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Organisations sociales indiennes, médiateurs culturels et processus identitaires : le cas de la Maya Vinic et de Las Abejas

Roy, Marie-Noëlle January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La radio Pío XII vue à travers l'altérité, la théologie de la libération et l'espace public

Bois, Guy January 2010 (has links) (PDF)
La Radio Pío XII de Siglo XX en Bolivie a été financée en bonne partie par les catholiques du Québec pour combattre l'alcoolisme, l'analphabétisme et le communisme. Construite en 1959, elle s'inscrivait dans un anti-communisme primaire où l'Occident chrétien affrontait l'Orient communiste et athée. Cette radio devait cependant connaître un revirement radical à partir de 1961 sous la triple pression d'un durcissement des régimes militaires qui allaient se succéder en Bolivie et sur l'ensemble du continent; d'une vaste réforme de l'Église catholique sous l'impulsion de Vatican II dont l'option préférentielle pour les pauvres devait être radicalisée et systématisée pour devenir en Amérique latine la Théologie de la libération; et enfin, d'un monde en pleine ébullition où de Prague à Los Angeles, en passant par La Havane et Paris, on entrait dans une période de turbulence sociale hors de l'ordinaire. Ces jeunes prêtres -Québécois, Américains, Espagnols -devaient être des acteurs importants de ce revirement qu'allait connaître cette radio, dans la région la plus pauvre de Bolivie. Une région où le syndicat des mineurs avait été un des principaux artisans de la révolution bolivienne de 1952 qui avait menée à la nationalisation des mines et à une vaste réforme agraire. La Radio Pío XlI devenait dans ce contexte le lieu à la fois physique et symbolique où s'est cristallisée cette rencontre entre ces prêtres nouveau genre et la résistance bolivienne. Une radio que les militaires ont fait sauter à cinq reprises parce qu'elle planifiait des grèves, organisait des réseaux radiophoniques de résistance aux nombreux coups d'État, cachait des armes et faisait sortir des dissidents clandestinement du pays. Ces prêtres oblats ont été arrêtés, emprisonnés et battus parce qu'ils étaient les protagonistes d'une nouvelle évangélisation dite libératrice, dont la radio constituait le principal outil. L'histoire de la Radio Pío XII et de son revirement inédit seront analysés à travers les concepts d'altérité (Todorov), de l'histoire politique de la chrétienté (monde-plein de Gauchet), de la Théologie de la libération (Gutiérrez et L. Boff) et de l'espace public (Habermas). Une radio qui évoluait dans un microcosme qui concentrait alors les conflits et les contradictions qui traversaient l'ensemble du continent sud-américain (mésocosme). ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Altérité, Théologie de la libération, Espace public, Monde-plein, Sujets-acteurs.
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La conversion dans la théologie de la libération de l'Amérique latine et d'Haïti

Gabriel, Ambroise Dorino 16 April 2018 (has links)
Pendant que la théologie romaine se préoccupe de l'existence de Dieu et de la vérité éternelle, la théologie de la libération est confrontée à des faux dieux: le dieu du pouvoir, le dieu de l'image et le dieu de la richesse qui justifient l'exploitation de l'autre. Elle cherche donc le visage du vrai Dieu dans un monde qui proclame le règne absolu de l'humain. La théologie de la libération en Amérique latine et en Haïti va poser la question de la conversion chrétienne en tenant compte de la quête humaine de la vérité tout en la situant dans le contexte sociopolitique, économique et culturel du croyant. Cette théologie veut être le porteparole du processus de libération des personnes concrètes, les appauvris de l ' histoire. Une personne convertie serait celle qui discerne et découvre l'image de ce Dieu libérateur et miséricordieux qui s'engage aux côtés des hommes et des femmes en vue de leur libération intégrale.
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La théologie de la libération en Haïti : un acteur religieux en politique (1970-2004) / The theology of the liberation in Haiti : a religious actor in politics

Prédelus, Mimose 19 June 2012 (has links)
Cette étude porte sur le mouvement dit de la « Théologie de la libération » en Haïti. A partir d’une approche historique, elle retrace le parcours du mouvement de 1970 à 2004, en mettant en évidence ses réseaux et ses acteurs.Bien que l’apparition réelle de ce mouvement soit très récente dans la société, son développement a été, néanmoins, fulgurant. Il est perceptible à travers de nombreuses structures de base comme : les Communautés ecclésiales de base, communément appelées TKL (Ti Kominote Legliz), les groupements paysans et les centres de formation. Lieu de conscientisation, de fraternité et de solidarité, ces structures ont joué un rôle très important, dans les années 80, non seulement dans la redynamisation de l’Église catholique mais aussi dans la diffusion de la « Théologie de la libération » en Haïti. Leur force a été démontrée sous la dictature tant par leurs prises de position que par leurs actions qui ont largement contribué à la chute du régime.A leur tête se trouvent des prêtres, issus de milieux sociaux et de Congrégations divers dont la dictature avait contraint un certain nombre à l’exil. Si l’exil a été l’une des sanctions les plus courantes sous la dictature, il ne se révèle pas, néanmoins, la plus efficace puisqu’il a permis le développement, par ces prêtres, d’un puissant courant anti-duvaliériste fortement influencé par la « Théologie de la libération », dont les journaux, les revues et les associations de base seront les principaux vecteurs et qui sera à l’origine du départ de Jean-Claude Duvalier, le 7 février 1986. Sa consécration est marquée par l’élection, en 1990, de Jean-Bertrand Aristide, l’un d’entre eux. Qui sont ces acteurs ? En quoi consiste leur travail ? Quels sont les principaux réseaux impliqués dans ce mouvement ? Existe-t-il une réelle convergence de vues entre les idées de la théologie de la libération et celles défendues par ses acteurs en Haïti ? En quoi les idées de Jean-Bertrand Aristide concordent-elles avec celles de la « Théologie de la libération » ? Sa politique présidentielle s’inscrit-elle, ou non, dans la continuité de la « Théologie de la libération » ? Ce sont les principales questions auxquelles cette étude tentera de répondre. / This study deals with the movement called the “Liberation Theology” in Haiti. With a historical approach, it aims to trace back the evolution of the movement from 1970 to 2004 while showing the networks and actors involved. Though the movement’s true birth is very recent in Haiti’s society, its development has been groundbreaking. It has grown through many grassroots structures such as the ecclesiastic grassroots Communities, widely known as TKL (Ti Kominote Legliz), the groups constituted by peasants and the centers of formation. As a place of political education, brotherhood and solidarity, those structures have played a major role, in the 1980s, not only in the renaissance of the Catholic Church, but also because it helped to diffuse the « Liberation Theology » in Haiti. Their strength during the dictatorship has been blatant, through their public positioning and their actions which have in a large measure contributed to the dictatorship’s downfall. The movement was led by priests from diverse social backgrounds and Congregations. Some of them had been exiled during the dictatorship. Although the exile has been one of the most common sanctions during the dictatorship, it has not been the most efficient weapon since it led to the development, by these priests, of a powerful anti-Duvalier movement that was strongly influenced by the « Liberation Theology » whose press and grassroots associations were to be the main means of diffusion of their ideas and that was at the origin of Jean-Claude Duvalier’s departure on February the 7th, 1986. The movement’s success corresponds to the election, in 1990, of one of its leaders, Jean-Bertrand Aristide. Who are those actors ? What were their goal and mission? What are the main networks implied in this movement? Is there really a common viewpoint between the “Liberation Theology” and the ideas defended by its actors in Haiti? How can Jean-Bertrand Aristide’s ideas be said to coincide with those of the “Liberation Theology”? Should his presidential politics be considered as following the « Liberation Theology »? Those are the questions to which the present study will try to bring some answers.
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Recherche des sources philosophiques de la "théologie de la libération" de Gustavo Gutiérrez

Néron, Jacques 29 January 2022 (has links)
Gustavo Gutiérrez, prêtre latino-américain, nous propose une "théologie de la libération". Il le fait au moyen d'une dialectique ( matérialiste, historique et sociale ) utilisant comme modèle et comme moyen la lutte des classes, à l'intérieur d'une analyse marxienne. De plus, se servant de la dialectique hégélienne, il donne, à la notion de libération, une signification politique. Ainsi, il surgit de la "théologie de la libération" une notion, une réflexion, "attitude critiquée" qui s'inscrit dans une philosophie de l'action incorporant une intention critique de la foi concernant l'homme pauvre. C'est tout un programme théologique, davantage manifeste que méditation que nous offre Gutiérrez. Il est arrivé à un moment crucial de l'histoire du continent latino-américain. Plusieurs se sont retrouvés dans cette nouvelle manière de percevoir la théologie. Mais pour ceux et celles qui aspirent à une liberté spirituelle, qui donne par surcroît une liberté matérielle, il est essentiel de se détacher de cette "théologie de la libération", basée sur la lutte des classes.
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La spiritualité de la théologie de la libération dans les écrits de Gustavo Gutiérrez

Roberge, Gabrielle 05 December 2021 (has links)
La spiritualité de la théologie de la libération fut d'abord présentée par Gustavo Gutiérrez lui-même dans son œuvre maîtresse Théologie de Jô libération. Cette description consistait en quelques pages seulement mais elle contenait déjà substantiellement tous les éléments qu'il présentera plus tard dans La libération par la foi Boire a son propre puits. Ce dernier ouvrage est entièrement centré sur la spiritualité qui sous-tend la théologie de la libération de Gutiérrez. Le plan de notre travail a été inspiré du chapitre "Libres pour aimer" de ce livre, mais il s’est aussi nourri de notions amplement décrites dans Le Dieu de la vie et reprises dans La Verdad los haré libres, thèse de doctorat de Gutiérrez. JOB. Comment parler de Dieu a partir de la souffrance de annoncent a surtout contribué à approfondir la notion de "gratuité" chez Dieu. Le texte final des deux Conférences Episcopales latino-américaines de Medellin et de Puebla de même que La Force historique des pauvres sont venus confirmer l'intuition fondamentale de la spiritualité de la libération: ‘l'option pour les pauvres".
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Une perspective féministe islamique contemporaine dans un cadre théologique de libération

Khlifate, Imane 08 1900 (has links)
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L'église s'engage dans la politique / The politic engagement of roman catholic church

Pinheiro, Mario Doraci 17 September 2013 (has links)
Cette thèse a pour but d’analyser l’engagement institutionnel de l’Église catholique et des groupes pentecôtistes sur le terrain politique et agraire du Brésil à partir de l’organisation de la Conférence nationale des évêques du Brésil (CNBB) en 1952. Nous discutons la façon dont l’Église catholique commence la lutte d’abord pour « alphabétiser » et « rapprocher » ses fidèles perdus par l’idéologie socialiste développée par les ligues paysannes, puis pour empêcher l’accroissement du front communiste dans les campagnes. L’engagement social de l’Église catholique n’est pas désintéressé car les militaires brésiliens, avec l’aide américaine, déclarent le « coup d’État » en 1964. L’Église catholique brésilienne se divise en deux pôles, progressiste et conservateur. Le côté progressiste de la théologie de la libération se voit empêché et interdit par Rome. Mais cette minorité religieuse arrive à créer la Commission pastorale de la terre (CPT) qui contribuera au retour de la démocratie, à la création du Parti des travailleurs (PT) en 1980, considéré alors comme le parti de Dieu, et du Mouvement des paysans sans terre en 1984. / This thesis aims to analyse the institutional engagement of the Roman Catholic Church and other Pentecostal groups, regarding the land reform and agrarian policies launched in Brazil after the organisation of the Brazil’s Conference of Catholic Bishops (CNBB) held in 1952. We underline that it is necessary to highlight the way how the Roman Catholic Church started its actions by “teaching to read and write” and “recovering” their members those who were dragged into the socialist ideology developed by peasant’s leagues, in order to prevent the growing of the communist front in the countryside. At that time, the catholic’s social movement objectives were under eminent danger, due the Brazilian army aided by the U.S. government, declared a coup in 1964. The Roman Catholic Church in Brazil is divided into two wings: a left and a conservative. The left wing has launched the “Liberation Theology” prohibited by the head of the church in Rome. However, this religious left minority succeeded by organizing the Land’s Pastoral Commission, which contributed to the return of democracy, as well as the organization of the Worker’s Party in 1980, considered by the believers as the God’s will and the foundation of the Landless Worker’s Movement in 1984.
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Itinéraire pastoral de Mgr. Oscar Arnulfo Romero

Carrier, Yves 01 February 2022 (has links)
C'est lorsqu'Oscar Romero assurera la charge d'archevêque de San Salvador, à l'âge de soixante ans, qu'il deviendra le défenseur des pauvres et des opprimés tel que la presse internationale le fit connaître au monde entier à la fin des années soixante-dix. Le premier chapitre de ce mémoire traite de l'histoire du El Salvador afin de permettre au lecteur de mieux situer le contexte où évolue Mgr Romero. D ès la conquête espagnole, les rapports sociaux sont établis selon une dynamique de domination et d'exclusion fondée sur la race. Afin de maintenir coûte que coûte ces rapports de domination, une force armée est constituée à partir des premiers jours de l'indépendance. Celle-ci sera chargée de maintenir l'ordre établi et se confondra de plus en plus avec l'État et le pouvoir politique. Pour cette raison, la dictature militaire demeurera longtemps le seul modèle de gouvernement en ce pays, et ce malgré de nombreux simulacres d'élections démocratiques. Le second chapitre, assez bref, est consacré à l'enfance d'Oscar Romero et à ses années de séminaire à San Miguel puis à Rome. Suivront ses 25 années de prêtrise à San Miguel, d'où il part en 19 67 pour devenir secrétaire de l'Assemblée des Évêques. Cette époque, au sein de la hiérarchie catholique, est marquée d'une forte propension de Romero au conservatisme. Ce n'est que lorsqu'il devient évêque du diocèse de Santiago de Maria en 1974, qu'il commence à s'ouvrir les yeux sur la réalité sociale de son peuple et de son pays. Le troisième chapitre, le plus important, porte sur les années tumultueuses au cours desquelles il accède au poste d'archevêque de San Salvador. Oscar Romero ne dirige les destinées de son archidiocèse que durant une période de trois ans, mais cela est amplement suffisant pour se faire craindre et haïr des riches et des puissants qui veulent maintenir leurs privilèges même au prix du sang du peuple. C'est pour avoir dénoncé l'idolâtrie de la richesse et du pouvoir qu'il est assassiné, le 24 mars 1980, au moment d'offrir le pain et le sang de la Rédemption universelle.
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Le peuple crucifié, porteur d'une sotériologie historique : comment ce peuple, en portant les péchés du monde, devient sacrement du salut

Torres Serrano, Juan Manuel 11 April 2018 (has links)
Le peuple crucifé en portant les péchés du monde peut-il devenir sacrement historique du salut ? À partir de l'expérience de foi ; de la rencontre de Dieu dans la pauvreté ; de la partialité du royaume de Dieu qui s'est fait proche des pauvres ; d'une foi réalisée dans la suite de Jésus, célébrée liturgiquement, vécue communautairement et en même temps réfléchie et pensée, on a pu découvrir dans la théologie latino-américaine de la libération que le salut apporté par Jésus-Christ passe actuellement par les peuples crucifiés. La théologie latino-américaine de la libération reconnaît que c'est à travers ces peuples pauvres, crucifiés que Jésus crucifié se fait présent dans l'historie. C'est en suivant Jésus, en poursuivant la cause ultime de Dieu, c'est-à-dire le royaume de Dieu, que ces peuples incorporeront à l'histoire, de manière sacrementelle, la présence du Christ : c'est ainsi que la vie, le message, l'annonce et la praxis de Jésus-Christ prendront chair dans l'histoire humaine. Dans le contexte de la réflexion christologique latino-américaine, c'est le théologien basque, jésuite, Jon Sobrino qui travaille la catégorie de peuple crucifié et la sotériologie historique qu'il porte, en poursuivant une réflexion déjà commencée par Ignacio Ellacuria. La pensée sobrinienne traverse cette thèse. Jon Sobrino affirme que le peuple crucifié est la continuité historique du serviteur souffrant de Yahvé, figure qui apparaît dans les quatre chants du prophète Isaïe : le peuple crucifié ressemble au serviteur souffrant de Yahvé dans sa réalité de victime et dans son mystère salvifique. Le peuple crucifié est celui qui d'une manière sacramentelle rend présent Jésus-Christ dans l'histoire : il est. l'un des continuateurs de l'œuvre salutaire de Jésus-Christ, du Fils. Tenant compte de cette continuité et ressemblance entre le peuple crucifié- serviteur souffrant et Jésus crucifié, Sobrino affirme qu'en portant les péchés du monde le peuple crucifié devient porteur d'une sotériologie historique. Comment comprendre cette affirmation de telle manière que ne se produise pas une manipulation des croix historiques qui justifierait des lectures sacrificielles et doloristes? La thèse veut répondre à cette question. Elle a pour but de présenter comment le peuple crucifié en portant les péchés du monde devient sacrement historique du salut. L'interprétation sera faite à partir d'une catégorie qui a conduit à un renouvellement dans le domaine christologique et sotériologique contemporain : la pro-existence. Cette catégorie nous permettra de mieux comprendre la totalité du mystère salvifique présent dans les peuples crucifiés, en liant la mort et la croix à une existence vécue pour-les autres, dans un amour sans limite. Cet amour s'exprime dans une radicale obéissance et fidélité au projet salvifique de Dieu, à sa cause ultime : le royaume. La sotériologie historique que porte le peuple crucifié ne peut pas se comprendre sans une existence-pour, pour l'amour des hommes et hors d'une obéissance à la volonté dernière de Dieu. La continuité entre la mort pour nous, la crucifixion et l'existence pour nous, pour-les-autres, notamment pour les plus pauvres, et pour l'Autre, le Dieu du royaume, est donc un élément fondamental pour bien saissir le sens de cette sotériologie historique que porte le peuple crucifié.

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