Multi-combination vehicles (MCVs) in urban areas impact on productivity, safety, infrastructure, congestion and the environment. However, psychological effects of MCVs on other drivers may also influence the positioning of vehicles and congestion. A literature review revealed little information on the psychological effects of heavy vehicles on other road users. This research can be used to quantify some psychological impacts of MCVs. A testing program was undertaken on the Gateway Motorway to observe passenger car behaviour around MCVs in a lateral and longitudinal sense. Video footage was collected on a four lane divided urban motorway section which was level, straight and away from any off/on ramps. It experiences high traffic volumes with a one-way AADT of approximately 33,500. The route is currently designated for B-doubles, which is the most common MCV in urban areas. In a lateral sense, the research showed that passenger car behaviour changes around heavy vehicles (prime mover semi-trailer combination and B-doubles); however, there is no statistical difference in passenger car behaviour around semi-trailers and B-doubles. Longitudinally it was found that, even though passenger cars shy away from B-doubles more than semi-trailers, B-doubles are still more efficient in a spatial sense since they carry more freight. The outcomes of this research indicate that there is no further psychological impact on passenger cars, when travelling around B-doubles compared with semi-trailers. Where the results identified longitudinal behaviour changes, it was still concluded that B-doubles were more efficient at transporting freight when the passenger car equivalent (PCE) per tonne of freight was considered. Tracking ability testing was undertaken in a rural area to determine the lateral spatial requirements of three different MCVs. The rural testing was considered appropriate since parts of the urban network have similar characteristics to rural networks. A model was developed as a part of this project to process the data collected by Haldane (2002), but results could not be relied upon due to poor quality data.

Le choix du partenaire sexuel est l'une des décisions les plus importantes auxquelles sont confrontés les animaux au cours de leur vie. Une manière pour un individu de choisir un partenaire sexuel est de copier le choix de ses congénères. Bien que décrit dans différentes espèces de vertébrés et chez la Drosophila, ce processus d'imitation du choix du partenaire reste malgré tout peu compris. L'objectif de ma thèse a été d'étudier la capacité des femelles à choisir leur partenaire sexuel par imitation dans deux espèces de poisson, le poisson zèbre (Danio rerio) et la Gambusie de l'Est (Gambusia holbrooki), et d'étudier si cette capacité des femelles à imiter est corrélée à leur personnalité, plus particulièrement à leur caractère sur l'axe timide-audacieux. Les femelles poisson zèbre et G. holbrooki ont une préférence naturelle pour les grands mâles. Afin d'évaluer leur capacité à imiter, nous avons testé si, comme décrit dans d'autres espèces de poissons, les femelles augmentent leur préférence pour le petit male après avoir observé le grand male seul et le petit mâle en interaction avec une autre femelle. Nous n'avons pas pu mettre en évidence une tendance à imiter le choix de ses congénères chez des femelles poisson zèbre, suggérant que ce modèle n'est pas adapté pour étudier les mécanismes cognitifs sous-tenant le processus d'imitation du choix du partenaire (Article 1, Chapitre 2). Afin d'évaluer leur caractère exploratoire-audacieux, nous avons testé le comportement de ces mêmes femelles poisson zèbre dans un labyrinthe toutes les deux semaines, cinq fois de suite. Bien que nous ayons trouvé une répartition claire des individus le long de l'axe timide-audacieux dans le premier test, nous n'avons cependant pas pu détecter une répétabilité des comportements individuels à travers les tests suivants. Ceci était sans doute du au fait qu'après le premier test de personalité dans le labyrinthe, les femelles avaient appris que ce labyrinthe ne contenait aucun attracteur (alimentation ou congénère), ce qui les conduisaient à bouger de moins en moins dans le labyrinthe. Ainsi, bien que les traits de personnalité doivent persister au fil du temps, nos données suggèrent que la répétabilité des mesures dans un même test pourrait être faussée par l'apprentissage et l'habituation (Article 2, Chapitre 3). Finalement, nos données sur les femelles Gambusie de l'Est suggèrent que la capacité à imiter le choix d'un partenaire sexuel est liée à la personnalité des femelles: comme anticipé, seules les femelles timides, et non les plus audacieuses, montrent une réelle capacité à imiter le choix de leurs congénères femelles. Ce comportement des femelles timides est maximum lorsque la différence de taille entre les mâles est comprise entre 10% et 25%. Enfin, l'imitation du choix du partenaire semble également être affectée par la pression atmosphérique au moment de l'expérience, les femelles étant plus susceptibles d'imiter leurs congénères lorsque la pression de l'air augmente, en prévision de condition climatique favorable. Si nous avions ignoré ces effets confondants (personnalité, différence relative de taille des mâles attracteurs et pression atmosphérique), nous n'aurions pas détecté le comportement d'imitation du choix du partenaire sexuel chez la gambusie. Nous concluons qu'il est important de prendre en compte de tels effets confondants dans l'étude du comportement d'imitation du choix du partenaire social chez les autres espèces (Article 3, Chapitre 4). / Le choix du partenaire sexuel est l'une des décisions les plus importantes auxquelles sont confrontés les animaux au cours de leur vie. Une manière pour un individu de choisir un partenaire sexuel est de copier le choix de ses congénères. Bien que décrit dans différentes espèces de vertébrés et chez la Drosophila, ce processus d'imitation du choix du partenaire reste malgré tout peu compris. L'objectif de ma thèse a été d'étudier la capacité des femelles à choisir leur partenaire sexuel par imitation dans deux espèces de poisson, le poisson zèbre (Danio rerio) et la Gambusie de l'Est (Gambusia holbrooki), et d'étudier si cette capacité des femelles à imiter est corrélée à leur personnalité, plus particulièrement à leur caractère sur l'axe timide-audacieux. Les femelles poisson zèbre et G. holbrooki ont une préférence naturelle pour les grands mâles. Afin d'évaluer leur capacité à imiter, nous avons testé si, comme décrit dans d'autres espèces de poissons, les femelles augmentent leur préférence pour le petit male après avoir observé le grand male seul et le petit mâle en interaction avec une autre femelle. Nous n'avons pas pu mettre en évidence une tendance à imiter le choix de ses congénères chez des femelles poisson zèbre, suggérant que ce modèle n'est pas adapté pour étudier les mécanismes cognitifs sous-tenant le processus d'imitation du choix du partenaire (Article 1, Chapitre 2). Afin d'évaluer leur caractère exploratoire-audacieux, nous avons testé le comportement de ces mêmes femelles poisson zèbre dans un labyrinthe toutes les deux semaines, cinq fois de suite. Bien que nous ayons trouvé une répartition claire des individus le long de l'axe timide-audacieux dans le premier test, nous n'avons cependant pas pu détecter une répétabilité des comportements individuels à travers les tests suivants. Ceci était sans doute du au fait qu'après le premier test de personalité dans le labyrinthe, les femelles avaient appris que ce labyrinthe ne contenait aucun attracteur (alimentation ou congénère), ce qui les conduisaient à bouger de moins en moins dans le labyrinthe. Ainsi, bien que les traits de personnalité doivent persister au fil du temps, nos données suggèrent que la répétabilité des mesures dans un même test pourrait être faussée par l'apprentissage et l'habituation (Article 2, Chapitre 3). Finalement, nos données sur les femelles Gambusie de l'Est suggèrent que la capacité à imiter le choix d'un partenaire sexuel est liée à la personnalité des femelles: comme anticipé, seules les femelles timides, et non les plus audacieuses, montrent une réelle capacité à imiter le choix de leurs congénères femelles. Ce comportement des femelles timides est maximum lorsque la différence de taille entre les mâles est comprise entre 10% et 25%. Enfin, l'imitation du choix du partenaire semble également être affectée par la pression atmosphérique au moment de l'expérience, les femelles étant plus susceptibles d'imiter leurs congénères lorsque la pression de l'air augmente, en prévision de condition climatique favorable. Si nous avions ignoré ces effets confondants (personnalité, différence relative de taille des mâles attracteurs et pression atmosphérique), nous n'aurions pas détecté le comportement d'imitation du choix du partenaire sexuel chez la gambusie. Nous concluons qu'il est important de prendre en compte de tels effets confondants dans l'étude du comportement d'imitation du choix du partenaire social chez les autres espèces (Article 3, Chapitre 4).

This essay is a scientific essay that centers around a story based on a self-experienced dilemma about a shy and silent child who does not communicate with the pedagogues at the preschool nor the majority of the other children. The child chooses to only communicate through her best friend and is then able to use both body- and verbal language, and it is only through this friend that others learn what the child wants.   The purpose of the essay is to examine how preschools satisfy the needs of silent and shy children, by studying my own actions in the described story. The questions at issue which are studied in this essay include how I as a future preschool teacher can support the silent and withdrawn children. Which tools and strategies pedagogues can use to uplift them. How I as a pedagogue can include these children and make them participate in the preschool’s activities. As well as how pedagogues relate to the need of interaction among silent children. These questions are answered through the writing of the essay where my practical knowledge, which constitutes of 17 years of working as a caretaker of children, and theoretical perspectives such as the theory of connection and a sociocultural perspective are applied. An interview with a certified speech therapist has also been conducted. The conclusions that can be made are that there are several possible tools and strategies that can be used to include and facilitate for the silent and shy children in the preschool, for example picture-support, smaller groups of children or that you as an pedagogue participate yourself and give the child roles within the plays that it is able to manage. Furthermore, an important lesson is that the theoretical perspectives constitute a crucial support for pedagogues in their approach towards shy children, that it is important to do a mapping of the shy children in terms of what causes the difficulties and when they arise, and also to always proceed from the individual child’s needs so that every child at the preschool gets the best possibilities for education. / Denna uppsats är en vetenskaplig essä som utgår ifrån en berättelse som utgörs av ett egenupplevt dilemma om ett blygt och tystlåtet barn som inte kommunicerar med pedagogerna på förskolan eller majoriteten av de andra barnen. Barnet väljer att endast att kommunicera via sin bästa kompis och kan då använda både kroppsspråk och verbalt språk, och det är endast genom kompisen som andra får veta vad barnet vill. Syftet med uppsatsen är att undersöka hur förskolan tillgodoser tystlåtna och blyga barns behov, genom att studera mitt eget handlade i den beskrivna berättelsen. De frågeställningar som studeras i uppsatsen inkluderar hur jag som framtida förskolelärare kan stödja de tystlåtna och tillbakadragna barnen. Vilka verktyg och strategier pedagoger kan använda för att lyfta fram dem. Hur jag som pedagog kan inkludera dessa barn och få dem delaktiga i aktiviteterna på förskolan. Samt hur pedagoger förhåller sig till behovet av samspel hos tystlåtna barn. Dessa frågeställningar besvaras genom essäskrivande där min praktiska kunskap, som består av 17 års arbete som barnskötare, samt teoretiska perspektiv som anknytningsteorin och ett sociokulturellt perspektiv tillämpas. En intervju med en legitimerad logoped har också genomförts. Slutsatser som kan dras är att det finns flera möjliga verktyg och strategier som kan användas för att inkludera och underlätta för de tystlåtna och blyga barnen i förskolan, bland annat bild-stöd, mindre barngrupper eller att man som pedagog själv deltar och ger barnet roller i leken som den klarar av. En viktig lärdom är vidare att de teoretiska perspektiven utgör ett väsentligt stöd för pedagoger i sitt bemötande av blyga barn, att det är viktigt att göra en kartläggning av de blyga barnen kring vad som orsakar svårigheterna och när de uppstår, samt att alltid utgå från det enskilda barnets behov så att alla barn på förskolan får de bästa förutsättningarna för lärande.

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