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Corruption policière et violence : analyse de l'impact de la corruption policière sur les variations du taux d'homicide de 143 pays du monde en 2010

Landry, Marie-Hélène 11 1900 (has links)
Le niveau de violence, tel que mesuré par le taux d’homicide, varie beaucoup d’un pays à l’autre. Dans certains pays, on note un taux de 0,5 par 100,000 habitants tandis que pour d’autres, ce taux se situe autour de 50 par 100,000 habitants. Parmi les facteurs évoqués dans la littérature scientifique pour expliquer cette variation, on retrouve des concepts tels que la pauvreté, les inégalités et d’autres facteurs sociaux, économiques ou démographiques. Or, il y a relativement peu d’études qui examinent le rôle éventuel de la qualité du système de justice sur l’incidence de la violence. La présente étude s’intéresse au rôle de la corruption policière sur les variations du taux d’homicide entre les pays du monde. La corruption se définit comme le fait d’agir contre son devoir. Dans le cadre de l’activité policière, la corruption peut prendre la forme d’abus du pouvoir discrétionnaire, de recours à des moyens illégaux ou d’acceptation de récompenses. Considérant que ces différentes formes de corruption policière ont pour principale conséquence de créer des inégalités, il ne fait peu de doute que ce que font les policiers influence le taux de criminalité d’un endroit donné. Cette étude tente donc de déterminer s’il existe un lien entre le niveau de corruption policière et le niveau de violence, tel que mesuré par le taux d’homicide pour 143 pays. Des analyses statistiques univariées et bivariées sont réalisées afin de déterminer les indicateurs pertinents à inclure dans les différents modèles de régression multiple. Les résultats de nos analyses indiquent qu’une relation relativement forte et significative est retrouvée entre la corruption policière et le taux d’homicide. De plus, les résultats montrent que les inégalités influencent la corruption policière et que ces deux phénomènes influencent à leur tour le taux d’homicide. / The level of violence, as measured by the homicide rates, varies greatly from one country to the other. Some countries have an homicide rate of 0,5 per 100,000 inhabitants, while others are faced with a rate of more than 50 per 100,000 inhabitants. Poverty, inequalities and other social, economic and demographic factors are cited in the literature as explaining this variation. However, there are very few studies that examine the possible influence of the quality of the justice system on violence. The present study examines the role of police corruption on the variations of the homicide rates between countries. Corruption is defined as acting against one’s duty. In the context of policing, corruption can be seen as the abuse of power, the resort to illegal means or the acceptance of rewards or gratuities. Considering these acts have the main consequence of creating inequalities, there is little or no doubt that what the police do has an influence on the crime rate. This study thus attempts to determine wether there is a relation between police corruption and violence, as measured by the homicide rate for 143 countries. Various univariate and bivariate statistical analyses are conducted to determine which relevant indicators should be included in the various multiple regression models. Results indicate that a relatively strong and significant relation is found between police corruption and homicide rate for the countries included in the study. Moreover, results indicate that inequalities influence police corruption and that both, in turn, influence the homicide rate.
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Analyse et explication de la variation du taux d’homicide en Europe

Langlade, Aurélien 11 1900 (has links)
Le taux d’homicide est un bon indicateur de la violence générale dans un pays. De plus, il s’agit du crime le mieux mesuré car il est rare qu’un homicide passe inaperçu. De nombreux auteurs ont donc cherché à expliquer ce qui pouvait influencer la variation du taux d’homicide dans les pays du monde. Leurs résultats ont mis à jour certains prédicteurs qui influenceraient le taux d’homicide dans les pays du monde. Il s’agit notamment du niveau de vie mesuré à l’aide du PIB par habitant, de l’inégalité, mesuré à l’aide du coefficient GINI ou encore des facteurs démographiques. Ces facteurs criminogènes sont tous de niveau macroscopique sur lesquels il est difficile d’agir. Ce mémoire intégrera au modèle, en plus des prédicteurs déjà connus, des variables plus proximales (consommation d’alcool, de drogue, présence de criminalité organisée, corruption, taux de criminalité, etc.) afin de voir s’ils pourraient également influencer la variation du taux d’homicide. Cette étude se concentrera sur le taux d’homicide de 41 pays européens. Une sélection de nos variables sera effectuée à l’aide d’analyses bivariées (corrélation, corrélation partielle) avant d’intégrer les variables restantes dans plusieurs modèles de régression multiple qui permettra in fine d’isoler les variables ayant une réelle influence sur le taux d’homicide. Les résultats indiquent que les facteurs proximaux ont une réelle influence sur le taux d’homicide. En effet, non seulement deux variables proximales (l’abus de la consommation d’alcool, et le pourcentage de personne s’étant déclaré victime de cambriolage) sont, après avoir pris en considération de nombreuses variables de niveau macroscopique, significativement liées au taux d’homicide mais en plus, le fait d’intégrer ce type de variables dans un modèle de régression multiple fait augmenter la variance expliquée. Ces variables de type proximales ont donc une grande importance dans l’explication de la variation du taux d’homicide. / The homicide rate is a good indicator of the general violence in a country. Moreover, it is the best measured crime because it is rare that a homicide goes unnoticed. Many authors have therefore sought to explain what might influence the variations in homicide rates throughout the world. These include the standard of living measured by GDP per capita, inequality, measured by the GINI coefficient or demographic factors. Their results have revealed some predictors that could influence homicide rates. These criminogenic factors are all at a macroscopic level, where it is difficult to react. This thesis will integrate the model, in addition to known predictors, variables, which are proximal (alcohol and drug consumption, presence of organized crime, corruption, crime rate, etc.) to see if they could also influence the variation in homicide rates. This study will focus on the homicide rate from 41 European countries. A selection of our variables will be implemented using bivariate analysis (correlation, partial correlation) before joining the remaining variables in several multiple regression models that will ultimately isolate the variables that influence the real rate homicide. The results indicate that proximals factors have a real influence on homicide rates. After taking into consideration many variables at the macroscopic level, not only are the two proximal variables (abuse of alcohol, and the percentage of victim of burglary) significantly related to homicide rates, but incorporating such variables in a multiple regression model also increases explained variance. So, this proximal variables are very important in explaining the variation of homicide rates.
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Analyse et explication de la variation du taux d’homicide en Europe

Langlade, Aurélien 11 1900 (has links)
No description available.
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Une énième illusion de progrès : fin de la convergence des ratios du taux d'homicide noir et blanc aux États-Unis, 1979-2018

Chabot, Claire 01 1900 (has links)
Qu’ils en soient les auteurs ou les victimes, les Afro-Américains ont toujours affiché un taux d’homicide largement supérieur à celui des Blancs aux États-Unis. La criminologie a toutefois bien documenté la convergence du taux d’homicide noir vers le taux d’homicide blanc au cours des dernières décennies. À cet effet, il est attesté que le taux d’homicide noir diminue de façon continuelle et de façon plus importante que le taux d’homicide blanc depuis les années 1990. Toutefois, peu de recherches ont examiné la situation depuis 2000. Cette recherche doctorale propose d’analyser la façon dont a évolué l'écart entre le taux d’homicide noir et blanc entre 2000 et 2018 en prenant pour comparaison les deux décennies précédentes. Les résultats permettent de conclure à la fin de la convergence entre taux d’homicide noir et blanc depuis 2000. L’écart entre ces deux taux recommence en effet à se creuser à partir de cette date et se révèle, de surcroît, en moyenne plus élevé que l’écart qui existait entre 1980 et 2000. Ici, une analyse de l'évolution de la part moyenne de foyers noirs et blancs appartenant aux catégories sociales les plus pauvres n’a pas permis d’expliquer de façon certaine cette évolution. Toutefois, l’analyse des écarts de revenus a permis de révéler que les États ayant vu leur ratio d’homicide s’accroître sont souvent les États où les écarts entre la part de foyers pauvres noirs et blancs sont les plus élevés. De fait, l’analyse montre que la situation économique des Noirs s’est dégradée depuis 2000 en comparaison des Blancs, attestant ainsi d’un retour général des inégalités, qu’elles soient criminelles ou économiques, entre Afro-Américains et Blancs depuis 2000. / Whether perpetrators or victims, African Americans have historically had a much higher homicide rate than Whites in the United States. Criminology, however, has well documented the convergence of the black homicide rate to the white homicide rate over the past several decades. To that end, there is evidence that the black homicide rate has been steadily declining by a greater amount than the white homicide rate since the 1990s. However, little research has examined the situation since 2000. This doctoral research proposes to analyze how the gap between the black and white homicide rate has changed between 2000 and 2018 using the previous two decades as a comparison. The results allow us to conclude that the convergence between black and white homicide rates has ended since 2000. The gap between these two rates starts to widen again from this date and is, moreover, on average higher than the gap that existed between 1980 and 2000. Here, an analysis of the evolution of the average share of black and white households belonging to the poorest social categories did not provide a definite explanation for this evolution. However, analysis of income differentials revealed that states with increasing homicide ratios are often the states with the highest differentials in the share of poor black and white households. Indeed, the analysis shows that the economic situation of blacks has worsened since 2000 compared to whites, attesting to a general return of inequality, whether criminal or economic, between African Americans and whites since 2000.

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