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ABX-discriminability measures and applications / Mesures de discriminabilité ABX et applications

Schatz, Thomas 29 September 2016 (has links)
Cette thèse est, au départ, une contribution indirecte au problème de la modélisation de l'acquisition des catégories phonétiques chez l'enfant. Les modèles computationnels déjà proposés n'ont encore jamais été testés de manière systématique pour déterminer s'ils sont réellement à même de rendre compte d'une partie conséquente des observations empiriques disponibles. Nous développons une approche permettant une évaluation systématique des modèles sur la base de Mesures de Discriminabilité ABX. Nous montrons l'intérêt de notre approche en l'appliquant à deux problèmes reliés: la traitement des catégories phonétiques à la naissance et à l'âge adulte. La prochaine étape sera bien sûr d'appliquer notre approche aux modèles d'acquisition des catégories phonétiques.L'intérêt des Mesures de Discriminabilité ABX ne se restreint pas au cas particulier de l'évaluation des modèles de traitement des catégories phonétiques. Elle sont utiles dans l'étude de signaux autre que la parole et de catégories autres que les catégories phonétiques, ainsi que dans le cadre de champs disciplinaires autres que les sciences cognitives, comme l'ingénierie, l'exploration des données ou l'intelligence artificielle par exemple. Nous le justifions en étudiant les propriétés de ces mesures dans un cadre abstrait général et en présentant trois grandes familles d'applications: l'évaluation de la capacité de systèmes opérant en l'absence de supervision explicite à représenter une structure catégorielle; la formulation de modèles computationnels simples du comportement dans des tâches de discrimination; la définition de mesures descriptives pour des représentations associées à des données catégorielles. / This thesis constitutes an indirect contribution to the problem of modeling phonetic category acquisition in infancy. Some specific computational models of phonetic category acquisition have been proposed, but they were never tested extensively nor compared quantitatively to see whether they were really able to account for a sizable portion of the available empirical observations. In this thesis, we introduce ABX-Discriminability Measures and we develop a methodology based on these measures that allows to perform such a systematic evaluation. We demonstrate the interest of our framework by applying it to the evaluation of models for two related problems: phonetic category processing at birth and in adulthood. The next step, applying our framework to models of phonetic category acquisition, is left for future work.The interest of ABX-Discriminability Measures is not restricted to the particular problem of evaluating models of phonetic category processing in humans. We argue that their interest generalizes to the study of other signals than speech and other category structures than phonetic categories, as well as to other research fields than cognitive science, like low-resource engineering, data mining and artificial intelligence for example. To make this point, we study the properties of these measures in a general abstract framework and we detail the rationale for three broad family of potential applications: evaluating systems operating without explicit supervision in their ability to represent a category structure; providing simple computational models of behavior in discrimination tasks; providing descriptive measurements for representations of categorical data.
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Contribution à l'étude de l'interaction cognitivo-motrice au cours du vieillissement sain et chez des patients présentant un trouble cognitif léger

Gaillardin, Florence 22 January 2019 (has links) (PDF)
Les double-tâches consistant à effectuer simultanément une tâche motrice et une tâche cognitive sont fréquemment utilisées pour étudier les relations entre la cognition et la motricité. L’interaction cognitivo-motrice se définit par une modification de performance dans l’une ou l’autre tâche lorsqu’elles sont réalisées conjointement. Un premier postulat est la présence d’une interaction lorsque la réalisation des deux tâches implique l’activation de structures cérébrales et/ou processus cognitifs similaires. D’autre part, une altération de la performance dans l’une ou l’autre tâche peut également s’expliquer par l’utilisation de l’ensemble des ressources centrales disponibles pour les deux tâches. Plusieurs études rapportent une diminution des capacités en double-tâche avec l’avancée en âgé et plus spécifiquement encore chez des patients âgés présentant un un trouble cognitif léger (MCI) Cependant, les facteurs comme la nature de la tâche cognitive ou de la tâche motrice influençant l’interaction cognitivo-motrice et permettant d’isoler l’effet du vieillissement sain ainsi que l’effet d’un trouble cognitif léger (MCI) n’ont pas encore été établis. Cette dissertation doctorale a mis en évidence que l’interaction cognitivo-motrice n’était pas systématiquement présente et dépendait des caractéristiques des tâches cognitives et motrices. Nos données ont également montré qu’une tâche de locomotion dans un escalier, considérée comme plus complexe, était plus à même de générer une interaction cognitivo-motrice. De plus, si cette dernière s’associe à une tâche cognitive de type exécutive, les performances en double-tâche sont d’autant plus diminuées chez les seniors sains comparativement à des jeunes. De la même manière, nos résultats montrent aussi qu’une double-tâche comprenant une tâche de montée ou de descente d’un escalier et une tâche cognitive sollicitant le fonctionnement exécutif permettrait de différencier les patients présentant un MCI des seniors sains.Néanmoins, les améliorations des performances cognitives observées au moyen d’une stimulation transcranienne à courant continu chez des seniors sains, indique qu’il est possible de minimiser la magnitude de l’interaction cognitivo-motrice.En conclusion, le développement de double-tâches cognitivo-motrices écologiques et fonctionnelles, requérant le fonctionnement exécutif apparait pertinent pour distinguer le vieillissement sain du pathologique et ainsi améliorer encore le dépistage des troubles cognitifs précoces chez les patients MCI. Enfin, étant donné les améliorations observées au moyen d’une stimulation transcranienne chez des seniors, cette méthode pourrait représenter un outil intéressant pour minimiser le déclin cognitif chez les patients présentant un MCI. / Doctorat en Sciences de la motricité / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'ego, son expression, sa vie, sa naturalisation : une crise des sciences de la subjectivité / The ego, its expression, its life, its naturalization : a crisis of the sciences of subjectivity

Thumser, Jean-Daniel 08 December 2017 (has links)
Ce travail thématique et historique a pour objectif de mettre en lumière les difficultés que l'on peut rencontrer lorsque nous tentons de saisir ce que signifie la vie de l'ego d'un point de vue phénoménologique et scientifique. Les questions qui nous animent sont les suivantes et rythment le travail présent : que signifie précisément dire « Je » ? ; Quelle est la caractérisation de l'ego dans la phénoménologie husserlienne ? Dans quelle mesure la vie de l'ego peut-elle être naturalisée ?Notre cheminement suit les traces du corpus husserlien, en ce que nous considérons qu'il est tout d'abord nécessaire d'éclaircir le sens du terme ego dans l'optique d'une « phénoménologie analytique ». Cela nous a permis de comprendre que l'indexical « Je » peut être la marque d'une « ingénuité descriptive » qui consiste en une incapacité à décrire pleinement une situation ou la subjectivité exprimant un indexical. Seule une entente phénoménologique du « Je » peut modifier cette conception en ce qu'elle induit la présence d'une subjectivité en chair et en os, un Nullpunkt irréductible à quelque réification que ce soit. Le langage phénoménologique, en plus de valoriser la part subjective du vécu (Ichrede), permet en outre de modifier notre conception ontique du sens des termes usités afin de décrire un état de chose d'un point de vue eidétique – la chose comme corrélat.En reprenant cette idée cardinale, nous avons par la suite tenté de résoudre l'énigme du Je d'un point de historique à partir d'une étude comparée entre la phénoménologie husserlienne et celle de ses disciples (Reinach, Ingarden, Sartre). À partir de là, nous étions en mesure d'appréhender le bienfondé des critiques apportées à l'égard du tournant transcendantal de la phénoménologie. Pourtant, ces critiques ne sauraient dépasser ni compromettre la pensée de Husserl en ce qu'elle déborde selon nous le cadre formel et stérile d'une binarité idéalisme-réalisme. Nous avons ainsi voulu mettre en exergue le renouvellement, dès le tournant génétique, de la phénoménologie à partir de ce que nous nommons le « naturalisme phénoménologique » de Husserl, en particulier en ce qui concerne le traitement qu'il a accordé aux sujets comme la naissance, la mort, l'anomalité et l'animalité. Ce faisant, nous avions tous les éléments pour démontrer que Husserl n'était idéaliste qu'en apparence et que son œuvre contenait les germes de l'entreprise naturaliste en développement depuis quelques dizaines d'années.Il fallut dès lors montrer les corrélations entre la phénoménologie « classique » et la naturalisation de la phénoménologie à travers une étude des textes contemporains présentés par des auteurs comme F.Varela, N.Depraz ou J-L Petit. Il nous apparut ainsi que la naturalisation en restait à l'état embryonnaire, mais qu'elle pouvait dans un avenir proche, grâce à des recherches sur l'agentivité, la dépression, ou sur la phénophysique, éclairer les sciences cognitives dans l'optique d'une étude cogénérative et fertile en ce qu'elle joint les perspectives à la première et la troisième personne. Or, il nous semble malgré tout que la naturalisation de la phénoménologie demeure davantage asubjective, au sens que donne Patocka, que pleinement phénoménologique. Nous concluons de la sorte en affirmant qu'il faut distinguer deux types de phénoménologie de même que deux types de naturalisation, tout en avançant qu'il serait judicieux de prendre également en considération le rôle du système nerveux entérique, en plus du cerveau, dans la caractérisation de la vie subjective. / This thematic and historical work aims to highlight the difficulties that can be encountered when we try to grasp what the egological life means from a phenomenological and scientific point of view. The questions that animate us are the following and rhythm the present work: what exactly does it mean to say "I"? ; What is the characterization of the egological life in Husserlian phenomenology? To what extent can the egological life be naturalized?Our path follows the Husserlian corpus for we consider that it is first necessary to clarify the meaning of the term “ego” in the perspective of an “analytic phenomenology”. This allowed us to understand that the indexical “I” can be the mark of a “descriptive ingenuity” which consists in an inability to fully describe a situation or a subjectivity expressing itself. Only a phenomenological understanding of the “I” may modify this conception by inducing that the presence of a subjectivity made of flesh and bones is an irreducible Nullpunkt. The phenomenological language, in addition to valuing the subjective part of live experience (Ichrede), also allows to modify our ontic conception of the meaning of termes used in order to describe a state of things from an eidetic point of view – a thing as correlate.By taking up this cardinal idea, we have subsequently attempted to solve the enigma around the I from a historical point of view on the basis a comparative study between Husserlian phenomenology and what critics made by Husserls disciples such as Reinach, Ingarden and Sartre. From then on, we were able to grasp the depth and validity of some critics made against the transcendental turn of phenomenology. Yet, these critics cannot go beyond or compromise Husserl'sthinking for this latter one overflows in our view the formal and sterile framework of an idealistic-realistic binarity. In this way, we wanted to highlight the renewal of phenomenology from the genetic point of view, starting with what we call the “phenomenological naturalism”, especially in regard to the treatment Husserl accorded to subjects such as birth, death, a(b)no(r)mality and animality. In doing so, we had the evidence to show that Husserl was only apparently an idealist and that his work contains the seeds of the naturalistic enterprise under developent for some decades.It was therefore necessary to show the correlations between the “classical” phenomenology and the naturalization of phenomenology through a study of contempory texts presented by authors such as F. Varela, N. Depraz or J-L Petit. It appeared to us that naturalization was still embryonic, but that it may in the near future, through researches on agentivity, depression or phenophysics, illuminate cognitive sciences from the perspective of a cogenerative and fertile study for it joins the first and third person perspectives. However, it seems to us that the naturalization of phenomenology remains more asubjective, in the sense given by Patocka, than fully phenomenological. In conclusion, we affirm that two types of phenomenology must be distinguished, as well as two types of naturalization, while arguing that it would be also wise to take into consideration the role of the enteric nervous system, in addition to the brain, in the characterization of subjective life.
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Les intentions du dessinateur. Un cas d'étude à l'interface entre la philosophie de l'art et les sciences cognitives.

Pignocchi, Alessandro 16 December 2008 (has links) (PDF)
Peut-on percevoir une image comme le produit d'une certaine démarche intentionnelle ? Plus précisément, les images ont-elles des " propriétés intentionnelles ", c'est-à-dire des propriétés que l'on voit comme le résultat des actions intentionnelles de l'artiste ? Cette question est intéressante car elle occupe une région intermédiaire entre l'analyse conceptuelle développée par la philosophie analytique de l'art et la recherche empirique en sciences cognitive. Du côté de la philosophie de l'art, elle est connectée à la thèse intentionnelle, selon laquelle l'évaluation d'une œuvre d'art en tant qu'œuvre d'art est nécessairement fondée sur les intentions de l'artiste, et à la thèse expérientielle, selon laquelle l'évaluation d'une image en tant qu'image n'emploie que ce qu'il est possible de voir en la regardant. Il existe des arguments montrant que chacune de ces thèses est essentielle à la description de l'évaluation artistique des images. Pourtant, elles sont en tension car on ne peut pas voir les intentions de l'artiste en regardant une image. Ces deux thèses ne sont conciliables que si on accepte que les propriétés des images peuvent être vues comme le résultat des intentions de l'artiste. En d'autres termes, il faut être en mesure de répondre positivement à la question des propriétés intentionnelles des images. Or, une telle réponse possède une composante empirique qui ne saurait être ignorée. En effet, la question des propriétés intentionnelles des images doit être mise en relation avec différentes branches de la recherche en sciences cognitives traitant de la récupération des intentions d'autrui. L'attitude traditionnelle adoptée par les philosophes de l'art face au versant empirique de cette question consiste à l'éluder, en disant qu'il s'agit là simplement d'un cas où notre perception d'un objet est façonnée par nos connaissances propositionnelles. Ainsi pouvons-nous percevoir les propriétés intentionnelles des images grâce au contrôle exercé par nos connaissances propositionnelles - relatives aux intentions de l'artiste et au contexte de production de l'image, entre autres - sur notre perception. En détaillant les différentes façons dont les connaissances propositionnelles peuvent influencer la perception, on s'aperçoit que cette réponse est très insuffisante. Elle est en tension avec une idée courante en philosophie selon laquelle on peut percevoir les propriétés intentionnelles simultanément aux propriétés représentationnelles ; elle a également des difficultés pour expliquer la détection de certaines qualités, telles que la dextérité du dessinateur, ainsi que pour rendre compte de la reconnaissance de son style et de ses influences. Pour résoudre ces problèmes il est essentiel de définir une voie directe de perception des propriétés intentionnelles, c'est-à-dire qui ne passe pas obligatoirement par les connaissances propositionnelles. Cette seconde voie, la perception motrice, est orchestrée par le savoir-faire moteur de l'observateur. Pour développer l'hypothèse de la perception motrice, il est essentiel de se doter d'une théorie psychologique de l'apprentissage et de la production du dessin. Pour ce faire, la meilleure solution consiste à explorer le versant psychologique de la théorie des schémas graphiques d'Ernst Gombrich en la rapprochant de la théorie du code-commun, selon laquelle la planification de l'action et la perception de certains évènements du monde sont implémentées par les mêmes représentations. Grâce à ce rapprochement, on obtient la théorie visuomotrice des schémas graphiques, selon laquelle le mécanisme fondamental de l'apprentissage du dessin est la récupération directe des plans d'action des autres dessinateurs par observation de leurs dessins. Cette théorie permet de montrer que la perception motrice des images exploite les mêmes structures représentationnelles que celles impliquées dans la planification des actions employant le genre d'outils qui permet de produire des images, afin d'organiser l'information visuelle portée par une image de façon cohérente par rapport à l'action. En d'autres termes, la perception motrice d'une image est contrôlée par une simulation de certains éléments des actions de l'artiste, ce qui permet de percevoir les propriétés de l'image comme des résultats d'actions, c'est-à-dire de percevoir directement ses propriétés intentionnelles. L'accès perceptif aux intentions de l'artiste, et plus spécifiquement du dessinateur, apparaît ainsi comme un thème capable de structurer un dialogue productif entre la philosophie analytique de l'art et les sciences cognitives.
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Autonomisation des modèles pour les simulations participatives

De Loor, Pierre 05 December 2006 (has links) (PDF)
Ce texte est une étape de mon travail de recherche. Intrigué depuis longtemps par la notion d''autonomie, j''ai tenté, avec mes étudiants, de l''aborder dans le cadre de différentes applications de simulations interactives. Ces travaux, résumés dans la première partie de ce livre, illustrent les limites de l''approche "classique" et computationaliste de l''intelligence artificielle pour développer des comportements autonomes en environnements ouverts. La deuxième partie de l''ouvrage cherche dans d''autres courants des sciences cognitives, en particulier ceux se rapprochant de la biologie et de l'énaction - qui développent la notion d''autonomie forte - les pistes permettant de dépasser ces limites.
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Contribution à la didactique du texte expositif : Cas d'étudiants algériens de filière scientifique.

Boudéchiche, Nawal 25 May 2008 (has links) (PDF)
À l'université, au niveau du tronc commun des filières scientifiques, l'exigence de construire des connaissances à partir de textes scientifiques se heurte globalement à deux types d'obstacles qui se résument dans le traitement des informations du texte et dans la stratégie de production adoptée pour conserver les informations. Du fait que l'activité de compréhension met en œuvre un double traitement du contenu sémantique du texte (Van Dijk & Kintsch, 1983), de même que la réécriture exige le retraitement des informations récupérées de la mémoire du lecteur en fonction des paramètres de la situation de production, nous analysons l'effet d'outils didactiques, du niveau des apprenants en langue étrangère ainsi que le rôle du contexte linguistique sur les stratégies de travail des étudiants. Ainsi, dans le cadre de la littératie et de la société mondiale de l'information, les résultats de nos quatre expérimentations renforcent ceux obtenus par des travaux antérieurs (Cordier & Legros, 2005; Hoareau & Legros, 2006; Marin & Legros, 2007) et renvoient à la nécessité de construire des systèmes d'aide à la compréhension et à la réécriture en adéquation avec les capacités cognitives des apprenants et les contraintes de la situation d'apprentissage.
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Interprétation géologique de données sismiques par une méthode supervisée basée sur la vision cognitive

Verney, Philippe 17 September 2009 (has links) (PDF)
L'objectif de ce travail est de réaliser une nouvelle plateforme d'interprétation sismique 3D semi-automatique basée sur la connaissance géologique employée aujourd'hui par les experts du domaine. A l'heure actuelle, la majeure partie des solutions sont basées sur les traitements d'image et l'utilisation de quantités d'attributs sismiques. Elles fournissent un résultat interprétable par un expert qui réalise alors une correspondance informelle entre la nouvelle image obtenue et des objets géologiques. Nous désirons explorer une nouvelle méthodologie mettant en avant la formalisation de la connaissance utilisée dans l'interprétation sismique comme la vision cognitive le permet et le conseille. Ainsi, nous caractérisons le résultat des traitements d'images opérés sur le bloc sismique grâce à des concepts et à relations visuelles provenant d'une ontologie dédiée. Ces caractéristiques nous permettent alors de formaliser l'interprétation d'objets géologiques à partir de ces instances et ainsi de proposer de manière automatique des solutions d'interprétation d'un bloc sismique, que l'expert pourra choisir de valider. Dans ce travail, nous avons à coeur de nous concentrer sur l'identification de deux premiers objets géologiques à identifier dans une image sismique : les horizons et les failles. Une ontologie de ce domaine d'étude est proposée afin de servir de base pour la création de la plateforme.
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L'approche cognitive de la psychose à l'épreuve de la clinique

Normand, Michel Maleval, Jean-Claude January 2008 (has links) (PDF)
Thèse de doctorat : Psychopathologie et clinique psychanalytique : Rennes 2 : 2007.
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Les tentatives contemporaines de sémantique naturaliste et l'héritage peircien

Marcy, Thomas Tiercelin, Claudine January 2008 (has links) (PDF)
Thèse de doctorat : Philosophie : Paris Est : 2008. / Titre provenant de l'écran-titre.
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Exploration du signifiant lexical espagnol. Structures, mécanismes, manipulations, potentialités.

Grégoire, Michaël 29 November 2010 (has links) (PDF)
Ce travail de thèse représente une tentative de rationalisation du lexique espagnol en accordant la priorité au signifiant. Inspiré notamment de Pierre Guiraud, nous y avons établi à la suite de Maurice Molho, Didier Bottineau, Georges Bohas ou Dennis Philps, que les mots peuvent ne référer que par la sollicitation d'une partie de leur forme, partie détectable structurellement. Nous avons pris en considération l'ensemble des capacités qualitatives (phones, formant, idéophones, graphèmes, segments) et quantitatives (duplications, répétitions, inversions, homophonies / homographies) de la forme des mots. Nous ne nous sommes donc pas limité à un support sémiologique particulier mais avons conçu le lexique, du fait de sa complexité, comme un organisme de signifiants / signifiés où chaque élément peut entrer en compte pour donner lieu à une motivation (interne ou externe). Nous avons nommé cet élément la saillance, car il s'agit d'une unité résultant d'une focalisation, d'un choix formel pour référer à telle ou telle idée. Nous avons également remarqué, notamment dans des cas d'" homonymie ", que plusieurs parties pouvaient être sollicitées et que chacune permettait de renvoyer à un sens distinct. La consubstantialité du signe est donc, de notre point de vue, un principe sauf. La " synonymie " ainsi que la " polysémie " ne sont donc pas non plus des notions pertinentes car chaque terme renvoie d'une manière qui lui est propre à un sens donné. Enfin, nous avons proposé une application, avec des critères similaires, à des énoncés dit " poétiques " où plusieurs actualisations parfois insolites apparaissent mais toujours permises par le langage, par le signifiant.

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