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Bauernkrieg nach dem Bauernkrieg : die Verwüstung der Mühlhäuser Dörfer Dörna, Hollenbach und Lengefeld durch Eichsfelder Adel und Klerus /Müller, Thomas T. January 2001 (has links)
Magisterarbeit--Universität Göttingen, 2001. / Bibliogr. p. 166-180.
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Der Aufstieg Württembergs und Hessens zur Kurwürde, 1692-1803 /Pelizaeus, Ludolf, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Philosophische Fakultät--Mainz--Johannes Gutenberg-Universität, 1998. / Bibliogr. p. 549-587. Index. Résumé en anglais.
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Bürgerunruhen und Bürgerprozesse in den Reichstädten Mühlhausen und Schwäbisch Hall in der Frühen Neuzeit /Lau, Thomas, January 1900 (has links)
Diss.--Philosophische Fakultät--Universität Freiburg in der Schweiz, 1997. / Bibliogr. p. 521-539 et p. 570-576.
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Weltchronistik im ausgehenden Mittelalter : Heinrich von Herford, Gobelinus Person, Dietrich Engelhus /Baumann, Anette, January 1900 (has links)
Diss.--Philosophische Fakultät--München--Ludwig-Maximilians-Universität, 1994. / Contient quelques citations en latin. Bibliogr. p. 255-273.
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Potentes saeculi: pouvoir séculier et royauté sous le règne de Louis le Germanique (826-876)Glansdorff, Sophie 28 April 2006 (has links)
L’objet de cette thèse est d’étudier les relations entre Louis le Germanique et les aristocrates laïques, aussi bien ceux qui appartenaient à son propre royaume (de Bavière puis de Francie orientale), que ceux qui appartenaient aux autres royaumes issus du traité de Verdun (843). L’intérêt de cette recherche, qui s’inscrit dans le cadre d’un très récent renouveau d’intérêt pour le règne de Louis, est d’apporter un nouvel éclairage sur l’évolution politique de l’Empire carolingien central à tardif, en étudiant sa facette « orientale », souvent négligée par rapport à sa contrepartie « occidentale ».<p>Dans un contexte caractérisé par les rivalités et les conflits, il est évidemment vital pour le roi de s’assurer l’appui des grands et de les intégrer à son entourage. La première partie de ce travail a donc été consacrée à l’entourage du roi et à son évolution. Cet entourage a plus précisément été défini sur base du De Ordine Palatii d’Hincmar de Reims :il inclut d’abord les membres du Palais au sens étroit du terme (famille et détenteurs d’offices palatins – laïques en l’occurence -) ;ensuite l’ensemble des « grands » laïques du royaume, qui, sans détenir d’office au Palais, entretiennent une relation privilégiée avec le roi, soit qu’ils détiennent de lui un honor (les comtes), soit qu’ils appartiennent à ses vassaux ou à ses fideles. Au sein de cet ensemble de personnes, tous ne bénéficient cependant pas de la même « Königsnähe » ;par conséquent, en tenant compte de la nature des sources issues de Francie orientale (essentiellement les actes privés des abbayes et évêchés du royaume), il s’est avéré nécessaire de nuancer ce tableau en recherchant les personnalités qui font réellement preuve de la plus grande proximité avec le roi, sans être nécessairement pour autant les mieux documentés au niveau des sources.<p>De tous les membres (laïques) de cet entourage, les comtes sont apparus comme les plus importants, en raison de leur fonction même ;pour cette raison (et afin de rendre la consultation plus aisée et plus pratique pour qui s’intéresse aux comtes), une prosopographie a été constituée, incluant les comtes actifs en Bavière (826-887), Alémannie, Francie, Saxe, Thuringe (833-887) et Lotharingie orientale (870-887). <p>Si cette approche, essentiellement prosopographique, est intéressante en soi, elle ne permet néanmoins pas, en tant que telle, d’apprécier la teneur des relations entre roi et grands, ni de replacer celle-ci dans le cadre plus global de l’Empire carolingien. Pour ce faire, il est nécessaire d’y ajouter l’étude de certains éléments significatifs, qui permettent de dégager plus aisément continuités, ruptures et spécificités. A l’étude de l’évolution du fisc (et des spécificités des donations royales), s’est jointe celle des éléments représentatifs du pouvoir des aristocrates :possession de monastères privés, disposition de fortifications, transmission des offices comtaux. L’articulation de ces éléments avec le pouvoir royal révèle des spécificités très intéressantes, notamment au niveau du contrôle du roi sur les donations et honores accordés aux grands, le maintien de la révocabilité de ceux-ci étant visiblement souhaité ;s’il n’est pas toujours possible d’évaluer le rôle de la volonté royale dans cette évolution, il n’en va pas de même quand on étudie les divers actes d’infidélité, réels ou supposés, portés contre le roi. Les réactions royales, en la matière, semblent bien le signe d’une politique distincte et cohérente.<p>En conclusion, cette analyse se joint à l’approche prosopographique pour présenter une manière spécifique de concevoir, et d’aborder sur le plan pratique, les relations entre roi et grands. Sous certains aspects, ce règne se distingue nettement de celui de ses contemporains, et éclaire donc une autre facette de l’évolution de l’Empire carolingien postérieure au traité de Verdun, globalement (et provisoirement) plus maîtrisée qu’ailleurs ;celle-ci ne peut être ignorée et doit contribuer à nuancer l’image de l’évolution du pouvoir royal au IXème s.<p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les Pays-Bas espagnols et les Etats du Saint Empire (1559-1579): priorités et enjeux des correspondances diplomatiques en temps de troublesWeis, Monique January 2000 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les Combats de Carnaval et Réformation. De l'instrumentalisation à l'interdiction du Carnaval dans les Eglises luthériennes du Saint-Empire au XVIe siècle / Fights of Carnival and Reformation. From instrumentalizing to banning carnival by Lutheran churches in the 16th century Holy Roman EmpireGuillabert, Tiphaine 25 November 2017 (has links)
Le carnaval, symbole de la culture festive de l’Europe du Moyen Age, a aujourd’hui largement disparu. L’impact de la Réformation a souvent été questionné, sans être étudié : quel rôle Luther et les siens ont-ils joué dans cette évolution? Dans l’Empire, le carnaval est d’abord utilisé comme un instrument au service de l’entreprise de déstabilisation et de désacralisation de l’Église romaine. Dès 1520, Luther lui emprunte un langage bas, propice à la satire et cohérent avec le principe du sacerdoce universel. Les carnavals moquent l’Église comme un élément malsain de la société, et favorisent la révolution religieuse en présentant le retour à l’ordre comme celui de la réforme de l’Église folle. Pourtant, à mesure que la puissance de destitution du carnaval se révèle et que les clercs protestants se mettent à le définir comme la fête de la fausse Église, les Églises luthériennes basculent contre le carnaval. Dès lors, prédicateurs et réformateurs cherchent des solutions pastorales et liturgiques pour le supplanter. Théoriquement, ces efforts sont épaulés par l’action des autorités temporelles. Mais il faut du temps pour que celles-ci s’approprient leur charge, et surtout pour qu’elles considèrent le carnaval comme un élément nuisible à la société, à rebours des traditions de diplomatie et de cohésion civique qu’il assumait jusqu’alors. Ce combat contre carnaval, qui mène peu à peu à son interdiction par les Églises luthériennes, exprime le refus d’une culture profane préexistant à la Réformation. La lenteur et la difficulté à éradiquer le carnaval s’expliquent à la fois par son ancrage coutumier et son aspect protéiforme. / Carnival, which was emblematic of the festive culture in mediaeval Europe, has disappeared to a large extent today. The question of the impact of the Reformation has often come up without being studied: what part did Luther and his followers play in this evolution? In the Holy Roman Empire carnival was first used as a means for destabilizing the Roman Catholic Church and taking away its sacred aura. As early as 1520 Luther adopted its low-level language, which was most suitable for satire and consistent with the principle of universal priesthood. Carnivals make fun of the Catholic Church as an unwholesome component of society and favor the religious revolution in presenting the restoration of order as the fruit of the reformation of a « foolish » Church. However,as the carnival subversive power was being revealed and the Protestant clerics started defining it as the feast ofthe false Church, Lutheran churches turned against it. Since then, preachers and reformers did try and find pastoral and liturgical ways of supplanting it. In theory, these efforts were supported by the action of the temporal authorities. But the latter were a long time taking on their responsibility and moreover considering carnival very harmful to society, against its traditional diplomatic and civic cohesion role. This long-term fight against carnival which leads progressively to its banning by the Lutheran churches expresses the refusal of a profane culture preexisting to Reformation. The reasons why it took such a long time to eradicate carnival are both its rooting inancient custom and its protean character.
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König Konrad III. (1138 - 1152) Hof, Urkunden und PolitikZiegler, Wolfram January 1900 (has links)
Zugl.: Wien, Univ., Diss., 2004
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Les mots du pouvoir : la communication politique de la France dans le Saint-Empire au début de la Guerre de Trente Ans (1617-1624) / The words of power : the french political communication in the Holy Roman Empire at the beginning of the Thirty Years War (1617-1624)Desenclos, Camille 06 December 2014 (has links)
La notion de communication politique reçoit des définitions diverses qui paraissent irréconciliables : définition de politologue fondée sur une organisation contemporaine de la politique poussant le concept dans le domaine de la propagande, définition de médiéviste mettant l'accent sur l'oralité et la symbolique des images. Amorcé en Allemagne dans les années 1990, un mouvement historiographique tend à se développer en France, mais sans pour autant offrir une définition applicable à l'ensemble de la modernité.En revenant au sens premier de la communication politique, soit à l’histoire politique et plus particulièrement diplomatique, il s'agit ici d’étudier la politique extérieure de la France et ses moyens (réseaux de communication et d'information, correspondances, production imprimée, etc.) et ainsi de retrouver le sens de l’action diplomatique française. Au-Delà de la simple étude fonctionnelle, seule une étude approfondie de la communication peut permettre de voir si et comment un État peut maîtriser un tel outil et dans quel(s) espace(s).Pour ce faire, le Saint-Empire au début de la guerre de Trente Ans fait office de terrain d'étude. La mise en place des différents acteurs et le déroulement des premiers affrontements en font un élément d'observation riche. L'étude se place également dans une période bien définie de l'histoire politique française : l'exercice personnel par Pierre Brulart, vicomte de Puisieux, de la charge de secrétaire d'État aux Affaires étrangères entre avril 1617 et février 1624. / The concept of political communication is confronted to various definitions which seem incompatible. The political one is based onto a contemporary management of the politics which pulls the concept to the field of propaganda. The medievalist one emphasizes the orality and the symbolic of images. Some studies have been led in Germany since the 1990's and intend to grow up in France but they do not offer a definition which could apply the modern era.We would come back to the initial meaning of the political communication, i.e. to the political and diplomatic history, in order to study the foreign politics of France and its means (communication and information networks, correspondences, printed documents, etc.) and find the direction of the diplomatic action of France. In addition to a classic functional study, a thorough study of communication should allow to observe if and how a State can control such tool and in which space(s).The Holy Roman Empire at the beginning of the Thirty Years War has been chosen as object for this study. The establishment of the various protagonists and the first confrontations turn it to a rich observation field. The study focuses too on a well defined period of the french politic history: the personal practice by Pierre Brulart, viscount of Puisieux, of the office of secretary of State for Foreign Affairs between april 1617 and february 1624.
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Cérémonial et statut : l’impact des négociations westphaliennes sur l’évolution du cérémonial diplomatique / Ceremonial and status : the role of the Westphalian Peace Negotiations in the development of diplomatic ceremonial / Zeremoniell und Status : die Bedeutung der Westfälischen Friedensverhandlungen für die Entwicklung des diplomatischen ZeremoniellsMay, Niels 08 December 2012 (has links)
Cette étude analyse le rôle des négociations westphaliennes (1643-1648) dans le développement du cérémonial diplomatique au XVIIe siècle en s’appuyant sur les correspondances entre les diplomates et leurs princes. La perspective des acteurs a été privilégiée pour mieux comprendre l’importance des différentes querelles et leurs logiques. Sur le plan méthodologique, nous nous interrogeons sur les implications et les limites des concepts utilisés pour appréhender le « cérémonial » en tant que phénomène historique. Une analyse se fondant sur la fonction représentative des diplomates laisse de côté plusieurs problèmes importants. La démonstration du rang princier ne constitue pas l’unique motif des querelles de cérémonial. Les diplomates provoquent en effet de nombreuses altercations non pas pour défendre le statut de leur prince mais plutôt pour asseoir le leur. Le cérémonial utilisé lors des négociations westphaliennes mélange ainsi le statut du représentant et celui du représenté. En outre, la signification des signes utilisés au cœur du cérémonial fait l’objet d’une discussion permanente et permet aux acteurs d’interpréter les incidents de différentes manières. Or, au cours du XVIIe siècle, le cérémonial renvoie de plus en plus à une signification précise, ce qui entraine une multiplication des querelles. Par ce processus, le cérémonial constitue désormais un instrument qui révèle moins la hiérarchie entre les différents princes que leur appartenance au cercle des Souverains. / This dissertation analyses the role of the westphalian negotiations (1643-1648) in the development of the diplomatic ceremonial in the 17th century through the examination of correspondence between diplomatic representatives and their princes. In order to better appreciate the importance of the different conflicts and their inherent logic, the study focuses on the actor’s perspective. Methodologically, the concepts utilized for understanding and describing the historical phenomenon « ceremonial » are critically analysed with respect to their implications and limits. This research suggests that an analysis solely based on the representative role of the diplomats would neglect important aspects given that the demonstration of rank is not the only motive in ceremonial conflicts. As such, the diplomats studied provoked many altercations not to confirm their prince’s status, but rather first and foremost to define and cement their own. Thus, the ceremonial of the westphalian negotiations blends the statuses of representative and represented. Furthermore, as the meanings of the signs used in the context of the ceremonial were not commonly defined, the various actors are able to interpret the events differently. In the course of the 17th century however, the ceremonial significations become more and more fixed and unified, which in turn leads to a multiplication of conflicts. This process lead to a situation where the function of the ceremonial was no longer to reveal the specific hierarchy among prince, but rather to display their adhesion to a group of Sovereigns.
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