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The Tax Cuts and Jobs Act Hurts Single Parents with Children Pursuing a College Education

Freeman, Michelle S., Reed, Alyssa 23 April 2019 (has links)
This article highlights some instances where the Tax Cuts and Jobs Act (TCJA) increased taxes for single parents at the moment their children are pursuing a college education. The article further recaps education credits that were saved (but not increased) by the TCJA and a deduction that was lost. The authors also discuss an implication of the TCJA that could cause the burden on families sending children to college to increase further. Finally, the article captures items that legislators could enact to relieve the additional burden on families with students pursuing a college education.
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Tangible Intangibles in the United States’ Tax Cuts and Jobs Act : How Mixed Definitions of “Intangible” Lead to Mixed Results in the United States’ Efforts to Close Tax Loopholes, Move to a Territorial Tax System, and Reduce Base Erosion and Profit Shifting Abuses

Summers, James January 2018 (has links)
The United States’ Tax Cuts and Jobs Act of 2017 (TCJA) changed a 30-year-old definition of the term “intangible property” and added assessment requirements for two different types of “intangible income”, both of which deviate from the newly changed general definition of “intangible” and most common understandings of the meaning of the word.  While it may appear unlikely that a change in meaning of a single word in a large tax code could have a drastic effect on international taxation, the differing definitions of “intangible” create far-reaching tangible consequences.   The TCJA affects the international taxation of US-based corporations for cross-border transactions, among many ways, by employing different definitions of the word “intangible” in three different provisions.  First, it modifies the general statutory definition of “intangible” to specifically include goodwill, workforce in place, and going-concern value will be examined.  Second, it uses an unusually broad definition of “intangible” in the new tax category of global intangible low-taxed income (GILTI); and third, the meaning of “intangible” as used in assessing so-called foreign-derived intangible income (FDII) essentially creates a broad export subsidy.  Each use of the term will also be assessed on how it ties into the TCJA’s intended purpose for the provision in which it appears.  Additionally, they will be assessed on how they compare with established international tax standards provided by the Organization for Economic Co-operation and Development (OECD) and its Base Erosion and Profit Shifting (BEPS) Plan.   By explicitly changing the definition of “intangible property”, it becomes apparent that the TCJA has increased the scope of potential tax liability for US corporations and has brought the US in line with the OECD’s use of the phrase as used in its model convention.   In examining how the GILTI tax is calculated, it will become evident that the tax can be applied to income that is not connected to intangibles despite the seemingly limited scope implied by its name.  Furthermore, a limitation on foreign tax credit means that GILTI might allow at least some continuation of the old worldwide tax system.  While potentially overly-burdensome, GILTI seems to be broadly in line with the BEPS goal towards reducing profit shifting.   As a result of how “intangible” is defined for purposes of determining FDII, two effects become apparent. First, for tax categorization, it encompasses income from both tangible and intangible assets.  Second, it permits deductions that can be construed as an export incentive.
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Tax Avoidance, Aggressive Tax Planning, and the United States’ Tax Cuts and Jobs Act of 2017 : An Investigation into Anti-Base Erosion and Anti-Profit Shifting Strategies

Rosato, Andrea January 2022 (has links)
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Essays on business taxation

Zeida, Teega-Wendé Hervé 09 1900 (has links)
Cette thèse explore les effets macroéconomiques et distributionnels de la taxation dans l’économie américaine. Les trois premiers chapitres prennent en considération l’interaction entre l’entrepreneuriat et la distribution de richesse tandis que le dernier discute l’arbitrage du mode de financement d’une diminution d’impôt sur les sociétés sous la contrainte de neutralité fiscale pour le gouvernement. Spécifiquement, le chapitre 1 en utilisant les données du Panel Study of Income Dynamics (PSID) , fournit des évidences selon lesquelles le capital humain ou l’expérience entrepreneuriale est quantitativement important pour expliquer les disparités de revenu et de richesse entre les individus au cours de leur cycle de vie. Pour saisir ces tendances, je considère le modèle d’entrepreneuriat de Cagetti et De Nardi (2006), modifié pour prendre en compte la dynamique du cycle de vie. J’introduis également l’accumulation de l’experience entrepreneuriale, laquelle rend les entrepreneurs plus productifs. Je calibre ensuite deux versions du modèle (avec et sans accumulation d’expérience d’entreprise) en fonction des mêmes données américaines. Les résultats montrent que le modèle avec accumulation d’expérience réplique le mieux les données. La question de recherche du chapitre 2 est opportune à la réforme fiscale récente adoptée aux États-Unis, laquelle est un changement majeur du code fiscal depuis la loi de réforme fiscale de 1986. Le Tax Cuts and Jobs Act (TCJA) voté en décembre 2017 a significativement changé la manière dont le revenu d’affaires est imposé aux États-Unis. Je considère alors le modèle d’équilibre général dynamique avec choix d’occupations développé au Chapitre 1 pour une évaluation quantitative des effets macroéconomiques du TCJA, tant dans le court terme que dans le long terme. Le TCJA est modélisé selon ses trois provisions clés : un nouveau taux de déduction de 20% pour les firmes non- incorporées, une baisse du taux fiscal statutaire pour sociétés incorporées de 35% à 21% et la réduction de 39.6% à 37% du taux marginal supérieur pour les individus. Je trouve que l’économie connait un taux de croissance du PIB de 0.90% sur une fenêtre fiscale de dix ans et le stock de capital en moyenne augmente de 2.12%. Ces résultats sont consis- tants aux évaluations faites par le Congressional Budget Office et le Joint Committee on vi Taxation. Avec des provisions provisoires, le TCJA génère une réduction dans l’inégalité de la richesse et celle du revenu mais l’opposé se réalise une fois que les provisions sont faites permanentes. Dans les deux scénarios, la population subit une perte de bien-être et exprime un faible soutien. Le chapitre 3 répond à la question normative: Les entrepreneurs devraient-ils être imposés différemment? Par conséquent, j’analyse quantitativement la désirabilité d’une taxation basée sur l’occupation dans un modèle à générations imbriquées avec entrepreneuriat et une prise en compte explicite des cohortes transitionnelles. La reforme principale étudiée est le passage d’une taxation progressive fédérale identique tant pour les revenus du travail que pour le bénéfice d’entreprise au niveau individuel à un régime fiscal différentiel où le profit d’affaires fait face à un taux d’imposition proportionnel pendant que le revenu du travail est toujours soumis au code de taxation progressive. Je trouve qu’une taxe proportionnelle de 40% imposée aux entrepreneurs est optimale. Plus générale- ment, je montre que le taux d’imposition optimal varie entre 15% et 50%, augmentant avec l’aversion du planificateur pour les inégalités et diminuant avec son évaluation rel- ative du bien-être des générations futures. Dans le contexte de la réforme fiscalité des entreprises, le chapitre 4 évalue les compromis de neutralité fiscale de revenu dans le financement d’une réduction de l’impôt des sociétés. Pour respecter la neutralité fiscale, le gouvernement utilise trois instruments pour équilibrer son budget, à savoir l’impôt sur le revenu du travail, les dividendes et les gains en capital. Je construis ensuite un modèle d’équilibre général parcimonieux pour obtenir des multiplicateurs budgétaires équilibrés associés à une réforme de l’impôt sur les sociétés. En utilisant un calibration standard de l’économie américaine, je montre que les multiplicateurs liés à l’impôt sur le revenu du travail et l’impôt sur les dividendes sont négatifs, suggérant ainsi un compromis entre une réduction de l’impôt des sociétés et ces deux taux d’imposition. D’autre part, le multiplicateur lié à l’impôt sur les gains en capital est positif, ce qui prédit une coordination d’une double réduction des taux d’imposition des sociétés et des gains en capital. De plus, les gains de bien-être des différents scénarios sont mitigés. / This thesis explores the macroeconomic and distributional effects of taxation in the U.S. economy. The first three chapters take advantage of the interplay between entrepreneurship and wealth distribution while the last one discusses the trade-offs when financing a corporate tax cut under revenue neutrality. Specifically, Chapter 1 provides evidence using the Panel Study of Income Dynamics (PSID) that occupation-specific human capital or business experience is quantitatively important in explaining income and wealth disparities among individuals over their life cycle. To capture the data patterns, I build on Cagetti and De Nardi (2006) occupational choice model, modified to feature life-cycle dynamics. I also introduce managerial skill accumulation which leads entrepreneurs to become more productive with experience. I then calibrate two versions of the model (with and without accumulation of business experience) to the same U.S. data. Results show that the model with business experience margin is the closest one. Chapter 2's research question is timely to the recent tax reform enacted in the US, which is a major change of the tax code since the 1986 Tax Reform Act. The Tax Cuts and Jobs Act (TCJA) as of December 2017 significantly altered how business income is taxed in the US. I consider a dynamic general equilibrium model of entrepreneurship developed in Chapter 1 to provide a quantitative assessment of the macroeconomic effects of the TCJA, both in the short run and in the long run. The TCJA is modeled by its three key provisions: a new 20-percent-deduction rate for pass-throughs, a drop in the statutory tax rate for corporations from 35% to 21% and the reduction to 37% of the top marginal tax rate for individuals from 39.6%. I find that the economy experiences, a GDP growth rate of 0.90% over a ten-year window and average capital stock increases by 2.12%. These results are consistent with estimates made by the congressional budget office and the joint committee on taxation. With temporary provisions, the TCJA delivers a reduction in wealth and income inequality but the opposite occurs once provisions are made permanent. In both scenarios, the population suffers a welfare loss and finds them difficult to support. Chapter 3 answers the normative question: Should entrepreneurs be taxed differently? Accordingly, I quantitatively investigate the desirability of occupation-based taxation in the entrepreneurship model of Chapter 1, when transitional cohorts are explicitly taken into account. The main experiment is to move from the federal single progressive taxation for both labor income and business profit at the individual level to a differential tax regime where business income faces a proportional tax rate and labor income is still subject to the progressive scheme. I find that a tax rate of 40% is optimal. More generally, the optimal tax rate varies between 15% and 50%, increasing with the planner's aversion to inequality and decreasing with its relative valuation of future generations' welfare. In the context of business tax reform, chapter 4 assesses revenue-neutral trade-offs when financing a corporate tax cut. To meet revenue neutrality, the policymaker uses three instruments to balance the government budget, namely labor income tax, dividend tax, and capital gains tax. I then construct a parsimonious general equilibrium model to derive balanced fiscal multipliers associated with corporate tax reform. Using a standard calibration, I show that both labor income tax and dividend tax multipliers are negative, suggesting a trade-off between a corporate tax cut and these two tax rates. On the other hand, the multiplier related to the capital gains tax is positive, which predicts the coordination of a double cut in both corporate and capital gains tax rates. Moreover, the welfare gains of the different scenarios are mixed.

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