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Scène et philosophie : Théorie et pratique de la lecture philosophique pour un libre accès à la pensée

Molina, Vanessa January 2016 (has links)
Quel rapport y-a-t-il entre lire et penser? En empruntant à l'Éthique de Spinoza et au Plaisir du texte de Roland Barthes, nous postulons que pour penser, le lecteur a besoin d'être affecté par ce qu'il lit. En empruntant aux principes d'émancipation intellectuelle de Joseph Jacotot, nous considérons que tout le monde peut penser à la lecture du texte philosophique quand il est touché par celui-ci, à contre-courant d'un imaginaire hiérarchique très ancien et toujours ambiant. À partir de là, qu'est-ce qui fait que le lecteur pense par ses propres moyens, qu'il s'interroge à la lumière de ce qu’il a lu? Diverses théories de la lecture (Iser, Jauss, Eco, Picard, Thérien) ont intégré à leurs propos l'affection du lecteur, y voyant un élément important de la composition du sens. Cependant, ces théories tendent à associer la constitution du sens à l'harmonisation des tensions ressenties. Mais alors, si un retour au calme se produit en rendant le texte « sensé », c’est-à-dire cohérent, comment faire pour continuer à penser, avec ce que la lecture nous a fait ressentir? Notre apport repose sur une étude thématique montrant le lien intrinsèque entre les sensations et le phénomène scénique, ainsi que le rôle moteur de la scène dans les théories de la connaissance développées en Occident (chez Platon, Kant, Wittgenstein, Nietzsche). La scène permet ainsi de concevoir la pensée du lecteur au-delà de la composition du sens. En faisant comme si le texte philosophique qu’il lit était une scène – ce qui relève de la métaphore –, le lecteur élabore une cohérence d'ensemble. L’objectif de notre méthode est que, une fois la lecture achevée, sur la scène développée par le lecteur se déploient des sensations en tension. Ces tensions irrésolues donnent à penser, poussent à réfléchir, stimulent la capacité réflexive de chacun. L'approche élaborée est mise en pratique à la lecture du Banquet de Platon, du Maître ignorant de Rancière, de l’Ecce homo de Nietzsche et du Discours de la méthode de Descartes. Les « scènes de pensée » que nous construisons laissent des tensions insupportables. Elles donnent la matière et l'élan d'un questionnement sans réponse immédiate.
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Philippe Djian poétique de la lecture, éthique de l'écriture

Chavarie, Hugo January 2010 (has links)
Divisé en trois chapitres, à la jonction de la poétique et de l'éthique de la communication littéraire, ce mémoire propose que les écrivains, avant d'être écrivains, sont d'abord des lecteurs en puissance. Exclusivement consacrée au romancier français Philippe Djian (1949-), l'analyse vise, dans le premier chapitre, à dégager et à décrire les pratiques de lecture propres à cet écrivain, telles qu'il les présente dans ses entretiens et dans un essai en hommage à ses modèles littéraires, intitulé Ardoise . Il en ressort une poétique djianesque de la lecture , comprise comme une réponse aux questions que lit-on? comment lit-on? pourquoi lit-on? , comme une manière de lire, de vivre, et ultimement, d'écrire. Le deuxième chapitre se penche sur la façon dont le principe générateur qu'est la lecture, de même que la tribu invisible formée des modèles de Djian, s'inscrivent et agissent dans l'oeuvre romanesque, à travers, d'une part, cinq figures du lecteur fictif, et d'autre part, l'élaboration d'un rapport entre un texte et un lecteur, idéal ou réel. Le troisième chapitre aborde l' éthique djianesque de l'écriture (générosité, colère, sens de la dérision, foi et style), issue de la poétique de la lecture, et pose la question de savoir comment Djian parvient à se distinguer de ses modèles, en dépit de la prégnance avec laquelle ceux-ci ont marqué tant son existence que sa démarche d'écriture. Ce chapitre tente également d'expliquer la dynamique émotionnelle et l'énergie communicative qui nourrissent, pendant un temps, l'oeuvre de Djian, et qui favorisent, selon l'argumentation développée dans le mémoire, l'adhésion des lecteurs.
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Méthode de la lecture, lecture de la méthode : l'acte de lecture en didactique de la traduction (Canada)

Normandin, Julie Stéphanie 22 March 2011 (has links)
Cette étude entend questionner l’impensé de la lecture et de la textualité sous-jacent aux modèles traductologiques orientés vers le processus qui se sont imposés en didactique de la traduction au cours des quatre dernières décennies, tels que la théorie interprétative de l’École de Paris et la théorie fonctionnaliste du Skopos de l’École allemande, et qui sous-tendent actuellement la formation des traducteurs professionnels au Canada. On trouvera dans ces pages, après un survol de l’histoire de cette formation, une confrontation dialogique entre les fondements immanentistes des approches qui y sont dominantes et ceux de théories issues du champ littéraire ayant problématisé l’acte de lecture, ainsi que l’analyse de la traduction collective d’une œuvre de fiction (réalisée par une équipe de traducteurs diplômés du premier cycle) dont le but est d’étayer la critique métathéorique.
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Méthode de la lecture, lecture de la méthode : l'acte de lecture en didactique de la traduction (Canada)

Normandin, Julie Stéphanie 22 March 2011 (has links)
Cette étude entend questionner l’impensé de la lecture et de la textualité sous-jacent aux modèles traductologiques orientés vers le processus qui se sont imposés en didactique de la traduction au cours des quatre dernières décennies, tels que la théorie interprétative de l’École de Paris et la théorie fonctionnaliste du Skopos de l’École allemande, et qui sous-tendent actuellement la formation des traducteurs professionnels au Canada. On trouvera dans ces pages, après un survol de l’histoire de cette formation, une confrontation dialogique entre les fondements immanentistes des approches qui y sont dominantes et ceux de théories issues du champ littéraire ayant problématisé l’acte de lecture, ainsi que l’analyse de la traduction collective d’une œuvre de fiction (réalisée par une équipe de traducteurs diplômés du premier cycle) dont le but est d’étayer la critique métathéorique.
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Méthode de la lecture, lecture de la méthode : l'acte de lecture en didactique de la traduction (Canada)

Normandin, Julie Stéphanie 22 March 2011 (has links)
Cette étude entend questionner l’impensé de la lecture et de la textualité sous-jacent aux modèles traductologiques orientés vers le processus qui se sont imposés en didactique de la traduction au cours des quatre dernières décennies, tels que la théorie interprétative de l’École de Paris et la théorie fonctionnaliste du Skopos de l’École allemande, et qui sous-tendent actuellement la formation des traducteurs professionnels au Canada. On trouvera dans ces pages, après un survol de l’histoire de cette formation, une confrontation dialogique entre les fondements immanentistes des approches qui y sont dominantes et ceux de théories issues du champ littéraire ayant problématisé l’acte de lecture, ainsi que l’analyse de la traduction collective d’une œuvre de fiction (réalisée par une équipe de traducteurs diplômés du premier cycle) dont le but est d’étayer la critique métathéorique.
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Méthode de la lecture, lecture de la méthode : l'acte de lecture en didactique de la traduction (Canada)

Normandin, Julie Stéphanie January 2011 (has links)
Cette étude entend questionner l’impensé de la lecture et de la textualité sous-jacent aux modèles traductologiques orientés vers le processus qui se sont imposés en didactique de la traduction au cours des quatre dernières décennies, tels que la théorie interprétative de l’École de Paris et la théorie fonctionnaliste du Skopos de l’École allemande, et qui sous-tendent actuellement la formation des traducteurs professionnels au Canada. On trouvera dans ces pages, après un survol de l’histoire de cette formation, une confrontation dialogique entre les fondements immanentistes des approches qui y sont dominantes et ceux de théories issues du champ littéraire ayant problématisé l’acte de lecture, ainsi que l’analyse de la traduction collective d’une œuvre de fiction (réalisée par une équipe de traducteurs diplômés du premier cycle) dont le but est d’étayer la critique métathéorique.
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Proust et le cinéma. Temps, images et adaptations / Proust and the cinema

Carrier-Lafleur, Thomas 18 June 2014 (has links)
L’ambition de cette thèse n’est pas de poser objectivement les rapports qu’entretient À la recherche du temps perdu avec le cinéma(tographe), pour la simple et bonne raison que ceux-ci sont à peu près inexistants, du strict point de vue de l’objectivité. N’ayant jamais mis les pieds dans un lieu qui projette ce type bien particulier d’images en mouvement, Proust n’est pas un écrivain intéressé par ce qu’on nomme aujourd’hui « cinéma ». On ne trouve que peu souvent son nom dans les anthologies faisant état des écrivains du début du siècle dernier qui ont commenté le spectacle des vues animées. Si par hasard il y est, on cite généralement les passages du Temps retrouvé, où est assez sévèrement critiqué le « défilé cinématographique des choses ». Que la critique de Proust à l’endroit du cinéma(tographe) soit une critique essentiellement négative n’est pas en soi gênant et ne contredit pas nécessairement le besoin de faire le point sur cette question. Il nous faut seulement adopter une vision plus artiste du problème, ou du moins accepter que le cinéma n’est pas limité à un seul mode d’existence stable : « cinéma » est en fait un pot-pourri d’idées, de concepts et de pratiques qui est voué au changement, et c’est précisément ce changement qui est digne d’intérêt. Une telle relativisation de l’idée de « cinéma » nous permettra d’explorer les différentes séries d’images et les séries techniques qui parcourent le roman de Proust et ses adaptations écraniques, afin de voir si elles sont en mesure de recouper l’une ou l’autre des fonctions que l’on a pu attribuer au cinéma au cours de son histoire. La présente thèse est donc en quelque sorte le procès-verbal des définitions du cinéma qu’a pu nous offrir notre lecture de Proust. Elle est aussi celui des différentes lectures que le cinéma nous permet de faire de la Recherche, des lectures « cinématographiques ». / This thesis does not objectively study ongoing relations between In Search of Lost Time and the cinema medium for the simple reason that, from the strict point of view of objectivity, they are almost non-existent. Having never set foot in a place that shows this particular type of moving images, Proust is not interested in what is now called “cinema”. At best, his name infrequently appears in anthologies of the early 20th century’s writers who commented this kind of spectacle. If by chance he is, the excerpts generally selected are the ones of Time Regained where the “cinematic parade of things” is quite severely criticized. But Proust’s criticism of cinema, albeit an essentially negative one, is not that much inconvenient and does not particularly contradict the need to investigate the matter. We just have to think the problem in a more artistic way, or at least to accept that cinema is not limited to a stable, single mode of existence: “cinema” is – and should be – a potpourri of ideas, concepts and practices that is bound to change, and it is precisely that change that is worth investigating. Such a relativization of the idea of “cinema” will allow us to explore different series of images and series of techniques that run in Proust's novel and its screen adaptations, while letting us see if they are able to match some functions that have been attributed to cinema during its history. This thesis therefore intends to be a record of cinema’s definitions that our reading of Proust’s work could offer. It is also a record of the many readings of In Search of Lost Time that cinema allows us, “cinematographic” readings.
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L’un contre l’autre : la dialectique de l’auteur et de la lectrice chez Serge Doubrovsky

Abdelmoumen, Mélikah 08 1900 (has links)
Depuis qu’en 1977, en quatrième de couverture de Fils, Serge Doubrovsky employa le mot « autofiction » pour décrire son roman, les études doubrovskiennes ont eu tendance à se focaliser sur les questions génériques que sous-tendait ce néologisme. Ainsi on a écarté un autre aspect, tout aussi important, de l’œuvre de l’auteur : celui du lien avec le lecteur qui, en plus d’être mis en scène dans chacune des autofictions doubrovskiennes, est associé dès Fils au rapport complexe, inextricable et conflictuel entre les sexes. « J’écris mâle, me lis femelle », dit le narrateur-écrivain ‘Serge Doubrovsky’ – lui qui vivra sous nos yeux une série d’histoires passionnelles avec des compagnes qui sont également ses lectrices. Repris d’épisode en épisode, le rapport entre le héros doubrovskien et sa compagne du moment rappelle les hypothèses de Doubrovsky dans Corneille ou la dialectique du héros (1963), inspirées de la dialectique hégélienne du Maître et de l’Esclave. Cette thèse s’attache donc à analyser la relation dialectique auteur-lectrice telle que mise en scène et approfondie dans l’ensemble de l’édifice autofictionnel. Après présentation et étude des mécanismes dont se sert l’auteur pour construire son Lecteur Modèle (Première partie), les trois autres sections principales de la thèse sont consacrées à l’analyse de Fils et Un amour de soi (1977 et 1982 ; Deuxième partie) ; du Livre brisé et de l’Après-vivre (1989 et 1994 ; Troisième partie) ; et enfin de Laissé pour conte (1999 ; Quatrième partie). Il s’agira enfin de montrer la portée non seulement littéraire, mais également sociale (la réflexion s’élargit à chaque épisode pour aborder les questions de la réception contemporaine de l’œuvre littéraire) et historique (le motif Maître-Esclave s’inscrit dans l’Histoire de l’Europe du XXe siècle, plus précisément la Seconde Guerre mondiale et la Shoah) du thème dialectique doubrovskien. / Since Serge Doubrovsky coined the term « autofiction » to describe his own novel on the back cover blurb of Fils (1977), doubrovskian studies have tended to focus on the literary genres issues implied by his neologism. Consequently, another aspect of the writer’s work, and a quite crucial one, was somewhat neglected: the relationship with the reader, which is not only represented and acted out by the characters in doubrovskian autofictions but also linked to a another complex, tempestuous and inextricable relationship, that of man and woman. “I write male, read myself female”, says the doubrovskian narrator, who happens to take part, under our very eyes, in a series of passionate relationships with mates that are also readers of his works. Repeated from novel to novel, the mise en scène of the rapport between the doubrovskian hero and his lady companion of the moment reminds us of Doubrovsky’s hypotheses in Corneille ou la dialectique du héros (1963), which were inspired by the Hegelian master-slave Dialectics. This study thus concentrates on the representation of the dialectical relation between male author and female reader in Doubrovsky’s autofictions. After a brief survey and description of the tools used by the author in order to construct his own Model Reader (First section), our three other principal sections will focus on the analysis of Fils and Un amour de soi (1977 and 1982; Section Two); Le livre brisé and l’Après-vivre (1989 and 1994; Section Three); and finally Laissé pour conte (1999; Section Four). We will ultimately attempt to demonstrate the doubrovskian dialectal theme’s literary richness as well as its social and historical implications – the author’s reflexion widens with each episode, touching on questions of reader-response and reception of the literary work, while the master-slave motif resonates in the History of twentieth century Europe, mainly the Second World War and the Holocaust.
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L’un contre l’autre : la dialectique de l’auteur et de la lectrice chez Serge Doubrovsky

Abdelmoumen, Mélikah 08 1900 (has links)
Depuis qu’en 1977, en quatrième de couverture de Fils, Serge Doubrovsky employa le mot « autofiction » pour décrire son roman, les études doubrovskiennes ont eu tendance à se focaliser sur les questions génériques que sous-tendait ce néologisme. Ainsi on a écarté un autre aspect, tout aussi important, de l’œuvre de l’auteur : celui du lien avec le lecteur qui, en plus d’être mis en scène dans chacune des autofictions doubrovskiennes, est associé dès Fils au rapport complexe, inextricable et conflictuel entre les sexes. « J’écris mâle, me lis femelle », dit le narrateur-écrivain ‘Serge Doubrovsky’ – lui qui vivra sous nos yeux une série d’histoires passionnelles avec des compagnes qui sont également ses lectrices. Repris d’épisode en épisode, le rapport entre le héros doubrovskien et sa compagne du moment rappelle les hypothèses de Doubrovsky dans Corneille ou la dialectique du héros (1963), inspirées de la dialectique hégélienne du Maître et de l’Esclave. Cette thèse s’attache donc à analyser la relation dialectique auteur-lectrice telle que mise en scène et approfondie dans l’ensemble de l’édifice autofictionnel. Après présentation et étude des mécanismes dont se sert l’auteur pour construire son Lecteur Modèle (Première partie), les trois autres sections principales de la thèse sont consacrées à l’analyse de Fils et Un amour de soi (1977 et 1982 ; Deuxième partie) ; du Livre brisé et de l’Après-vivre (1989 et 1994 ; Troisième partie) ; et enfin de Laissé pour conte (1999 ; Quatrième partie). Il s’agira enfin de montrer la portée non seulement littéraire, mais également sociale (la réflexion s’élargit à chaque épisode pour aborder les questions de la réception contemporaine de l’œuvre littéraire) et historique (le motif Maître-Esclave s’inscrit dans l’Histoire de l’Europe du XXe siècle, plus précisément la Seconde Guerre mondiale et la Shoah) du thème dialectique doubrovskien. / Since Serge Doubrovsky coined the term « autofiction » to describe his own novel on the back cover blurb of Fils (1977), doubrovskian studies have tended to focus on the literary genres issues implied by his neologism. Consequently, another aspect of the writer’s work, and a quite crucial one, was somewhat neglected: the relationship with the reader, which is not only represented and acted out by the characters in doubrovskian autofictions but also linked to a another complex, tempestuous and inextricable relationship, that of man and woman. “I write male, read myself female”, says the doubrovskian narrator, who happens to take part, under our very eyes, in a series of passionate relationships with mates that are also readers of his works. Repeated from novel to novel, the mise en scène of the rapport between the doubrovskian hero and his lady companion of the moment reminds us of Doubrovsky’s hypotheses in Corneille ou la dialectique du héros (1963), which were inspired by the Hegelian master-slave Dialectics. This study thus concentrates on the representation of the dialectical relation between male author and female reader in Doubrovsky’s autofictions. After a brief survey and description of the tools used by the author in order to construct his own Model Reader (First section), our three other principal sections will focus on the analysis of Fils and Un amour de soi (1977 and 1982; Section Two); Le livre brisé and l’Après-vivre (1989 and 1994; Section Three); and finally Laissé pour conte (1999; Section Four). We will ultimately attempt to demonstrate the doubrovskian dialectal theme’s literary richness as well as its social and historical implications – the author’s reflexion widens with each episode, touching on questions of reader-response and reception of the literary work, while the master-slave motif resonates in the History of twentieth century Europe, mainly the Second World War and the Holocaust.
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Par-delà tous les genres : queering Victor-Lévy Beaulieu, suivi de Querelle de Roberval (roman)

Lambert, Kevin 08 1900 (has links)
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