitants, initially reaffirmed the importance of environmental quality as selection criteria and residential arbitration for the households. Among the examined variables, two explanatory registers appeared especially structurant of the recorded differences in satisfaction: (i) the residential anchorage and the emotional relation taking place in the living space ; (ii) the trust individuals grant to means of collective action to convey their environmental expectations. Therefore, the analysis of the determinants of environmental satisfaction unveiled that satisfaction would be be less directly related to neither sole socio-economic variables or “objective” environmental data than to the individuals’ differentiated capacities and aptitudes to control their environment and act upon it. Hence, the information collected on site driven by the population’s feeling questions the empirical measurement of environmental inequalities as well as the framework of analysis for such unequal situations– at this stage still an ongoing discussion.
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Générations de classes moyennes et travail de gentrification : changement social et changement urbain dans le Bas Montreuil et à la Croix-Rousse, 1975-2005 / Middle class generations and “gentrification work” : social change and urban change in the areas of Bas Montreuil and Croix-Rousse, 1975-2005

Collet, Anaïs 08 December 2010 (has links)
À l’articulation entre sociologie urbaine et sociologie des groupes sociaux, la thèse est consacrée aux phénomènes de gentrification qui touchent les anciens quartiers populaires de centre-ville depuis plus de trente ans et à leurs acteurs habitants, les « gentrifieurs ». Caractéristiques de l’émergence des « nouvelles classes moyennes » à la fin des années 1970, désignés au début des années 2000 par la catégorie médiatique de « bobos », ceux-ci contribuent au changement urbain par leurs choix et leurs investissements multidimensionnels dans l’espace résidentiel. La première partie de la thèse est consacrée à l’étude des générations de « gentrifieurs » des Pentes de la Croix-Rousse à Lyon et du Bas Montreuil en région parisienne, de leurs profils sociologiques et des ressorts de leur choix résidentiel des années 1970 aux années 2000. La deuxième partie est dédiée à l’analyse localisée du « travail de gentrification » mené par les nouveaux résidents du Bas Montreuil et à l’articulation de ce travail à leurs trajectoires sociale, professionnelle, militante et familiale. Fondée sur des entretiens approfondis avec des « gentrifieurs » de diverses époques, étayée par l’analyse de statistiques localisées sur la longue durée, systématiquement replacée dans les contextes globaux et locaux, l’enquête permet d’éclairer les ressorts sociaux des mutations des quartiers anciens de centre-ville et de proche banlieue en même temps que les recompositions des fractions supérieures des classes moyennes. / At the intersection between urban sociology and social group sociology, the thesis addresses the phenomena of gentrification affecting historical working-class areas over the last thirty years and their key players, the gentrifiers. Typical of the emerging “new middle classes” in the late 1970s, categorized by the media as “bobos” in the early 2000s, gentrifiers contribute to urban change through their choices and multidimensional investments in the residential space. The first part of the thesis is devoted to the study of generations of gentrifiers in the Pentes de la Croix-Rousse area in Lyon and in the Bas Montreuil area near Paris; it presents their sociological profiles and residential choices from the 1970s to the 2000s. The second part is devoted to the local analysis of the “gentrification work” in which new residents of the Bas Montreuil are engaged, in connection with their social, professional, militant and family trajectories. Based on extensive interviews with gentrifiers from various waves, supported by the analysis of long-term localized statistics, systematically replaced in the global and local contexts, the survey sheds light both on the sociological changes affecting historical central and suburb neighbourhoods and on the reshaping of higher fractions of the middle classes.
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Les mobilités cyclistes et leurs liens avec les préférences résidentielles des ménages : Le cas de travailleurs métropolitains de la région de Montréal

Lamoureux, Benjamin 20 April 2022 (has links)
La protection de l’environnement et les changements climatiques sont des sujets importants depuis longtemps dans la sphère politique québécoise et montréalaise. Les questions environnementales incitent les pouvoirs publics, les forces politiques civiles et la population à explorer de nouvelles façons de se déplacer. Des citoyens et des initiatives politiques font alors foi d’une vision utilitaire renouvelée du vélo à Montréal. Il est donc opportun de questionner si l’accroissement considérable des parts modales du vélo peut avoir une incidence sur le marché immobilier montréalais ou porter certaines tendances. Cette recherche vise à mettre en lumière les liens entre les mobilités cyclistes, et les choix résidentiels. Le mémoire tente d’explorer si les cyclistes ont un profil résidentiel différent de ceux utilisant d’autres moyens de transport avec des projets résidentiels bien connus. Cette recherche mobilise deux méthodes d’analyse. Tout d’abord la méthode quantitative qui est possible grâce à la base de données issue du projet de recherche de Lord et al. (2016). Ensuite, elle utilise les données qualitatives de treize entrevues semi-dirigées avec des travailleurs métropolitains pour approfondir la connaissance de leurs projets résidentiels et leurs rapports aux mobilités cyclistes. Les conclusions de ce mémoire ne permettent pas d’identifier un profil résidentiel fortement différent de ceux utilisant d’autres moyens de transport, le profil résidentiel cycliste se rapprochant trop du profil résidentiel des utilisateurs de transport en commun. Elles permettent toutefois d’établir un profil résidentiel cycliste typique qui nous informe sur les caractéristiques du quartier et du logement recherchés par les cyclistes. / Environmental protection and climate change have long been important issues in Quebec and Montreal politics. Environmental issues are prompting public authorities, civil political forces and the population to explore new ways of getting around. Citizens and political initiatives are now showing a renewed utilitarian vision of cycling in Montreal. It is therefore timely to question whether the considerable increase in the modal share of cycling can have an impact on the Montreal real estate market or carry certain trends. This research aims to shed light on the links between cycling mobility and residential choices. The research attempts to explore whether cyclists have a different residential profile than those using other means of transportation with well-known residential projects. This research mobilizes two methods of analysis. First, the quantitative method that is possible through the database, which originated from the research project of Lord et al. (2016). Second, it uses qualitative data from thirteen semi-structured interviews with metropolitan workers to gain further insight into their residential projects and their relationships to cycling mobilities. The findings of this paper do not identify a residential profile that is significantly different from those using other modes of transportation, as the residential profile of cyclists is too close to the residential profile of transit users. They do, however, provide a typical residential cycling profile that informs us about the neighborhood and housing characteristics that cyclists are looking for.
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Dynamiques résidentielles dans une ville ouest-africaine : déterminants du statut d'occupation du logement à Lomé (Togo)

Fiawumor, Senyo 03 1900 (has links)
La stratégie «Adequate shelter for all and sustainable settlements development in an urbanising world» adoptée au sommet mondial Habitat II d’Istanbul de 1996, traduite dans les Objectifs du Millénaire pour le Développement et maintenant dans les Objectifs de Développement Durable, vise à fournir un logement décent au plus grand nombre de ménages dans les villes du monde et celles d’Afrique Subsaharienne en particulier. La crise du logement caractérisée par les conditions abjectes dans lesquelles la majorité des ménages des villes d’Afrique subsaharienne se logent, devient ainsi un problème majeur auquel la littérature spécialisée promeut généralement, parmi tous les modes d’occupation du logement, l’accession à la propriété comme la panacée. En supposant que cette dimension de la crise du logement ne peut s’expliquer que par les comportements résidentiels des ménages généralement autopromoteurs de leurs logements en Afrique de l’Ouest, et à Lomé la capitale du Togo en particulier, cette thèse de doctorat vise à répondre à la question générale de recherche suivante : Les choix résidentiels à Lomé, en particulier le choix du statut d’occupation du logement, sont-ils exclusivement influencés par le profil des ménages occupants? Par une approche mixte d’écologie urbaine basée sur des analyses croisées de régression logistique multinomiale appliquées à trois sources de données (RGPH4 de 2010, QUIBB de 2011, TERRAIN 2013) étayées par l’analyse biographique relative aux stratégies résidentielles d’un échantillon de 411 ménages participants dans quatre quartiers de Lomé, choisie comme base empirique, la recherche a plus ou moins confirmé les hypothèses émises a priori par les résultats principaux suivants: En lien avec la faible mobilité résidentielle générale qui caractérise les pratiques résidentielles à Lomé, les ménages choisissent, en élaborant des stratégies «de petits pas», leur statut d’occupation du logement suivant des trajectoires résidentielles surtout ascendantes, en fonction plus de leur profil démographique (âge, genre, statut migratoire et matrimonial, type et taille) que de leur statut socioéconomique (revenu, emploi, éducation). Ces choix résidentiels sont également déterminés par les attributs des logements (typologie, localisation et accès aux services de base) constituant les parcs résidentiels existants. Les ménages propriétaires de Lomé, souvent biparentaux, sont plus âgés, plus larges que les ménages locataires et hébergés. Les natifs de la ville et les migrants de longue date sont plus enclins à être propriétaires et durablement hébergés que les nouveaux arrivants. Globalement plus fortunés que les hébergés, les propriétaires ne sont pas forcément plus nantis et plus éduqués que les locataires. L’habitat de cour, habitation multifamiliale majoritaire dans le parc résidentiel de Lomé, bien qu’il abrite des ménages de tous les statuts résidentiels, il est surtout réservé aux locataires. La thèse suggère que des programmes accrus de financement institutionnel du logement, de rénovation générale du parc résidentiel existant et de production d’une version améliorée de l’habitat de cour, avec l’assistance technique publique, contribueront à fournir un logement décent au plus grand nombre de ménages qu’ils soient propriétaires, locataires ou hébergés, à Lomé et ailleurs dans les villes d’Afrique de l’Ouest, conformément au paradigme actuel du développement durable des établissements humains. / «Adequate shelter for all and sustainable settlements development in an urbanizing world», strategy adopted in 1996 at the World Summit Habitat II of Istanbul and expressed in the Millennium Development Goals and now in Sustainable Development Goals, aims to provide a decent housing for the greatest number of households in the world and especially in sub-saharian African towns. Since then, access to adequate housing becomes an important issue for housing research in developing and sub-Saharan African countries where most of households still live in abject conditions of lack adequate water and sanitation services which, among others, typify the acute housing crisis they are facing up to. Housing policies and literature generally promote homeownership as the panacea to solve this size of the housing shortage. Assuming that this housing crisis in West Africa, especially in Lomé the capital of Togo, should be explained by the residential behavior of the households, who are self-help promoters in majority, this doctoral thesis try to answer the following general research question: Are the residential choices in Lomé, especially tenure choice, exclusively influenced by the occupier households’ characteristics? By a mixed approach of urban ecology based on multinomial logistic regression cross-study analyses applied to three data sources (RGPH4 2010, QUIBB 2011 and 2013 field survey data) supported by the life histories concerning the residential strategies of a sample of 411 households in four areas of Lomé chosen as empirical basis, the research confirms more or less the assumptions made, by the following main results: In connection with the general low residential mobility that characterizes the residential patterns in Lomé, households make their tenure choices through especially upward trajectories by developing strategies of «small steps», more according to their demographic profile (stage of life cycle, age, gender, migratory and marital status, type, size) than their socioeconomic status (income, employment, education). These residential choices are also determined by the characteristics of the existing residential parks (typology, location, access to basic services of housing). We find that owner-occupiers are often bi-parental households headed by men, older and larger than renter and free-holder households in Lomé. Native and long-term migrant households are more likely to be homeowners and long-term sharers than those who recently migrate. Homeowner households are overall well-off than free-holders, but they are not necessary wealthier and better educated than the renters. The thesis also shows that family house which mainly makes up the residential park of Lomé, is especially kept for renters, although it shelters households of all the tenures. We suggest that steady programmes of housing finance systems extended to all the sectors of the society, concentrated on the access of the current housing stock to basic services and on the supply, with the public technical support, of an improved version of family house, will largely contribute to offer a decent housing to most of the households in Lomé as elsewhere in West African cities, whether they are owner-occupiers, renters or sharers.

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