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Nous, les Autres et le vivre ensemble en relations internationales

Mioc, Roxana Consuela 01 May 2012 (has links)
L’identité est un des concepts qui ne peuvent pas être contournés dans nos efforts pour appréhender la politique mondiale. Tout effort dans cette direction implique nécessairement une certaine conceptualisation de l’identité, une certaine vision de qui sont le Nous et les Autres et de comment ils se manifestent sur la scène politique internationale. Depuis sa création, la discipline des Relations Internationales a cependant marginalisé ou même exclu tout intérêt pour les questions et les enjeux reliés à l’identité, les qualifiant comme non pertinents pour l’étude de la politique internationale. C’est surtout après la fin de la Guerre froide que l’identité est revenue en force et que nous avons assisté à une ouverture de la discipline aux réflexions sur l’identité et sur ses relations avec l’altérité. L’objectif de cette recherche est d’analyser si le retour de l’identité en Relations Internationales a aussi conduit au dépassement des conceptualisations traditionnelles du vivre ensemble dans la discipline – conceptualisations qui, soit excluent la différence, soit l’ignorent complètement - pour offrir une nouvelle manière de définir et de « contenir » théoriquement la diversité au niveau mondial. Mon hypothèse de départ est que pour avoir un changement dans la conceptualisation du vivre ensemble dans la discipline des Relations Internationales, le retour de l’identité doit nécessairement impliquer une reconceptualisation autant de l’identité que des rapports de pouvoirs dans lesquels les identités sont imbriquées. À travers une analyse qualitative du discours sur l’identité développé par les auteurs qui ont contribué au retour de l’identité dans la discipline, je développe l’idée que le retour de l’identité en Relations Internationales n’a pas conduit à une reconceptualisation du vivre ensemble dans la discipline, soit parce que l’identité continue d’être appréhendée en termes essentialistes et totalisants, soit parce que les rapports de pouvoir qui s’établissent entre les identités sont négligés.
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Nous, les Autres et le vivre ensemble en relations internationales

Mioc, Roxana Consuela 01 May 2012 (has links)
L’identité est un des concepts qui ne peuvent pas être contournés dans nos efforts pour appréhender la politique mondiale. Tout effort dans cette direction implique nécessairement une certaine conceptualisation de l’identité, une certaine vision de qui sont le Nous et les Autres et de comment ils se manifestent sur la scène politique internationale. Depuis sa création, la discipline des Relations Internationales a cependant marginalisé ou même exclu tout intérêt pour les questions et les enjeux reliés à l’identité, les qualifiant comme non pertinents pour l’étude de la politique internationale. C’est surtout après la fin de la Guerre froide que l’identité est revenue en force et que nous avons assisté à une ouverture de la discipline aux réflexions sur l’identité et sur ses relations avec l’altérité. L’objectif de cette recherche est d’analyser si le retour de l’identité en Relations Internationales a aussi conduit au dépassement des conceptualisations traditionnelles du vivre ensemble dans la discipline – conceptualisations qui, soit excluent la différence, soit l’ignorent complètement - pour offrir une nouvelle manière de définir et de « contenir » théoriquement la diversité au niveau mondial. Mon hypothèse de départ est que pour avoir un changement dans la conceptualisation du vivre ensemble dans la discipline des Relations Internationales, le retour de l’identité doit nécessairement impliquer une reconceptualisation autant de l’identité que des rapports de pouvoirs dans lesquels les identités sont imbriquées. À travers une analyse qualitative du discours sur l’identité développé par les auteurs qui ont contribué au retour de l’identité dans la discipline, je développe l’idée que le retour de l’identité en Relations Internationales n’a pas conduit à une reconceptualisation du vivre ensemble dans la discipline, soit parce que l’identité continue d’être appréhendée en termes essentialistes et totalisants, soit parce que les rapports de pouvoir qui s’établissent entre les identités sont négligés.
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Nous, les Autres et le vivre ensemble en relations internationales

Mioc, Roxana Consuela January 2012 (has links)
L’identité est un des concepts qui ne peuvent pas être contournés dans nos efforts pour appréhender la politique mondiale. Tout effort dans cette direction implique nécessairement une certaine conceptualisation de l’identité, une certaine vision de qui sont le Nous et les Autres et de comment ils se manifestent sur la scène politique internationale. Depuis sa création, la discipline des Relations Internationales a cependant marginalisé ou même exclu tout intérêt pour les questions et les enjeux reliés à l’identité, les qualifiant comme non pertinents pour l’étude de la politique internationale. C’est surtout après la fin de la Guerre froide que l’identité est revenue en force et que nous avons assisté à une ouverture de la discipline aux réflexions sur l’identité et sur ses relations avec l’altérité. L’objectif de cette recherche est d’analyser si le retour de l’identité en Relations Internationales a aussi conduit au dépassement des conceptualisations traditionnelles du vivre ensemble dans la discipline – conceptualisations qui, soit excluent la différence, soit l’ignorent complètement - pour offrir une nouvelle manière de définir et de « contenir » théoriquement la diversité au niveau mondial. Mon hypothèse de départ est que pour avoir un changement dans la conceptualisation du vivre ensemble dans la discipline des Relations Internationales, le retour de l’identité doit nécessairement impliquer une reconceptualisation autant de l’identité que des rapports de pouvoirs dans lesquels les identités sont imbriquées. À travers une analyse qualitative du discours sur l’identité développé par les auteurs qui ont contribué au retour de l’identité dans la discipline, je développe l’idée que le retour de l’identité en Relations Internationales n’a pas conduit à une reconceptualisation du vivre ensemble dans la discipline, soit parce que l’identité continue d’être appréhendée en termes essentialistes et totalisants, soit parce que les rapports de pouvoir qui s’établissent entre les identités sont négligés.
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Le Qatar à l’épreuve des relations internationales : lecture théorique de la politique étrangère du micro-État sous le règne de l’émir Hamad Ben Khalifa Al Thani (1995-2013) / Challenging Qatar with international relations : a theorical reading of the micro-State’s foreign policy under emir Hamad Ben Khalifa Al Thani (1995-2013)

Valentini, Victor 29 September 2017 (has links)
La politique étrangère de l’émirat du Qatar a suscité beaucoup d’interrogations depuis la prise de pouvoir du cheikh Hamad ben Khalifa Al Thani le 27 juin 1995. Omniprésentes depuis quelques années dans le débat public français notamment, les approches peinent cependant à formuler un cadre théorique général sous lequel appréhender la diplomatie de cet émirat. De ce constat naît une question simple : de quoi la politique étrangère du Qatar est-elle le nom ? Loin des clichés réducteurs où elle demeure le rêve d’un émir orgueilleux du Golfe, la diplomatie qatarie s’inscrit dans le contexte d’une politique étrangère d’un micro-État, d’inspiration réaliste, qui tente de conjurer un rapport de force défavorable en usant des caractéristiques du micro-étatisme et des transformations de l’environnement global afin d’optimiser ses ressources et surtout, d’instaurer un autre rapport de force. / Ever since the sheik Hamad ben Khalifa Al Thani seized power on June 27th, 1995, Qatar's foreign policy has sparked a lot of questionning. Although Qatar's policies have been commented extensively, especially in the french public debate, the various approaches on this matter have failed to formulate a general theoretical framework through which Qatar's diplomacy could be apprehended. A simple question arises from this observation : what truly lies behind Qatar's foreign policy ? Far from the carricatures depicting it as the grand dream of a vainglorious emir from the Gulf, we intend to show that Qatar's diplomacy can only be understood in the larger context of a realistic micro-state foreign policy that aims at warding off an unfavorable balance of power by using both the characteristics of micro-statism and changes in the global environment, in order to optimize its resources and ultimately, establish a different balance of power.
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Repenser le pouvoir dans les théories des relations internationales : du pouvoir productif de la Francophonie à la socialisation du Vietnam au Conseil de Sécurité des Nations Unies / Rethinking the power concept in International Relations theories : from Francophonie’s productive power to Vietnam’s socialization in the United Nations Security Council

Nguyen, Hoang Nhu Thanh 06 September 2018 (has links)
Le pouvoir est omniprésent dans les interactions sociales. Il en va de même pour la politique internationale depuis la naissance des Relations internationales. Mais au sein de celle-ci, ce concept est contesté. Par exemple, le terme anglais power désigne deux phénomènes qui ne sont pas identiques et qui sont traduits par deux termes distingues en français : « la puissance » signifiant la capacité d’obtenir ce qu’on désire, et « le pouvoir » renvoyant au contrôle du comportement d’un acteur sur un autre. L’objectif de la thèse est double. Tout d’abord, cette recherche entend établir un lien étroit entre la façon de définir le pouvoir et les différents cadres théoriques (réalistes, libéraux, constructivistes) puisqu’il n’existe pas d’unique définition du concept. Ce premier aspect permettra de mieux comprendre la genèse mais aussi les tensions entre le concept et sa théorie-cadre lorsque le premier a tendance à circuler dans d’autres théories, comme ce dont témoigne les débats autour de la trilogie hard power, soft power, smart power de Joseph Nye. Le deuxième objectif vise à mieux comprendre le pouvoir des organisations intergouvernementales en adoptant un cadre constructiviste. La thèse s’appuie sur l’approche de Barnett et Duvall qui distingue quatre types de pouvoir (imposé, institutionnel, structurel et productif) en vue de saisir le pouvoir productif de la Francophonie dans la « fabrication » d’une nouvelle subjectivité de l’Etat : le « droit souverain » de promouvoir sa diversité culturelle et le « devoir souverain » concernant la responsabilité de protéger. La thèse montre également que le pouvoir institutionnel du Conseil de Sécurité des Nations Unies s’exerce via la socialisation du Vietnam en son sein dans le cas de la responsabilité de protéger. / The power is a ubiquitous phenomenon in social relations, particularly in International Relations. It is, however, an “essentially contestable” concept in IR theories. For instance, the English term power refers to two different phenomena which can be translated into two distinct terms in French: “la puissance” which means the capacity to get what one wants, and “le pouvoir” which implies the control over other’s behavior. This thesis has two objectives. First, it aims to build close connection between the power conceptualization and its theoretical framework (realism, liberalism, and constructivism) as there is no unique definition of power. The liaison between power definition and its theoretical framework allows us to better apprehend not only its genesis but also the discrepancy that emerges whenever the concept tend to transcend its theoretical framework, as reflected in the debates relative to the trilogy hard power, soft power, smart power of Joseph Nye. Second, this thesis intends to better understand the power of international organizations under the constructivist theoretical framework. The study bases on the power taxonomy of Barnett and Duvall who classify the concept into four types: compulsory power, institutional power, structural power and productive power. Based on this classification, we can understand the productive power of Francophonie in terms of “producing” a new subjectivity of State in IR: the “sovereign right” of promoting its cultural diversity and the “sovereign duty” of fulfilling its responsibility to protect. The thesis demonstrates also the UNSC’s institutional power via the Vietnam socialization process leading to the endorsement of the R2P concept.

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