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Le Traité de Sympolitie entre Smyrne et Magnésie-du-Sipyle (242/1 av. J.C.) et le concept de patrios kora à l'époque hellénistique

Aumond, Luc 11 April 2018 (has links)
Certains témoignages épigraphiques permettent d'étudier le phénomène de la récupération du territoire ancestral (Jiàipioç X^Pa ) de la cité de Smyrne. Ils se situent durant les événements de la troisième guerre de Syrie (246 - 241 av. J.-C), opposant les royaumes séleucide et lagide sur la possession de la Coelé-Syrie. Le premier document (OGIS 228) est un décret de Delphes proclamant la liberté et l'asylie à Smyrne et à son sanctuaire d'Aphrodite Stratonicée, à la suite de la demande exprimée par Séleucos II. Le second document (OGIS 229), qui comprend deux décrets et un traité, raconte les actions entreprises par Smyrne à l'égard des Magnètes et des Palaimagnètes afin d'assurer leur fidélité envers le roi séleucide. Or le conflit est le prétexte pour Smyrne de reprendre possession du territoire ancestral mentionné dans les deux sources : la première mentionne la garantie de ce territoire par Séleucos II et par l'intervention du sanctuaire de Delphes; la seconde vit l'initiative de Smyrne concluant un traité de sympolitie avec sa voisine Magnésie-du-Sipyle afin de récupérer son territoire ancestral au-delà de ses frontières actuelles. La Jiàipioç x^>Pa était occupée en partie par la communauté composite de Magnésie-du-Sipyle, que les Smyrnéens associèrent à la leur par sympolitie. L'objet de cette recherche consiste à démontrer les avantages économiques et stratégiques pour Smyrne de récupérer la Ji&xpioç X^Pa. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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La fin des Séleucides (129 – 64 av. J. Chr.). Structures d’autorité centrale et autonomies locales / The end of the Seleucids (129-64 b.C.). Structures of central authority and local autonomies

Dumitru, Adrian 14 January 2012 (has links)
La présente thèse se propose d’analyser les causes qui ont mené à la chute de la dynastie Séleucide. L'approche traditionnelle des modernes incrimine la guerre civile qui a opposé deux demi-frères, Antiochos VIII et Antiochos IX, et qui s’est poursuivie sous leurs successeurs, en faisant surtout porter la recherche sur la reconstruction de la séquence des opérations militaires. Cela n'est possible que par une étude approfondie des ateliers monétaires, puisqu’en passant d’une main à l’autre, ils permettent d’établir les conquêtes et les pertes de chaque prétendant, jusqu'à la chute finale de la dynastie, qu’entraînent les actions du roi arménien, Tigrane le Grand, et l’arrivée de Rome à la fin des guerres mithridatiques.Notre approche s’en distingue parce qu’elle se concentre sur la relation entre les Séleucides et les communautés qui leur étaient soumises, notre hypothèse principale étant que le progrès de l’autonomie des communautés locales n'a pas été le résultat de l'affaiblissement de la dynastie mais une des causes qui ont miné la dynastie Séleucide et l’ont menée à l'effondrement final. / The goal of the current Ph.D. thesis consists in analyzing the causes that have lead to the fall of the Seleucid dynasty. The traditional approach of the modern scholars takes into account the civil war that broke up between the two half-brothers, Antiochus VIII and Antiochus IX (carried on by their successors) , with a particular accent placed on the reconstruction of the sequence of events. This was possible only through a careful survey especially of the numismatic evidence, since the mints that changed hands allowed to establish the offensives and counter-offensives of each claimant to the throne until the final breakdown, as a result of the actions of the Armenian king, Tigranes the Great, and of the coming of Rome at the end of the Mithridatic wars.Our approach was different in the respect that it focused on the relation between the Seleucid and the subject communities, our main hypothesis being that the local communities becoming autonomous was not the result of the decay of the dynasty but one of the causes that undermined the Seleucid dynasty and lead to the final collapse.
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Les conséquences géopolitiques du traité d'Apamée en Asie Mineure

Payen, Germain 24 April 2018 (has links)
Thèse en cotutelle, doctorat en histoire : Université Laval, Québec, Canada, Université de Paris-Sorbonne, Paris, France. / Cette thèse considère les suites de la paix d’Apamée sur le plan des relations politiques entre les États d’Anatolie et sur l’évolution de la place tenue par cette péninsule dans l’ordre géopolitique méditerranéen. Le traité d’Apamée, conclu en 188 avant notre ère entre la puissance romaine et le royaume séleucide, fut un acte diplomatique majeur pour l’Asie Mineure et l’ensemble de la région anatolienne, libérés de la domination des Séleucides. Jusqu’ici, l’historiographie traditionnelle a abordé ce sujet selon deux perspectives, à savoir l’apparition de l’impérialisme romain en Orient et la vie politique et administrative des cités égéennes. À l’inverse, cette étude se concentre sur les principales puissances politiques de la région anatolienne : les royaumes. Dans le cadre de cet espace fragmenté et diversifié, des modifications de l’équilibre géopolitique régional peuvent être mises en relation avec le bouleversement de l’ordre méditerranéen, par le croisement de sources grecques, latines et orientales, ainsi qu’en faisant usage de procédés développés par le courant de la World History. L’évolution ultérieure de la situation mise en place à Apamée est étudiée jusqu’au point de disparition d’une Anatolie dirigée par des souverains non incorporés dans l’horizon impérial des grandes puissances étrangères, situation à laquelle les ultimes défaites de Mithridate VI du Pont et de Tigrane d’Arménie face à Rome mirent un terme définitif. / The geopolitical aftermath of the treaty of Apamea in Asia Minor This thesis examines the effects of the peace of Apamea with regard to the political relations between the Anatolian states and analyses the importance that this region played in Mediterranean politics following this accord. The treaty of Apamea, concluded in 188 BC between Rome and the Seleucid kingdom, became a diplomatic milestone for Asia Minor and the entirety of Anatolia, then freed from Seleucid domination. The study of this subject has a long tradition in modern historiography, which consists of works focused on either the appearance of Roman imperialism in the East, or the political and administrative lives of the Greek cities. This study is specifically devoted to the central political powers of the Anatolian peninsula; that is to say, the independent kingdoms of Anatolia. The changes seen on the geopolitical balance of this fragmented region can be linked to the profound modifications on the scale of the whole Mediterranean. The sources considered include Greek, Latin and oriental documents and artefacts, as well as some “World History” theoretical approaches. The further evolution of the Apamean order can then be followed up until the disappearance of any powerful local power outside the foreign nations incorporated into imperial rule. The simultaneous defeats of Mithridates VI of Pontus and Tigranes of Armenia against Rome mark the end of this situation where independent kingdoms in this region pursued their own autonomous foreign policies.

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