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上海城郊結合部住宅建設與城市化研究王和平 January 2003 (has links)
University of Macau / Faculty of Social Sciences and Humanities / Department of Government and Public Administration
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Causes and consequences of rural-urban migration: the case of Woldiya town, North EthiopiaMiheretu, Birhan Asmame 06 1900 (has links)
In developing countries like Ethiopia rural-urban migration affects development in both urban and rural areas. As such, this study aims at establishing the major causes and consequences of the movement of people from rural to urban areas. To achieve the objective 500 migrant household heads were selected randomly from three kebeles of the town. Both primary and secondary data were employed and were analyzed both qualitatively and quantitatively. The study revealed that migrants came to Woldiya in search of employment and to utilize urban services and education. Hence, the out flow of economically active people from the rural agricultural sector has a negative effect on production in the areas of origin and the receiving area now experiences problems such as a shortage of housing, unemployment, increasing cost of living, lack of access to social services, Therefore, to mitigate the problem of rural-urban migration is launching of integrated rural development policy / Geography / M.A. (Geography)
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The Transformation of a Neighborhood: Ransom Place Historic District, Indianapolis, 1900-1920Brady, Carolyn M. January 1996 (has links)
Indiana University-Purdue University Indianapolis (IUPUI)
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Lorsque les nouvelles populations rurales rencontrent les plus anciennes : l’expérience géographique au cœur de la nouvelle ruralité au QuébecGuimond, Laurie 18 January 2012 (has links)
Mobilité, désir d’accéder à une meilleure qualité de vie, attraction de la campagne s’accélèrent depuis une trentaine d’années au Québec, comme ailleurs en occident. La campagne et les usages que l’on en fait se diversifient et se complexifient, à l’instar des populations qui l’habitent. Dans ce contexte, cette thèse se penche sur l’expérience géographique de la campagne, en tant qu’espace social. Elle met en lumière l’expérience géographique des ruraux, plus particulièrement les modalités de leur rencontre dans divers lieux qui marquent leur quotidien. Le matériel empirique de la thèse consiste surtout en des témoignages recueillis lors d’entrevues qualitatives menées auprès de nouveaux résidents et des ruraux de longue date dans deux municipalités régionales de comté (MRC) contrastées au Québec : Brome-Missisquoi et Arthabaska. La démarche privilégiée et les principales contributions qui en découlent se déclinent en trois temps.
D’abord, une comparaison directe des deux populations rurales étudiées fait ressortir que leurs pratiques de mobilité et leurs sens des lieux se rejoignent dans une certaine mesure, mais affichent aussi des différences. Par exemple, elles partagent toutes deux un sentiment d’appartenance marqué à leur milieu de vie, mais pas nécessairement avec la même intensité et pour les mêmes raisons. En outre, leurs pratiques d’engagement local convergent, favorisées par un même désir de contribuer au bien-être de leur milieu.
La thèse démontre aussi que certains lieux de sociabilité rapprochent ces deux groupes au quotidien, quoique subsistent des tensions notamment liées à leurs origines rurale ou urbaine, leur classe sociale, leurs expériences antérieures des lieux, la durée vécue dans leur milieu de vie, leur historique familial, leurs représentations et usages de la campagne... Se décèle aussi un effet de milieu entre les deux MRC à cet égard. Dans l’ensemble, leur rencontre s’avère timide et surtout réservée à l’espace public.
Enfin, en se basant sur leurs représentations de l’avenir, la thèse illustre que l’espace de leur rencontre représente un espace d’opportunités pour le dialogue sur la campagne, bien que celui-ci ne se produise pas sans affrontements et heurts. Ainsi, au-delà du binarisme traditionnel et antagonique lié aux statuts de « nouveaux » et « anciens » ruraux, l’espace de rencontre, celui à l’intérieur duquel s’opèrent à la fois tensions, négociations, compromis et nouvelles alliances, participe à construire la nouvelle ruralité contemporaine.
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Lorsque les nouvelles populations rurales rencontrent les plus anciennes : l’expérience géographique au cœur de la nouvelle ruralité au QuébecGuimond, Laurie 18 January 2012 (has links)
Mobilité, désir d’accéder à une meilleure qualité de vie, attraction de la campagne s’accélèrent depuis une trentaine d’années au Québec, comme ailleurs en occident. La campagne et les usages que l’on en fait se diversifient et se complexifient, à l’instar des populations qui l’habitent. Dans ce contexte, cette thèse se penche sur l’expérience géographique de la campagne, en tant qu’espace social. Elle met en lumière l’expérience géographique des ruraux, plus particulièrement les modalités de leur rencontre dans divers lieux qui marquent leur quotidien. Le matériel empirique de la thèse consiste surtout en des témoignages recueillis lors d’entrevues qualitatives menées auprès de nouveaux résidents et des ruraux de longue date dans deux municipalités régionales de comté (MRC) contrastées au Québec : Brome-Missisquoi et Arthabaska. La démarche privilégiée et les principales contributions qui en découlent se déclinent en trois temps.
D’abord, une comparaison directe des deux populations rurales étudiées fait ressortir que leurs pratiques de mobilité et leurs sens des lieux se rejoignent dans une certaine mesure, mais affichent aussi des différences. Par exemple, elles partagent toutes deux un sentiment d’appartenance marqué à leur milieu de vie, mais pas nécessairement avec la même intensité et pour les mêmes raisons. En outre, leurs pratiques d’engagement local convergent, favorisées par un même désir de contribuer au bien-être de leur milieu.
La thèse démontre aussi que certains lieux de sociabilité rapprochent ces deux groupes au quotidien, quoique subsistent des tensions notamment liées à leurs origines rurale ou urbaine, leur classe sociale, leurs expériences antérieures des lieux, la durée vécue dans leur milieu de vie, leur historique familial, leurs représentations et usages de la campagne... Se décèle aussi un effet de milieu entre les deux MRC à cet égard. Dans l’ensemble, leur rencontre s’avère timide et surtout réservée à l’espace public.
Enfin, en se basant sur leurs représentations de l’avenir, la thèse illustre que l’espace de leur rencontre représente un espace d’opportunités pour le dialogue sur la campagne, bien que celui-ci ne se produise pas sans affrontements et heurts. Ainsi, au-delà du binarisme traditionnel et antagonique lié aux statuts de « nouveaux » et « anciens » ruraux, l’espace de rencontre, celui à l’intérieur duquel s’opèrent à la fois tensions, négociations, compromis et nouvelles alliances, participe à construire la nouvelle ruralité contemporaine.
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Lorsque les nouvelles populations rurales rencontrent les plus anciennes : l’expérience géographique au cœur de la nouvelle ruralité au QuébecGuimond, Laurie 18 January 2012 (has links)
Mobilité, désir d’accéder à une meilleure qualité de vie, attraction de la campagne s’accélèrent depuis une trentaine d’années au Québec, comme ailleurs en occident. La campagne et les usages que l’on en fait se diversifient et se complexifient, à l’instar des populations qui l’habitent. Dans ce contexte, cette thèse se penche sur l’expérience géographique de la campagne, en tant qu’espace social. Elle met en lumière l’expérience géographique des ruraux, plus particulièrement les modalités de leur rencontre dans divers lieux qui marquent leur quotidien. Le matériel empirique de la thèse consiste surtout en des témoignages recueillis lors d’entrevues qualitatives menées auprès de nouveaux résidents et des ruraux de longue date dans deux municipalités régionales de comté (MRC) contrastées au Québec : Brome-Missisquoi et Arthabaska. La démarche privilégiée et les principales contributions qui en découlent se déclinent en trois temps.
D’abord, une comparaison directe des deux populations rurales étudiées fait ressortir que leurs pratiques de mobilité et leurs sens des lieux se rejoignent dans une certaine mesure, mais affichent aussi des différences. Par exemple, elles partagent toutes deux un sentiment d’appartenance marqué à leur milieu de vie, mais pas nécessairement avec la même intensité et pour les mêmes raisons. En outre, leurs pratiques d’engagement local convergent, favorisées par un même désir de contribuer au bien-être de leur milieu.
La thèse démontre aussi que certains lieux de sociabilité rapprochent ces deux groupes au quotidien, quoique subsistent des tensions notamment liées à leurs origines rurale ou urbaine, leur classe sociale, leurs expériences antérieures des lieux, la durée vécue dans leur milieu de vie, leur historique familial, leurs représentations et usages de la campagne... Se décèle aussi un effet de milieu entre les deux MRC à cet égard. Dans l’ensemble, leur rencontre s’avère timide et surtout réservée à l’espace public.
Enfin, en se basant sur leurs représentations de l’avenir, la thèse illustre que l’espace de leur rencontre représente un espace d’opportunités pour le dialogue sur la campagne, bien que celui-ci ne se produise pas sans affrontements et heurts. Ainsi, au-delà du binarisme traditionnel et antagonique lié aux statuts de « nouveaux » et « anciens » ruraux, l’espace de rencontre, celui à l’intérieur duquel s’opèrent à la fois tensions, négociations, compromis et nouvelles alliances, participe à construire la nouvelle ruralité contemporaine.
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Lorsque les nouvelles populations rurales rencontrent les plus anciennes : l’expérience géographique au cœur de la nouvelle ruralité au QuébecGuimond, Laurie January 2012 (has links)
Mobilité, désir d’accéder à une meilleure qualité de vie, attraction de la campagne s’accélèrent depuis une trentaine d’années au Québec, comme ailleurs en occident. La campagne et les usages que l’on en fait se diversifient et se complexifient, à l’instar des populations qui l’habitent. Dans ce contexte, cette thèse se penche sur l’expérience géographique de la campagne, en tant qu’espace social. Elle met en lumière l’expérience géographique des ruraux, plus particulièrement les modalités de leur rencontre dans divers lieux qui marquent leur quotidien. Le matériel empirique de la thèse consiste surtout en des témoignages recueillis lors d’entrevues qualitatives menées auprès de nouveaux résidents et des ruraux de longue date dans deux municipalités régionales de comté (MRC) contrastées au Québec : Brome-Missisquoi et Arthabaska. La démarche privilégiée et les principales contributions qui en découlent se déclinent en trois temps.
D’abord, une comparaison directe des deux populations rurales étudiées fait ressortir que leurs pratiques de mobilité et leurs sens des lieux se rejoignent dans une certaine mesure, mais affichent aussi des différences. Par exemple, elles partagent toutes deux un sentiment d’appartenance marqué à leur milieu de vie, mais pas nécessairement avec la même intensité et pour les mêmes raisons. En outre, leurs pratiques d’engagement local convergent, favorisées par un même désir de contribuer au bien-être de leur milieu.
La thèse démontre aussi que certains lieux de sociabilité rapprochent ces deux groupes au quotidien, quoique subsistent des tensions notamment liées à leurs origines rurale ou urbaine, leur classe sociale, leurs expériences antérieures des lieux, la durée vécue dans leur milieu de vie, leur historique familial, leurs représentations et usages de la campagne... Se décèle aussi un effet de milieu entre les deux MRC à cet égard. Dans l’ensemble, leur rencontre s’avère timide et surtout réservée à l’espace public.
Enfin, en se basant sur leurs représentations de l’avenir, la thèse illustre que l’espace de leur rencontre représente un espace d’opportunités pour le dialogue sur la campagne, bien que celui-ci ne se produise pas sans affrontements et heurts. Ainsi, au-delà du binarisme traditionnel et antagonique lié aux statuts de « nouveaux » et « anciens » ruraux, l’espace de rencontre, celui à l’intérieur duquel s’opèrent à la fois tensions, négociations, compromis et nouvelles alliances, participe à construire la nouvelle ruralité contemporaine.
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