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Du caractère sacré de la mémoire collective américaine à la contre-mémoire / From the sacred nature of american collective memory to counter-memory

Batambouladio, Ghislain 16 December 2014 (has links)
Cette étude vise à mettre en évidence le caractère contradictoire et problématique de la mémoire collective américaine à travers l'évolution intergénérationnelle de différentes ethnies. Avec l'exploration de l'Histoire commune des Américains, qui transcende la barrière raciale, sera étudié l'idéal du melting-pot dans ses projets et ses effets.D'ores et déjà, il apparaît qu'une partie des Américains porte aujourd'hui encore les stigmates de l'esclavage. des violences raciales, des injustices du passé. Les événements de la vie sociale révèlent, bien souvent, que les victimes des atrocités d'hier ne sont pas parvenues à faire leur deuil, puisque les Afro-Américains et les Amérindiens sont encore trop souvent rattrapés par ces drames. L'analyse des effets de la transmission psychique intergénérationnelle de cette population meurtrie, fait ressurgir le spectre d'une communauté noire se percevant à la fois comme victime et comme coupable jusqu'à aujourd'hui. Les tabous qui entourent l'historiographie des États-Unis témoignent du poids de la contre-mémoire. parce que les identités culturelles et linguistiques des minorités leur ont été longtemps déniées. De la même façon. le fait qu'un quart d'Américains blancs descende d'ancêtres asservis a longtemps plongé la société américaine dans une situation de souffrance psychique et de conflits dont la source était occultée. Le thème de notre étude crée le lien entre les méfaits et le refoulement issu des circonstances historiques défavorables à certains groupes ethniques avec la face cachée d'une Amérique soumise aux résurgences des démons de son passé. Loin de parvenir à l'idéal d'une société post-raciale tant rêvée, les États-Unis continuent de s'exposer sans cesse (aux souffrances du passé à travers la projection haineuse et douloureuse du racisme, en dépit du progrès multiracial et multiculturel que veut promouvoir l'image officielle. / This study aims to highlight the contradictory and problematic features of U.S. collective memory, across the generational evolution of the different ethnies. First and foremost, the present study ponders about the viability of American shared History transcending the racial bulwark, as well as the melting-pot ideal. Nowadays, a part of the American citizens bears the scars of slavery, of racial violence, and of the past injustices. The victims of such crimes have failed to mourn for them away, since those tragedies still catch up African-Americans and Native~Americans. By annlyzing the effects of intergenerational and psychic transmission within the upset Black community, it is obvious that we aIso enlighten the way the laltter entertains the feeling of being both a victim and a culprit. Finally. the silence surrounding the United States' historiography shows the signiticant part of a counter-memory, inasmuch as the cultural and linguistic identical labels of those minorities have been gradually denieed. lt thus transpires that a quarter of white Americans descend from enslaved ancestors, which has long turned into psychic pains and lasting conflicts. This dissertal'ion therefore establishes the link between the plight sufferecl by some ethnic groups and the hidden side of America wrestling with the ghosts of her history. Far from reaching a post-racial society. the USA keep on facing again their past days' hardship and sufferings through the hateful scope of racism, despite the multiracial and multicultural policy boasted by the country's official image.
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Le mouvement pour les droits civiques afro-américains au cours de la seconde guerre mondiale : stratégies électorales, politiques et économiques

Trépanier, Alexandre 08 1900 (has links)
La Seconde Guerre mondiale était riche en possibilités d’avancement pour la population noire. Les leaders afro-américains, conscients du caractère favorable du contexte, mirent sur pied de nouvelles stratégies afin d’optimiser les gains afro-américains. L’économie de guerre favorisa les migrations internes vers les centres industriels du Nord et de l’Ouest. Les migrants noirs s’extirpaient donc du carcan contraignant du Sud où ils étaient régulièrement privés de leur droit de vote. Les leaders noirs brandirent alors un nouvel outil pour faire pression sur les deux principaux partis politiques fédéraux : le nouveau poids électoral afro-américain. La période fut aussi marquée par une hausse de l’activisme noir. Celui-ci se voyait légitimé par les idéaux de liberté et de démocratie prétendument défendus par les États-Unis. Finalement, le plein-emploi permit l’essor du statut économique noir et les leaders afro-américains tentèrent d’exploiter cette conjoncture particulière afin d’en faire bénéficier leur communauté à long terme. / The Second World War was a period of opportunities for African-Americans. The Black leadership, aware of the favorable context, tried to exploit it to the fullest. Internal migrations from the South to the industrial centers of the North and West were facilitated by the war economy. Participating in this exodus, Blacks extirpated themselves from the politically constrictive region that often deprived them of their voting rights. By the end of the war, African-American leaders were able to wield a new weapon to pressure political parties and the government: the electoral weight of Blacks in northern States. The war was also characterized by heightened black activism. The ideals of democracy and liberty defended by the U.S. provided a new legitimacy to African-American yearnings. Ultimately, the full-employment that resulted from the war allowed Blacks to improve their economic status while their leaders were actively working to secure these gains in the long term.
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La genèse de The Souls of Black Folk : le chapitre initial de la vie intellectuelle de W. E. B. Du Bois, 1885-1903

Dufour-Lauzon, Émilie 08 1900 (has links)
En 1903, paraît le magnum opus de William Edward Burghardt Du Bois, The Souls of Black Folk. Ce dernier écrit cet ouvrage en poursuivant trois objectifs. Primo, il souhaite démontrer que Booker T. Washington et ses supporters font fausse route en défendant l’idée selon laquelle les Afro-américains pourront accéder à un avenir meilleur en échangeant leurs droits politiques contre des opportunités économiques. Secundo, Du Bois cherche à faire la lumière sur les talents distinctifs et les grandes réalisations de son peuple afin de convaincre les Blancs que les Noirs ne leur sont pas biologiquement ou moralement inférieurs et, par conséquent, que l’égalité raciale doit être totale et immédiate. Tertio, il veut persuader les Américains de devenir de meilleurs citoyens, en renouant avec les idéaux de leur République et en vivant en fonction de principes moraux élevés. L’écriture de Souls marque un tournant majeur dans la vie intellectuelle de son auteur, car il renonce à cette époque au discours conciliatoire qu’il avait tenu dans sa jeunesse. Les idées qu’il défend dans son livre ont germé quelques années plus tôt, au contact de certains de ses professeurs de l’Université de Berlin, d’Alexander Crummell et surtout, en effectuant une étude de terrain sur la communauté noire de Philadelphie. Du Bois réalise alors l’ampleur des injustices dont sont victimes les Noirs et contre lesquelles la bonne volonté et le travail acharné ne peuvent rien. / William Edward Burghardt Du Bois published The Souls of Black Folk in 1903. Du Bois pursued three different goals when he wrote his masterpiece. First, he argued that Booker T. Washington’s strategy of trading political rights for economic opportunities was not the best way to improve the condition of African Americans. Second, Du Bois highlighted the accomplishments and distinctive abilities of his people in order to undermine the pretended biological and moral superiority of Whites that often justified the pushback against equal rights for all. Third, Du Bois wished to inspire Americans to become better citizens by compelling his fellow countrymen to embrace the Founding Fathers’ ideals and higher moral standards. The writing of The Souls of Black Folk marks an important shift in Du Bois’ intellectual life because he recants the accommodationist rhetoric of his youth during this period. Some of the ideas introduced in The Souls of Black Folk can be traced back to the influence of Alexander Crummell and of Du Bois’ teachers at the University of Berlin. However, it is Du Bois’s field work in the black community of Philadelphia that made him realize both the degree of the inequalities faced by African Americans and the fact that hard work and enthusiasm are not enough to overcome such significant disparities.
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"If negroes were to vote, I would persist in opening the door to females" : alliances et mésalliances autour du vote des femmes et des Noirs aux États-Unis, 1860-1920 / "Neither Women nor Blacks [Will] Get the Ballot" : alliances and dissociations over female and Black suffrage in the USA, 1860-1920

Sylla, Salian 19 January 2018 (has links)
Au sortir de quatre années d’une guerre fratricide, les États-Unis s’engageaient sur la voie de la Reconstruction, période qui généra des questions autour de la liberté. Deux catégories étaient au cœur d’une actualité faite de rebondissements multiples : les Noirs et les femmes. Les uns parce que leurs soutiens abolitionnistes souhaitaient obtenir une citoyenneté immédiate (“This is the Negro’s hour”) ; les autres parce qu’elles étaient les alliées de longue date des mêmes abolitionnistes et réclamaient dorénavant le suffrage. Ce fut le début d’alliances, de mésalliances entre les hommes noirs, les suffragists, les femmes noires et leurs soutiens et adversaires respectifs, pris qu’ils étaient dans les péripéties de luttes et de causes qui, bien que complémentaires et concomitantes, demeurèrent souvent différentes voire divergentes sur le plan des principes et des stratégies de lutte, ce qui mena parfois à une hostilité réciproque. Tous entrèrent ainsi dans un jeu continu entre universalisme et particularisme (s) jusqu’à l’avènement du vote féminin (Sud mis à part) en 1920 puis du Voting Right Act (1865). Que la réussite des un(e)s dépendît ou non de la victoire des autres, les défaites successives des un(e)s et des autres montraient quant à elles les réticences d’une société traversée par les convulsions occasionnées par ses contradictions d’origine : depuis qu’elle avait proclamé tous les hommes (hormis les Noirs, les Amérindiens et les femmes) égaux. L’inclusion électorale des Noirs et des femmes fut effective au terme de plus d’un siècle de luttes, d’alliances et de mésalliances qui se succédèrent au milieu de cycles successifs d’adhésions ou d’oppositions souvent tumultueuses d’un bout à l’autre de l’échiquier politique. / In the wake of a tragic civil war, the United States entered a period of Reconstruction that aroused many questions about the notion of liberty. Two groups were propelled into the center of the country’s public debate: Blacks and women. While the former became a central issue because their abolitionist allies wanted them to garner immediate citizenship (“This is the Negro’s hour”), the latter were trying to catch public attention because they had been longtime allies to the same abolitionists and were now claiming their own enfranchisement. That was the inception of a long period made of alliances interspersed with moments of blatant disagreement and even separation between black male militants, suffragists, black female franchise advocators, and their respective supporters or opponents. They were all caught in the twists and turns of struggles and causes that complemented one another. Though their motives were concomitant and compatible, they remained fundamentally distinct, even divergent in terms of principles and strategies, which sometimes sparked mutual hostility. They all entered a cycle of actions oscillating between a universal and a particular claim of the franchise. This situation prevailed until the advent of universal female suffrage in 1920 (except for black women in the South). Whether or not the success or failure of black males depended on the defeat of women, the successive defeats of both groups pointed out the reluctance of a society undergoing the convulsions sparked by its original contradictions stemming from the very period when it declared all men equal; all except Indians, Blacks, and women. The final enfranchisement of both women and Blacks took more than a century of alliances and dissociations in the midst of a tumult of successive support or opposition across the country’s political spectrum.
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La formation historique et la structure actuelle du racisme en Louisiane

Robillard-Martel, Xavier 05 1900 (has links)
Le racisme est souvent décrit comme une attitude de peur, de haine ou d’intolérance. Dans le cadre de cette étude, je propose plutôt de l’appréhender comme un rapport de pouvoir entre des groupes sociaux définis en termes de « races ». Dans la partie théorique de mon analyse, je développe une approche qui permet d’étudier le racisme comme un phénomène à la fois historique et structurel. En adoptant une perspective matérialiste et en m’appuyant sur l’exemple du racisme envers les Afro-Américains, je soutiens que l’idéologie raciste est liée aux inégalités économiques et politiques entre les groupes. Dans la partie historique, j’étudie la formation de l’oppression raciale en Louisiane, dans le contexte général de la colonisation européenne et de l’esclavage en Amérique. Je démontre que des discriminations et des inégalités ont perduré jusqu’à aujourd’hui, malgré l’abolition de l’esclavage puis de la ségrégation raciale. Enfin, dans la partie ethnographique, je m’appuie sur les entrevues que j’ai réalisées pour examiner la dynamique actuelle des rapports entre les Cajuns, les Créoles et les Noirs dans le sud de la Louisiane. Je note que les Noirs et les Créoles sont critiques envers la domination des Blancs en général et des Cajuns en particulier. La résistance des Noirs et des Créoles s’exprime dans divers aspects de leur culture et de leur identité, bien que des divisions persistent entre ces deux groupes. / Racism is often described as an attitude of fear, hatred or intolerance. In the context of this study, I suggest that we should rather conceive of it as a relation of power between social groups categorized in terms of “races”. In the theoretical section of my analysis, I develop an approach which enables the study of racism as both a historical and structural phenomenon. Using a materialist perspective and relying on the example of racism towards African Americans, I hold that racist ideology is tied to political and economic inequalities between groups. In the historical section, I examine the formation of racial oppression in Louisiana, in the broader setting of European colonization and slavery in America. I demonstrate that discriminations and inequalities have endured until today, despite the successive abolition of slavery and racial segregation. Finally, in the ethnographic section, I draw upon the interviews that I have conducted to analyze the contemporary dynamic of relations between Cajuns, Creoles and Blacks in southern Louisiana. I note that Blacks and Creoles are critical towards the domination of Whites in a general sense and towards that of Cajuns especially. Blacks and Creoles’ resistance is conveyed in various aspects of their culture and identity, even while divisions persist between these two groups.
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La NAACP et le Parti communiste face à la question des droits civiques, 1929-1941

Curie, Fabien 20 September 2013 (has links) (PDF)
Cette thèse a pour objet la lutte pour les droits civiques dans la période qui va de la crise économique de 1929 jusqu'à l'entrée en guerre des États-Unis en 1941, et ce à travers l'examen du rôle joué par la National Association for the Advancement of Colored People (NAACP) d'une part et le parti communiste américain (CPUSA) de l'autre. Si ces deux organisations se firent d'abord concurrence, s'opposèrent même parfois, comme ce fut le cas lors de l'affaire Scottsboro, certains rapprochements s'esquissèrent un peu plus tard, dans la période du Second New Deal, notamment à l'occasion du National Negro Congress, tandis que la syndicalisation des ouvriers noirs devenait possible grâce à la fondation d'une nouvelle confédération syndicale, le Congress of Industrial Organizations (CIO). La NAACP et le PCUS, deux organisations que tout semblait séparer, furent donc amenées à se " rencontrer " autour de la question noire, et à modifier sensiblement certaines habitudes, comportements, ou réflexes. Alors que la NAACP se rapprochait du peuple noir, les militants communistes, en acquérant sur le terrain une expérience concrète, aidèrent le Parti à modérer sa rhétorique révolutionnaire. On pourrait dire aussi que la concurrence entre la NAACP et le PC constitua une sorte de préfiguration du mouvement pour les droits civiques des années cinquante et soixante.
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Les volontaires afro-américains et la guerre civile espagnole : une vision internationaliste du conflit

Paquet, Anne-Valérie January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Le blues et le jazz au service de la révolution? : les positions des communistes américains blancs à l’égard de la musique noire et son utilisation à des fins d’agit-prop durant l’entre-deux-guerres (1919-1941)

Michaud-Mastoras, Loïc 05 1900 (has links)
En 1936, l’American Music League publiait le recueil de chansons afro-américaines Negro Songs of Protest collectées par le folkloriste communiste Lawrence Gellert. Puis en 1938 et 1939, grâce au financement du mouvement communiste américain, le producteur John Hammond présentait deux concerts intitulés From Spirituals to Swing au Carnegie Hall de New York. En plus de rendre hommage à l’histoire de la musique noire américaine, ces deux concerts défiaient la ségrégation raciale, permettant au Noirs et aux Blancs d’être rassemblés sur une même scène et de s’asseoir ensemble dans l’assistance. Au même moment, la chanteuse jazz Billie Holiday faisait fureur au Café Society, premier club « intégré » de New York et lieu de rassemblement de la gauche radicale, en interprétant soir après soir la chanson ‘’Strange Fruit’’ qui dénonçait l’horreur du lynchage toujours en vigueur dans le Sud des États-Unis. C’était l’époque du Front Populaire, la plus importante période d’influence du mouvement communiste aux États-Unis et, de surcroît, le moment de l’histoire américaine durant lequel la gauche organisée détenait un pouvoir sans précédent sur la culture de masse. Partant d’une discussion sur le potentiel révolutionnaire de la musique noire américaine et cherchant à comprendre le positionnement des mouvements sociaux vis-à-vis la culture, ce mémoire met en lumière le point de vue des communistes américains blancs face à l’émergence et à la popularité grandissante du blues et du jazz noirs aux États-Unis. En fonction des trois principales phases politiques du Parti Communiste américain (CPUSA) – la phase du colorblind class (1919-1928); la phase du nationalisme noir (1928-1935); le Front Populaire (1935-1940) – ce mémoire retrace les changements d’attitude de la vieille gauche envers la culture populaire et suggère que le mouvement communiste américain a tenté d’utiliser le blues et le jazz à des fins d’agit-prop. / In 1936, the American Music League published Negro Songs of Protest, a book of songs collected by the left-wing folklorist Lawrence Gellert. In 1938 and 1939, with the financial support of the communist movement, the producer John Hammond was able to present From Spirituals to Swing at Carnegie Hall, New York, two concerts that celebrated the contribution of African American music in American history. Moreover, the From Spirituals to Swing concerts broke the color line, by letting Blacks and Whites play music together on stage and sit together in the audience. During the same years, jazz singer Billie Holiday enjoyed a monstrous success with her anti-lynching song “Strange Fruit” at Café Society, the first integrated club and radical left-wing cabaret in New York. It was the time of the Popular Front; a time when the communist movement had a great influence on American society and when the organized left exerted unprecedented power over mass culture. Starting with a discussion of the revolutionary potential of African American music and trying to understand what social movements do with culture, this essay traces the developing point of view of white American communists toward the commercial explosion and growing popularity of blues and jazz music in USA during the interwar years. It asks the question of why there was so little mention of jazz and blues in Party organs during the 1920’s and early 1930’s , it explores the changing attitudes of the Old Left toward popular culture and suggests that the American communist movement used blues and jazz music for agitprop, during the last of the three main political phases of the Communist Party of America (CPUSA) – the colorblind class (1919-1928); the Black Belt Nation thesis (1928-1935); and the Popular Front (1935-1940).
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Les volontaires afro-américains et la guerre civile espagnole : une vision internationaliste du conflit

Paquet, Anne-Valérie January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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La NAACP et le Parti communiste face à la question des droits civiques, 1929-1941 / The NAACP and the Communist Party faced with the question of the civil rights, 1929-1941

Curie, Fabien 20 September 2013 (has links)
Cette thèse a pour objet la lutte pour les droits civiques dans la période qui va de la crise économique de 1929 jusqu'à l’entrée en guerre des États-Unis en 1941, et ce à travers l’examen du rôle joué par la National Association for the Advancement of Colored People (NAACP) d’une part et le parti communiste américain (CPUSA) de l’autre. Si ces deux organisations se firent d’abord concurrence, s’opposèrent même parfois, comme ce fut le cas lors de l’affaire Scottsboro, certains rapprochements s’esquissèrent un peu plus tard, dans la période du Second New Deal, notamment à l’occasion du National Negro Congress, tandis que la syndicalisation des ouvriers noirs devenait possible grâce à la fondation d’une nouvelle confédération syndicale, le Congress of Industrial Organizations (CIO). La NAACP et le PCUS, deux organisations que tout semblait séparer, furent donc amenées à se « rencontrer » autour de la question noire, et à modifier sensiblement certaines habitudes, comportements, ou réflexes. Alors que la NAACP se rapprochait du peuple noir, les militants communistes, en acquérant sur le terrain une expérience concrète, aidèrent le Parti à modérer sa rhétorique révolutionnaire. On pourrait dire aussi que la concurrence entre la NAACP et le PC constitua une sorte de préfiguration du mouvement pour les droits civiques des années cinquante et soixante. / This dissertation deals with the struggle for civil rights in the 1930s – from the economic crisis of 1929 until 1941 – through an examination of the role played by the National Association for the Advancement of Colored People (NAACP) on the one hand and the American Communist Party (CPUSA) on the other. As was evident in the Scottsboro Case, the competition between the two organizations often bordered on antagonism, even confrontation. During the Second New Deal, however, the relationship eased considerably: the National Negro Congress, and the creation of the Congress of Industrial Organizations (CIO) manifested the growing visibility and acceptance of African-American demands for equality and fairness, both were a mover and a consequence of the now possible convergence of the activities of the NAACP and the PCUS. These two organizations, which had seemed so dissimilar, even irreconcilable, now came to meet around the Afro-American problem(s). While the NAACP now sought to move closer to the real-life conditions of the African-American masses, the grassroots experience gathered by committed Communists probably helped the Party and its members to alleviate their revolutionary rhetoric. One might add that the competition between the NAACP and the CP prefigured the civil rights movement of the 1950s and 1960s.

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