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Les sociétés minières du Centre-Nord de la Nouvelle-Espagne au XVIIIième siècle : construction et évolution d'un monde métis

Croguennec, Soizic 23 November 2011 (has links) (PDF)
Mon travail porte sur les sociétés minières du centre-nord de la Nouvelle-Espagne au XVIIIè siècle, notamment à Zacatecas, Fresnillo et Sombrerete. Dans ce cadre précis, je m'intéresse aux " plèbes urbaines ", groupe hétérogène dans lequel se retrouvent les castas mais aussi la foule des Indiens ladinos et des Espagnols déclassés qui adoptent des comportements similaires ou qui s'accrochent désespérément à leur " hispanité ". Cette définition mène en premier lieu à l'analyse de la stratification sociale d'un point de vue socio-économique. Toutefois, le comportement de crispation des " petits-blancs " conduit à ne pas évacuer totalement la prégnance d'une stratification socio-raciale dans les mentalités et les représentations. Une telle approche induit non seulement un questionnement sur la constitution de la société coloniale mais introduit aussi la notion du discours sur autrui, autant de problèmes qu'il faut résoudre en confrontant la réalité coloniale, le vécu des " plèbes urbaines " et le discours dont elles font l'objet. C'est donc tout un jeu de va-et-vient entre ces pôles qui doit révéler une société infiniment complexe et mouvante dans laquelle stratifications concrète et mentale se combinent et produisent une véritable mosaïque sociale.
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Les sociétés minières du Centre-Nord de la Nouvelle-Espagne au XVIIIe siècle : Construction et évolution d'un monde métis

Croguennec, Soizic 23 November 2011 (has links) (PDF)
Mon travail porte sur les sociétés minières du centre-nord de la Nouvelle Espagne au XVIIIè siècle, notamment à Zacatecas, Fresnillo et Sombrerete. Dans ce cadre précis, je m'intéresse aux " plèbes urbaines ", groupe hétérogène dans lequel se retrouvent les castas mais aussi la foule des Indiens ladinos et des Espagnols déclassés qui adoptent des comportements similaires ou qui s'accrochent désespérément à leur " hispanitude ". Cette définition mène en premier lieu à l'analyse de la stratification sociale d'un point de vue socio-économique. Toutefois, le comportement de crispation des " petits-blancs " conduit à ne pas évacuer totalement la prégnance d'une stratification socio-raciale dans les mentalités et les représentations. Une telle approche induit non seulement un questionnement sur la constitution de la société coloniale mais introduit aussi la notion du discours sur autrui, autant de problèmes qu'il faut résoudre en confrontant la réalité coloniale, le vécu des " plèbes urbaines " et le discours dont elles font l'objet. C'est donc tout un jeu de va et vient entre ces pôles qui doit révéler une société infiniment complexe et mouvante dans laquelle stratification concrète et mentale se combinent et produisent une véritable mosaïque sociale.
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Les sociétés minières du Centre-Nord de la Nouvelle-Espagne au XVIIIième siècle : construction et évolution d’un monde métis / Mining societies in the Central Northern Area of New Spain in the 18th century : formation and evolution of a "mestizo" word / Las sociedades mineras en el Centro Norte de la Nueva España a lo largo del siglo XVIII

Croguennec, Soizic 23 November 2011 (has links)
Mon travail porte sur les sociétés minières du centre-nord de la Nouvelle-Espagne au XVIIIè siècle, notamment à Zacatecas, Fresnillo et Sombrerete. Dans ce cadre précis, je m'intéresse aux « plèbes urbaines », groupe hétérogène dans lequel se retrouvent les castas mais aussi la foule des Indiens ladinos et des Espagnols déclassés qui adoptent des comportements similaires ou qui s'accrochent désespérément à leur « hispanité ». Cette définition mène en premier lieu à l'analyse de la stratification sociale d'un point de vue socio-économique. Toutefois, le comportement de crispation des « petits-blancs » conduit à ne pas évacuer totalement la prégnance d'une stratification socio-raciale dans les mentalités et les représentations. Une telle approche induit non seulement un questionnement sur la constitution de la société coloniale mais introduit aussi la notion du discours sur autrui, autant de problèmes qu'il faut résoudre en confrontant la réalité coloniale, le vécu des « plèbes urbaines » et le discours dont elles font l'objet. C'est donc tout un jeu de va-et-vient entre ces pôles qui doit révéler une société infiniment complexe et mouvante dans laquelle stratifications concrète et mentale se combinent et produisent une véritable mosaïque sociale. / My current doctoral research is about the mining societies in Northern and Central New Spain during the 18th century, and especially the region of Zacatecas, Fresnillo and Sombrerete. Within this particular context, I centred my study on the lower classes, a rather heterogeneous social group composed of castas, ladinos and poor Spaniards. This definition leads the reflection towards the analysis of the social stratification from a socio-economical perspective. However, the case of the poor Spaniards, their behaviour and the way they tend to reject the mestizos and other castas (as potential spouses for instance), stressing on their ties to the more powerful group of the Creoles in the process, indicates that the socio-racial component of the social stratification should not be ignored, at least as far as individual and collective mentalities are concerned. This point of view orientates a questioning about the formation of the colonial society and introduces the notion of the perception of one another as well. The confrontation between the colonial reality and the lower classes‟ perception can be a way of answering this interrogation. The result of this work is the depiction of an extremely complex and fluid society in which several levels of stratification (real / perceived) add up to produce a social mosaic. / El tema de mi investigación doctoral actual trata de las sociedades mineras en el Centro Norte de la Nueva España a lo largo del siglo XVIII, más precisamente en la región de Zacatecas, Fresnillo y Sombrerete. En este contexto, el estudio sigue las “plebes urbanas”, un grupo social muy heterogéneo que integra a las castas pero también a los indios ladinos y a la muchedumbre de los criollos pobres, cuyos comportamientos son muy parecidos a los de las castas, o, al contrario, cuya esperanza es demostrar su legítima pertenencia al grupo superior de los Españoles. Este tipo de definición conduce naturalmente a analizar la cuestión de la estratificación social desde una perspectiva esencialmente socio-económica. Sin embargo, el fenómeno de crispación social que se puede observar entre los criollos pobres que rechazan a las castas (sobre todo al momento de eligir una pareja) conduce también a considerar la importancia de las consideraciones de natura socio-racial en las mentalidades y los discursos del siglo XVIII novohispano. Por estas razones, la problemática de mi trabajo es dual: no sólo se interesa a la formación y la evolución de la sociedad colonial pero no olvida los discursos y las percepciones. Por eso elegí un proceso de confrontación entre la realidad colonial reconstituida gracias a la documentación y los discursos elaborados por y sobre las plebes urbanas. Resulta de este esfuerzo la reconstitución de una sociedad sumamente compleja y fluida en la cual diferentes niveles (concreto / mental) de estratificación se añaden para producir una mosaica social.
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Le droit minier en Guinée au regard des meilleures pratiques internationales (1995-2013) / Mining law in Guinea in view of international best practice (1995-2013)

Bangoura, Haïda 29 November 2013 (has links)
Dans un contexte de libéralisation globale de l'économie, la majorité des pays en développement ont, à partir des années 1980-1990, réformé leur législation minière dans le but d'attirer les capitaux étrangers. La Guinée, avec des ressources minérales potentielles estimées à plus de 45 milliards de tonnes, est considérée comme l'un des pays disposant du sous-sol le plus riche en Afrique. Conscient d'un tel potentiel pour le développement du pays, le législateur guinéen adopte, en 1995, un nouveau code minier pour rendre le territoire attractif pour les investisseurs privés étrangers. Cependant, avec l'avènement du concept de développement durable, comme l'un des nouveaux défis mondiaux, de nombreuses réglementations minières ont progressivement été modifiées pour s'adapter à ce dernier. La Guinée, une fois de plus, n'a pas échappé à cette tendance, en adoptant un nouveau code minier en 2011. Ce dernier est la conséquence d'une mobilisation sociale sans précédent dans le pays, ayant débutée dans la moitié des années 2000 et visant à dénoncer l'absence de retombées économiques et financières, issues du secteur minier, pour l'État et la population. Néanmoins, peu de temps après sa promulgation, cette nouvelle législation minière a suscité de vives critiques de la part des compagnies minières. Le gouvernement, prenant en compte ces recommandations, s'est donc engagé dans un processus d'amendement de certaines dispositions du code de 2011, qui s'est achevé par l'adoption d'une nouvelle loi minière en avril 2013. Par conséquent, ce travail a pour objectif d'analyser de quelle manière la réglementation minière en Guinée (2011 et 2013) prend en compte les meilleures pratiques internationales actuelles en matière d'attractivité et de développement durable. Pour ce faire, des comparaisons sont réalisées, à la fois avec le code minier de 1995, pour donner une dimension évolutive à cette étude, ainsi qu'avec les législations minières d'autres États dans le monde. / In the context of a general liberalisation of the economy, the majority of developing countries have since the years 1980-1990 reformed their mining legislation in order to attract foreign capital. Guinea, with its potential mineral resources estimated at more than 45 billion tons, is considered to be one of the African countries with the richest subsoil. Conscious of such potential for the development of the country, the legislature in Guinea adopted, in 1995, a new Mining Code in order to make the Guinean territory more attractive to foreign private investors. However, with the arrival of the concept of sustainable development as one of the new global challenges, numerous mining regulations have been progressively modified in order to adapt. Guinea, once again, did not escape this trend and adopted a new Mining Code in 2011. This code is the consequence of a social mobilization without precedent in the country, which started in the first half of the 2000s. Its goal was to denounce the absence of economic and financial repercussions born from the mining sector on the Government and the population. Nevertheless, not long after its promulgation, this new legislation was the subject of harsh criticism from mining companies. The government, taking into account its recommendations, undertook the process of amending certain dispositions of the Mining Code of 2011, which resulted in the passage of a new Mining Law in April of 2013. Consequently, this work will analyze how mining regulation in Guinea (of 2011 and 2013) takes into account current international best practice in terms of attractiveness and sustainable development. In order to do so, comparisons will be made with the Mining Code of 1995 in order to give an evolutionary dimension to this study, as well as with Mining Regulations from other countries in the world.
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La construction de l'espace minier de l'Abitibi par l'industrie minière, l'État québécois et les résidents entre 1898 et 2015

Morin-Boulais, Catherine 18 January 2023 (has links)
Dans la ville de Malartic, en Abitibi, se trouve depuis 2011 la plus grande mine aurifère à ciel ouvert du Canada : la mine Canadian Malartic. Dès son annonce, celle-ci cause moult remous dans la population malarticoise en raison de ses répercussions sociales et environnementales délétères. Dans cette thèse, je cherche à expliquer comment un projet minier de cette ampleur et avec de telles conséquences peut être réalisé en milieu habité dans le Québec contemporain. Pour ce faire, je m'appuie sur une ethnographie du développement minier en Abitibi qui met en lumière le rôle de trois groupes d'acteurs, soit l'industrie minière, l'État québécois et les résidents de la région. Celle-ci me permet de détailler les discours de l'industrie minière et de l'État sur le développement minier, les pratiques minières de ces deux groupes d'acteurs et l'expérience des Abitibiens à l'égard des activités minières. Ce faisant, je passe successivement de l'échelle provinciale à l'échelle régionale puis à l'échelle locale. J'analyse les données qualitatives récoltées à partir d'une perspective d'écologie politique qui s'inspire de la théorie de la production sociale de l'espace d'Henri Lefebvre. Mes résultats révèlent l'enchevêtrement des facteurs historiques, politiques, économiques et sociaux qui rend possible des projets miniers comme Canadian Malartic. Ils remettent aussi en question certaines idées préconçues à propos du développement minier Abitibi. L'anthropologie des mines est un champ à la marge de la discipline qui appelle un plus grand nombre d'études, particulièrement en contexte occidental. Ma recherche alimente ce créneau lacunaire en exposant le fonctionnement et les implications de l'extraction des ressources au Québec. / Since 2011, the town of Malartic, in Abitibi, has been home to the largest open-pit gold mine in Canada: the Canadian Malartic mine. From the moment it was announced, the mine caused a stir in the Malartic population because of its deleterious social and environmental repercussions. In this thesis, I seek to explain how a mining project of this magnitude and with such consequences can be carried out in a populated area in contemporary Quebec. To do so, I rely on an ethnography of mining development in Abitibi that highlights the role of three stakeholder groups: the mining industry, the Quebec state, and the residents of the region. This allows me to detail the discourses of the mining industry and the state on mining development, the mining practices of these two stakeholder groups, and the experiences of Abitibi residents with respect to mining activities. Doing so, I move successively from the provincial to the regional to the local level. I analyze the qualitative data collected from a political ecology perspective that draws on Henri Lefebvre's theory of the social production of space. My results reveal the intertwining of historical, political, economic, and social factors that make mining projects like Canadian Malartic possible. They also challenge certain preconceived notions about Abitibi mining development. Mining anthropology is a field on the fringe of the discipline that calls for more study, particularly in a Western context. My research contributes to this gaping hole by exposing the workings and implications of resource extraction in Quebec.
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Sociétés minières canadiennes et violations des droits de l’homme à l’étranger : le Canada respecte-t-il les prescriptions internationales en la matière?

Cournier, Marine 08 1900 (has links)
La présente étude a pour objectif de vérifier si le Canada respecte les prescriptions internationales en matière de droits de l’homme et d’entreprises vis-à-vis de l’encadrement qu’il exerce sur les sociétés minières canadiennes évoluant à l’étranger. En 2011, le Conseil des droits de l’homme de l’ONU a adopté des «Principes directeurs» afin de mettre en oeuvre le cadre de référence « Protéger, Respecter, Réparer » du Représentant spécial chargé de la question des droits de l’homme et des sociétés transnationales et autres entreprises. Selon ce cadre de référence, les États ont des obligations de protection et de réparation alors que les entreprises ont seulement la responsabilité de respecter les droits humains. Après six années de travail, le Représentant spécial John Ruggie, a fait le choix de formuler dans ses «Principes directeurs» des directives non contraignantes à l’égard des États et des entreprises afin de les aider à remplir leurs obligations et responsabilités vis-à-vis des droits de l’homme. Selon, l’ONU, cet instrument de portée universelle est le plus élaboré en la matière, si bien qu’il est recommandé aux entreprises et plus particulièrement aux États de s’y conformer lors de l’élaboration de leurs politiques respectives en matière d'activité économique et de droits humains. Il convient donc de vérifier d’une part si l’encadrement exercé par l’appareil législatif et gouvernemental vis-à-vis des sociétés minières canadiennes évoluant à l’étranger est conforme au principe directeur «Protéger». D’autres part, il convient de vérifier si les recours judiciaires et extrajudiciaires disponibles au Canada remplissent les exigences du principe directeur «Réparer». Cette double analyse permettra de conclure que le Canada respecte dans les grandes lignes ces «Principes directeurs» mais qu’il pourrait faire bien plus notamment en terme d’accès à des réparations effectives pour les victimes étrangères de minières canadiennes. / This study propose to assess whether Canada meets the international requirements of business and human rights in relation to the supervision it has on Canadian mining companies operating abroad. In 2011, the Human rights Council adopted the Special Representative’s Guiding Principles on Business and Human Rights in order to implement the United Nations “Protect, Respect and Remedy” Framework. According to this framework, States have obligations to protect and remedy while companies only have responsibilities to respect human rights. After six years of work, the Special Representative on Business and Human rights, John Ruggie, has chosen to give in its Guiding Principles non- binding recommendations in order to help States and businesses to encounter their obligations and responsibilities towards human rights. According to the UN, this universal instrument is the most developed in the field. Thus, it is strongly recommended that companies and especially States, comply those «guiding principles» when they elaborate their respective policies on economic activity and human rights. It is therefore necessary to check first if the supervision exercised by the legislature and the government on Canadian mining companies operating abroad succeeds to comply with the "Protect" principles. On the other hand, it must be checked whether the judicial and extrajudicial remedies available in Canada meet the requirements of the «Remedy" principles. This dual analysis will led to conclude that Canada meets broadly the "Guiding Principles" but could do much more, especially in terms of access to effective remedies for foreign victims of Canadian mining companies.
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Sociétés minières canadiennes et violations des droits de l’homme à l’étranger : le Canada respecte-t-il les prescriptions internationales en la matière?

Cournier, Marine 08 1900 (has links)
La présente étude a pour objectif de vérifier si le Canada respecte les prescriptions internationales en matière de droits de l’homme et d’entreprises vis-à-vis de l’encadrement qu’il exerce sur les sociétés minières canadiennes évoluant à l’étranger. En 2011, le Conseil des droits de l’homme de l’ONU a adopté des «Principes directeurs» afin de mettre en oeuvre le cadre de référence « Protéger, Respecter, Réparer » du Représentant spécial chargé de la question des droits de l’homme et des sociétés transnationales et autres entreprises. Selon ce cadre de référence, les États ont des obligations de protection et de réparation alors que les entreprises ont seulement la responsabilité de respecter les droits humains. Après six années de travail, le Représentant spécial John Ruggie, a fait le choix de formuler dans ses «Principes directeurs» des directives non contraignantes à l’égard des États et des entreprises afin de les aider à remplir leurs obligations et responsabilités vis-à-vis des droits de l’homme. Selon, l’ONU, cet instrument de portée universelle est le plus élaboré en la matière, si bien qu’il est recommandé aux entreprises et plus particulièrement aux États de s’y conformer lors de l’élaboration de leurs politiques respectives en matière d'activité économique et de droits humains. Il convient donc de vérifier d’une part si l’encadrement exercé par l’appareil législatif et gouvernemental vis-à-vis des sociétés minières canadiennes évoluant à l’étranger est conforme au principe directeur «Protéger». D’autres part, il convient de vérifier si les recours judiciaires et extrajudiciaires disponibles au Canada remplissent les exigences du principe directeur «Réparer». Cette double analyse permettra de conclure que le Canada respecte dans les grandes lignes ces «Principes directeurs» mais qu’il pourrait faire bien plus notamment en terme d’accès à des réparations effectives pour les victimes étrangères de minières canadiennes. / This study propose to assess whether Canada meets the international requirements of business and human rights in relation to the supervision it has on Canadian mining companies operating abroad. In 2011, the Human rights Council adopted the Special Representative’s Guiding Principles on Business and Human Rights in order to implement the United Nations “Protect, Respect and Remedy” Framework. According to this framework, States have obligations to protect and remedy while companies only have responsibilities to respect human rights. After six years of work, the Special Representative on Business and Human rights, John Ruggie, has chosen to give in its Guiding Principles non- binding recommendations in order to help States and businesses to encounter their obligations and responsibilities towards human rights. According to the UN, this universal instrument is the most developed in the field. Thus, it is strongly recommended that companies and especially States, comply those «guiding principles» when they elaborate their respective policies on economic activity and human rights. It is therefore necessary to check first if the supervision exercised by the legislature and the government on Canadian mining companies operating abroad succeeds to comply with the "Protect" principles. On the other hand, it must be checked whether the judicial and extrajudicial remedies available in Canada meet the requirements of the «Remedy" principles. This dual analysis will led to conclude that Canada meets broadly the "Guiding Principles" but could do much more, especially in terms of access to effective remedies for foreign victims of Canadian mining companies.

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