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Relationships with others : insights from the work of Martin Heidegger for feminism, ethics and care

Bowden, Peta Lyn January 1987 (has links)
No description available.
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Martin Heidegger's interpretation of ancient Greek aletheia and the philological response to it

De Sousa, Rui. January 2000 (has links)
No description available.
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L'herméneutique comme pensée de l'être dans Être et temps

Arrien, Sophie-Jan 24 April 2018 (has links)
L'herméneutique, traditionnellement, ne représentait guère plus qu'une technique de l'interprétation des textes. C'est avec Heidegger, au début des années vingt, qu'elle se trouve investie d'une toute nouvelle dimension philosophique. Dimension qui deviendra plus spécifiquement ontologique dans Être et temps (1927). Le but de ce travail sera de démontrer la contribution essentielle de l'herméneutique à la pensée ontologique qui se déploie dans Etre et temps. Pour ce faire, il nous faudra identifier les différents niveaux (méthodologique, existential et structurel-fondationnel) à travers lesquels se manifeste l'herméneutique dans l'œuvre. Ainsi s'affirmera la nécessité de comprendre la pensée de l'être dans Etre et temps à partir de l'herméneutique et comme herméneutique.
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L'interprétation du temps dans Sein und Zeit

Tremblay, Michel 13 April 2021 (has links)
Le but « provisoire » de Sein und Zeit est l’interprétation du temps comme l’horizon possible de toute compréhension de l’être en général. Le chemin que Heidegger choisit de parcourir pour atteindre ce but est celui de l’analytique existentiale du Dasein. Sur ce chemin, Heidegger interprète principalement le temps comme temporalité ekstatique du Dasein. Sein und Zeit est toutefois demeuré inachevé, c’est-à-dire qu’il n’est pas parvenu à expliquer le temps comme horizon transcendantal de la question de l’être. Cela ne signifie pas qu’il renonce dès lors à ce projet, puisque dans les Problèmes fondamentaux de la phénoménologie, l’élaboration de la Temporalité de l’être est tentée, du moins partiellement. Suite au tournant qu’a connu sa pensée, la problématique de la Temporalité de l’être apparaît à Heidegger dans une toute autre perspective qui, loin de l’éloigner, le rapproche de ce qu’il s’était donné à penser dans Sein und Zeit.
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La liberté herméneutique chez Heidegger

Ng, Kenneth 08 1900 (has links)
Sommes-nous libres ou sommes-nous déterminés ? La liberté est-elle simplement une illusion dans un cours des choses gouverné par la nécessité ? Il semble que la question sur la liberté ne saurait trouver de réponse certaine si elle reste ainsi posée dans ces termes qui sont ceux de la troisième antinomie kantienne. Notre étude tentera de montrer, à l’aide du corpus heideggérien, que poser la question de la liberté dans le cadre de la causalité, c’est d’emblée mécomprendre l’essence de l’être humain, de la liberté et du monde. Ce n’est qu’en redécouvrant une liberté plus originaire que l’on pourrait comprendre en quoi nous sommes essentiellement libres. La thèse de notre étude est que la « liberté herméneutique » chez Heidegger correspond à cette liberté originaire. Notre mémoire retracera, en trois parties, l’évolution du concept de liberté chez Heidegger de l’époque de Sein und Zeit jusqu’à sa pensée tardive. La première partie de notre étude s’intéresse au Dasein en tant qu’il est être-au monde : en reproblématisant la relation de l’être humain avec son monde, nous montrerons que l’être humain est essentiellement libre en tant qu’il se caractérise par son ouverture herméneutique au monde. La deuxième partie cherche à éclaircir le lien entre liberté et vérité : le Dasein, en tant qu’il est libre, est aussi dans la vérité entendue comme ouverture. Nous pourrons ainsi mettre en évidence dans la dernière partie de notre mémoire la continuité entre le concept de la liberté lors du « tournant » avec celui de l’époque d’Être et Temps et approfondir la notion de l’authenticité au-delà d’Être et Temps. / Do we have free will or are determined? Is freedom only an illusion in a course of the world governed by necessity? It seems that the question of liberty cannot find a definitive answer if it remains thus posed in these terms which are those of the third Kantian antinomy. Our study will try to show, with the help of Heidegger’s work, that asking the question of liberty within the framework of causality is to misunderstand from the outset the essence of human being, of liberty and of the world. It is only by discovering a more radical liberty, freed from this framework, that one could understand how we are essentially free. The thesis of our study is that “hermeneutical freedom” in Heidegger corresponds to this radical freedom. Our thesis will retrace, in its three parts, the evolution of the concept of freedom in Heidegger from the time of Sein und Zeit until his later period. The first part of our study will look into Dasein as being-in-the-world: by problematizing the relationship between the human being and its world, we will show that freedom is essentially characterized as a hermeneutical openness to the world. The second part seeks to clarify the link between freedom and truth: Dasein, as it is free, is also truth understood as openness. We will thus be able to highlight in the last part of our study the continuity between the concept of freedom at the time of the "turn" with that at the time of “Being and Time” and be able to deepen the notion of authenticity beyond “Being and Time”.
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L'évolution du concept de vérité et l'interprétation critique de Platon chez Heidegger de 1927 à 1943

Côté, Gabriel 27 September 2018 (has links)
Ce mémoire se donne pour objectif de montrer le lien entre le développement de la thèse de Martin Heidegger au sujet de l’essence de la vérité et son interprétation critique de la philosophie de Platon au cours de la période du « tournant ». Pour ce faire, nous retracerons dans une première partie la genèse de la thèse heideggérienne sur l’essence de la vérité d’Être et Temps (1927) à « De l’essence de la vérité » (1930). Nous nous intéresserons ensuite dans une deuxième partie aux diverses interprétations de Heidegger de la philosophie de Platon entre 1931 et 1943. Nous chercherons alors à montrer la complémentarité de ces interprétations par-delà leurs nombreuses différences. L’ensemble de ce parcours fera ressortir que la matrice de l’évolution de la thèse de Heidegger sur l’essence de la vérité réside dans l’évolution de son rapport à Platon, lequel vacille toujours entre l’admiration et la reconnaissance d’une dette, et la nécessité d’un dépassement.
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A temporalização da temporalidade política compreendida por meio da analítica existencial de Heidegger em Ser e tempo

Leal, Hânder Costa January 2016 (has links)
Por que o tempo político carece de um sentido de urgência? Explicar o tempo político é resgatar o ser do tempo político: a temporalização da temporalidade política. Buscamos, na analítica existencial elaborada por Martin Heidegger em Ser e Tempo, uma resposta para a origem do tempo político. Sugerimos que a temporalidade política é derivada da temporalidade do indivíduo: o ser-aí cotidiano é o sujeito da temporalização da temporalidade política. Aproximar filosofia do tempo e teoria política em uma ontologia do tempo político nos permite revelar duas temporalidades políticas: microtempo existencial e macrotempo institucional. O microtempo existencial é o desdobramento político da temporalidade do indivíduo autêntico: o ser-aí autêntico, que é ser-para-a-morte como urgência existencial do tempo presente e que temporaliza a temporalidade política como urgência. O macrotempo institucional é o desdobramento político da temporalidade do ser-aí cotidiano. Inautêntico, ele é um ser-para-a-morte como fuga da morte e temporaliza a temporalidade política como espera. A eficiência temporal da ação política depende da demanda por realização no tempo presente da vontade política concebida ou manifestada no tempo presente. A urgência está associada à elevada eficiência temporal da ação política. A espera está associada à baixa eficiência temporal da ação política. Urgência e espera, os dois modos de ser do tempo político, são mediados por duas estruturas de temporalização: modernização e transcendentalismo. Na dimensão modernização da temporalidade política, a demanda por realização no tempo presente da vontade política concebida ou manifestada no tempo presente depende da capacidade do indivíduo percebida no tempo presente. Na dimensão transcendentalismo da temporalização da temporalidade política, a demanda por realização no tempo presente da vontade política concebida ou manifestada no tempo presente depende do sentido de urgência desencadeado pela objetivação da morte como impossibilidade de qualquer possibilidade. Se, conforme afirma Heidegger, o indivíduo é ser-para-o-fim (Seinzum- Ende), e a morte é a impossibilidade ontológica de qualquer possibilidade, então a existencia é a totalidade do tempo político. Isso significa que a finitude (Endlichkeit) impõe ao homem a necessidade de totalizar a política no tempo presente. Acontece que o cidadão mediano assume como sua a temporalidade do sistema político, a temporalidade do impessoal (Dasman), que é ontologicamente incompatível com a urgência existencial, pois sendo ao mesmo tempo todos e nenhum, o impessoal nunca morre. Um entendimento completo da temporalidade política e a construção de uma metodologia de ciência política voltada para o resgate do sentido de urgência, imperativo revelado pelo estudo da temporalidade política a partir da perspectiva do ser, somente serão possíveis se deixarmos de ignorar a incompatibilidade entre a finitude e a morosidade política. / This work is a journey into the fabric of political time. What is political time and why does it lack a sense of urgency? Explaining political time is retrieving the being of political time: the temporalization of political temporality. We look for an answer to the origin of political time in the existential analytic developed by Martin Heidegger in Being and Time. We suggest that political temporality is derived from the individual’s temporality: the everyday Dasein is the subject of the temporalization of political temporality. Approaching philosophy of time and political theory into an ontology of political time allows us to reveal two political temporalities: existential microtime and institutional macrotime. Existential microtime is the political implication of the temporality of the authentic individual: authentic Dasein, who is being-toward-death as existential urgency of present time and who temporalizes political temporality as urgency. Institutional macrotime is the political implication of the temporality of the everyday Dasein. Inauthentic as he/she is, he/she is a being-toward-death as fleeing from death, and so temporalizes political temporality as waiting and delay. The time efficiency of politics depends on the demand for the achievement in the present time of a political will either conceived or expressed in the present time. Urgency is associated with high time efficiency of politics, while waiting leads to politics with low time efficiency. Urgency and waiting, the two modes of being of political time, are mediated by two structures of temporalization: modernization and transcendentalism. In the dimension modernization of political temporality, the demand for the achievement in the present time of a political will either conceived or expressed in the present time relies on the individual’s capability as perceived in the present time. In the dimension transcendentalism of political temporality, the demand for the achievement in the present time of a political will either conceived or expressed in the present time relies on the sense of urgency triggered by the objectification of death as the impossibility of any possibility. If, as Heidegger claims, the individual is a being-toward-the-end (Sein-zum-Ende), and death is the ontological impossibility of any possibility, then existence is the totality of political time. This means that finiteness (Endlichkeit) imposes on the individual the need for totalizing politics in the present time. However, it turns out that the average citizen takes as his/her own the temporality of the political system, the temporality of the “they” (Dasman), which is ontologically incompatible with existential urgency, since the “they”, for it is both anyone and no one, never dies. A comprehensive understanding of political temporality and the establishment of a methodology of political science aimed at retrieving the sense of urgency – the latter is a must unveiled by the study of the political temporality from the perspective of the being – will only be possible if we take account of the ontological incompatibility between finiteness and political delay. / ¿Por qué el tiempo político carece de un sentido de urgencia? Explicar el tiempo político es recobrar el ser del tiempo político: la temporalización de la temporalidad política. Buscamos, en la analítica existencial desarrollada por Martin Heidegger en Ser y Tiempo, una respuesta para la cuestión del origen del tiempo político. Sugerimos que la temporalidad política se deriva de la temporalidad de la persona: el ser-ahí cotidiano es el sujeto de la temporalización de la temporalidad política. Emplear filosofía del tiempo y teoría política en una ontología del tiempo político nos permite revelar dos temporalidades políticas: microtiempo existencial y macrotiempo institucional. El microtiempo existencial es la manifestación política de la temporalidad del indivíduo auténtico: el ser-ahí auténtico, que es ser-para-la-muerte como urgência existencial del tiempo presente y que temporaliza la temporalidad política como urgencia. El macrotiempo institucional es el despliegue político de la temporalidad del ser-ahí cotidiano. Inauténtico, él/ella es un ser-para-la-muerte como fuga de la muerte y temporaliza la temporalidad política como espera. La eficiencia temporal de la acción política depende de la demanda por realización en el tiempo presente de la voluntad política concebida o expresada en el tiempo presente. La urgencia se asocia con una alta eficiencia temporal de la acción política. La espera se asocia con una baja eficiencia temporal de la acción política. Urgencia y espera, los dos modos de ser del tiempo político, son mediados por las dos estructuras de temporalización: modernización y trascendentalismo. En la dimensión modernización de la temporalidad política, la demanda por realización en el tiempo presente de la voluntad política concebida o expresada en el tiempo presente depende de la capacidad del individuo percibida en el tiempo presente. En la dimensión trascendentalismo de la temporalidade política, la demanda por realización en el tiempo presente de la voluntad política concebida o expresada en el tiempo presente depende de la sensación de urgencia provocada por la objetivación de la muerte como la imposibilidad de cualquier posibilidad. Si, como afirma Heidegger, el individuo es ser-para-el-fin (Sein-zum- Ende), y la muerte es la imposibilidad ontológica de toda y cualquiera posibilidad, entonces la existencia es la totalidad del tiempo político. Esto significa que la finitud (Endlichkeit) impone al hombre la necesidad de totalizar la política en el tiempo presente. Sin embargo, resulta que el ciudadano medio considera como sendo suya la temporalidad del sistema político, la temporalidad del “ellos” (Dasman), que es ontológicamente incompatible con la urgencia existencial, porque por ser a la vez todos y ninguno, el “ellos” nunca muere. Una comprensión profunda de la temporalidad política y la construcción de una metodología de ciencia política centrada en el recobro del sentido de urgencia, necesidad imperativa desvelada en el estudio de la temporalidad política desde la perspectiva del ser, sólo serán posibles si se tiene en cuenta la incompatibilidad ontológica entre la finitud y los retrasos políticos.
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A temporalização da temporalidade política compreendida por meio da analítica existencial de Heidegger em Ser e tempo

Leal, Hânder Costa January 2016 (has links)
Por que o tempo político carece de um sentido de urgência? Explicar o tempo político é resgatar o ser do tempo político: a temporalização da temporalidade política. Buscamos, na analítica existencial elaborada por Martin Heidegger em Ser e Tempo, uma resposta para a origem do tempo político. Sugerimos que a temporalidade política é derivada da temporalidade do indivíduo: o ser-aí cotidiano é o sujeito da temporalização da temporalidade política. Aproximar filosofia do tempo e teoria política em uma ontologia do tempo político nos permite revelar duas temporalidades políticas: microtempo existencial e macrotempo institucional. O microtempo existencial é o desdobramento político da temporalidade do indivíduo autêntico: o ser-aí autêntico, que é ser-para-a-morte como urgência existencial do tempo presente e que temporaliza a temporalidade política como urgência. O macrotempo institucional é o desdobramento político da temporalidade do ser-aí cotidiano. Inautêntico, ele é um ser-para-a-morte como fuga da morte e temporaliza a temporalidade política como espera. A eficiência temporal da ação política depende da demanda por realização no tempo presente da vontade política concebida ou manifestada no tempo presente. A urgência está associada à elevada eficiência temporal da ação política. A espera está associada à baixa eficiência temporal da ação política. Urgência e espera, os dois modos de ser do tempo político, são mediados por duas estruturas de temporalização: modernização e transcendentalismo. Na dimensão modernização da temporalidade política, a demanda por realização no tempo presente da vontade política concebida ou manifestada no tempo presente depende da capacidade do indivíduo percebida no tempo presente. Na dimensão transcendentalismo da temporalização da temporalidade política, a demanda por realização no tempo presente da vontade política concebida ou manifestada no tempo presente depende do sentido de urgência desencadeado pela objetivação da morte como impossibilidade de qualquer possibilidade. Se, conforme afirma Heidegger, o indivíduo é ser-para-o-fim (Seinzum- Ende), e a morte é a impossibilidade ontológica de qualquer possibilidade, então a existencia é a totalidade do tempo político. Isso significa que a finitude (Endlichkeit) impõe ao homem a necessidade de totalizar a política no tempo presente. Acontece que o cidadão mediano assume como sua a temporalidade do sistema político, a temporalidade do impessoal (Dasman), que é ontologicamente incompatível com a urgência existencial, pois sendo ao mesmo tempo todos e nenhum, o impessoal nunca morre. Um entendimento completo da temporalidade política e a construção de uma metodologia de ciência política voltada para o resgate do sentido de urgência, imperativo revelado pelo estudo da temporalidade política a partir da perspectiva do ser, somente serão possíveis se deixarmos de ignorar a incompatibilidade entre a finitude e a morosidade política. / This work is a journey into the fabric of political time. What is political time and why does it lack a sense of urgency? Explaining political time is retrieving the being of political time: the temporalization of political temporality. We look for an answer to the origin of political time in the existential analytic developed by Martin Heidegger in Being and Time. We suggest that political temporality is derived from the individual’s temporality: the everyday Dasein is the subject of the temporalization of political temporality. Approaching philosophy of time and political theory into an ontology of political time allows us to reveal two political temporalities: existential microtime and institutional macrotime. Existential microtime is the political implication of the temporality of the authentic individual: authentic Dasein, who is being-toward-death as existential urgency of present time and who temporalizes political temporality as urgency. Institutional macrotime is the political implication of the temporality of the everyday Dasein. Inauthentic as he/she is, he/she is a being-toward-death as fleeing from death, and so temporalizes political temporality as waiting and delay. The time efficiency of politics depends on the demand for the achievement in the present time of a political will either conceived or expressed in the present time. Urgency is associated with high time efficiency of politics, while waiting leads to politics with low time efficiency. Urgency and waiting, the two modes of being of political time, are mediated by two structures of temporalization: modernization and transcendentalism. In the dimension modernization of political temporality, the demand for the achievement in the present time of a political will either conceived or expressed in the present time relies on the individual’s capability as perceived in the present time. In the dimension transcendentalism of political temporality, the demand for the achievement in the present time of a political will either conceived or expressed in the present time relies on the sense of urgency triggered by the objectification of death as the impossibility of any possibility. If, as Heidegger claims, the individual is a being-toward-the-end (Sein-zum-Ende), and death is the ontological impossibility of any possibility, then existence is the totality of political time. This means that finiteness (Endlichkeit) imposes on the individual the need for totalizing politics in the present time. However, it turns out that the average citizen takes as his/her own the temporality of the political system, the temporality of the “they” (Dasman), which is ontologically incompatible with existential urgency, since the “they”, for it is both anyone and no one, never dies. A comprehensive understanding of political temporality and the establishment of a methodology of political science aimed at retrieving the sense of urgency – the latter is a must unveiled by the study of the political temporality from the perspective of the being – will only be possible if we take account of the ontological incompatibility between finiteness and political delay. / ¿Por qué el tiempo político carece de un sentido de urgencia? Explicar el tiempo político es recobrar el ser del tiempo político: la temporalización de la temporalidad política. Buscamos, en la analítica existencial desarrollada por Martin Heidegger en Ser y Tiempo, una respuesta para la cuestión del origen del tiempo político. Sugerimos que la temporalidad política se deriva de la temporalidad de la persona: el ser-ahí cotidiano es el sujeto de la temporalización de la temporalidad política. Emplear filosofía del tiempo y teoría política en una ontología del tiempo político nos permite revelar dos temporalidades políticas: microtiempo existencial y macrotiempo institucional. El microtiempo existencial es la manifestación política de la temporalidad del indivíduo auténtico: el ser-ahí auténtico, que es ser-para-la-muerte como urgência existencial del tiempo presente y que temporaliza la temporalidad política como urgencia. El macrotiempo institucional es el despliegue político de la temporalidad del ser-ahí cotidiano. Inauténtico, él/ella es un ser-para-la-muerte como fuga de la muerte y temporaliza la temporalidad política como espera. La eficiencia temporal de la acción política depende de la demanda por realización en el tiempo presente de la voluntad política concebida o expresada en el tiempo presente. La urgencia se asocia con una alta eficiencia temporal de la acción política. La espera se asocia con una baja eficiencia temporal de la acción política. Urgencia y espera, los dos modos de ser del tiempo político, son mediados por las dos estructuras de temporalización: modernización y trascendentalismo. En la dimensión modernización de la temporalidad política, la demanda por realización en el tiempo presente de la voluntad política concebida o expresada en el tiempo presente depende de la capacidad del individuo percibida en el tiempo presente. En la dimensión trascendentalismo de la temporalidade política, la demanda por realización en el tiempo presente de la voluntad política concebida o expresada en el tiempo presente depende de la sensación de urgencia provocada por la objetivación de la muerte como la imposibilidad de cualquier posibilidad. Si, como afirma Heidegger, el individuo es ser-para-el-fin (Sein-zum- Ende), y la muerte es la imposibilidad ontológica de toda y cualquiera posibilidad, entonces la existencia es la totalidad del tiempo político. Esto significa que la finitud (Endlichkeit) impone al hombre la necesidad de totalizar la política en el tiempo presente. Sin embargo, resulta que el ciudadano medio considera como sendo suya la temporalidad del sistema político, la temporalidad del “ellos” (Dasman), que es ontológicamente incompatible con la urgencia existencial, porque por ser a la vez todos y ninguno, el “ellos” nunca muere. Una comprensión profunda de la temporalidad política y la construcción de una metodología de ciencia política centrada en el recobro del sentido de urgencia, necesidad imperativa desvelada en el estudio de la temporalidad política desde la perspectiva del ser, sólo serán posibles si se tiene en cuenta la incompatibilidad ontológica entre la finitud y los retrasos políticos.
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A temporalização da temporalidade política compreendida por meio da analítica existencial de Heidegger em Ser e tempo

Leal, Hânder Costa January 2016 (has links)
Por que o tempo político carece de um sentido de urgência? Explicar o tempo político é resgatar o ser do tempo político: a temporalização da temporalidade política. Buscamos, na analítica existencial elaborada por Martin Heidegger em Ser e Tempo, uma resposta para a origem do tempo político. Sugerimos que a temporalidade política é derivada da temporalidade do indivíduo: o ser-aí cotidiano é o sujeito da temporalização da temporalidade política. Aproximar filosofia do tempo e teoria política em uma ontologia do tempo político nos permite revelar duas temporalidades políticas: microtempo existencial e macrotempo institucional. O microtempo existencial é o desdobramento político da temporalidade do indivíduo autêntico: o ser-aí autêntico, que é ser-para-a-morte como urgência existencial do tempo presente e que temporaliza a temporalidade política como urgência. O macrotempo institucional é o desdobramento político da temporalidade do ser-aí cotidiano. Inautêntico, ele é um ser-para-a-morte como fuga da morte e temporaliza a temporalidade política como espera. A eficiência temporal da ação política depende da demanda por realização no tempo presente da vontade política concebida ou manifestada no tempo presente. A urgência está associada à elevada eficiência temporal da ação política. A espera está associada à baixa eficiência temporal da ação política. Urgência e espera, os dois modos de ser do tempo político, são mediados por duas estruturas de temporalização: modernização e transcendentalismo. Na dimensão modernização da temporalidade política, a demanda por realização no tempo presente da vontade política concebida ou manifestada no tempo presente depende da capacidade do indivíduo percebida no tempo presente. Na dimensão transcendentalismo da temporalização da temporalidade política, a demanda por realização no tempo presente da vontade política concebida ou manifestada no tempo presente depende do sentido de urgência desencadeado pela objetivação da morte como impossibilidade de qualquer possibilidade. Se, conforme afirma Heidegger, o indivíduo é ser-para-o-fim (Seinzum- Ende), e a morte é a impossibilidade ontológica de qualquer possibilidade, então a existencia é a totalidade do tempo político. Isso significa que a finitude (Endlichkeit) impõe ao homem a necessidade de totalizar a política no tempo presente. Acontece que o cidadão mediano assume como sua a temporalidade do sistema político, a temporalidade do impessoal (Dasman), que é ontologicamente incompatível com a urgência existencial, pois sendo ao mesmo tempo todos e nenhum, o impessoal nunca morre. Um entendimento completo da temporalidade política e a construção de uma metodologia de ciência política voltada para o resgate do sentido de urgência, imperativo revelado pelo estudo da temporalidade política a partir da perspectiva do ser, somente serão possíveis se deixarmos de ignorar a incompatibilidade entre a finitude e a morosidade política. / This work is a journey into the fabric of political time. What is political time and why does it lack a sense of urgency? Explaining political time is retrieving the being of political time: the temporalization of political temporality. We look for an answer to the origin of political time in the existential analytic developed by Martin Heidegger in Being and Time. We suggest that political temporality is derived from the individual’s temporality: the everyday Dasein is the subject of the temporalization of political temporality. Approaching philosophy of time and political theory into an ontology of political time allows us to reveal two political temporalities: existential microtime and institutional macrotime. Existential microtime is the political implication of the temporality of the authentic individual: authentic Dasein, who is being-toward-death as existential urgency of present time and who temporalizes political temporality as urgency. Institutional macrotime is the political implication of the temporality of the everyday Dasein. Inauthentic as he/she is, he/she is a being-toward-death as fleeing from death, and so temporalizes political temporality as waiting and delay. The time efficiency of politics depends on the demand for the achievement in the present time of a political will either conceived or expressed in the present time. Urgency is associated with high time efficiency of politics, while waiting leads to politics with low time efficiency. Urgency and waiting, the two modes of being of political time, are mediated by two structures of temporalization: modernization and transcendentalism. In the dimension modernization of political temporality, the demand for the achievement in the present time of a political will either conceived or expressed in the present time relies on the individual’s capability as perceived in the present time. In the dimension transcendentalism of political temporality, the demand for the achievement in the present time of a political will either conceived or expressed in the present time relies on the sense of urgency triggered by the objectification of death as the impossibility of any possibility. If, as Heidegger claims, the individual is a being-toward-the-end (Sein-zum-Ende), and death is the ontological impossibility of any possibility, then existence is the totality of political time. This means that finiteness (Endlichkeit) imposes on the individual the need for totalizing politics in the present time. However, it turns out that the average citizen takes as his/her own the temporality of the political system, the temporality of the “they” (Dasman), which is ontologically incompatible with existential urgency, since the “they”, for it is both anyone and no one, never dies. A comprehensive understanding of political temporality and the establishment of a methodology of political science aimed at retrieving the sense of urgency – the latter is a must unveiled by the study of the political temporality from the perspective of the being – will only be possible if we take account of the ontological incompatibility between finiteness and political delay. / ¿Por qué el tiempo político carece de un sentido de urgencia? Explicar el tiempo político es recobrar el ser del tiempo político: la temporalización de la temporalidad política. Buscamos, en la analítica existencial desarrollada por Martin Heidegger en Ser y Tiempo, una respuesta para la cuestión del origen del tiempo político. Sugerimos que la temporalidad política se deriva de la temporalidad de la persona: el ser-ahí cotidiano es el sujeto de la temporalización de la temporalidad política. Emplear filosofía del tiempo y teoría política en una ontología del tiempo político nos permite revelar dos temporalidades políticas: microtiempo existencial y macrotiempo institucional. El microtiempo existencial es la manifestación política de la temporalidad del indivíduo auténtico: el ser-ahí auténtico, que es ser-para-la-muerte como urgência existencial del tiempo presente y que temporaliza la temporalidad política como urgencia. El macrotiempo institucional es el despliegue político de la temporalidad del ser-ahí cotidiano. Inauténtico, él/ella es un ser-para-la-muerte como fuga de la muerte y temporaliza la temporalidad política como espera. La eficiencia temporal de la acción política depende de la demanda por realización en el tiempo presente de la voluntad política concebida o expresada en el tiempo presente. La urgencia se asocia con una alta eficiencia temporal de la acción política. La espera se asocia con una baja eficiencia temporal de la acción política. Urgencia y espera, los dos modos de ser del tiempo político, son mediados por las dos estructuras de temporalización: modernización y trascendentalismo. En la dimensión modernización de la temporalidad política, la demanda por realización en el tiempo presente de la voluntad política concebida o expresada en el tiempo presente depende de la capacidad del individuo percibida en el tiempo presente. En la dimensión trascendentalismo de la temporalidade política, la demanda por realización en el tiempo presente de la voluntad política concebida o expresada en el tiempo presente depende de la sensación de urgencia provocada por la objetivación de la muerte como la imposibilidad de cualquier posibilidad. Si, como afirma Heidegger, el individuo es ser-para-el-fin (Sein-zum- Ende), y la muerte es la imposibilidad ontológica de toda y cualquiera posibilidad, entonces la existencia es la totalidad del tiempo político. Esto significa que la finitud (Endlichkeit) impone al hombre la necesidad de totalizar la política en el tiempo presente. Sin embargo, resulta que el ciudadano medio considera como sendo suya la temporalidad del sistema político, la temporalidad del “ellos” (Dasman), que es ontológicamente incompatible con la urgencia existencial, porque por ser a la vez todos y ninguno, el “ellos” nunca muere. Una comprensión profunda de la temporalidad política y la construcción de una metodología de ciencia política centrada en el recobro del sentido de urgencia, necesidad imperativa desvelada en el estudio de la temporalidad política desde la perspectiva del ser, sólo serán posibles si se tiene en cuenta la incompatibilidad ontológica entre la finitud y los retrasos políticos.
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The lived experience of obtaining required childhood vaccinations from Latino immigrants’ perspective

deRose, Barbara Sue 07 July 2014 (has links)
Indiana University-Purdue University Indianapolis (IUPUI) / Vaccinations are an important step in preventing childhood illnesses and disease outbreaks in the community. Complete immunizations before school assure eligibility for enrollment and protect children against severe illness. The fact that foreign-born children of Latino immigrants face health disparities in receiving vaccinations is well documented. However, there is little information in the literature about the actual experience of immigrants facing the complexities of the health system, and through their eyes, which factors ultimately affect vaccination rates of immigrant Latino children. The purpose of this study is to give voice to Latino immigrant families who have recently immigrated to the United States, in terms of the issues they encountered when engaging the health care system for vaccinations.

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