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Étude de l'intégration de pratiques novatrices de lecture chez des étudiantes et des étudiants haïtiens inscrits en formation initiale

Antoine, Claude-Hébert. January 2002 (has links)
Thèses (M.A.)--Université de Sherbrooke (Canada), 2002. / Titre de l'écran-titre (visionné le 24 août 2006). Publié aussi en version papier.
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Repräsentation und Identität : zur Konvergenz von Hirnforschung und Gehirn-Geist-Philosophie /

Vogeley, Kai. January 1900 (has links)
Diss.--Philosophische Fakultät--Düsseldorf--Heinrich-Heine-Universität, 1993.
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DÉVELOPPEMENT D’UN OUTIL D’ÉVALUATION NEUROPSYCHOLOGIQUE EN RÉALITÉ VIRTUELLE :CAS SPÉCIFIQUE DE L’ÉVALUATION DE LA MÉMOIRE PROSPECTIVE

Camara Lopez, Maïté 02 October 2018 (has links)
D’abord subordonnée au diagnostic différentiel en neurologie, la neuropsychologie a connu, avec l’avènement des techniques d’imagerie, un remaniement de ces objectifs avec notamment pour préoccupation nouvelle d’évaluer l’implication des altérations des fonctions cognitives dans la vie quotidienne du sujet (Parsons, 2012). Un constat, qui s’est dégagé à travers la littérature, porte sur le caractère peu généralisable des conclusions posées sur base des outils neuropsychologiques classiques aux comportements du quotidien (Chaytor & Schmitter-Edgecombe, 2003). Nombreux sont les scientifiques aujourd’hui à s’accorder sur la nécessité de disposer d’outils proches des situations de vie quotidienne afin d’affiner la compréhension des mécanismes cognitifs impliqués dans les activités de la vie courante et in fine de promouvoir une évaluation des habiletés fonctionnelles. La réalité virtuelle s’est ainsi rapidement imposée dans l’évaluation de la composante de multitâche et dans la simulation de tâches de haut niveau impliquant différentes fonctions cognitives simultanément (Parsey & Schmitter-Edgecombe, 2013).Ce travail de doctorat s’inscrit dans un projet pluridisciplinaire plus global (R.O.G.E.R.) dont l’objectif est le développement d’un programme d’évaluation des fonctions cognitives en réalité virtuelle. Cette thèse s’est consacrée plus particulièrement à l’évaluation d’une fonction cognitive, à savoir la mémoire prospective qui implique de se rappeler d’actions à effectuer dans le futur. Cette fonction cognitive, pourtant indispensable au bon fonctionnement de notre vie quotidienne, nous fait parfois défaut et ce même dans les situations les plus critiques qui relèvent d’une question de vie ou de mort. Prenons pour exemple les actes manqués des pilotes d’avion avertis qui conduisent parfois à des conséquences dramatiques (Dismukes, 2016). A l’instar de Plancher et Piolino (2017) pour son homologue rétrospectif, notre intérêt pour la conception d’un outil d’évaluation de la mémoire prospective trouve deux raisons principales :cette forme de mémoire est vulnérable à l’âge et à la pathologie, ce qui en fait une plainte récurrente. De par sa complexité, une évaluation écologique est d’une importance toute particulière.Notre apport se situe principalement dans la mise au point d’une interface de réalité virtuelle permettant de concevoir des scénarios personnalisés. En effet, les nombreux atouts que l’on concédera au programme R.O.G.E.R sont ceux relayés à travers la littérature comme des avantages généraux liés à la réalité virtuelle (e.g. la pertinence écologique, la capacité à délivrer des stimuli complexes de façon standardisée ou l’immersion dans un contexte dépourvu de risques) (Rizzo & Koenig, 2017). Le principal avantage du programme se situe dans la mise à disposition des utilisateurs d’un éditeur de scénarios ne nécessitant aucune connaissance technique spécifique. Le programme R.O.G.E.R. s’adresse ainsi à la communauté des chercheurs et cliniciens désireux de créer des scénarios sur-mesure au sein de deux environnements 3D interactifs (i.e. une salle d’entrainement et une maison).Nos choix de développement s’inscrivent dans une volonté d’introduire le programme R.O.G.E.R dans une pratique clinique future. Ce travail de développement d’une interface paramétrable, qui a constitué un travail de grande ampleur, a permis ensuite d’aboutir à la conception de multiples scénarios :un scénario de familiarisation, un scénario de pré- exposition et un scénario de mémoire prospective. Le principal atout de notre scénario de mémoire prospective (VREPT) est d’arriver à concilier le réalisme de l’immersion (complexité des situations, liberté d’action et interactions avec l’environnement) tout en maximisant le contrôle expérimental. Aucune tâche de mémoire prospective en réalité virtuelle ne propose, à notre connaissance, ces interactions diverses avec l’environnement qui le rend si proche des situations du quotidien (e.g. présence d’événements imprévisibles qui imposent au sujet d’y réagir, interaction avec des personnages virtuels tels que le chien et de multiples avatars). En effet, l’expérience est rendue plus immersive grâce à la possibilité donnée aux sujets de réaliser des actions dans l’environnement avec, à la clé, la possibilité d’en observer les conséquences. Le sujet est amené à vivre une histoire proche du réel dans laquelle il est acteur de ses actions, tout en gardant la standardisation nécessaire à l’évaluation neuropsychologique. / Doctorat en Sciences psychologiques et de l'éducation / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Logical modelling of reasoning and learning : a bio-inspired approach / Modélisation logique du raisonnement et de l’apprentissage : une approche bio-inspirée.

Grimaud, Christel 31 March 2016 (has links)
Dans ce mémoire, on s’inspire des sciences cognitives pour aborder la question de la modélisation logique du raisonnement et de l’apprentissage. Notre principale conviction est qu’il faudrait, pour traiter ce problème, prendre modèle sur la manière dont les agents naturels (c’est à dire les humains et les animaux) procèdent lorsqu’ils raisonnent ou apprennent. Considérant que le raisonnement fait appel à un grand nombre de facultés cognitives distinctes, et qu’il ne serait donc pas raisonnable d’espérer modéliser d’un seul coup l’ensemble du raisonnement humain, on se concentre ici sur un type d’inférences très simples dont on soutient qu’elles constituent le coeur du raisonnement chez tous les animaux à cerveau. On identifie un processus sous-jacent plausible pour ces inférences, d’abord au niveau mental de description, puis au niveau neuronal, et on développe une famille de modèles logiques permettant de le simuler. On s’attache ensuite à produire un ensemble de règles d’inférence caractérisant les relations d’inférence induites par ces modèles. Ces règles résultent du processus suggéré, et doivent donc être vues comme des règles qui, d’après le modèle, émergent fonctionnement des cerveaux. Enfin, on analyse les processus d’apprentissage attachés aux inférences considérées, et on montre comment le formalisme proposé permet de les modéliser. Pour conclure on évoque brièvement les possibles développements futurs du modèle, et notamment on donne quelques indications quant à la manière dont la modélisation d’un certain nombre de facultés additionnelles pourrait être envisagée. / In this dissertation, we take inspiration in cognitive sciences to address the issue of the logical modelling of reasoning and learning. Our main thrust is that to address these issues one should take inspiration in the way natural agents (i.e., humans and animals) actually proceed when they draw inferences and learn. Considering that reasoning incorporates a wide range of cognitive abilities, and that it would thus be unreasonable to hope to model the whole of human’s reasoning all at once, we focus here on a very basic kind of inferences that, we argue, can be considered as the primary core of reasoning in all brained animals. We identify a plausible underlying process for these inferences, first at the mental level of description and then at the neural level, and we develop a family of logical models that allow to simulate it. Then we tackle the issue of providing sets of rules to characterise the inference relations induced by these models. These rules are a by-product of the posited process, and should thus be seen as rules that, according to the model, result from the very functioning of brains. Finally we examine the learning processes attached to the considered inferences, and we show how to they can be modelled within our framework. To conclude we briefly discuss possible further developments of the framework, and in particular we give indications about how the modelling of some other cognitive abilities might be envisioned.
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Expériences esthétiques. Pour une transdisciplinarité de notre contemporain / Aesthetic experiences. Toward a contemporary transdisciplinarity

Lai, Yi-Lin 16 December 2010 (has links)
Cette étude suit la voie qu’a ouverte Jean-Marie Schaeffer quant au renouveau des questionnements esthétiques, qui implique un recentrement sur le fait esthétique et une vue naturalisée. Les sciences cognitives et les neurosciences s'inscrivent naturellement dans le prolongement de cette voie, et cette étude examine alors la démarche et les enjeux de cette transdisciplinarité. L’examen relève d’une analyse critique à la fois des problématiques esthétiques, des quêtes neuroscientifiques, et de la démarche même d’une transdisciplinarité. Après ce nouveau contour redessiné du domaine esthétique et de son examen critique, cette étude propose de considérer le paradigme de l’enaction comme seul apte à soutenir à la fois les démarches scientifiques et les spécificités des questionnements esthétiques, à savoir leurs caractères subjectif et transversal. / Following Jean-Marie Schaeffer, this study proposes to revive aesthetic questions by focusing on the aesthetic fact and considering it from the naturalized perspective offered by neuroscience and cognitive science. It critically analyses at the same time aesthetic issues, the neuroscientific quest, and the transdisciplinary approach itself. It advocates the paradigm of enaction, as the only one capable of supporting both scientific processes and the subjective and transverse character of aesthetic questions.
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L'addiction comme pathologie de la volonté : repenser l'impuissance de la volonté à la lumière des sciences cognitives / Addiction as Pathology of the Will : Rethinking the Powerlessness of Will in light of Cognitive Science

Trouessin, Mélanie 25 November 2017 (has links)
Notre travail offre une analyse critique des principales théories explicatives de l’addiction articulée autour d’une distinction entre les théories médicales de l’addiction et les explications qui relèvent d’une approche morale (notamment l’explication acratique). Les secondes s’opposant aux premières essentiellement par l’idée que l’individu conserve dans l’addiction sa liberté d’agir autrement. Ces deux types de théories partagent cependant un présupposé commun : une condition pathologique serait incompatible avec une conduite volontaire et intentionnelle. Or certains éléments mis en avant par l’approche clinique de l’addiction, comme le sentiment d’ambivalence, l’initiation ou le phénomène du rétablissement spontané, obligent à remettre en cause un tel présupposé et à tenter d’échapper aux explications unilatérales de ce que nous proposons de qualifier philosophiquement de phénomène d’impuissance de la volonté. Il est en effet selon nous possible d’appréhender l’addiction à la fois selon une certaine forme de perspective morale et selon une certaine forme de perspective pathologique. En premier lieu (cf. Partie 1) parce que l’opposition entre approche acratique et approche pathologique compulsive cérébrale ne repose que sur une certaine idée de la compulsion qui peut et doit être remise en cause. En second lieu (cf Partie 2) parce que le concept de maladie qui sous-tend également cette opposition est lui aussi critiquable et qu’il convient de penser l’addiction à la lumière d’une notion de pathologie plus souple, permettant d’intégrer certaines marques de l’agentivité et de l’action volontaire. En troisième lieu, enfin (cf. Partie 3), parce que ce que l’on a appelé « les maladies de la volonté » offrent un modèle heuristique qui permet de redéfinir d’une manière plus appropriée le phénomène général l’impuissance de la volonté, grâce tout à la fois à l’idée de division interne à la volonté-même et à l’octroi d’un rôle central à l’obsession. Nous proposons donc à partir de notre enquête critique de repenser l’addiction comme une conduite obéissant à quelque chose que nous voulons et ne voulons pas de façon simultanée, au sens où nous avons des raisons simultanées de la poursuivre et de ne pas la poursuivre. Et de considérer que sa dimension pathologique vient de ce qu’une force interne s’y trouve bien introduite, mais dont la nature diffère de celle que désigne la notion dominante de compulsion. Car l’irrésistibilité à laquelle elle renvoie ne réside pas dans les actes, mais dans les pensées des agents. / This dissertation presents a critical analysis of the main explanatory theories on addiction structured around the distinction between the medical theories of addiction and explanations pertaining to a moral approach (namely, the acratic explanation). The latter set against the former primarily due to the idea that when addicted the individual retains the freedom to act differently. However, these two kinds of theories share a common assumption: a pathological condition would be incompatible with voluntary and intentional behavior. Yet, some components highlighted by a clinical approach – such as ambivalence, initiation or the “maturing-out” phenomenon – compel us to reconsider this assumption and to try and escape from unilateral explanations of what I propose to philosophically call “a phenomenon of powerlessness of the will”. Indeed, this dissertation argues that addiction can be understood both trough moral and pathological perspectives. Firstly (cf. part 1) because the opposition between the acratic approach and the pathological compulsive cerebral approach only rests upon a specific definition of compulsion, which can and must be called into question. Secondly (cf. part 2) because the concept of disease which is inherent to this opposition is open to criticism and addiction could be reconsidered in light of a more flexible disease theory, allowing for the integration of certain signs of agency and voluntary action. And finally, in a third part (cf. part 3), because the previously defined concept of the “diseases of the will” presents a heuristic model through which to redefine the general phenomenon of powerlessness of will. This is due both to the idea of internal division of the will and to the main part granted to obsession. Through a critical analysis, this dissertation thus strives to rethink addiction as a behavior subjected simultaneously to what we want and what we don’t want, insofar as we have simultaneous reasons to act and not act on this will. To conclude, the pathological dimension of addiction comes from the introduction of an internal force, whose nature is, however, not referred to in the classical concept of compulsion. The irresistibility to which it pertains does not lie in people’s behaviors but in their thoughts.
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L’influence de l’acquisition de la lecture sur la mémoire à court terme verbale

Demoulin, Catherine 06 October 2016 (has links)
Ce travail de thèse visait à examiner dans quelle mesure et comment l’apprentissage de la lecture et de l’écriture (i.e. la littératie) peut influencer la mémoire à court terme verbale, cette fonction cognitive qui nous permet de maintenir temporairement des informations verbales. De plus en plus de données suggèrent, en effet, que cette acquisition façonne profondément certains circuits cérébraux, notamment ceux impliqués dans le traitement du langage parlé. Apprendre à lire conduit au développement de la conscience phonémique, ainsi qu’à l’émergence de représentations orthographiques intimement liées aux représentations phonologiques. Ces deux éléments, qui semblent mener à des représentations langagières mieux spécifiées et plus stables, pourraient influencer les performances en mémoire à court terme verbale, ceci même en modalité auditive. L’Étude I suggère que cette mémoire à court terme est influencée par les expériences scolaires vécues en 1ère année primaire. L’acquisition du langage écrit pourrait être un facteur de progrès en mémoire. Les Études II et III examinaient le rôle des connaissances orthographiques sur le rappel sériel immédiat de listes de mots parlés, chez des enfants et des adultes, respectivement. Dans la première, un effet de la similarité orthographique a été observé sur le rappel de l’information « item », avec des mots phonologiquement similaires :les listes de mots dont la rime était différente sur le plan orthographique étaient mieux rappelées que les listes dont la rime était orthographiquement similaire. La seconde étude a mené à un effet bénéfique de l’inconsistance orthographique sur le rappel de l’information item. L’objectif de l’Étude IV était de tester l’hypothèse selon laquelle les items pour lesquels un individu dispose de représentations orthographiques bien spécifiées, quoique nouvellement acquises, sont mieux rappelés dans une tâche de rappel sériel immédiat que les items à l’orthographe incertaine ou inconnue. Notre expérience ne nous a pas permis de valider cette hypothèse. Enfin, l’ Étude V avait pour but d’examiner le rôle des connaissances orthographiques sur le rappel libre, une tâche dans laquelle l’ordre de rappel n’a pas d’importance. En accord avec notre hypothèse, nous avons observé un meilleur rappel pour les listes de mots dont la rime différait sur le plan orthographique, comparées aux listes de mots dont la rime orthographique était identique. Dans l’ensemble, les résultats suggèrent que les connaissances orthographiques peuvent contribuer au maintien de l’information relative à l’item, mais n’ont pas d’effet sur le maintien de l’ordre sériel de la séquence. D’autres études sont nécessaires pour confirmer et préciser les effets orthographiques observés. / Doctorat en Sciences psychologiques et de l'éducation / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les processus cognitifs mis en oeuvre dans l'interaction homme-ordinateur: l'influence du niveau d'expérience et des caractéristiques de la tâche sur la performance

Dewier, Agnès January 1991 (has links)
Doctorat en sciences psychologiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La désignation et la notion de seconde personne : étude chez l'adulte sain et cérébro-lésé / Pointing and the notion of second person : study in healthy and brain-lesioned adults

Cleret de Langavant, Laurent 15 December 2010 (has links)
La désignation est le geste de montrer un objet à une autre personne. La structure de la désignation est similaire à celle du discours verbal : la première personne « je » communique avec la seconde personne « tu » à propos de l'objet « il ». A partir de la description neuropsychologique d'un trouble acquis de la désignation, l'hétérotopagnosie ou incapacité à désigner le corps d'autrui, nous jetons les bases d'un nouveau modèle de la désignation impliquant la notion de seconde personne « tu ». Nous proposons et validons l'hypothèse que toute désignation implique de se représenter le point de vue de l'interlocuteur « tu » grâce à un référentiel hétérocentré. De plus, chez les patients hétérotopagnosiques comme chez les volontaires sains, désigner le corps d'autrui est plus difficile que désigner les objets. Nous expliquons ce phénomène par le fait que seul le corps humain vivant peut être à la fois sujet de communication et objet de communication. Poursuivant notre investigation sur la notion de seconde personne, nous montrons chez une patiente et chez les sujets sains que le corps des femmes est également plus difficile à désigner que celui des hommes. Les femmes seraient plus facilement considérées comme des sujets que les hommes. Enfin, nous avons recherché comment l'humain percevait la désignation réalisée par autrui comme témoignant d'une intention de communication à propos d'un objet. L'engagement dans une relation avec la seconde personne « tu » est nécessaire à cette compréhension. Au total, cette thèse apporte les premiers éléments expérimentaux sur les mécanismes de la relation de communication avec la seconde personne « tu ». / Pointing is used to communicate about an object with another person. This skill has a triadic structure similar to speech: the first person “I” communicate with the second person “you” about an object of interest “it”. From the neuropsychological description of an acquired deficit in pointing, heterotopagnosia which is the inability to point at another person's body parts, we build a new cognitive model involving the notion of a second person to explain pointing behaviour. We bring experimental evidence that pointing requires taking the addressee's perspective through the elaboration of a heterocentric reference frame. Furthermore, we show that in heterotopagnosic patients and in healthy subjects pointing at another person's body is more difficult than pointing at objects. We hypothesize that it is because only the living human body of other can be a subject to communicate with and an object to communicate about. In addition, we show that heterotopagnosic patients and healthy subjects find it more difficult to point at female body parts than at male ones, perhaps because women are more easily considered as subjects. Finally, we explore the behavioural and neural bases of the perception of pointing. We confirm that the relationship with the second person is necessary to understand the communicative intention of the addressee about the object. As a whole, this work provides the first cognitive and neural evidence for the notion of a second person in the brain.
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Plasticité corticale, champs neuronaux dynamiques et auto-organisation

Detorakis, Georgios 23 October 2013 (has links) (PDF)
L'objectif de ce travail est de modéliser la formation, la maintenance et la réorganisation des cartes corticales somesthésiques en utilisant la théorie des champs neuronaux dynamiques. Un champ de neurones dynamique est une équation intégro-différentiel qui peut être utilisée pour décrire l'activité d'une surface corticale. Un tel champ a été utilisé pour modéliser une partie des aires 3b de la région du cortex somatosensoriel primaire et un modèle de peau a été conçu afin de fournir les entrées au modèle cortical. D'un point de vue computationel, ce modèle s'inscrit dans une démarche de calculs distribués, numériques et adaptatifs. Ce modèle s'avère en particulier capable d'expliquer la formation initiale des cartes mais aussi de rendre compte de leurs réorganisations en présence de lésions corticales ou de privation sensorielle, l'équilibre entre excitation et inhibition jouant un rôle crucial. De plus, le modèle est en adéquation avec les données neurophysiologiques de la région 3b et se trouve être capable de rendre compte de nombreux résultats expérimentaux. Enfin, il semble que l'attention joue un rôle clé dans l'organisation des champs récepteurs du cortex somato-sensoriel. Nous proposons donc, au travers de ce travail, une définition de l'attention somato-sensorielle ainsi qu'une explication de son influence sur l'organisation des cartes au travers d'un certain nombre de résultats expérimentaux. En modifiant les gains des connexions latérales, il est possible de contrôler la forme de la solution du champ, conduisant à des modifications importantes de l'étendue des champs récepteurs. Celà conduit au final au développement de zones finement cartographiées conduisant à de meilleures performances haptiques.

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