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La contribution des tâches de réalité virtuelle au désir de communiquer en français langue seconde à l’extérieur de la salle de classe à Montréal

Papin, Kevin 10 1900 (has links)
Depuis l’avènement de l’approche communicative, puis actionnelle, en enseignement des langues secondes (L2), des chercheurs comme Ellis (2003) ont relevé les différences individuelles entre apprenants, notamment concernant le désir de communiquer (DDC), défini comme « une disposition à entrer dans un discours à un moment spécifique avec une ou des personnes spécifiques, en utilisant la L2 » (MacIntyre et al., 1998, p. 547). Il a ainsi été suggéré de faire du développement du DDC de plus en plus une priorité en enseignement des L2. À cet égard, la recherche indique que la communication assistée par ordinateur peut permettre d’augmenter le DDC (Rankin et al., 2006; Gonzalez-Lloret, 2017), en influençant l’anxiété langagière et le sentiment de compétence communicative perçu (SCCP), qui sont les deux antécédents directs du DDC. L’émergence récente de la réalité virtuelle 360 (RV360), qui peut être définie comme un environnement immersif s’appuyant sur des photos ou vidéos reproduisant le monde réel et fournissant à l’utilisateur un fort sentiment de présence, ouvre un nouveau champ d’expérimentation en DdL. Nous proposons que la RV360 permettrait aux apprenants de L2 de prendre part à des simulations quasi authentiques diminuant leur anxiété et augmentant leur SCCP, améliorant ainsi leur DDC à l’extérieur de la salle de classe. Pour répondre à notre questionnement, nous avons créé puis mis en place trois courtes tâches de simulation RV360 présentant des situations communicatives similaires à celles de la vie quotidienne des apprenants, comme payer son épicerie en français. Ces tâches sont ancrées dans la réalité sociolinguistique de l’environnement d’apprentissage : dans cette étude, Montréal, une métropole bilingue français-anglais ayant une variété régionale de français distincte. Les 19 participants à cette recherche exploratoire sont des étudiants universitaires internationaux de FLS au niveau débutant. Une méthodologie mixte (prétest et posttest quantitatifs, journaux de bord et entrevues de groupe semi-dirigées) a été adoptée pour suivre l’évolution de leur SCCP, anxiété langagière et DDC, ainsi que pour cerner leurs défis quant à la pratique du français à Montréal et leur perception des tâches RV360 en tant qu’outil d’apprentissage préparant à la communication authentique en L2. L’analyse des données indique que les défis à la communication en FLS dans le monde réel proviennent principalement d’une perception négative de son vocabulaire et de sa prononciation, combinée à l’anxiété liée à l’anticipation de ruptures de communication avec des locuteurs francophones. Face à cet écueil, les participants estiment globalement que les tâches RV360 sont un bon outil pour créer un pont entre la salle de classe et le monde réel et ainsi préparer aux interactions en L2 dans le monde réel, même si leur faible degré de difficulté et leur manque de flexibilité nuisent à leur authenticité. Les tâches RV360 ont ainsi contribué positivement (mais à degré variable selon les apprenants) à l’amélioration du DDC, principalement via le renforcement du SCCP. La discussion des résultats fournit un nouvel éclairage sur les bonnes pratiques d’enseignement et sur l’élaboration de séquences didactiques intégrant la RV360 pour favoriser le DDC au niveau débutant. Ces séquences devraient en priorité intégrer l’enseignement stratégique et mettre l’accent sur la complexification progressive des tâches et la rétroaction, tout en doublant la réalisation des tâches RV360 d’une interaction humain-humain. / Since communicative approach and task-based language teaching have placed communication at the centre of second language (L2), researchers such as Ellis (2003) have underlined the importance of individual differences between L2 learners, regarding their willingness to communicate (WTC), which is defined as "readiness to enter into discourse at a particular time with a specific person using the L2" (MacIntyre et al., 1998, p. 547). These researchers have suggested that the development of L2 WTC be made a priority of L2 teaching. In this respect, the literature shows that computer-mediated communication has a positive effect on increasing L2 learners' WTC (Rankin et al., 2006; Gonzalez-Lloret, 2017), by lowering language anxiety and increasing self-perceived communicative competence (SPCC), which are the two main antecedents of L2 WTC. One avenue for research that has not received much attention is the pedagogical use of 360 virtual reality (VR360), a promising medium for teachers hoping to increase their L2 students' WTC. VR360 can be defined as an immersive digital environment relying on 360 photos/videos from the real world and providing the user with a strong feeling of presence in “real life” situations. We propose that VR360 has the potential to provide learners with semi authentic simulations designed to lower their anxiety and increase their SPCC, leading to increased WTC. To assess this potential, we designed and implemented three short communicative VR360 tasks presenting learners with communicative situations similar to the ones they could encounter in their daily life, such as paying for groceries using L2 French. The tasks are anchored in the reality of the learning environment: in this case, Montreal, a French-English bilingual metropolis with a distinct regional variety of French. The 19 participants to this exploratory study are international university students learning L2 French at a beginner level. Mixed methodology (quantitative pre/post tests, reflective journals and semi-structured focus groups) was used to measure and probe their level of SPCC, anxiety and WTC, and to shed light on the challenges they face while trying to interact in French in Montreal and their perception of the RV360 tasks as a learning tool preparing for real-life L2 use. The data analysis indicates that the challenges to communication in L2 French in the real world mainly come from a negative perception of one’s vocabulary and pronunciation, combined with anxiety due to the anticipation of breakdowns in communication with native French speakers. Faced with this pitfall, participants generally argued that RV360 tasks are a good learning tool to bridge the classroom and the real world and thus prepare them for L2 interaction in the real world, even if the low level of difficulty and the lack of flexibility limit task authenticity. The RV360 tasks thus contributed positively (albeit to varying degrees among learners) to the improvement of their WTC, mainly via the strengthening of their SCCP. The discussion provides new insights into good teaching practices and the development of learning scenarios incorporating the RV360 to promote WTC at a beginner level. These scenarios should focus on strategic instruction, task complexity and feedback, while relying on a human-human interaction in addition to the completion of the RV360 tasks.
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Task-Based Language Teaching Vs. Traditional Way of English Language Teaching in Saudi Intermediate Schools: A Comparative Study

Al Muhaimeed, Sultan A. 16 December 2013 (has links)
No description available.
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À quel moment enseigner la forme dans le cadre d’un enseignement basé sur la tâche?

Michaud, Gabriel 10 1900 (has links)
L’enseignement des langues par la tâche est une approche d’enseignement des langues secondes de plus en plus adoptée dans différents contextes. Toutefois, la place de l’enseignement de la forme au sein d’une tâche fait toujours l’objet d’un débat. En plus de savoir si l’enseignement de la forme devrait se faire de façon préventive ou réactive (Ellis, 2017; Long, 2015), le moment auquel il faudrait procéder à un enseignement de la forme ne fait pas consensus, que ce soit au début de la tâche (Dekeyser, 1997, 2007), pendant la tâche (Lightbown, 2008; Long, 2015) ou après la tâche (Willis et Willis, 2007). Cette incertitude mène les enseignants à se demander s’ils devraient intégrer ou non un enseignement de la forme à une tâche et à quel moment ils devraient le faire (East, 2017). La présente étude quasi expérimentale vise à mieux comprendre le rôle lié au moment de procéder à un enseignement de la forme dans le cadre d’une tâche et à contrôler certaines variables qui peuvent moduler les effets du type d’enseignement, dont le niveau de connaissances initiales et l’aptitude langagière des apprenants. Huit groupes, six groupes expérimentaux et deux groupes témoins, d’étudiants de français langue seconde (quatre groupes de niveau B1 et quatre groupes de niveau B2) ainsi que leurs enseignants respectifs ont participé à l’étude. L’intervention expérimentale consistait en une tâche de hiérarchisation et une tâche de prise de décision. Six groupes ont reçu un enseignement explicite du subjonctif soit au début de chaque tâche, soit pendant la tâche, soit après la tâche et deux groupes ont réalisé les deux tâches sans recevoir d’enseignement explicite. Les participants (n = 165) ont effectué un prétest, un post-test immédiat et un post-test différé mesurant les connaissances implicites (test d’imitation sollicitée) et explicites (test de jugement de la grammaticalité) et ont effectué un test mesurant l’aptitude langagière (LLAMA). Le degré de connaissances des apprenants a été déterminé en fonction de leurs résultats aux prétests. Les participants dont les résultats étaient en dessous de la médiane ont été attribués aux groupes de niveau faible et ceux dont les résultats étaient au-dessus de la médiane ont été attribués aux groupes de niveau avancé. Les résultats d’ANOVA à mesures répétées montrent que les apprenants moins avancés semblent bénéficier d’un enseignement pendant la tâche, alors que les étudiants plus avancés semblent bénéficier d’un enseignement au début de la tâche. Par conséquent, le niveau des apprenants est à prendre en considération au moment de planifier un enseignement de la forme. Par ailleurs, les résultats de régressions multiples montrent que l’aptitude langagière est davantage sollicitée dans les conditions d’enseignement de la forme avant ou pendant la tâche et que différentes composantes interviennent à des stades d’acquisition différents. Cette étude offre des répercussions pratiques et théoriques au regard du moment de procéder à un enseignement de la forme en fonction du niveau des apprenants et de leur aptitude langagière. / Task-Based Language Teaching is an increasingly popular approach used in a variety of second-language learning environments. There is debate, however, on the incorporation of form-focused instruction and, more specifically, regarding when precisely it should be integrated in the execution of a task. Beyond determining whether a form should be taught proactively or reactively (Ellis, 2017, Long, 2015), the lack of consensus as to whether form-focused instruction should occur at the beginning of a task (Dekeyser, 1997, 2007), during a task (Lightbown, 2008; Long, 2015), or after a task (Willis et Willis, 2007) drives language instructors to question whether they should integrate form-focused instruction at all and creates uncertainty as to when it is most beneficial to do so (East, 2017). The present quasi experimental study seeks to better understand the effects of the timing of form-focused instruction in the task-based teaching framework while controlling for moderating variables such as the degree of learner knowledge and learners’ language aptitude. Eight groups, six experimental and two comparison, of French as a second language students (four groups of B1 level and four groups of B2 level) and their respective teachers participated in the study. The experimental intervention consisted of two tasks, one hierarchical task and one decision-making task. Six groups received explicit instruction on the subjunctive at the beginning, during, or after a task while two groups completed the tasks without explicit instruction. The participants (N = 165) completed a pre-test, an immediate post-test and a delayed post-test assessing both implicit knowledge (Elicited Imitation Test) and explicit knowledge (Grammaticality Judgment Test). Participants also completed a language aptitude assessment test (LLAMA). Learners’ degree of knowledge was determined based on their pre-test performance. Participants whose mean scores were below or above the median were assigned to the low or advanced knowledge groups respectively. Repeated-measures ANOVAs show that lower-level learners benefit from instruction during a task while more advanced learners benefit from instruction at the start of a task. Consequently, learner readiness is a factor to consider when planning and executing focus on form instruction. Additionally, multiple regression results demonstrate that language aptitude plays a more significant role when form-focused instruction is given before or during a task and that different components are drawn upon at different acquisitional stages. The study concludes by offering theories and practical recommendations regarding the inclusion of focus on form instruction that considers the level and aptitude of learners.

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