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Os tempos da escrita na obra de Clarice Lispector / Temp d'écriture dans l'oeuvre chez Clarice Lispector

Luciana Brandão Carreira Del Nero 07 March 2012 (has links)
Daprès les enseignements de Sigmund Freud et de Jacques Lacan, nous partons dune présupposition : les uvres conçues par Clarice Lispector entre 1964 et 1973 mettent en évidence lopération qui inscrit lêtre parlant dans le champ du langage. Cest peut-être pour cela quil est possible de percevoir la consolidation, dans ce contexte, dun changement de son style, en prenant en considération que selon un certain courant de la critique littéraire, il existe au moins deux cycles stylistiques quand nous analysons lensemble de luvre de lécrivain. Ces deux cycles sont déterminés quand sopère une torsion dans la voix narrative, qui se déplace de la troisième à la première personne. Cette torsion apparaît dans le livre La Passion Selon G.H., et est consolidée en 1973 dans le livre Agua Viva. Nous supposons que le changement du style de Clarice Lispector correspond à la torsion qui engage lêtre parlant dans les vicissitudes du corps, à son origine. Ainsi, cest pour peupler le monde des affects que la répercussion de certaines lectures nous amène à la constatation suivante : il y aurait des écrits dont la temporalité renvoie à la suspension du fantasme, raison pour laquelle ils se prêtent à transmettre le réel de lexpérience dune inscription première, via la rencontre entre le lecteur et le texte. Il sagirait des écrits dont la temporalité rappelle linstant où la mort sinscrit dans les trames corporelles, effet de ce qui échappe au symbolique, le réel. Dans lintimité du pulsionnel, ces pratiques témoignent du moment où la langue maternelle (Lalangue) fait marque dans le corps, débouchant sur le temps de linscription du trait unaire, ce qui permet au sujet de parler, faisant face, par voie dune nomination, à labsence dun signifiant dans le champ de lAutre . Au cours du présent travail, nous avons vu que Lacan, en entrelaçant savoir inconscient et poésie, la ainsi fait dans la tentative de transmettre la fugacité dun instant dans lequel affleure linconscient. En se plaçant comme agent de la poésie, Lacan est amené à spécifier la vérité en tant que poétique, situant la vérité comme fondamentalement liée au style et à la transmissibilité de la psychanalyse. Avec Clarice Lispector, quelque chose se transmet. Et cest avec elle que nous avons repris dimportants textes de Jacques Lacan sur le thème de lécriture, parmi lesquels la leçon sur Lituraterre et le Séminaire Le sinthome. Nous avons suivi son parcours relatif au trait unaire, depuis le Séminaire de lidentification, nous laissant nous interroger sur la puissance dune image qui est au-delà de ce qui est représentable. Pour cela, à la fin de notre travail, nous avons souligné le statut dune écriture qui se produit par un acte qui conjugue le trait unaire à lobjet a en tant que regard. / Apoiados nos ensinamentos de Sigmund Freud e de Jacques Lacan, partimos de um pressuposto: as obras concebidas por Clarice Lispector no intervalo de tempo entre 1964 e 1973 colocam em evidência a operação que inscreve o ser falante no campo da linguagem. Talvez por isso, nesse contexto, seja possível perceber a consolidação de uma mudança em seu estilo, considerando que, de acordo com uma determinada vertente da crítica literária, existem pelo menos dois ciclos estilísticos ao analisarmos o conjunto da obra da escritora. Esses dois ciclos são determinados quando se opera uma torção na voz narrativa, que se desloca da terceira para a primeira pessoa. Essa torção tem como marco o livro A Paixão Segundo G.H. e se consolida em 1973, com o livro Água Viva. Supomos que a mudança no estilo de Clarice Lispector corresponde à torção que engaja o ser falante nas vicissitudes do corpo, em sua origem. Assim, é por povoar o mundo dos afetos que a repercussão de determinadas leituras nos leva à seguinte constatação: haveria escritos cuja temporalidade remonta à suspensão da fantasia, motivo pelo qual se prestam a transmitir o real da experiência de uma primeira inscrição, por via do encontro entre leitor e texto. Tratar-se-iam de escritos cuja temporalidade remete ao instante em que a morte se inscreve nas malhas corporais, resultantes do que escapa ao simbólico, o real. Na intimidade do pulsional, tais práticas testemunham o momento em que a língua materna (Lalangue) faz marca no corpo, desembocando no tempo da inscrição do traço unário; o que permite ao sujeito falar, fazendo frente, por via de uma nomeação, à falta de um significante no campo do Outro, . No decorrer do presente trabalho, vimos que Lacan, ao entrelaçar saber inconsciente e poesia, assim o fez na tentativa de transmitir a fugacidade de um instante no qual o inconsciente aflora. Ao se colocar no lugar de agente da poesia, Lacan é levado a especificar a verdade como sendo poética, situando a poesia como fundamentalmente ligada ao seu estilo e à transmissibilidade da psicanálise. Com Clarice Lispector, algo se transmite. E foi com ela que retomamos importantes textos de Jacques Lacan sobre o tema da escrita, dentre os quais, a lição sobre Lituraterra e o seminário Le sinthome. Acompanhamos o seu percurso a respeito do traço unário, desde o seminário da identificação, deixando-nos interrogar sobre a potência de uma imagem que está para além do que é representável. Por isso, ao final de nosso trabalho, enfatizamos o estatuto de uma escrita que se produz por via de um ato que conjuga o traço unário ao objeto a em sua vertente olhar.
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Os tempos da escrita na obra de Clarice Lispector / Temp d'écriture dans l'oeuvre chez Clarice Lispector

Luciana Brandão Carreira Del Nero 07 March 2012 (has links)
Daprès les enseignements de Sigmund Freud et de Jacques Lacan, nous partons dune présupposition : les uvres conçues par Clarice Lispector entre 1964 et 1973 mettent en évidence lopération qui inscrit lêtre parlant dans le champ du langage. Cest peut-être pour cela quil est possible de percevoir la consolidation, dans ce contexte, dun changement de son style, en prenant en considération que selon un certain courant de la critique littéraire, il existe au moins deux cycles stylistiques quand nous analysons lensemble de luvre de lécrivain. Ces deux cycles sont déterminés quand sopère une torsion dans la voix narrative, qui se déplace de la troisième à la première personne. Cette torsion apparaît dans le livre La Passion Selon G.H., et est consolidée en 1973 dans le livre Agua Viva. Nous supposons que le changement du style de Clarice Lispector correspond à la torsion qui engage lêtre parlant dans les vicissitudes du corps, à son origine. Ainsi, cest pour peupler le monde des affects que la répercussion de certaines lectures nous amène à la constatation suivante : il y aurait des écrits dont la temporalité renvoie à la suspension du fantasme, raison pour laquelle ils se prêtent à transmettre le réel de lexpérience dune inscription première, via la rencontre entre le lecteur et le texte. Il sagirait des écrits dont la temporalité rappelle linstant où la mort sinscrit dans les trames corporelles, effet de ce qui échappe au symbolique, le réel. Dans lintimité du pulsionnel, ces pratiques témoignent du moment où la langue maternelle (Lalangue) fait marque dans le corps, débouchant sur le temps de linscription du trait unaire, ce qui permet au sujet de parler, faisant face, par voie dune nomination, à labsence dun signifiant dans le champ de lAutre . Au cours du présent travail, nous avons vu que Lacan, en entrelaçant savoir inconscient et poésie, la ainsi fait dans la tentative de transmettre la fugacité dun instant dans lequel affleure linconscient. En se plaçant comme agent de la poésie, Lacan est amené à spécifier la vérité en tant que poétique, situant la vérité comme fondamentalement liée au style et à la transmissibilité de la psychanalyse. Avec Clarice Lispector, quelque chose se transmet. Et cest avec elle que nous avons repris dimportants textes de Jacques Lacan sur le thème de lécriture, parmi lesquels la leçon sur Lituraterre et le Séminaire Le sinthome. Nous avons suivi son parcours relatif au trait unaire, depuis le Séminaire de lidentification, nous laissant nous interroger sur la puissance dune image qui est au-delà de ce qui est représentable. Pour cela, à la fin de notre travail, nous avons souligné le statut dune écriture qui se produit par un acte qui conjugue le trait unaire à lobjet a en tant que regard. / Apoiados nos ensinamentos de Sigmund Freud e de Jacques Lacan, partimos de um pressuposto: as obras concebidas por Clarice Lispector no intervalo de tempo entre 1964 e 1973 colocam em evidência a operação que inscreve o ser falante no campo da linguagem. Talvez por isso, nesse contexto, seja possível perceber a consolidação de uma mudança em seu estilo, considerando que, de acordo com uma determinada vertente da crítica literária, existem pelo menos dois ciclos estilísticos ao analisarmos o conjunto da obra da escritora. Esses dois ciclos são determinados quando se opera uma torção na voz narrativa, que se desloca da terceira para a primeira pessoa. Essa torção tem como marco o livro A Paixão Segundo G.H. e se consolida em 1973, com o livro Água Viva. Supomos que a mudança no estilo de Clarice Lispector corresponde à torção que engaja o ser falante nas vicissitudes do corpo, em sua origem. Assim, é por povoar o mundo dos afetos que a repercussão de determinadas leituras nos leva à seguinte constatação: haveria escritos cuja temporalidade remonta à suspensão da fantasia, motivo pelo qual se prestam a transmitir o real da experiência de uma primeira inscrição, por via do encontro entre leitor e texto. Tratar-se-iam de escritos cuja temporalidade remete ao instante em que a morte se inscreve nas malhas corporais, resultantes do que escapa ao simbólico, o real. Na intimidade do pulsional, tais práticas testemunham o momento em que a língua materna (Lalangue) faz marca no corpo, desembocando no tempo da inscrição do traço unário; o que permite ao sujeito falar, fazendo frente, por via de uma nomeação, à falta de um significante no campo do Outro, . No decorrer do presente trabalho, vimos que Lacan, ao entrelaçar saber inconsciente e poesia, assim o fez na tentativa de transmitir a fugacidade de um instante no qual o inconsciente aflora. Ao se colocar no lugar de agente da poesia, Lacan é levado a especificar a verdade como sendo poética, situando a poesia como fundamentalmente ligada ao seu estilo e à transmissibilidade da psicanálise. Com Clarice Lispector, algo se transmite. E foi com ela que retomamos importantes textos de Jacques Lacan sobre o tema da escrita, dentre os quais, a lição sobre Lituraterra e o seminário Le sinthome. Acompanhamos o seu percurso a respeito do traço unário, desde o seminário da identificação, deixando-nos interrogar sobre a potência de uma imagem que está para além do que é representável. Por isso, ao final de nosso trabalho, enfatizamos o estatuto de uma escrita que se produz por via de um ato que conjuga o traço unário ao objeto a em sua vertente olhar.
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O corpo no autismo e na esquizofrenia / The body in autisme and in schizophrenia

Bialer, Marina Martins 10 July 2012 (has links)
No primeiro capítulo da tese após a introdução, intitulado II, realizo um percurso teórico da imagem do corpo próprio nos escritos e seminários iniciais de Lacan, situando R, S e I - o Real, o Simbólico e o Imaginário - em jogo no ser humano. A conclusão deste capítulo introduz os dois conceitos principais que serão trabalhados na tese: o objeto ( a ) e o traço unário, considerando o traço unário como um traço do Outro simbólico, um traço de identificação não imaginária mas simbólica e o objeto como o real, não-especular. Aborda-se a importância do seminário A angústia de Lacan para a formulação da importância do conceito do traço e de ( a ) para a compreensão de RSI essencial para a abordagem da esquizofrenia e do autismo. A partir do esquema óptico utilizado por Lacan para abordar a constituição da imagem do corpo no ser humano, assim como a estruturação de RSI a partir da perda de uma parte do corpo próprio, de uma perda de gozo estruturante do ser humano, teço algumas considerações sobre os esquemas ópticos que poderíamos encontrar no caso do autismo e da esquizofrenia, a partir da articulação entre significante e corpo. Á partir dos estudos de M-C Laznik proponho situar o autismo, a partir da falha na impressão da marca do gozo do Outro a qual permite a inscrição do erotismo, à base da construção do narcisismo e do estabelecimento de um Outro no circuito pulsional. O autismo é, então, situado em relação a uma falha da inscrição do Outro primordial impedindo o tempo da inscrição total do Significante do Outro, da alienação no Significante do Outro Simbólico, da marcação pelo Outro, e da posterior Separação, não existente no Autismo. Por outro lado, na Esquizofrenia, situo a inscrição do Outro, do significante do Outro, da marca do Gozo do Outro, mas não há a inscrição da ausência da marca do Outro necessária para sair do lugar de objeto do Gozo do Outro (consultar o restante na tese) / This work discusses autism and schizophrenia based on two key concepts of this thesis: the object (a) and the unary trait trait of the Other. We try to account for a unique relationship of the autist to the signifier, a failure to incorporate the primordial signifier of the Other. We distinguish the autistic, who has not incorporated the mark of the jouissance of the Other, who has not incorporated the primordial signifier, and the schizophrenic, who has incorporated the mark of the jouissance of the Other, but is not able to use established discourses to build his/her own body, to name his/her own body. There is the possibility of constructions around the Sxs+ jouissance to label, no name, instead of the discourses in default. We distinguish schizophrenia strategies through an effort of placement of jouissance by the letter, and autistic strategies through an effort of placement of jouissance on the rim, on the boards
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O corpo no autismo e na esquizofrenia / The body in autisme and in schizophrenia

Marina Martins Bialer 10 July 2012 (has links)
No primeiro capítulo da tese após a introdução, intitulado II, realizo um percurso teórico da imagem do corpo próprio nos escritos e seminários iniciais de Lacan, situando R, S e I - o Real, o Simbólico e o Imaginário - em jogo no ser humano. A conclusão deste capítulo introduz os dois conceitos principais que serão trabalhados na tese: o objeto ( a ) e o traço unário, considerando o traço unário como um traço do Outro simbólico, um traço de identificação não imaginária mas simbólica e o objeto como o real, não-especular. Aborda-se a importância do seminário A angústia de Lacan para a formulação da importância do conceito do traço e de ( a ) para a compreensão de RSI essencial para a abordagem da esquizofrenia e do autismo. A partir do esquema óptico utilizado por Lacan para abordar a constituição da imagem do corpo no ser humano, assim como a estruturação de RSI a partir da perda de uma parte do corpo próprio, de uma perda de gozo estruturante do ser humano, teço algumas considerações sobre os esquemas ópticos que poderíamos encontrar no caso do autismo e da esquizofrenia, a partir da articulação entre significante e corpo. Á partir dos estudos de M-C Laznik proponho situar o autismo, a partir da falha na impressão da marca do gozo do Outro a qual permite a inscrição do erotismo, à base da construção do narcisismo e do estabelecimento de um Outro no circuito pulsional. O autismo é, então, situado em relação a uma falha da inscrição do Outro primordial impedindo o tempo da inscrição total do Significante do Outro, da alienação no Significante do Outro Simbólico, da marcação pelo Outro, e da posterior Separação, não existente no Autismo. Por outro lado, na Esquizofrenia, situo a inscrição do Outro, do significante do Outro, da marca do Gozo do Outro, mas não há a inscrição da ausência da marca do Outro necessária para sair do lugar de objeto do Gozo do Outro (consultar o restante na tese) / This work discusses autism and schizophrenia based on two key concepts of this thesis: the object (a) and the unary trait trait of the Other. We try to account for a unique relationship of the autist to the signifier, a failure to incorporate the primordial signifier of the Other. We distinguish the autistic, who has not incorporated the mark of the jouissance of the Other, who has not incorporated the primordial signifier, and the schizophrenic, who has incorporated the mark of the jouissance of the Other, but is not able to use established discourses to build his/her own body, to name his/her own body. There is the possibility of constructions around the Sxs+ jouissance to label, no name, instead of the discourses in default. We distinguish schizophrenia strategies through an effort of placement of jouissance by the letter, and autistic strategies through an effort of placement of jouissance on the rim, on the boards

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