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Effets d'un programme en électrostimulation suite à une rupture du tendon d'Achille

Veillette, Pierre-Marc January 2008 (has links) (PDF)
L'électrostimulation est une méthode de mieux en mieux comprise en physiologie humaine. D'un autre côté, la rupture du tendon d'Achille amène chez la personne l'ayant subi une perte de force et de volume chronique. L'objet de ce projet fut d'observer si la force et le volume d'une jambe peuvent être améliorés avec l'aide d'un entraînement en électrostimulation. 9 sujets divisés en deux groupes (expérimental = 6, témoin = 3) ont subit un pré-test où fut mesurée leur force de contraction concentrique, excentrique et isométrique lors du mouvement de flexion plantaire. Le volume de la jambe fut également mesuré par la prise de la circonférence du mollet au niveau du ventre des gastrocnémiens. Le groupe expérimental a suivi un entraînement en électrostimulation des fléchisseurs plantaires d'une seule jambe à une fréquence de 50 Hz, 5 secondes de travail, 15 secondes de repos pendant 15 minutes. L'entraînement eu lieu 3 fois par semaine durant 8 semaines. Le groupe témoin ne suivit aucun entraînement particulier durant les 8 semaines. Un test identique au pré test fut repassé 4 semaines (test intermédiaire) après le début de l'entraînement (ou du non-entraînement pour le groupe témoin). L'ensemble des mesures de force et de volume (post-test) fut repris après les 8 semaines d'entraînement (ou de non entraînement pour le groupe témoin). Une analyse comparative de la force et du volume des deux jambes avant et après la période de 8 semaines fut effectuée pour les deux groupes. Nous avons observé une augmentation significative de force concentrique et isométrique pour la jambe entraînée par électrostimulation du groupe expérimental. Aucun autre gain de force ne fut significatif pour les autres groupes. Aucun gain de volume ne fut significatif pour aucun groupe. Ces résultats laissent croire que l'électrostimulation peut améliorer la force d'une jambe et que cette technique pourrait être employée pour aider ceux ayant subi une rupture du tendon d'Achille. D'autres recherches sont nécessaires sur des personnes ayant subi une rupture du tendon d'Achille pour observer si un gain de volume serait possible et si les paramètres de stimulation pourraient être améliorés. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Électrostimulation, Rupture tendon d'Achille, Triceps sural, Force.
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Caractéristiques interpersonnelles, qualité de vie et fibromyalgie

Autard-Barry, Gabrielle January 2008 (has links) (PDF)
Cette thèse a pour but de répondre à la question, comment améliorer l'efficacité du traitement qui est offert aux personnes souffrant de fibromyalgie (FBM). Il deviendra évident au cours de la thèse que les études présentées ci-bas sont les premières à explorer cette question en se servant d'un sous-groupé particulier de la population atteinte de FBM comme point de référence. Ce sous-groupe, tel qu'il sera expliqué ci-après, présente des difficultés interpersonnelles. Le corps de la thèse se compose de trois articles, qui sont résumés ci-bas. Article 1 : Cet article fait une revue de la littérature afin de rassembler des pistes pour répondre à la question d'augmenter l'efficacité du traitement donné aux patients atteints de FBM. La réponse au traitement est décevante. Seulement 30% des patients suivant un traitement uni disciplinaire éprouvent une amélioration significative des symptômes et/ou une diminution de la douleur. Pour les patients suivant un traitement multidisciplinaire, le taux monte à 40%. Les nombreux traitements offerts à ces patients sont d'ordre physiologique (médicaments, manipulations physiques, etc.), comportemental et affectif/psychologique. En termes de traitement pharmacologique, il existe les antidépresseurs, les relaxants musculaires, les opiacées, les anti-inflammatoires; plus récemment on prescrit des drogues anti-épileptiques, ce qui est un traitement utilisé pour la douleur neuropathique. Les thérapies non-pharmacologiques comprennent des programmes d'exercice, des séances d'éducation sur le trouble, du biofeedback et de la relaxation, de la physiothérapie, de l'hypnothérapie, de l'acupuncture, et de la thérapie cognitive-comportementale (TCC). Avec leur Inventaire Multidimensionnel de la Douleur (lMD), Turk, Rudy et leurs collègues ont réussi à identifier une hétérogénéité intéressante chez les personnes souffrant de FBM, et les ont divisés en trois sous-groupes de patient: 1. « Dysfunctional » (DYS) -un patient très dysfonctionnel en termes de douleur, de détresse psychologique et qui est généralement peu actif 2. « Interpersonally distressed » (ID) -un patient assez dysfonctionnel, mais qui est plus fortement caractérisé par une satisfaction conjugale très faible, peu de soutien social et des conflits avec son partenaire 3. « Adaptive coper » (AC) -un patient qui s'adapte bien à sa maladie, qui est plus actif et qui vit moins de douleur que ceux des deux autres groupes. Suite à un traitement multidisciplinaire, la réponse au traitement a été mesurée. Les patients FBM « DYS », ont répondu très bien, la réponse des « AC » a été adéquate, mais les patients FBM « ID » n'ont fait aucun progrès, et n'ont obtenu aucun changement significatif sur aucune mesure d'amélioration. Le manque de progrès pour ce groupe fait baisser le taux d'efficacité global de cette population. La raison de la non-réponse des patients ID au traitement est inconnue. Pour apprendre comment améliorer cette réponse au traitement il serait important de mieux identifier et d'opérationnaliser les facteurs qui y sont associés. Il est donc primordial d'examiner le groupe « ID » précisément parce qu'il ne semble pas profiter du traitement offert. L'article examine les possibilités pour y arriver. Les facteurs psychosociaux semblent exercer une très grande influence sur les symptômes vécus. Une étude comparant les trois sous-groupes a démontré qu'il n'y avait aucune différence entre les groupes pour le fonctionnement physique, en termes de flexion lombaire et d'amplitude des mouvements. De plus, il n'y avait aucune relation entre les indicateurs physiques ci-nommés et le niveau de douleur. Les facteurs expliquant les différences de fonctionnalité, au niveau de la douleur, et de la réponse au traitement sont fort probablement de nature psychosociale. La littérature suggère que le stress pourrait ici jouer un rôle clé. Le stress est mentionné comme faisant partie de l'explication de la symptomatologie de la FBM, soit comme facteur étiologique du trouble ou comme facteur de maintien. Comme décrit ci-haut, les patients ID sont caractérisés par des conflits interpersonnels et par la perception qu'ils ne bénéficient que de peu de support social. Il est donc possible qu'une des sources importantes de stress pour les patients FBM ID soit reliée à leur perception d'avoir un support social inadéquat. La théorie du support social fournit un cadre indispensable pour expliquer cette non-réponse au traitement et pour tenter d'identifier différentes cibles thérapeutiques et d'autres stratégies qui répondraient mieux aux besoins de ces patients. Une étude publiée en 2003 révèle que la moyenne des coûts annuels engendrés pour une personne souffrant de fibromyalgie était de près de 6000$USD. Les coûts humains sont également élevés: les patients souffrant FBM rapportent une QV moins bonne que les patients souffrant de maladie pulmonaire obstructive chronique, de diabète sévère et de lupus. Une meilleure compréhension des facteurs influençant la réponse au traitement chez les patients ID FBM peut permettre aux thérapeutes de cibler des buts thérapeutiques plus pertinents, et ainsi améliorer ce problème très coûteux pour l'individu qui en souffre, pour son entourage et pour la société. Article 2 : Le but de ce projet est d'évaluer les facteurs intrapersonnels qui pourraient être pertinents aux patients FBM ID; c'est-à-dire, les facteurs qui sont reconnus pour être associés à la santé et aux interactions interpersonnelles. L'objectif de cette recherche est d'identifier les facteurs qui pourraient être associés à la faible réponse au traitement du sous-groupe ID, tel que mentionnée ci-haut. Les variables choisies pour étude sont: la confiance interpersonnelle, la colère et son style d'expression, l'estime de soi, et les stratégies de « coping » (les stratégies d'adaptation à la douleur). Chacun des trois sous-groupes IMD a été évalué par rapport à ces facteurs. Il était prévu que le groupe ID démontrerait un profil distinctif par rapport aux traits étudiés. Avec un devis transversal, 118 patients ayant un diagnostic de FBM ont été évalués par rapport à ces caractéristiques via une entrevue et des questionnaires. Il était prévu que le groupe ID se distinguerait par les caractéristiques suivantes: la perception globale d'un faible niveau de support social, l'impression d'avoir peu de support disponible dans le contexte de leur relation principale, le sentiment d'un niveau élevé de conflit dans le contexte de leur relation principale, le peu de confiance interpersonnelle, un niveau élevé de colère (trait), un style d'expression de colère, anger-out chez les femmes, et anger-in chez les hommes, une estime de soi diminuée, un style de coping « passif ». Ce profil a été confirmé pour toutes les variables sauf celles de la colère et du coping. Les résultats confirment les caractéristiques types du sous-groupe ID, les décrivant plus en détail. Le patron inattendu de contrastes qui a été obtenu pour le coping suggère que les recherches et traitements futurs devraient cibler des variables qui sont plus étroitement liées aux facteurs interpersonnels afin de mieux identifier le(s) mécanisme(s) qui alimente(nt) le cycle de douleur et de dysfonction chez ces patients et d'améliorer l'efficacité du traitement. Article 3 : La qualité de vie (QV) de ces patients est lourdement compromise. Les personnes souffrant de la FBM rapportent une QV moins bonne que les patients souffrant de maladie pulmonaire obstructive chronique, de diabète sévère et de lupus. La QV fournit un indicateur important de l'état global du patient. Elle reflète avec précision le niveau de fonctionnalité physique, sociale et émotionnelle de la personne. Ceci étant dit, elle est indispensable comme mesure de pré-et de post-traitement, fournissant un indice de sévérité de l'impact du syndrome sur chaque patient, des domaines de difficulté pour le patient, et du succès (ou non) du traitement. Il est important de savoir comment la QV est reflétée à travers les trois sous-groupes ci-haut mentionnés. Jusqu'à maintenant, aucune étude n'a porté attention à la question de QV selon les sous-groupes IMD. Cette étude a pour objectif d'évaluer la qualité de vie selon les sous-groupes psychosociaux de l'IMD, en utilisant l'Inventaire Systémique de Qualité de Vie (lSQV). Cette étude a été faite en portant une attention particulière au sous-groupe ID. Il était prévu que le groupe ID, en comparaison aux deux autres groupes, se distinguerait par un moins bon profil de QV dans les domaines de vie de couple et de vie sociale en comparaison aux deux autres groupes. Il était également prévu que la QV globale du sous-groupe ID serait basse, similaire à celle du sous-groupe DYS qui est le sous-groupe le plus dysfonctionnel des trois. Une deuxième série de comparaisons a été effectuée a posteriori, comparant les résultats du sous-groupe AC à ceux du sous-groupe DYS puisqu'il semblait probable que ceci montrerait les différences significatives les plus constantes. Il était prévu que la QV des participants AC serait supérieure à celle des participants DYS dans tous les domaines et au niveau global. Avec un devis transversal, 104 patients obtenant le diagnostic de FBM ont été évalués par rapport à la QV, mesurée par le biais de l'ISQV. L'appartenance au sous-groupe IMD de chaque patient a été déterminée à partir de leurs réponses à cet instrument de mesure. Les résultats des participants ID ont été comparés à ceux des autres sous-groupes. Le profil moins bon QV du sous-groupe ID a été confirmé par rapport au groupe AC. La série de contrastes a posteriori démontre que le sous-groupe AC rapporte une QV supérieure à celle du sous-groupe DYS au niveau global et dans tous les domaines, sauf celui des tâches ménagères, où aucune différence n'a été constatée. Nous concluons que l'ISQV reflète avec justesse les préoccupations des trois sous-groupes de patients atteints de FBM. Cette mesure mérite d'être utilisée de manière standard comme une annexe au traitement, pouvant fournir une mesure de pré et post-traitement, de l'impact du syndrome sur le patient, et les points de difficulté particuliers selon les domaines de vie. Une telle mesure aiderait le clinicien à identifier les sphères où le patient a besoin de changement, ce qui faciliterait sa tâche pour établir des buts thérapeutiques pour chaque patient. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Fibromyalgie, Inventaire multidimensionnel de la douleur (IMD), Qualité de vie, Soutien social, Détresse interpersonnelle.
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Deux interventions pour le trouble panique auprès d'individus consultant un département d'urgence en raison d'une douleur thoracique non cardiaque : efficacité et facteurs prévisionnels de l'efficacité thérapeutique

Pelland, Marie-Ève 05 1900 (has links) (PDF)
La douleur thoracique est un symptôme fréquemment rencontré dans les départements d'urgence (DU). Malgré qu'il puisse être indicateur de conditions médicales potentiellement fatales, la majorité des individus se présentant dans un DU en raison de ce symptôme souffrent en fait de douleurs thoraciques non cardiaques. De telles douleurs sont fréquemment associées à la présence d'anxiété, plus particulièrement du trouble panique (TP). Cette condition est traitable et les données probantes indiquent que la thérapie cognitive comportementale (TCC) et les antidépresseurs de la classe des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) sont les interventions de premier choix. Toutefois, ces types d'interventions sont rarement initiés dans les contextes médicaux de première ligne, tels que les DU. Lorsque le TP demeure intraité, il engendre des répercussions importantes au niveau de la détresse, de l'incapacité et des coûts. II semble donc souhaitable et nécessaire de rendre ces types d'intervention accessibles dans les DU afin de prévenir la chronicité de ce trouble et réduire les multiples consultations médicales de cette population. Une solution envisageable est l'intégration d'interventions psychologiques et pharmacologiques dans les DU, en offrant une collaboration étroite entre les psychologues et les médecins urgentistes. La présente étude vise à évaluer l'efficacité d'une TCC et d'une intervention pharmacologique de type ISRS pour le TP administrées directement dans des DU auprès d'individus y consultant en raison d'une douleur thoracique. Quarante-sept individus participent au projet et reçoivent soit une TCC brève, soit un antidépresseur ISRS (paroxétine) ou soit une intervention de type soins usuels. Le chapitre I du présent manuscrit énonce le contexte général de cette thèse en situant notamment l'état des connaissances à ce jour sur le TP chez les individus présentant des douleurs thoraciques. Le chapitre II, pour sa part, expose les principaux résultats d'efficacité de la TCC et de la pharmacothérapie en comparaison avec les soins usuels. Dans l'ensemble, les données permettent de constater une amélioration significative des symptômes du TP et des symptômes dépressifs, et ce, pour les deux groupes recevant une intervention comparativement au groupe recevant les soins usuels. Ensuite, considérant la différence marquée entre les individus présentant un TP et des douleurs thoraciques concomitantes dans un contexte médical et ceux présentant un TP dans un contexte clinique, le chapitre III explore les facteurs prédictifs de l'efficacité thérapeutique. Les résultats démontrent que les caractéristiques prédisant l'effet thérapeutique auprès de cette population « médicale » diffèrent de celles prédisant l'efficacité des interventions pour la population TP « clinique ». Finalement, le chapitre IV constitue une discussion générale des résultats obtenus. Différentes considérations méthodologiques, cliniques et pratiques y sont aussi énoncées. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Douleur thoracique, Trouble panique, Thérapie Cognitive Comportementale, Intervention pharmacologique, Efficacité, Facteurs prévisionnels.
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Évaluation des rapports coûts-efficacité incrémentaux de trois modalités d'intervention pour traiter les personnes se présentant à l'urgence pour des douleurs thoraciques non-cardiaques et qui présentent un trouble panique

Poirier-Bisson, Joannie 09 1900 (has links) (PDF)
Les douleurs thoraciques sont un motif de consultation fréquent dans les services des urgences. La majorité des individus ayant ce symptôme ne présente toutefois pas de conditions médicales potentiellement dangereuses et le diagnostic qu'ils reçoivent est celui de douleur thoracique non cardiaque (DTNC). Ces DTNC peuvent être associées à un trouble anxieux, soit le trouble panique avec ou sans agoraphobie (TP/A) qui présente certains symptômes physiques analogues. Le TP/A est un trouble de santé mentale qui entraîne des répercussions marquées quant au fonctionnement des individus et à leur qualité de vie. En raison de la nature physique de leurs réactions anxieuses, ces individus consultent fréquemment les services de santé généraux afin d'obtenir une explication, une cause et un traitement de leurs malaises. Ces nombreuses consultations représentent un fardeau économique important pour le système de santé québécois. Il existe différentes formes de traitements pour le TP/A qui sont soutenus empiriquement, tels que les psychothérapies de type cognitive et comportementale (TCC) sous diverses modalités ainsi que la pharmacothérapie, principalement les antidépresseurs de la classe des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS). Les ressources limitées dans le système de santé amènent un besoin de trouver les modalités les plus efficientes en termes de coûts et d'efficacité. Il importe donc de les évaluer en considérant leur efficacité et les coûts associés à chacune d'elles et de les comparer aux soins usuels actuellement offerts dans les services des urgences pour ces patients. La présente étude examine l'efficacité et les coûts rattachés à trois modalités de traitement pour le TP/A associé aux DTNC. Ces traitements sont offerts directement dans le service des urgences, soit une TCC de sept séances, une TCC d'une séance circonscrite à la gestion de la panique ainsi qu'une pharmacothérapie. Chacune de ces modalités se trouve comparée aux soins usuels en place afin de déterminer laquelle est la plus efficiente, et ce, auprès de 69 patients. L'étude vise également à observer l'évolution de l'utilisation des services de santé généraux et spécialisés des patients à la suite des traitements. Le chapitre I de la thèse présente le contexte théorique général et l'état des connaissances actuelles sur les DTNC, le TP/A ainsi que les études de coûts-efficacité faites auprès des individus ayant un TP/A. Le chapitre II propose une recension des écrits systématique des études portant sur les rapports coûts-efficacité de diverses modalités de traitement des troubles anxieux. Les résultats montrent que très peu d'études ont été réalisées, à ce jour, sur le sujet, mais que généralement, la TCC et la pharmacothérapie offrent de meilleurs rapports coûts-efficacité que les soins usuels. Le chapitre III pour sa part rapporte les résultats des analyses de coûts-efficacité incrémentales effectuées sur les trois modalités d'intervention en les comparants aux soins usuels. De plus, il présente à titre exploratoire l'évolution de l'utilisation des services de santé par les participants. Dans l'ensemble, les résultats permettent de constater que les trois modalités de traitement obtiennent de meilleurs rapports coûts-efficacité que les soins usuels, mais qu'ils ne diffèrent pas entre eux. Le traitement psychologique d'une séance pourrait tout de même présenter un avantage supplémentaire de par son coût moindre. Pour ce qui est des coûts associés à l'utilisation des services de santé, il semble que les participants ayant reçu une des trois modalités d'intervention spécifiques pour le TP/A diminuent sensiblement leurs consultations suite à celui-ci. D'autres études sont nécessaires afin de mieux évaluer la possibilité d'implanter de tels traitements dans des départements d'urgence et également mieux comprendre l'utilisation des services de santé par ces individus. Finalement, le chapitre IV présente une discussion générale sur les résultats de l'étude et sur ses implications possibles. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Trouble panique avec ou sans agoraphobie, douleur thoracique non cardiaque, services des urgences, thérapie cognitive et comportementale, pharmacothérapie, rapports coûts-efficacité incrémentaux, utilisation de services de santé.
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L'effet des aides à l'érection sur le succès éjaculatoire des hommes blessés médullaires

Parvaresh, Pirayeh 01 1900 (has links) (PDF)
La présente étude vise à explorer l'effet combiné des traitements érectiles et des traitements éjaculatoires pour favoriser le succès éjaculatoire chez les hommes blessés médullaires par rapport à l'application seule des traitements éjaculatoires. Cet effet sera également exploré en fonction des caractéristiques des lésions comme les niveaux de lésion, l'étendue des lésions et le type de lésions. Comme dernier objectif, l'étude vérifie si les résultats obtenus par l'association des traitements érectiles et éjaculatoires se différencient en fonction a) des niveaux de lésion (lésions tétraplégiques C1-T2, lésions paraplégiques HRA hauts T3-T6, lésions paraplégiques intermédiaires T7-T10 et lésions paraplégiques bas T11-en dessous, b) de l'étendue des lésions (les lésions complètes et les lésions incomplètes), c) du type de lésions (lésions tétraplégiques C1-T2 et lésions paraplégiques T3-en dessous). Cette étude est fondée sur une analyse secondaire de dossiers cliniques de 179 hommes blessés médullaires, âgés de 18 à 65 ans, ayant des lésions de type tétraplégique (C1-T2) ou paraplégique (T3-en dessous), et pouvant être complètes ou incomplètes, traités à l'hôpital Henry Gabrielle de Lyon (France). Les trois méthodes de traitement éjaculatoire mises à l'essai dans l'ordre de l'application sont la stimulation naturelle, le vibromassage, et le vibromassage couplé au midodrine, une substance pharmacologique stimulant le système sympathique. En cas d'anéjaculation, un traitement pharmacologique du trouble érectile (IPDE5/IIC) est ajouté aux traitements éjaculatoires. Les résultats indiquent que la combinaison des traitements érectiles et des traitements éjaculatoires peut amener une amélioration de l'éjaculation chez les hommes blessés médullaires par rapport à l'application seule de traitements éjaculatoires. Ceci est aussi vrai en ce qui concerne l'effet combiné des traitements érectiles et éjaculatoires en fonction des niveaux de lésion (tétraplégie C1-T2, paraplégie HRA haut T3-T6, paraplégie intermédiaire T7-T10, paraplégie bas T11-en dessous), de l'étendue des lésions (complète et incomplète), et du type de lésions (tétraplégie C1-T2 et paraplégie T3-en dessus) par rapport à l'application seule des traitements éjaculatoires. En revanche, les taux de succès éjaculatoires obtenus par la combinaison des traitements érectiles et éjaculatoires ne varient pas en fonction a) des niveaux de lésion (tétraplégie C1-T2 versus paraplégie HRA haut T3-T6 versus paraplégie intermédiaire T7-T10 versus paraplégie bas T11-en dessous); b) de l'étendue des lésions (complètes versus incomplètes); c) du type de lésions (lésion tétraplégie C1-T2 versus lésion paraplégie T3-en dessous). ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : blessés médullaires, dysfonction sexuelle, traitements pharmacologiques des troubles érectiles, traitements éjaculatoires.
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L'abandon du traitement antirétroviral chez des femmes vivant avec le VIH/sida en Guinée

Baldé, Fatoumata Lamarana 01 1900 (has links) (PDF)
Depuis plusieurs décennies, le VIH/sida est reconnu comme une pandémie mondiale. Elle touche, on le sait, particulièrement l'Afrique et la Guinée, terrain de cette étude. Le traitement le plus efficace, du point de vue médical, est le traitement antirétroviral (ARV). Ces traitements sont de plus en plus disponibles en Guinée et ils sont gratuits depuis novembre 2007. La prise en charge globale et adéquate des personnes vivant avec le VIH est l'un des objectifs principaux du Cadre stratégique national de lutte contre le sida. L'accès aux soins et, principalement, aux antirétroviraux constituent l'un des dispositifs essentiels de cette prise en charge en Guinée. Néanmoins, en 2008 un phénomène de plus en plus important est observé : l'abandon du traitement antirétroviral pendant des durées variables, de quelques mois à plusieurs. Selon certaines données recueillies, ce phénomène atteindrait des taux approchant les 87 % dans une des villes guinéennes. Qu'est ce qui mène des personnes vivant avec le VIH/sida, auxquelles on a prescrit un traitement antirétroviral, à abandonner le traitement largement connu comme étant le plus efficace? C'est la préoccupation qui est au fondement de notre travail de recherche. Elle vise à comprendre les motifs de cet abandon et à analyser les justifications données. À partir d'entretiens semi-directifs réalisés auprès de femmes guinéennes vivant avec le VIH, en situation d'abandon du traitement des ARV, habitant la ville de Conakry et la préfecture de Kissidougou en Guinée, nous avons interrogé ces pratiques comme formes d'agir reposant sur différentes logiques et non comme simple acte passif. L'approche adoptée dans cette recherche permet d'aller au-delà de la seule question de non-respect de prescriptions ou de recommandations médicales, pour prendre en compte la manière dont est effectué le suivi médical, ainsi que la conciliation entre les contraintes du traitement et les contextes particuliers de vie des personnes vivant avec le VIH. Le traitement antirétroviral nécessite une réflexion à partir des personnes elles-mêmes et sur les conditions objectives de leurs actions ainsi que celles liées au système de santé et autres acteurs impliqués dans la prise en charge des personnes vivant avec le VIH. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : VIH/sida, PVVIH, ARV (antirétroviraux), abandon, stigmatisation, discrimination, prise en charge, statut sérologique, agir, vulnérabilisation, Guinée
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Real-time human action and gesture recognition using skeleton joints information towards medical applications

Kibbanahalli Shivalingappa, Marulasidda Swamy 09 1900 (has links)
Des efforts importants ont été faits pour améliorer la précision de la détection des actions humaines à l’aide des articulations du squelette. Déterminer les actions dans un environnement bruyant reste une tâche difficile, car les coordonnées cartésiennes des articulations du squelette fournies par la caméra de détection à profondeur dépendent de la position de la caméra et de la position du squelette. Dans certaines applications d’interaction homme-machine, la position du squelette et la position de la caméra ne cessent de changer. La méthode proposée recommande d’utiliser des valeurs de position relatives plutôt que des valeurs de coordonnées cartésiennes réelles. Les récents progrès des réseaux de neurones à convolution (RNC) nous aident à obtenir une plus grande précision de prédiction en utilisant des entrées sous forme d’images. Pour représenter les articulations du squelette sous forme d’image, nous devons représenter les informations du squelette sous forme de matrice avec une hauteur et une largeur égale. Le nombre d’articulations du squelette fournit par certaines caméras de détection à profondeur est limité, et nous devons dépendre des valeurs de position relatives pour avoir une représentation matricielle des articulations du squelette. Avec la nouvelle représentation des articulations du squelette et le jeu de données MSR, nous pouvons obtenir des performances semblables à celles de l’état de l’art. Nous avons utilisé le décalage d’image au lieu de l’interpolation entre les images, ce qui nous aide également à obtenir des performances similaires à celle de l’état de l’art. / There have been significant efforts in the direction of improving accuracy in detecting human action using skeleton joints. Recognizing human activities in a noisy environment is still challenging since the cartesian coordinate of the skeleton joints provided by depth camera depends on camera position and skeleton position. In a few of the human-computer interaction applications, skeleton position, and camera position keep changing. The proposed method recommends using relative positional values instead of actual cartesian coordinate values. Recent advancements in CNN help us to achieve higher prediction accuracy using input in image format. To represent skeleton joints in image format, we need to represent skeleton information in matrix form with equal height and width. With some depth cameras, the number of skeleton joints provided is limited, and we need to depend on relative positional values to have a matrix representation of skeleton joints. We can show the state-of-the-art prediction accuracy on MSR data with the help of the new representation of skeleton joints. We have used frames shifting instead of interpolation between frames, which helps us achieve state-of-the-art performance.

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