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Leaving out of Babylon, into whose father's land? The Ethiopian perception of the repatriated Rastafari

MacLeod, Erin Christine January 2009 (has links)
This project is the first to investigate the way in which Ethiopians view the Rastafari, a post-colonial religious faith. Since originating in Jamaica in the 1930s, Rastafari have moved to the East African country to settle, viewing the country as the Promised Land. Given this centrality of Ethiopia to Rastafari, my dissertation documents the perception of Rastafari and Rastafarians within Ethiopia and the role these immigrants play within Ethiopian society. The methodology used is that of thick description—making an attempt to engage with as many different narratives about the Rastafari as possible. Thick description allows for an understanding of what is happening as regards the interaction between Rastafari and Ethiopians, but also provides a sense of context and meaning. After extensive interviewing in the Ethiopian cities of Shashemene and Addis Ababa, a comprehensive review of Ethiopian media coverage as well as analyses of academic, religious and government documents, the multiplicity of perspectives found demonstrated a view of a unique immigrant community, as well as a multifaceted view of Ethiopia and Ethiopianness. I draw from the many narratives about the Rastafari a sense of what these narratives can inform relative to Ethiopian identity itself. Unlike traditional development workers who stay on average two years, Rastafari wish to settle in Ethiopia. The challenge, therefore, to Ethiopians is to find a way to legally recognize these immigrants within the already complex historical and social spectrum of Ethiopian identity. The Rastafarian desire for citizenship and involvement in Ethiopian society challenges the idea of what it means to be Ethiopian and simultaneously demands that Ethiopian and Rastafarian identity re-evaluate its sense of self. As the Rastafari involve themselves more fully in Ethiopia, through the establishment of both humanitarian and business initiatives, and engage w / Ce projet est le premier à explorer la manière dont les Éthiopiens voient le Rastafari, une croyance religieuse post-coloniale. Depuis leur début en Jamaïque au courant des années 1930, les Rastafaris ont déménagé pour s'établir dans le pays d'Afrique de l'Est, le voyant comme la terre promise. Due en partie au rôle central que détient l'Éthiopie au sein de la religion Rastafari, ma dissertation documente la perception du Rastafari et des Rastafariens à l'intérieur de l'Éthiopie et le rôle que joue ces immigrants dans la société éthiopienne. La méthodolie utilisée est celle de « description dense »—tentant d'engager avec autant de récits sur le Rastafari que possible. La méthode de description épaisse permet à la fois une compréhension de l'interaction entre les Rastafariens et les Éthiopiens, tout en fournissant un contexte et un sens. À travers de nombreuses entrevues dans les villes éthiopiennes de Shashamene et d'Addis Abeba, une critique compréhensive de la couverture médiatique de l'Éthiopie, ainsi qu'une analyse de documents académiques, religieux et politiques, la multiplicité des perspectives retrouvées présentent un regard unique sur la communauté immigrante, ainsi qu'un point de vue varié sur l'Éthiopie et l'éthiopicité. De plusieurs récits sur les Rastafariens, je retire un sens de ce que ces récits peuvent dire sur l'identité éthiopienne comme telle. Les Rastafariens diffèrent des traveilleurs en développement international puisque ceux-ci ne restent qu'en moyenne deux ans, alors que les Rastafariens eux, désirent s'établir de façon permanent en Éthiopie. Par conséquent, le défi qui se présente pour les Éthiopiens est de trouver une manière de reconnaître légalement ces immigrants à l'intérieur de la complexité historique et sociale de l'identité éthiopienne. Le désir Rastafarien de citoyenneté et d'implication au sein de$
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Leaving out of Babylon, into whose father's land? The Ethiopian perception of the repatriated Rastafari

MacLeod, Erin Christine January 2009 (has links)
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Lecture d'une ambivalence identitaire de la société martiniquaise : essai psychanalytique d’une aliénation

Nonone, Josette 04 1900 (has links)
Comme une grande partie des îles de la Caraïbe, pour des raisons économiques basées sur le mercantilisme, justifiées par une législation, la Martinique, née il y a trois siècles, a connu un emmêlement massif de diverses ethnies. Suite à l’abolition de l’esclavage en 1848 et à la crise agricole qui en découla, c’est un brassage de coutumes qui s’opéra avec l’immigration des Hindous, des Africains, des Chinois et des Indochinois. Ce faisant, ces coutumes ont conservé leurs traditions et croyances propres, expliquant ainsi la fusion d'éléments de ces cultures, encore présente aujourd’hui. En abolissant l’esclavage, la « Loi » abolit également la réification, rétablissant ainsi l’humanité de l’homme, puisque l’esclave noir était considéré comme un bien meuble . Il en résulte la création d’un nouveau monde, modifiant la vie culturelle, déployant des habitus, ainsi qu’une manière de penser et d’agir. Aussi, un nouveau langage se structure progressivement. En 1946, la Martinique est reconnue département français d’Amérique. Aujourd’hui, elle se trouve dans une dépendance économique et sociale. De cet état de fait, un conflit s’impose à l’Afro-Martiniquais quant à la question de l’identité. Il se trouve partagé entre le contexte franco-européen et le milieu afro-antillais. Cette contradiction émane aussi de situations de confrontation, d’où se dégage souvent un ressenti de « fatalité » voire de « malédiction » entraînant « un sentiment de culpabilité collective » d’oser défier l’ordre social en place. Notre recherche vise à analyser ce dilemme de la dépendance à partir de l’énoncé des malédictions puis des considérations historiques suivies d'une perspective psychanalytique. / As a large part of the islands of the Caribbean, for economic reasons based on mercantilism, justified by law, Martinique, created three centuries ago, was a massive tangle of various ethnic groups. Following the abolition of slavery in 1848 and the agricultural crisis that arose in this patch is a custom which took place with the immigration of Indians, Africans, Chinese and Indochinese. In doing so, these customs have preserved their traditions and beliefs, thus explaining the fusion of these cultures still present today. Abolishing slavery, the "Act" also abolishes reification, since the black slave was considered as furniture, restoring the Humanity of Man. This results in the creation of a new world, changing the culture, deploying habits and a way of thinking, acting and structuring a new language. In 1946, Martinique is renowned French department of America. Today Martinique is at a state of economic and social dependence. In fact, a conflict requires the Afro-Martinique on the question of identity. The subject is divided between the Franco-European and Afro-Caribbean middle class. This contradiction comes as confrontation situations where it often follows a feeling of "fate" or "curse" causing "a sense of collective guilt" for daring to challenge the existing social order. » .
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Liens entre les représentations sociales des professionnels concernant les familles noires et leur décision de signaler un enfant noir à la Direction de la protection de la jeunesse

Lavoie-Taylor, Gwyneth 08 1900 (has links)
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Les enjeux de la discrimination positive au Brésil : le cas des quotas raciaux à l’Université d’État de Rio de Janeiro (UERJ)

Lafaiete Courty Leite, Diego 09 1900 (has links)
Ce travail vise à mieux comprendre les trajectoires et les conditions de vie de certains bénéficiaires de la politique des quotas, et également à connaître l’opinion de ces bénéficiaires sur l’efficacité du programme en tant qu’outil de lutte contre les inégalités raciales au Brésil. Pour cela, nous avons mené une étude de cas ayant comme but d’analyser l’expérience d’étudiants qui s’auto-identifient comme negros et qui ont eu accès à l’Université d’État de Rio de Janeiro, au Brésil, grâce à la politique de discrimination positive, et qui ont réussi à terminer leurs études universitaires et à obtenir leur diplôme. Nous avons mené des entretiens semi-structurés en soumettant des questionnaires contextuels à neuf anciens bénéficiaires de cette politique. Le guide d’entretien a été construit à partir de six domaines de recherche thématiques : la sélection de l’université et son intégration; l’identité raciale et le racisme; La permanence à l’université; l’intégration sur le marché du travail; la mobilité sociale et économique; et l’évaluation de la politique des quotas. Face aux résultats, nous pouvons dire que le système des quotas de l’UERJ, visant à garantir les droits historiquement niés à des groupes minoritaires tels que les Negros, par exemple, permet de changer de manière considérable les conditions de vie de ces bénéficiaires. Certes, il y a encore beaucoup à faire pour réduire les inégalités raciales et le racisme au Brésil, mais selon les résultats de la présente étude, la politique des quotas peut constituer l’une des étapes qui vont dans ce sens. / This research aims to better understand the trajectories and living conditions of certain beneficiaries of the quota policy and also to know the opinion of these beneficiaries on the effectiveness of the program as a tool to combat racial inequality in Brazil. To do so, a case study was conducted to learn about the experience of black self-declared alumni, who had access to the Rio de Janeiro State University, in Brazil, through affirmative action policy and have successfully completed their university studies and graduated. We conducted semistructured interviews and applied contextual questionnaires to nine former beneficiaries of the policy. The interview script was constructed from six thematic research areas: selection and integration of the University; racial identity and racism; permanence in the University; integration into the labor market; social and economic mobility; and evaluation of the quota policy. In view of the results, it can be said that the quota system in UERJ, which aims to guarantee rights historically denied to minority groups such as the blacks, for example, is helping to significantly change the living conditions of the beneficiaries. While there is still much to be done to reduce racial inequality and racism in Brazil, but from the results found here, apparently, the quota policy can be one of the steps in this direction.
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Émergence d’un paradoxe religieux dans un contexte esclavagiste à la Martinique aux XVIIe et XVIIIe siècles : analyse psychanalytique des signifiants d’une conversion

Nonone, Josette 12 1900 (has links)
« Il s’est converti à la « philosophie » chrétienne (et non pas à la « religion » chrétienne) », affirme Maurice Sachot (2007, p. 112) à l’égard de la conversion de Tertullien vers 197 après J.-C. Si cette conversion suscite beaucoup de suspicion en ce qui a trait aux rapprochements entre christianisme, philosophie et religion, que dire d'une autre conversion quinze siècles plus tard, celle des esclaves cette fois. Et pourtant, d'aucuns avancent que les esclaves noirs des Antilles se sont convertis à la religion catholique chrétienne. Or, par la Bible les Noirs africains avaient été mis en esclavage, et, cette même Bible les a ré-humanisés. Cependant, ils étaient considérés comme des hommes nés dans l’« ignorance » et vivaient dans un état de servitude. Aussi, à la lumière de la psychanalyse, notre recherche vise à analyser une « conversion » au christianisme des esclaves noirs. Cette révélation pourrait expliquer en partie cette situation mettant en scène deux perspectives contraires : assujettir et ré-humaniser. Décrire ce passage en termes d’une « conversion » au christianisme des esclaves noirs ne ferait que passer sous silence le tranchant des drames humains en cause. Dès lors, cette période des XVIIe et XVIIIe devient le témoin d'un paradoxe religieux qui montre une religion des maîtres et une religion des Évangiles. Il est important de comprendre que cette dernière a été l’objet de croyance et par voie de fait, de libération. Ce travail se veut être une analyse qui révèle des signifiants qui se rattachent à la conversion des esclaves noirs. / He converted to Christian «philosophy» - not to Christa in religion – once said Maurice Sachot, (2007, p.112) regarding Tertullien’s conversion, circa 197 CE. If establishing a relationship between Christianity, philosophy and religion as the foundation of the conversion raises doubts, then how about the slaves conversion fifteen centuries later ? No one has affirmed that Black slaves from the West Indies converted to the Roman Catholic Church. However, in the name of the Bible, Black Africans had been reduced to slavery and it is this same Bible that re-humanized them. Though they remained considered ignorant and were thought to live in servitude. Moreover, our research aims to analyse Black slaves «conversion », to Christianity in the light of the psychoanalysis. This revelation could explain to some extent the contradiction between the two seemingly paradoxical perspectives of submitting versus re-humanizing. By strictly describing this passage as a «conversion », we would be ignoring the human tragedy which exists at the core of it. As such, this scene reveals a religious paradox which demonstrates both a religion promoted by masters and a religion of the Gospels. We must understand that this religion was the object of a belief and de facto, that of emancipation. This work tends to be an analysis which reveals "signifiants" that refer to the conversion of Black slaves.
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Les femmes noires qui aiment les femmes : résistances aux rapports de pouvoir enchevêtrés

Almeida, Jade 08 1900 (has links)
« Les femmes noires qui aiment les femmes : résistance aux rapports de pouvoir enchevêtrés » aborde les questions de survie d’un point de vue queer et diasporique. Cette thèse soutient que les pratiques et positionnements au quotidien des participantes se situent dans les failles d’un système qui criminalise l’existence même des personnes noir.e.s. L’analyse des conditions de vie de ces femmes permet de mieux comprendre le panorama complexe des systèmes de pouvoir à l’intersection des rapports de classe, de genre, de race et de l’hétéropatriarcat. Elle permet également de reconnaitre leur capacité à créer un espace alternatif, un univers des possibles qui s’oppose aux catégories normatives et hégémoniques. Les réalités des participantes génèrent donc des points de départ où l’altérité devient outil de pensée critique, moyen de résistance et fondement d’un futur substantiellement différent infusé par l’espoir de l’amélioration. Cette recherche se base sur l’autoethnographie, une ethnographie de la participation et des entretiens semi-dirigés de 22 personnes qui s’identifient comme femmes, noires et ayant des rapports sexo-affectifs avec d’autres femmes. Cette thèse porte donc sur le désir et s’appuie sur de multiples apports, majoritairement de théoriciennes racisées, qu’elles soient issues du milieu académique ou fassent partie de mon cercle privé. Elle est formée par de puissants récits, mais également par des silences tout aussi évocateurs, par une attention accrue au domaine du micro et à la description, par une autoethnographie de la participation et par la volonté de dépeindre sur quelques pages ne serait-ce qu’un extrait de la flamboyance de ces femmes. / "Black Women Who Love Women: Resisting Entangled Power Dynamics" addresses issues of survival from a queer and diasporic perspective. This thesis argues that the participants’ everyday practices and positioning are situated within the cracks of a system that criminalizes the very existence of Black people. Analysing these women’s living conditions allows to better understand of the complex landscape of power systems at the intersection of class, gender, race and heteropatriarchy. It also recognizes their ability to create an alternative space, a universe of possibilities that opposes normative and hegemonic categories. The participants’ realities, thus, generate starting points where otherness becomes a tool for critical thinking, a means of resistance, and a foundation for a substantially different future infused with the hope of improvement. This research is based on autoethnography, an ethnography of participation, and semistructured interviews of 22 individuals who identify as female, Black, and have romantic and sexual relations with womens. This thesis, then, centers on desire and draws on multiple inputs, mostly from racialized female theorists, whether from the academic world or from my private circle. It is shaped by powerful narratives, but also by equally impactful silences, by a strong attention to what happen on the micro scale and to description, by an autoethnography of participation, and by a willingness to depict in a few pages even a snippet of these women’s flamboyance.

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