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Aportaciones al modelado conexionista de lenguaje y su aplicación al reconocimiento de secuencias y traducción automática

Zamora Martínez, Francisco Julián 07 December 2012 (has links)
El procesamiento del lenguaje natural es un área de aplicación de la inteligencia artificial, en particular, del reconocimiento de formas que estudia, entre otras cosas, incorporar información sintáctica (modelo de lenguaje) sobre cómo deben juntarse las palabras de una determinada lengua, para así permitir a los sistemas de reconocimiento/traducción decidir cual es la mejor hipótesis �con sentido común�. Es un área muy amplia, y este trabajo se centra únicamente en la parte relacionada con el modelado de lenguaje y su aplicación a diversas tareas: reconocimiento de secuencias mediante modelos ocultos de Markov y traducción automática estadística. Concretamente, esta tesis tiene su foco central en los denominados modelos conexionistas de lenguaje, esto es, modelos de lenguaje basados en redes neuronales. Los buenos resultados de estos modelos en diversas áreas del procesamiento del lenguaje natural han motivado el desarrollo de este estudio. Debido a determinados problemas computacionales que adolecen los modelos conexionistas de lenguaje, los sistemas que aparecen en la literatura se construyen en dos etapas totalmente desacopladas. En la primera fase se encuentra, a través de un modelo de lenguaje estándar, un conjunto de hipótesis factibles, asumiendo que dicho conjunto es representativo del espacio de búsqueda en el cual se encuentra la mejor hipótesis. En segundo lugar, sobre dicho conjunto, se aplica el modelo conexionista de lenguaje y se extrae la hipótesis con mejor puntuación. A este procedimiento se le denomina �rescoring�. Este escenario motiva los objetivos principales de esta tesis: � Proponer alguna técnica que pueda reducir drásticamente dicho coste computacional degradando lo mínimo posible la calidad de la solución encontrada. � Estudiar el efecto que tiene la integración de los modelos conexionistas de lenguaje en el proceso de búsqueda de las tareas propuestas. � Proponer algunas modificaciones del modelo original que permitan mejorar su calidad / Zamora Martínez, FJ. (2012). Aportaciones al modelado conexionista de lenguaje y su aplicación al reconocimiento de secuencias y traducción automática [Tesis doctoral no publicada]. Universitat Politècnica de València. https://doi.org/10.4995/Thesis/10251/18066 / Palancia
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Exploitation d’informations riches pour guider la traduction automatique statistique / Complex Feature Guidance for Statistical Machine Translation

Marie, Benjamin 25 March 2016 (has links)
S'il est indéniable que de nos jours la traduction automatique (TA) facilite la communication entre langues, et plus encore depuis les récents progrès des systèmes de TA statistiques, ses résultats sont encore loin du niveau de qualité des traductions obtenues avec des traducteurs humains.Ce constat résulte en partie du mode de fonctionnement d'un système de TA statistique, très contraint sur la nature des modèles qu'il peut utiliser pour construire et évaluer de nombreuses hypothèses de traduction partielles avant de parvenir à une hypothèse de traduction complète. Il existe cependant des types de modèles, que nous qualifions de « complexes », qui sont appris à partir d'informations riches. Si un enjeu pour les développeurs de systèmes de TA consiste à les intégrer lors de la construction initiale des hypothèses de traduction, cela n'est pas toujours possible, car elles peuvent notamment nécessiter des hypothèses complètes ou impliquer un coût de calcul très important. En conséquence, de tels modèles complexes sont typiquement uniquement utilisés en TA pour effectuer le reclassement de listes de meilleures hypothèses complètes. Bien que ceci permette dans les faits de tirer profit d'une meilleure modélisation de certains aspects des traductions, cette approche reste par nature limitée : en effet, les listes d'hypothèses reclassées ne représentent qu'une infime partie de l'espace de recherche du décodeur, contiennent des hypothèses peu diversifiées, et ont été obtenues à l'aide de modèles dont la nature peut être très différente des modèles complexes utilisés en reclassement.Nous formulons donc l'hypothèse que de telles listes d'hypothèses de traduction sont mal adaptées afin de faire s'exprimer au mieux les modèles complexes utilisés. Les travaux que nous présentons dans cette thèse ont pour objectif de permettre une meilleure exploitation d'informations riches pour l'amélioration des traductions obtenues à l'aide de systèmes de TA statistique.Notre première contribution s'articule autour d'un système de réécriture guidé par des informations riches. Des réécritures successives, appliquées aux meilleures hypothèses de traduction obtenues avec un système de reclassement ayant accès aux mêmes informations riches, permettent à notre système d'améliorer la qualité de la traduction.L'originalité de notre seconde contribution consiste à faire une construction de listes d'hypothèses par passes multiples qui exploitent des informations dérivées de l'évaluation des hypothèses de traduction produites antérieurement à l'aide de notre ensemble d'informations riches. Notre système produit ainsi des listes d'hypothèses plus diversifiées et de meilleure qualité, qui s'avèrent donc plus intéressantes pour un reclassement fondé sur des informations riches. De surcroît, notre système de réécriture précédent permet d'améliorer les hypothèses produites par cette deuxième approche à passes multiples.Notre troisième contribution repose sur la simulation d'un type d'information idéalisé parfait qui permet de déterminer quelles parties d'une hypothèse de traduction sont correctes. Cette idéalisation nous permet d'apporter une indication de la meilleure performance atteignable avec les approches introduites précédemment si les informations riches disponibles décrivaient parfaitement ce qui constitue une bonne traduction. Cette approche est en outre présentée sous la forme d'une traduction interactive, baptisée « pré-post-édition », qui serait réduite à sa forme la plus simple : un système de TA statistique produit sa meilleure hypothèse de traduction, puis un humain apporte la connaissance des parties qui sont correctes, et cette information est exploitée au cours d'une nouvelle recherche pour identifier une meilleure traduction. / Although communication between languages has without question been made easier thanks to Machine Translation (MT), especially given the recent advances in statistical MT systems, the quality of the translations produced by MT systems is still well below the translation quality that can be obtained through human translation. This gap is partly due to the way in which statistical MT systems operate; the types of models that can be used are limited because of the need to construct and evaluate a great number of partial hypotheses to produce a complete translation hypothesis. While more “complex” models learnt from richer information do exist, in practice, their integration into the system is not always possible, would necessitate a complete hypothesis to be computed or would be too computationally expensive. Such features are therefore typically used in a reranking step applied to the list of the best complete hypotheses produced by the MT system.Using these features in a reranking framework does often provide a better modelization of certain aspects of the translation. However, this approach is inherently limited: reranked hypothesis lists represent only a small portion of the decoder's search space, tend to contain hypotheses that vary little between each other and which were obtained with features that may be very different from the complex features to be used during reranking.In this work, we put forward the hypothesis that such translation hypothesis lists are poorly adapted for exploiting the full potential of complex features. The aim of this thesis is to establish new and better methods of exploiting such features to improve translations produced by statistical MT systems.Our first contribution is a rewriting system guided by complex features. Sequences of rewriting operations, applied to hypotheses obtained by a reranking framework that uses the same features, allow us to obtain a substantial improvement in translation quality.The originality of our second contribution lies in the construction of hypothesis lists with a multi-pass decoding that exploits information derived from the evaluation of previously translated hypotheses, using a set of complex features. Our system is therefore capable of producing more diverse hypothesis lists, which are globally of a better quality and which are better adapted to a reranking step with complex features. What is more, our forementioned rewriting system enables us to further improve the hypotheses produced with our multi-pass decoding approach.Our third contribution is based on the simulation of an ideal information type, designed to perfectly identify the correct fragments of a translation hypothesis. This perfect information gives us an indication of the best attainable performance with the systems described in our first two contributions, in the case where the complex features are able to modelize the translation perfectly. Through this approach, we also introduce a novel form of interactive translation, coined "pre-post-editing", under a very simplified form: a statistical MT system produces its best translation hypothesis, then a human indicates which fragments of the hypothesis are correct, and this new information is then used during a new decoding pass to find a new best translation.
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Compound Processing for Phrase-Based Statistical Machine Translation

Stymne, Sara January 2009 (has links)
In this thesis I explore how compound processing can be used to improve phrase-based statistical machine translation (PBSMT) between English and German/Swedish. Both German and Swedish generally use closed compounds, which are written as one word without spaces or other indicators of word boundaries. Compounding is both common and productive, which makes it problematic for PBSMT, mainly due to sparse data problems. The adopted strategy for compound processing is to split compounds into their component parts before training and translation. For translation into Swedish and German the parts are merged after translation. I investigate the effect of different splitting algorithms for translation between English and German, and of different merging algorithms for German. I also apply these methods to a different language pair, English--Swedish. Overall the studies show that compound processing is useful, especially for translation from English into German or Swedish. But there are improvements for translation into English as well, such as a reduction of unknown words. I show that for translation between English and German different splitting algorithms work best for different translation directions. I also design and evaluate a novel merging algorithm based on part-of-speech matching, which outperforms previous methods for compound merging, showing the need for information that is carried through the translation process, rather than only external knowledge sources such as word lists. Most of the methods for compound processing were originally developed for German. I show that these methods can be applied to Swedish as well, with similar results.
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L’extraction de phrases en relation de traduction dans Wikipédia

Rebout, Lise 06 1900 (has links)
Afin d'enrichir les données de corpus bilingues parallèles, il peut être judicieux de travailler avec des corpus dits comparables. En effet dans ce type de corpus, même si les documents dans la langue cible ne sont pas l'exacte traduction de ceux dans la langue source, on peut y retrouver des mots ou des phrases en relation de traduction. L'encyclopédie libre Wikipédia constitue un corpus comparable multilingue de plusieurs millions de documents. Notre travail consiste à trouver une méthode générale et endogène permettant d'extraire un maximum de phrases parallèles. Nous travaillons avec le couple de langues français-anglais mais notre méthode, qui n'utilise aucune ressource bilingue extérieure, peut s'appliquer à tout autre couple de langues. Elle se décompose en deux étapes. La première consiste à détecter les paires d’articles qui ont le plus de chance de contenir des traductions. Nous utilisons pour cela un réseau de neurones entraîné sur un petit ensemble de données constitué d'articles alignés au niveau des phrases. La deuxième étape effectue la sélection des paires de phrases grâce à un autre réseau de neurones dont les sorties sont alors réinterprétées par un algorithme d'optimisation combinatoire et une heuristique d'extension. L'ajout des quelques 560~000 paires de phrases extraites de Wikipédia au corpus d'entraînement d'un système de traduction automatique statistique de référence permet d'améliorer la qualité des traductions produites. Nous mettons les données alignées et le corpus extrait à la disposition de la communauté scientifique. / Working with comparable corpora can be useful to enhance bilingual parallel corpora. In fact, in such corpora, even if the documents in the target language are not the exact translation of those in the source language, one can still find translated words or sentences. The free encyclopedia Wikipedia is a multilingual comparable corpus of several millions of documents. Our task is to find a general endogenous method for extracting a maximum of parallel sentences from this source. We are working with the English-French language pair but our method -- which uses no external bilingual resources -- can be applied to any other language pair. It can best be described in two steps. The first one consists of detecting article pairs that are most likely to contain translations. This is achieved through a neural network trained on a small data set composed of sentence aligned articles. The second step is to perform the selection of sentence pairs through another neural network whose outputs are then re-interpreted by a combinatorial optimization algorithm and an extension heuristic. The addition of the 560~000 pairs of sentences extracted from Wikipedia to the training set of a baseline statistical machine translation system improves the quality of the resulting translations. We make both the aligned data and the extracted corpus available to the scientific community.
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Traduction statistique vers une langue à morphologie riche : combinaison d’algorithmes de segmentation morphologique et de modèles statistiques de traduction automatique

Trabelsi, Chiheb 07 1900 (has links)
Les systèmes statistiques de traduction automatique ont pour tâche la traduction d’une langue source vers une langue cible. Dans la plupart des systèmes de traduction de référence, l'unité de base considérée dans l'analyse textuelle est la forme telle qu’observée dans un texte. Une telle conception permet d’obtenir une bonne performance quand il s'agit de traduire entre deux langues morphologiquement pauvres. Toutefois, ceci n'est plus vrai lorsqu’il s’agit de traduire vers une langue morphologiquement riche (ou complexe). Le but de notre travail est de développer un système statistique de traduction automatique comme solution pour relever les défis soulevés par la complexité morphologique. Dans ce mémoire, nous examinons, dans un premier temps, un certain nombre de méthodes considérées comme des extensions aux systèmes de traduction traditionnels et nous évaluons leurs performances. Cette évaluation est faite par rapport aux systèmes à l’état de l’art (système de référence) et ceci dans des tâches de traduction anglais-inuktitut et anglais-finnois. Nous développons ensuite un nouvel algorithme de segmentation qui prend en compte les informations provenant de la paire de langues objet de la traduction. Cet algorithme de segmentation est ensuite intégré dans le modèle de traduction à base d’unités lexicales « Phrase-Based Models » pour former notre système de traduction à base de séquences de segments. Enfin, nous combinons le système obtenu avec des algorithmes de post-traitement pour obtenir un système de traduction complet. Les résultats des expériences réalisées dans ce mémoire montrent que le système de traduction à base de séquences de segments proposé permet d’obtenir des améliorations significatives au niveau de la qualité de la traduction en terme de le métrique d’évaluation BLEU (Papineni et al., 2002) et qui sert à évaluer. Plus particulièrement, notre approche de segmentation réussie à améliorer légèrement la qualité de la traduction par rapport au système de référence et une amélioration significative de la qualité de la traduction est observée par rapport aux techniques de prétraitement de base (baseline). / Statistical Machine Translation systems have been designed to translate text from a source language into a target one. In most of the benchmark translation systems, the basic unit considered in the textual analysis is the observed textual form of a word. While such a design provides good performance when it comes to translation between two morphologically poor languages, this is not the case when translating into or from a morphologically rich (or complex) language. The purpose of our work is to develop a Statistical Machine Translation (SMT) system as an alternative solution to the many challenges raised by morphological complexity. Our system has the potentials to capture the morphological diversity and hence, to produce efficient translation from a morphologically poor language to a rich one. Several methods have been designed to accomplish such a task. Pre-processing and Post-processing techniques have been built-in to these methods to allow for morphological information to improve translation quality. In this thesis, we first examine several methods of extending traditional SMT models and assess their power of producing better output by comparing them on English-Inuktitut and English-Finnish translation tasks. In a second step we develop a new morphologically aware segmentation algorithm that takes into account information coming from both languages to segment the morphologically rich language. This is done in order to enhance the quality of alignments and consequently the translation itself. This bilingual segmentation algorithm is then incorporated into the phrase-based translation model “PBM” to form our segmentation-based system. Finally we combine the segmentation-based system thus obtained with post-processing algorithms to procure our complete translation system. Our experiments show that the proposed segmentation-based system slightly outperforms the baseline translation system which doesn’t use any preprocessing techniques. It turns out also that our segmentation approach significantly surpasses the preprocessing baseline techniques used in this thesis.
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Continuous space models with neural networks in natural language processing / Modèles neuronaux pour la modélisation statistique de la langue

Le, Hai Son 20 December 2012 (has links)
Les modèles de langage ont pour but de caractériser et d'évaluer la qualité des énoncés en langue naturelle. Leur rôle est fondamentale dans de nombreux cadres d'application comme la reconnaissance automatique de la parole, la traduction automatique, l'extraction et la recherche d'information. La modélisation actuellement état de l'art est la modélisation "historique" dite n-gramme associée à des techniques de lissage. Ce type de modèle prédit un mot uniquement en fonction des n-1 mots précédents. Pourtant, cette approche est loin d'être satisfaisante puisque chaque mot est traité comme un symbole discret qui n'a pas de relation avec les autres. Ainsi les spécificités du langage ne sont pas prises en compte explicitement et les propriétés morphologiques, sémantiques et syntaxiques des mots sont ignorées. De plus, à cause du caractère éparse des langues naturelles, l'ordre est limité à n=4 ou 5. Sa construction repose sur le dénombrement de successions de mots, effectué sur des données d'entrainement. Ce sont donc uniquement les textes d'apprentissage qui conditionnent la pertinence de la modélisation n-gramme, par leur quantité (plusieurs milliards de mots sont utilisés) et leur représentativité du contenu en terme de thématique, époque ou de genre. L'usage des modèles neuronaux ont récemment ouvert de nombreuses perspectives. Le principe de projection des mots dans un espace de représentation continu permet d'exploiter la notion de similarité entre les mots: les mots du contexte sont projetés dans un espace continu et l'estimation de la probabilité du mot suivant exploite alors la similarité entre ces vecteurs. Cette représentation continue confère aux modèles neuronaux une meilleure capacité de généralisation et leur utilisation a donné lieu à des améliorations significative en reconnaissance automatique de la parole et en traduction automatique. Pourtant, l'apprentissage et l'inférence des modèles de langue neuronaux à grand vocabulaire restent très couteux. Ainsi par le passé, les modèles neuronaux ont été utilisés soit pour des tâches avec peu de données d'apprentissage, soit avec un vocabulaire de mots à prédire limités en taille. La première contribution de cette thèse est donc de proposer une solution qui s’appuie sur la structuration de la couche de sortie sous forme d’un arbre de classification pour résoudre ce problème de complexité. Le modèle se nomme Structure OUtput Layer (SOUL) et allie une architecture neuronale avec les modèles de classes. Dans le cadre de la reconnaissance automatique de la parole et de la traduction automatique, ce nouveau type de modèle a permis d'obtenir des améliorations significatives des performances pour des systèmes à grande échelle et à état l'art. La deuxième contribution de cette thèse est d'analyser les représentations continues induites et de comparer ces modèles avec d'autres architectures comme les modèles récurrents. Enfin, la troisième contribution est d'explorer la capacité de la structure SOUL à modéliser le processus de traduction. Les résultats obtenus montrent que les modèles continus comme SOUL ouvrent des perspectives importantes de recherche en traduction automatique. / The purpose of language models is in general to capture and to model regularities of language, thereby capturing morphological, syntactical and distributional properties of word sequences in a given language. They play an important role in many successful applications of Natural Language Processing, such as Automatic Speech Recognition, Machine Translation and Information Extraction. The most successful approaches to date are based on n-gram assumption and the adjustment of statistics from the training data by applying smoothing and back-off techniques, notably Kneser-Ney technique, introduced twenty years ago. In this way, language models predict a word based on its n-1 previous words. In spite of their prevalence, conventional n-gram based language models still suffer from several limitations that could be intuitively overcome by consulting human expert knowledge. One critical limitation is that, ignoring all linguistic properties, they treat each word as one discrete symbol with no relation with the others. Another point is that, even with a huge amount of data, the data sparsity issue always has an important impact, so the optimal value of n in the n-gram assumption is often 4 or 5 which is insufficient in practice. This kind of model is constructed based on the count of n-grams in training data. Therefore, the pertinence of these models is conditioned only on the characteristics of the training text (its quantity, its representation of the content in terms of theme, date). Recently, one of the most successful attempts that tries to directly learn word similarities is to use distributed word representations in language modeling, where distributionally words, which have semantic and syntactic similarities, are expected to be represented as neighbors in a continuous space. These representations and the associated objective function (the likelihood of the training data) are jointly learned using a multi-layer neural network architecture. In this way, word similarities are learned automatically. This approach has shown significant and consistent improvements when applied to automatic speech recognition and statistical machine translation tasks. A major difficulty with the continuous space neural network based approach remains the computational burden, which does not scale well to the massive corpora that are nowadays available. For this reason, the first contribution of this dissertation is the definition of a neural architecture based on a tree representation of the output vocabulary, namely Structured OUtput Layer (SOUL), which makes them well suited for large scale frameworks. The SOUL model combines the neural network approach with the class-based approach. It achieves significant improvements on both state-of-the-art large scale automatic speech recognition and statistical machine translations tasks. The second contribution is to provide several insightful analyses on their performances, their pros and cons, their induced word space representation. Finally, the third contribution is the successful adoption of the continuous space neural network into a machine translation framework. New translation models are proposed and reported to achieve significant improvements over state-of-the-art baseline systems.
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Extraction de corpus parallèle pour la traduction automatique depuis et vers une langue peu dotée / Extraction a parallel corpus for machine translation from and to under-resourced languages

Do, Thi Ngoc Diep 20 December 2011 (has links)
Les systèmes de traduction automatique obtiennent aujourd'hui de bons résultats sur certains couples de langues comme anglais – français, anglais – chinois, anglais – espagnol, etc. Les approches de traduction empiriques, particulièrement l'approche de traduction automatique probabiliste, nous permettent de construire rapidement un système de traduction si des corpus de données adéquats sont disponibles. En effet, la traduction automatique probabiliste est fondée sur l'apprentissage de modèles à partir de grands corpus parallèles bilingues pour les langues source et cible. Toutefois, la recherche sur la traduction automatique pour des paires de langues dites «peu dotés» doit faire face au défi du manque de données. Nous avons ainsi abordé le problème d'acquisition d'un grand corpus de textes bilingues parallèles pour construire le système de traduction automatique probabiliste. L'originalité de notre travail réside dans le fait que nous nous concentrons sur les langues peu dotées, où des corpus de textes bilingues parallèles sont inexistants dans la plupart des cas. Ce manuscrit présente notre méthodologie d'extraction d'un corpus d'apprentissage parallèle à partir d'un corpus comparable, une ressource de données plus riche et diversifiée sur l'Internet. Nous proposons trois méthodes d'extraction. La première méthode suit l'approche de recherche classique qui utilise des caractéristiques générales des documents ainsi que des informations lexicales du document pour extraire à la fois les documents comparables et les phrases parallèles. Cependant, cette méthode requiert des données supplémentaires sur la paire de langues. La deuxième méthode est une méthode entièrement non supervisée qui ne requiert aucune donnée supplémentaire à l'entrée, et peut être appliquée pour n'importe quelle paires de langues, même des paires de langues peu dotées. La dernière méthode est une extension de la deuxième méthode qui utilise une troisième langue, pour améliorer les processus d'extraction de deux paires de langues. Les méthodes proposées sont validées par des expériences appliquées sur la langue peu dotée vietnamienne et les langues française et anglaise. / Nowadays, machine translation has reached good results when applied to several language pairs such as English – French, English – Chinese, English – Spanish, etc. Empirical translation, particularly statistical machine translation allows us to build quickly a translation system if adequate data is available because statistical machine translation is based on models trained from large parallel bilingual corpora in source and target languages. However, research on machine translation for under-resourced language pairs always faces to the lack of training data. Thus, we have addressed the problem of retrieving a large parallel bilingual text corpus to build a statistical machine translation system. The originality of our work lies in the fact that we focus on under-resourced languages for which parallel bilingual corpora do not exist in most cases. This manuscript presents our methodology for extracting a parallel corpus from a comparable corpus, a richer and more diverse data resource over the Web. We propose three methods of extraction. The first method follows the classical approach using general characteristics of documents as well as lexical information of the document to retrieve both parallel documents and parallel sentence pairs. However, this method requires additional data of the language pair. The second method is a completely unsupervised method that does not require additional data and it can be applied to any language pairs, even under resourced language pairs. The last method deals with the extension of the second method using a third language to improve the extraction process (triangulation). The proposed methods are validated by a number of experiments applied on the under resourced Vietnamese language and the English and French languages.
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Translation as Linear Transduction : Models and Algorithms for Efficient Learning in Statistical Machine Translation

Saers, Markus January 2011 (has links)
Automatic translation has seen tremendous progress in recent years, mainly thanks to statistical methods applied to large parallel corpora. Transductions represent a principled approach to modeling translation, but existing transduction classes are either not expressive enough to capture structural regularities between natural languages or too complex to support efficient statistical induction on a large scale. A common approach is to severely prune search over a relatively unrestricted space of transduction grammars. These restrictions are often applied at different stages in a pipeline, with the obvious drawback of committing to irrevocable decisions that should not have been made. In this thesis we will instead restrict the space of transduction grammars to a space that is less expressive, but can be efficiently searched. First, the class of linear transductions is defined and characterized. They are generated by linear transduction grammars, which represent the natural bilingual case of linear grammars, as well as the natural linear case of inversion transduction grammars (and higher order syntax-directed transduction grammars). They are recognized by zipper finite-state transducers, which are equivalent to finite-state automata with four tapes. By allowing this extra dimensionality, linear transductions can represent alignments that finite-state transductions cannot, and by keeping the mechanism free of auxiliary storage, they become much more efficient than inversion transductions. Secondly, we present an algorithm for parsing with linear transduction grammars that allows pruning. The pruning scheme imposes no restrictions a priori, but guides the search to potentially interesting parts of the search space in an informed and dynamic way. Being able to parse efficiently allows learning of stochastic linear transduction grammars through expectation maximization. All the above work would be for naught if linear transductions were too poor a reflection of the actual transduction between natural languages. We test this empirically by building systems based on the alignments imposed by the learned grammars. The conclusion is that stochastic linear inversion transduction grammars learned from observed data stand up well to the state of the art.
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L’extraction de phrases en relation de traduction dans Wikipédia

Rebout, Lise 06 1900 (has links)
Afin d'enrichir les données de corpus bilingues parallèles, il peut être judicieux de travailler avec des corpus dits comparables. En effet dans ce type de corpus, même si les documents dans la langue cible ne sont pas l'exacte traduction de ceux dans la langue source, on peut y retrouver des mots ou des phrases en relation de traduction. L'encyclopédie libre Wikipédia constitue un corpus comparable multilingue de plusieurs millions de documents. Notre travail consiste à trouver une méthode générale et endogène permettant d'extraire un maximum de phrases parallèles. Nous travaillons avec le couple de langues français-anglais mais notre méthode, qui n'utilise aucune ressource bilingue extérieure, peut s'appliquer à tout autre couple de langues. Elle se décompose en deux étapes. La première consiste à détecter les paires d’articles qui ont le plus de chance de contenir des traductions. Nous utilisons pour cela un réseau de neurones entraîné sur un petit ensemble de données constitué d'articles alignés au niveau des phrases. La deuxième étape effectue la sélection des paires de phrases grâce à un autre réseau de neurones dont les sorties sont alors réinterprétées par un algorithme d'optimisation combinatoire et une heuristique d'extension. L'ajout des quelques 560~000 paires de phrases extraites de Wikipédia au corpus d'entraînement d'un système de traduction automatique statistique de référence permet d'améliorer la qualité des traductions produites. Nous mettons les données alignées et le corpus extrait à la disposition de la communauté scientifique. / Working with comparable corpora can be useful to enhance bilingual parallel corpora. In fact, in such corpora, even if the documents in the target language are not the exact translation of those in the source language, one can still find translated words or sentences. The free encyclopedia Wikipedia is a multilingual comparable corpus of several millions of documents. Our task is to find a general endogenous method for extracting a maximum of parallel sentences from this source. We are working with the English-French language pair but our method -- which uses no external bilingual resources -- can be applied to any other language pair. It can best be described in two steps. The first one consists of detecting article pairs that are most likely to contain translations. This is achieved through a neural network trained on a small data set composed of sentence aligned articles. The second step is to perform the selection of sentence pairs through another neural network whose outputs are then re-interpreted by a combinatorial optimization algorithm and an extension heuristic. The addition of the 560~000 pairs of sentences extracted from Wikipedia to the training set of a baseline statistical machine translation system improves the quality of the resulting translations. We make both the aligned data and the extracted corpus available to the scientific community.
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Traduction statistique vers une langue à morphologie riche : combinaison d’algorithmes de segmentation morphologique et de modèles statistiques de traduction automatique

Trabelsi, Chiheb 07 1900 (has links)
Les systèmes statistiques de traduction automatique ont pour tâche la traduction d’une langue source vers une langue cible. Dans la plupart des systèmes de traduction de référence, l'unité de base considérée dans l'analyse textuelle est la forme telle qu’observée dans un texte. Une telle conception permet d’obtenir une bonne performance quand il s'agit de traduire entre deux langues morphologiquement pauvres. Toutefois, ceci n'est plus vrai lorsqu’il s’agit de traduire vers une langue morphologiquement riche (ou complexe). Le but de notre travail est de développer un système statistique de traduction automatique comme solution pour relever les défis soulevés par la complexité morphologique. Dans ce mémoire, nous examinons, dans un premier temps, un certain nombre de méthodes considérées comme des extensions aux systèmes de traduction traditionnels et nous évaluons leurs performances. Cette évaluation est faite par rapport aux systèmes à l’état de l’art (système de référence) et ceci dans des tâches de traduction anglais-inuktitut et anglais-finnois. Nous développons ensuite un nouvel algorithme de segmentation qui prend en compte les informations provenant de la paire de langues objet de la traduction. Cet algorithme de segmentation est ensuite intégré dans le modèle de traduction à base d’unités lexicales « Phrase-Based Models » pour former notre système de traduction à base de séquences de segments. Enfin, nous combinons le système obtenu avec des algorithmes de post-traitement pour obtenir un système de traduction complet. Les résultats des expériences réalisées dans ce mémoire montrent que le système de traduction à base de séquences de segments proposé permet d’obtenir des améliorations significatives au niveau de la qualité de la traduction en terme de le métrique d’évaluation BLEU (Papineni et al., 2002) et qui sert à évaluer. Plus particulièrement, notre approche de segmentation réussie à améliorer légèrement la qualité de la traduction par rapport au système de référence et une amélioration significative de la qualité de la traduction est observée par rapport aux techniques de prétraitement de base (baseline). / Statistical Machine Translation systems have been designed to translate text from a source language into a target one. In most of the benchmark translation systems, the basic unit considered in the textual analysis is the observed textual form of a word. While such a design provides good performance when it comes to translation between two morphologically poor languages, this is not the case when translating into or from a morphologically rich (or complex) language. The purpose of our work is to develop a Statistical Machine Translation (SMT) system as an alternative solution to the many challenges raised by morphological complexity. Our system has the potentials to capture the morphological diversity and hence, to produce efficient translation from a morphologically poor language to a rich one. Several methods have been designed to accomplish such a task. Pre-processing and Post-processing techniques have been built-in to these methods to allow for morphological information to improve translation quality. In this thesis, we first examine several methods of extending traditional SMT models and assess their power of producing better output by comparing them on English-Inuktitut and English-Finnish translation tasks. In a second step we develop a new morphologically aware segmentation algorithm that takes into account information coming from both languages to segment the morphologically rich language. This is done in order to enhance the quality of alignments and consequently the translation itself. This bilingual segmentation algorithm is then incorporated into the phrase-based translation model “PBM” to form our segmentation-based system. Finally we combine the segmentation-based system thus obtained with post-processing algorithms to procure our complete translation system. Our experiments show that the proposed segmentation-based system slightly outperforms the baseline translation system which doesn’t use any preprocessing techniques. It turns out also that our segmentation approach significantly surpasses the preprocessing baseline techniques used in this thesis.

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