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Music Drama as Modernist Text. «Erfahrung» and «Erlebnis» in Wagner's «Ring» CycleDaverio, John 08 January 2020 (has links)
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Entfremdung und Erinnerung. Zu Wagners ”Götterdämmerung”Dahlhaus, Carl 13 January 2020 (has links)
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Richard Wagners Skizzen zur neuen Venus-SzeneAbbate, Carolyn 13 January 2020 (has links)
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Beiträge zum Symposium Wagner-Lesarten – Richard Wagners »Der Ring des Nibelungen« im Blickfeld der ›Historischen Aufführungspraxis‹Müller, Kai Hinrich 26 June 2019 (has links)
Ein Volltext für den Gesamtband liegt nicht vor. Die mit diesem Datensatz verknüpften Beiträge enthalten die PDFs des jeweiligen Einzelaufsatzes.
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Germanic mythology in Richard Wagner's 'Der Ring'Berger, Emile. January 2002 (has links)
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A Psychological Approach to the Character of Wotan in Richard Wagner's Der Ring Des NibelungenElam, Donald W. (Donald Willis) 06 1900 (has links)
The ancient Germanic god that Richard Wagner resurrected in his operatic style Der Ring des Nibelungen was worshiped and feared from Greenland to Asia Minor for 1,000 years after the birth of Christ. This thesis examines the psychological aspects of Wotan as he appears in the opera.
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Chausson dans l'ombre de Wagner? : de la genèse à la réception du Roi ArthusBenoit-Otis, Marie-Hélène 02 1900 (has links)
Thèse réalisée en cotutelle avec la Freie Universität Berlin. La version intégrale de cette thèse est disponible uniquement pour consultation individuelle à la
Bibliothèque de musique de l’Université de Montréal (www.bib.umontreal.ca/MU). / Ce travail aborde l’aspect spécifiquement compositionnel du phénomène
wagnérien en France dans les dernières décennies du XIXe siècle, par le
biais d’une étude de cas centrée sur l’opéra Le Roi Arthus d’Ernest
Chausson (1855-1899). Exceptionnellement bien documenté grâce à de
nombreuses sources dont une bonne part sont inédites (brouillons et
esquisses du livret et de la partition, correspondance, etc.), cet opéra
composé de 1886 à 1895 et créé en 1903 au Théâtre de la Monnaie de
Bruxelles offre en effet un aperçu privilégié de la relation complexe
qu’entretiennent les compositeurs français de cette époque avec l’imposante
figure de Wagner.
La question de l’influence wagnérienne dans Le Roi Arthus est abordée
ici dans le cadre d’une démarche appliquant, dans une perspective
historique, la méthode sémiologique développée par Jean Molino et
Jean-Jacques Nattiez. L’analyse de la genèse, de la version finale et de la
réception de l’oeuvre au moment de sa création permet d’obtenir une vue
d’ensemble inédite des rapports s’établissant entre l’opéra de Chausson et
les drames lyriques de Wagner, en particulier Tristan und Isolde. Il en
ressort que des premières esquisses à la création de l’opéra, Le Roi Arthus
a évolué dans une dialectique complexe avec un modèle à la fois craint et
admiré.
Ardent wagnérien dès son plus jeune âge, Chausson ne souhaite pas
pour autant devenir un épigone de Wagner. Sur les conseils d’Henri
Duparc, il déploie donc de grands efforts pour « déwagnériser » le livret du
Roi Arthus, qu’il rédige lui-même à partir d’un sujet mythique rappelant
fortement Wagner. La version finale du livret, si elle présente encore quelques points de contact avec Tristan und Isolde et Der Ring des
Nibelungen, incarne cependant une vision du monde très éloignée de celle
de Wagner, et dans laquelle des valeurs comme l’honneur et la fidélité
l’emportent sur un amour interdit apparaissant condamné d’avance. Cette
dramaturgie aux antipodes de celle de Tristan s’appuie, paradoxalement,
sur des références musicales wagnériennes que Chausson intègre et précise
graduellement au fil de la genèse de la partition, et dont la mise en oeuvre
souligne habilement tout ce qui sépare Lancelot et Genièvre, amants
dépareillés, du couple indissociable formé par Tristan et Isolde.
Dans cet opéra conçu, mais jusqu’à un certain point seulement, dans
l’ombre de Wagner, ce sont les ressemblances musicales et surtout
dramatiques avec Tristan und Isolde qui ont le plus frappé les critiques des
premières représentations, donnant lieu à une réception où la question de
l’influence wagnérienne occupe une place prépondérante. Mais si tous les
recenseurs abordent cette question, ils le font sous des angles variant en
fonction de facteurs extérieurs à l’oeuvre, comme leur formation antérieure,
leur propre position face à Wagner et les liens qu’ils ont entretenus avec
Chausson alors qu’il était encore vivant.
Au-delà des connaissances qu’elle permet d’acquérir sur l’oeuvre, et plus
particulièrement sur sa genèse, l’étude du Roi Arthus dans une triple
perspective poïétique, immanente et esthésique s’ouvre donc sur un
portrait du rôle central joué par le « Maître de Bayreuth » dans
l’imaginaire musical de la fin du XIXe siècle, tout en jetant les bases d’une
synthèse encore à faire des stratégies créatrices employées par les
compositeurs d’opéra français face au modèle de Wagner. / This thesis examines the compositional aspect of Wagnerism in France
during the final decades of the 19th century, through a case study of Ernest
Chausson’s (1855-1899) opera Le Roi Arthus. Exceptionally well
documented thanks to a large number of sources, most of which are
unpublished (drafts and sketches of the libretto and score, correspondence,
etc.), this opera, composed between 1886 and 1895 and premiered at the
Théâtre de la Monnaie in Brussels in 1903, in fact allows a remarkable
glimpse into the relationship between French composers of the period and
the imposing figure of Wagner.
The question of Wagnerian influence in Le Roi Arthus is here
approached through a methodology that applies the semiotic model
developed by Jean-Jacques Nattiez and Jean Molino in a historical
perspective. An analysis of the genesis of the opera, its final version and
the reception of its premiere provides a fresh overall view of the connection
between Chausson’s opera and Wagner’s music dramas, particularly
Tristan und Isolde. What emerges is a complex dialectic between Le Roi
Arthus—from the first sketches to the opera’s premiere—and a model that
provoked both disquiet and admiration.
Though an ardent Wagnerian from an early age, Chausson did not
want to merely become an epigone of the German composer. Following
advice from Henri Duparc, Chausson therefore expended considerable
effort in “dewagnerizing” the libretto of Le Roi Arthus, which he wrote
himself, based on a mythical subject strongly reminiscent of Wagner. The
final version of the libretto, while it maintains some links with Tristan und
Isolde and Der Ring des Nibelungen, otherwise projects a worldview quite unlike Wagner’s, in which values such as honor and fidelity outweigh a
forbidden love that seems doomed from the start. Paradoxically, this
un-Tristanesque dramatic setup rests in part on Wagnerian musical
references that Chausson integrated and honed gradually as he composed
the score, and whose treatment cleverly underscores what separates
Lancelot and Genièvre, poorly matched lovers, from the integrated couple
formed by Tristan and Isolde.
In this opera conceived, but only up to a point, in Wagner’s shadow,
the musical and especially dramatic resemblances with Tristan und Isolde
are what have most struck the critics of the first performances, which has
given rise to a reception where the question of Wagnerian influence
dominates. However, even though all critics touched on this question, they
did so from points of view that vary according to factors extrinsic to the
work, such as their own prior training, their personal positions on Wagner
and the relationships they had had with Chausson during his lifetime.
Beyond the knowledge it allows us to gain on the work itself, and more
particularly on its early development, the study of Le Roi Arthus from
poietic, immanent and esthesic perspectives opens onto an understanding
of the central role played by the “Bayreuth Master” in late 19th-century
musical imagination, while creating the basis necessary to undertake a new
synthesis of the creative strategies used by composers of French opera
faced with the Wagnerian model.
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Neue Funktionen für eine alte Bühnentradition - Richard Wagners Musik auf dem Theater / New Functions for an Old Stage-Tradition - Richard Wagner´s On-Stage-MusikFink, Gerald January 2008 (has links) (PDF)
„Musik auf dem Theater“ bildet eine lange Tradition, die Schauspiel und Oper großteils gemeinsam haben. Die Bezeichnung „Inzidenzmusik“ verweist auf die enge Bindung an die Handlung, in die sie „einfällt“. Richard Wagner, der alle seine musikdramatischen Werke mit Bühnenmusik versieht, knüpft an diese Tradition an. Dabei können drei Traditionsstränge unterschieden werden: Die inzidierende Musik, die sich dadurch auszeichnet, dass sie nach der Konvention feststehender Instrumenten-Emblematik im gesprochenen wie im gesungenen Drama eingesetzt wird, findet bei Wagner regelmäßig Anwendung. Die banda sul palco, die dagegen als Opernspezifikum zu betrachten ist, setzt er nur in seinen ersten Opern ein. Relativ selten treten gemischte, meist nicht sichtbar hinter der Bühne positionierte Instrumentengruppen auf, die mit transzendierender Musik eine jenseitige Welt repräsentieren sollen. Wagner weist der Bühnenmusik, neben ihren konventionellen Funktionen, weitere, neue Aufgaben zu. Die Musik auf dem Theater, die oft eher im Zusammenhang aufführungsbedingter Praxis denn als Teil auktorialer Originalität gesehen wird, erhält dadurch einen entscheidenen Platz in der Gesamtkonzeption und kann nicht beliebig ausgetauscht oder weggelassen werden. Ihre substantielle Rolle zeigt sich bereits im Kompositionsprozeß: Die Skizzen zur Bühnenmusik entstehen sehr früh, häufig weisen sie sogar in die Zeit der ersten Inspiration. Ihr motivisches Material hat Einfluß auf die Anlage des Werkganzen, formuliert aber auch in Form höchstverdichteter musikalischer Chiffren die wesentliche Aussagen des Gesamtwerkes. Am „fertigen“ Musikdrama zeigt sich, dass sie häufig Einsatz an den dramaturgisch wichtigen Stellen der Aktanfänge und -zäsuren findet. Als eine „ursprüngliche Sprache“ repräsentiert sie außerdem (ästhetisch gesehen) eine Sphäre, die sich von der Musik aus dem Orchestergraben deutlich unterscheidet. Obwohl Wagner die Bühnenmusik in seinen theoretischen Schriften kaum thematisiert, vertraut er ihr in allen Phasen seines Schaffens wesentliche Aufgaben an. Die herausgehobene Stellung der Musik auf dem Theater stellt eine bedeutende Konstante im Werk Richard Wagners dar. / On-Stage-Music are found in all operas of Richard Wagner. On one hand they follow old traditions, as the "banda sul palco". On the other hand Wagner gives new functions to incidental music.
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Une méthode dangereuse : comprendre le processus créateur en musique de film, le cas de Norman McLaren et Maurice Blackburn, David Cronenberg et Howard ShoreHellégouarch, Solenn 06 1900 (has links)
Cette version de la thèse a été tronquée des certains éléments protégés par le droit d’auteur. Une version plus complète est disponible en ligne pour les membres de la communauté de l’Université de Montréal et peut aussi être consultée dans une des bibliothèques UdeM. / Si Norman McLaren (1914-1987) œuvre principalement dans le domaine onirique de l’animation, David Cronenberg (1943-), parfois surnommé « The Baron of Blood », réalise des films de fiction appartenant à un genre singulier qu’il a lui-même développé, celui de « l’horreur intérieure ». Que peuvent donc partager ces deux cinéastes aux univers a priori si distincts ? Chacun a construit une relation à long terme avec un compositeur : Maurice Blackburn (1914-1988) pour le premier, Howard Shore (1946-) pour le second. Mais si les univers des deux réalisateurs ont été maintes fois investigués, l’apport de leurs compositeurs respectifs demeure peu examiné. Or, d’un univers à l’autre, la musique semble jouer un rôle de toute première importance, chacun des compositeurs étant impliqué très tôt dans le processus cinématographique. Cette implication précoce dans la création collective est indicatrice de la place et du rôle centraux qu’occupent Blackburn et Shore et leur musique au sein de l’œuvre de McLaren, d’une part, et de Cronenberg, de l’autre. De la sorte, les partitions semblent ne pouvoir être considérées comme une simple illustration sonore des films, mais comme une composante tout à fait fondamentale, relançant dès lors la question du rôle de la musique au cinéma : comment le définir ? En outre, au fil de la rencontre continue sur plusieurs films, musique et cinéma en sont venus à un entrelacement tel qu’un style singulier de musicalisation des images se serait développé : quels sont les traits qui définissent ce style ? D’une collaboration à l’autre, cette thèse cherche à établir une poïétique de la création musico-filmique ; elle cherche à décrire et à comprendre les processus créateurs filmique et musical qui déterminent la composition d’une musique de film et, plus encore, une musicalité de tout le complexe audio-visuel. À travers des portraits examinant la pratique et le discours des créateurs et quatre analyses de bandes sonores (A Phantasy de Norman McLaren, Jour après jour de Clément Perron, Crash et A Dangerous Method de David Cronenberg), des liens se tissent peu à peu entre les pensées et les pratiques des deux compositeurs qui développent des stratégies similaires et originales face aux problèmes que leur posent les œuvres de McLaren (l’indissociabilité de la musique et de l’image) et de Cronenberg (la « transformation de l’esthétique humaine »). D’un binôme à l’autre, le cinéma se transforme en un laboratoire musico-filmique où chacun élabore une « méthode dangereuse » qui force l’analyste à explorer de nouvelles avenues méthodologiques. / Norman McLaren’s (1914-1987) animation work evokes a primarily dream-like world. David Cronenberg (1943-), also sometimes known as the “Baron of Blood,” makes fiction films that belong to a singular genre he developed: the “inner horror.” So what can these two filmmakers possibly have in common? They both built a long-term relationship with composers: Maurice Blackburn (1914-1988) for the former and Howard Shore (1946-) for the latter. Though the distinct approaches of these two directors have been widely studied, the weight of the contributions of their respective composers remains largely unmeasured. And this, despite the fact that music seems to play a primary role in these two directors’ process since, in each instance, the composer is involved very early on. This unusually early involvement of the composer, and the ongoing collaboration it entails, are indicative of the central place and role held by Blackburn and Shore’s music in McLaren’s work on the one hand, and Cronenberg’s on the other. This considered, their scores must no longer be seen as direct sound illustration of the films, but rather as essential components of the films, even though such a stance forces us to rethink how we define the role of music in film. Furthermore, from film to film, music and cinema become so intertwined that a singular style of musicalization of the image develops, begging the question: what are the characteristics of this style? From one collaboration to the other, this thesis seeks to establish a poietic of film-music creation; it looks to describe the cinematic and musical creative processes that determine the composition of film music and, beyond that, the musicality of the entire audio-visual complex. Through portraits that investigate the practice and discourse of creators and through the analysis of four soundtracks (A Phantasy by Norman McLaren, Day After Day by Clément Perron, Crash and A Dangerous Method by David Cronenberg), the thoughts and practices of the two composers, who develop similar innovative strategies to solve the problems posed by the works of McLaren (the inseparability of music and image) and Cronenberg (the “transformation of human aesthetics”), are gradually connected. From one duo to another, cinema becomes a musical and cinematic laboratory where each develops a “dangerous method” which forces the analyst to explore new methodological avenues.
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