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L’efficacité des marchés virtuels

Dagenais, David-Alexandre 06 1900 (has links)
Les choses avancent de plus en plus rapidement autour de nous. Les systèmes évoluent et nous permettent même dans certains domaines de prédire l’avenir, ce que plusieurs scientifiques s’avèrent à tenter dans le monde économique. Différents modèles sont pensés de façon à prévoir les variations à venir dans l’économie et ainsi pouvoir s’y préparer, mais ces modèles prévus pour lire l’avenir sont-ils vraiment efficaces? Les points de vue varient selon l’auteur. Alors que certains pensent qu’il est impossible que les prédictions soient précises, d’autres demeurent plus optimistes et croient en la capacité des modèles de prédictions de s’adapter. Afin de tester le tout nous avons sélectionner un ensemble de 44 pays à travers le monde et tester l’efficacité des prédictions à travers les années sur 4 facteurs macroéconomiques. Les facteurs choisis furent les variations du taux d’intérêt, le taux de chômage, la balance économique et les taux d’intérêt à court terme. Nous avons basé nos tests sur deux hypothèses, soit une valeur de 1 pour le coefficient de notre variable dans notre régression linéaire ainsi qu’une valeur de zéro pour le coefficient de la constante. Une fois les tests effectués nous nous apercevons que pour aucun de nos facteurs l’ensemble d’observations présentées ne permettait de ne pas rejeter l’une ou l’autre de nos hypothèses démontrant une inefficacité du marché virtuel dans notre étude. En testant uniquement pour des données plus récentes pour le taux de chômage nous avons également pu remarquer que le tout améliorait l’efficacité des prédictions sans pour autant permettre de répondre aux hypothèses. / Things are moving faster and faster around us. Systems evolve and even allow us in some areas to predict the future, which many scientists are trying to do in the economic world. Different models are designed to predict future variations in the economy and thus be able to prepare for them, but are these models designed to read the future really efficient? Views vary by author. While some believe it is impossible for predictions to be accurate, others remain more optimistic and believe in the ability of prediction models to adapt. In order to test everything, we selected a set of 44 countries around the world and tested the effectiveness of the predictions over the years on 4 macroeconomic factors. The factors chosen were changes in the interest rate, the unemployment rate, the economic balance and short-term interest rates. We based our tests on two assumptions, namely a value of 1 for the coefficient of our variable in our linear regression as well as a value of zero for the coefficient of the constant. Once the tests have been carried out, we realize that for none of our factors the set of observations presented did not allow us to reject one or the other of our hypotheses demonstrating an inefficiency of the virtual market in our study. By testing only for more recent data for the unemployment rate, we also noticed that the whole change improved the effectiveness of the predictions without making it possible to meet the hypotheses.
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Essays on optimal fiscal and monetary policies

Kiarsi, Mehrab 01 1900 (has links)
Cette thèse se compose de trois articles sur les politiques budgétaires et monétaires optimales. Dans le premier article, J'étudie la détermination conjointe de la politique budgétaire et monétaire optimale dans un cadre néo-keynésien avec les marchés du travail frictionnels, de la monnaie et avec distortion des taux d'imposition du revenu du travail. Dans le premier article, je trouve que lorsque le pouvoir de négociation des travailleurs est faible, la politique Ramsey-optimale appelle à un taux optimal d'inflation annuel significativement plus élevé, au-delà de 9.5%, qui est aussi très volatile, au-delà de 7.4%. Le gouvernement Ramsey utilise l'inflation pour induire des fluctuations efficaces dans les marchés du travail, malgré le fait que l'évolution des prix est coûteuse et malgré la présence de la fiscalité du travail variant dans le temps. Les résultats quantitatifs montrent clairement que le planificateur s'appuie plus fortement sur l'inflation, pas sur l'impôts, pour lisser les distorsions dans l'économie au cours du cycle économique. En effet, il ya un compromis tout à fait clair entre le taux optimal de l'inflation et sa volatilité et le taux d'impôt sur le revenu optimal et sa variabilité. Le plus faible est le degré de rigidité des prix, le plus élevé sont le taux d'inflation optimal et la volatilité de l'inflation et le plus faible sont le taux d'impôt optimal sur le revenu et la volatilité de l'impôt sur le revenu. Pour dix fois plus petit degré de rigidité des prix, le taux d'inflation optimal et sa volatilité augmentent remarquablement, plus de 58% et 10%, respectivement, et le taux d'impôt optimal sur le revenu et sa volatilité déclinent de façon spectaculaire. Ces résultats sont d'une grande importance étant donné que dans les modèles frictionnels du marché du travail sans politique budgétaire et monnaie, ou dans les Nouveaux cadres keynésien même avec un riche éventail de rigidités réelles et nominales et un minuscule degré de rigidité des prix, la stabilité des prix semble être l'objectif central de la politique monétaire optimale. En l'absence de politique budgétaire et la demande de monnaie, le taux d'inflation optimal tombe très proche de zéro, avec une volatilité environ 97 pour cent moins, compatible avec la littérature. Dans le deuxième article, je montre comment les résultats quantitatifs impliquent que le pouvoir de négociation des travailleurs et les coûts de l'aide sociale de règles monétaires sont liées négativement. Autrement dit, le plus faible est le pouvoir de négociation des travailleurs, le plus grand sont les coûts sociaux des règles de politique monétaire. Toutefois, dans un contraste saisissant par rapport à la littérature, les règles qui régissent à la production et à l'étroitesse du marché du travail entraînent des coûts de bien-être considérablement plus faible que la règle de ciblage de l'inflation. C'est en particulier le cas pour la règle qui répond à l'étroitesse du marché du travail. Les coûts de l'aide sociale aussi baisse remarquablement en augmentant la taille du coefficient de production dans les règles monétaires. Mes résultats indiquent qu'en augmentant le pouvoir de négociation du travailleur au niveau Hosios ou plus, les coûts de l'aide sociale des trois règles monétaires diminuent significativement et la réponse à la production ou à la étroitesse du marché du travail n'entraîne plus une baisse des coûts de bien-être moindre que la règle de ciblage de l'inflation, qui est en ligne avec la littérature existante. Dans le troisième article, je montre d'abord que la règle Friedman dans un modèle monétaire avec une contrainte de type cash-in-advance pour les entreprises n’est pas optimale lorsque le gouvernement pour financer ses dépenses a accès à des taxes à distorsion sur la consommation. Je soutiens donc que, la règle Friedman en présence de ces taxes à distorsion est optimale si nous supposons un modèle avec travaie raw-efficace où seule le travaie raw est soumis à la contrainte de type cash-in-advance et la fonction d'utilité est homothétique dans deux types de main-d'oeuvre et séparable dans la consommation. Lorsque la fonction de production présente des rendements constants à l'échelle, contrairement au modèle des produits de trésorerie de crédit que les prix de ces deux produits sont les mêmes, la règle Friedman est optimal même lorsque les taux de salaire sont différents. Si la fonction de production des rendements d'échelle croissant ou decroissant, pour avoir l'optimalité de la règle Friedman, les taux de salaire doivent être égales. / This dissertation consists of three essays on optimal fiscal and monetary policies. In the first two essays, I consider New Keynesian frameworks with frictional labor markets, money and distortionary income tax rates. In the first one, I study the joint determination of optimal fiscal and monetary policy and the role of worker's bargaining power on this determination. In the second one, I study the effects of worker’s bargaining power on the welfare costs of three monetary policy rules, which are: inflation targeting and simple monetary rules that respond to output and labor market tightness, with and without interest-rate smoothing. In the third essay, I study the optimality of the Friedman rule in monetary economies where demand for money is motivated by firms, originated in a cash-in-advance constraint. In the first essay, I find that when the worker’s bargaining power is low, the Ramsey-optimal policy calls for a significantly high optimal annual rate of inflation, in excess of 9.5%, that is also highly volatile, in excess of 7.4%. The Ramsey government uses inflation to induce efficient fluctuations in labor markets, despite the fact that changing prices is costly and despite the presence of time-varying labor taxes. The quantitative results clearly show that the planner relies more heavily on inflation, not taxes, in smoothing distortions in the economy over the business cycle. Indeed, there is a quite clear trade-off between the optimal inflation rate and its volatility and the optimal income tax rate and its variability. The smaller is the degree of price stickiness, the higher are the optimal inflation rate and inflation volatility and the lower are the optimal income tax rate and income tax volatility. For a ten times smaller degree of price stickiness, the optimal rate of inflation and its volatility rise remarkably, over 58% and 10%, respectively, and the optimal income tax rate and its volatility decline dramatically. These results are significant given that in the frictional labor market models without fiscal policy and money, or in the Walrasian-based New Keynesian frameworks with even a rich array of real and nominal rigidities and for even a miniscule degree of price stickiness, price stability appears to be the central goal of optimal monetary policy. Absent fiscal policy and money demand frictions, optimal rate of inflation falls to very near zero, with a volatility about 97 percent lesser, consistent with the literature. In the second essay, I show how the quantitative results imply that worker's bargaining weight and welfare costs of monetary rules are related negatively. That is, the lower the bargaining power of workers, the larger the welfare losses of monetary rules. However, in a sharp contrast to the literature, the rules that respond to output and labor market tightness feature considerably lower welfare costs than the inflation targeting rule. This is specifically the case for the rule that responds to labor market tightness. The welfare costs also remarkably decline by increasing the size of the output coefficient in the monetary rules. My findings indicate that by raising the worker's bargaining power to the Hosios level and higher, welfare losses of the three monetary rules drop significantly and response to output or market tightness does not, anymore, imply lower welfare costs than the inflation targeting rule, which is in line with the existing literature. In the third essay, I first show that the Friedman rule in a monetary model with a cash-in-advance constraint for firms is not optimal when the government to finance its expenditures has access to distortionary taxes on consumption. I then argue that, the Friedman rule in the presence of these distorting taxes is optimal if we assume a model with raw-efficient labors where only the raw labor is subject to the cash-in-advance constraint and the utility function is homothetic in two types of labor and separable in consumption. Once the production function exhibits constant-returns-to-scale, unlike the cash-credit goods model that the prices of both goods are the same, the Friedman is optimal even when wage rates are different. If the production function has decreasing or increasing-returns-to-scale, then to have the optimality of the Friedman rule, wage rates should be equal.

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