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Rapports de qualification en milieux ouvriers : du primat des qualifications attribuées au contrôle des rapports salariaux dans les usines gabonaises du bois / Relations of qualification in workers' environment : from the preponderance of attributed qualifications too the labor relations' control in the Gabonese wood factories

Ndombi Boundzanga, Bertrand Dimitri 21 September 2011 (has links)
Cette thèse se propose d'analyser les rapports de qualification en milieux ouvriers, notamment au sein des usines gabonaises de transformation du bois. Elle tente de saisir la dynamique des qualifications au regard des processus qui conduisent à leur production et des dispositifs qui sous-tendent leur reconnaissance. Elle interroge les discours et les pratiques autour des régimes de production et de reconnaissance des qualités productives en articulation avec les trajectoires professionnelles. En privilégiant une approche sociétale tenant compte de l'histoire structurelle de l'industrie nationale du bois, l'analyse des processus de production des qualifications ouvrières interroge la place du système scolaire et/ou universitaire, des entreprises et des organisations professionnelles. Les tentatives de professionnalisation des activités industrielles du bois au Gabon depuis les années 50 n'ont pas abouti à la formation de catégories professionnelles qualifiées au sens académique du terme par le diplôme ou tout autre titre. La permanence de ces décalages entre les formations scolaires existantes et les emplois en présence est associée à une longue pratique de production, de reproduction ou de transfert des savoir-faire techniques par l'expérience du travail. Les ouvriers développent ainsi des savoir-faire et des compétences plus ou moins professionnels au gré des trajectoires allant des parcours scolaires généraux ou techniques-professionnels aux expériences d'emplois variées. Les qualités productives construites par la force du travail apparaissent donc comme un caractère dominant des rapports de qualification dans ce secteur industriel. Se pose de fait le problème de leur codification et de leur reconnaissance socioprofessionnelle. De quels dispositifs, de quels espaces et de quelles marges disposent les acteurs alors que les accords, les conventions de travail, bien que « négociés », se révèlent inopérants ? L'intérêt de cette thèse réside moins dans la proposition d'une définition singulière de la notion de qualification que dans la compréhension de ce qui se joue au sein des rapports de qualification dans ces milieux ouvriers. L'étude cherche ainsi à saisir les rapports de qualification sous le prisme des formes et des enjeux de la production, de la reconnaissance, du déni ou du contrôle des rapports salariaux au regard de la structure des trajectoires professionnelles. Elle s'appuie sur la sociologie du travail et emprunte aussi bien à l'histoire, à l'anthropologie, à l'économie qu'au droit du travail. / This thesis offers an analysis of the relations of the qualification in workers' environment, more particularly in the Gabonese wood transformation factories. This work attempts to understand the dynamics of the qualifications through the processes leading to their production and the system that underpins their recognition. It will examine the discourses and practices concerning the regimes of production and recognition of productive qualities in articulation with occupational trajectories. This issue will be focused on a societal approach in consideration with the structural history of the national timber industry. The analysis of the production process of workers' qualification will question the role of the educational system (respectively school and university), the firms and occupational organisations. Since the 1950's, the professionalization of the activities in the wood industry in Gabon has failed to create qualified occupational categories in the academic sense of the word, either through the diploma or any other certification. The continuous gap between existing educational trainings and the jobs offered is associated with a long experience of production, reproduction or transfer of technical know-how acquired by the on-the-job experience. The workers thus develop more or less occupational know-how and competences according to the trajectories, going from general or technical/vocational educational paths to various job experiences. The productive qualities built by the force of the work thus appear as a prevailing reference of the qualification relations in the history of the Gabonese timber industry. As a consequence we may wonder about their codification and their socio-occupational recognition. Which system, which spaces and which margins do the actors of the sector have whereas collective labour agreements, albeit "bargained", turn out to be ineffective? The interest of this study is less centred on a single definition of the notion of qualification than on the understanding of what is going on in the qualification system inside the workers' environment. With this objective in mind, this study will try to shed light on the qualification system under the prism of the forms and stakes of the production, recognition, rejection or control of the wage-earner relationships in the factories with regard to the structure of the occupational trajectories. This work is based on the labour sociology but also history, anthropology, economy and labour law.
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Le parcours des travailleuses qualifiées d'origine colombienne à Montréal : une analyse rétrospective des trajectoires d'études et professionnelles

Leon, Alexandra 12 1900 (has links)
Chaque année, un grand nombre d’immigrants arrivent dans la grande région de Montréal. Parmi eux, nous trouvons des travailleurs qualifiés qui retournent souvent aux études supérieures pour s'insérer sur le marché du travail québécois. Cette catégorie d'immigration a des trajectoires d'études et professionnelles qui diffèrent de celles des Québécois. De nombreuses recherches ont été réalisées sur l'immigration, mais les études sur le parcours migratoire qui considèrent le contexte du pays d'origine et le contexte du pays d'arrivée comme un continuum sont plus rares. Cette étude exploratoire a pour objectif de saisir les cheminements d'études et professionnels de travailleuses qualifiées en contexte migratoire entre la Colombie et le Québec. Il s'agira d’identifier les moments clés qui ont jalonné et facilité ces cheminements. Nous avons mobilisé le paradigme du parcours de vie pour comprendre les trajectoires d'études et professionnelles des femmes colombiennes. Nous avons utilisé ce paradigme pour interpréter les données résultant de quatorze entretiens menés avec des immigrantes colombiennes qualifiées à Montréal. Nous avons ensuite analysé les résultats selon leur contenu thématique, pour conclure qu’il y avait chez les femmes interrogées, plusieurs éléments clés qui ont facilité leurs trajectoires d'études et professionnelles de la Colombie jusqu'au Québec. L’analyse du discours met en évidence le fait que le réseau familial en Colombie ont une portée sur ces trajectoires tout aussi significative que le rôle de l'État au Québec en l’absence du réseau social perdu lors de la migration. Le support du conjoint reste constant dans les deux contextes. Le caractère exploratoire de notre étude ne permet pas de généraliser ces résultats, mais il reste que ce mémoire invite à élargir le regard sur cet objet trop peu étudié en sociologie que sont les trajectoires d'études et professionnelles de travailleuses qualifiées issues de l'immigration, trajectoires appréhendées comme un continuum entre les deux sociétés. / Each year, a large number of immigrants arrive in the greater Montreal area. Among them, we find skilled workers who often return to higher education to enter the Quebec job market. This category of immigration have academic and professional experiences that differ from those of Quebec. Many studies have been carried out on immigration, but studies on the migratory journey that consider the context of the country of origin and the context of the country of arrival as a continuum are rarer. This exploratory study aims to understand the evolution of academic and professional experiences throughout the migratory trajectory in two contrasting contexts, Colombia on the one hand and Quebec on the other, and to identify the key moments that facilitated these experiences. We used the life course paradigm to better understand the academic and professional experiences of Colombian women. We used this paradigm to interpret the data from fourteen interviews conducted with Colombian immigrant women in Montreal in the category of skilled workers. We then analyzed the results according to their thematic content, to conclude that there were several key elements among the interviewed women that facilitated their academic and professional experiences from Colombia to Quebec. Discourse analysis highlights the fact that the social network in Colombia has a bearing on these trajectories that are just as significant as the role of the state in Quebec in the absence of the social network lost during migration. Spousal support remains constant in both contexts. The exploratory nature of our study does not allow us to generalize these results, but the fact remains that this thesis invites us to broaden our view of this subject that is too little studied in sociology, namely the study of the academic and professional experiences of Colombian women in the category of skilled workers throughout their migratory trajectory as a continuum between two societies.
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Les intermédiaires en développement en Afrique subsaharienne : analyse comparative de Cotonou et de Lomé

Lawani, Ayemi A. 04 1900 (has links)
La présente thèse porte sur les acteurs au sein des organisations non gouvernementales locales (ONG) qui, dans la configuration actuelle de l’aide internationale au développement, jouent un rôle de relais ou d’intermédiaires entre donateurs internationaux et populations bénéficiaires en Afrique subsaharienne. En analysant les trajectoires professionnelles de 32 femmes et hommes « leaders » dans des ONG de Cotonou (Bénin) et de Lomé (Togo), la thèse se propose d’appréhender les processus sociaux à travers lesquels ces individus deviennent intermédiaires dans les activités de développement. La recherche s’inscrit dans une approche théorique construite à la rencontre entre la perspective orientée vers l’acteur en socioanthropologie du développement, la sociologie de l’individuation et le paradigme des parcours de vie. La thèse prend également une posture comparative en contrastant, d’une part, les trajectoires professionnelles des intermédiaires du Bénin et du Togo, deux pays ayant connu entre les années 1990 et début 2000 des « destinées » opposées en ce qui a trait à leurs rapports avec les bailleurs de fonds étrangers. D’autre part, l’analyse compare deux générations d’intermédiaires et contraste l’expérience des intermédiaires féminins et masculins. L’analyse montre qu’en premier lieu, les conférences nationales en 1990 au Bénin et en 1991 au Togo ont constitué un tournant important dans les trajectoires professionnelles des intermédiaires dans les deux pays, créant subséquemment, d’un côté, un contexte favorable aux intermédiaires du Bénin, et de l’autre, un environnement délétère pour ceux du Togo. Toutefois, au cours des dix dernières années, ces différences de conditions de travail se sont beaucoup atténuées et les défis relevés par les intermédiaires dans les deux pays sont à nouveau similaires; les contextes actuels sont caractérisés par un soutien étatique au minima, un champ d’activités très concurrentiel et politisé, une professionnalisation du champ, et une forte dépendance vis-à-vis des bailleurs de fonds extérieurs. En second lieu, l’analyse des récits de vie a permis de ressortir quatre types de profils des intermédiaires au moment où ils intègrent le champ des ONG : les « reconvertis », les « nouveaux diplômés des années 1990 », les « carriéristes », et les « activistes ». La comparaison générationnelle suggère en outre que les deux premiers types décrivent mieux les intermédiaires ayant commencé leurs activités avant les années 2000, alors que les « carriéristes » sont pour l’essentiel des intermédiaires de la jeune génération qui intègre le domaine de l’intermédiation après 2000. Aussi, la recherche montre que pour entrer, mais surtout « durer », dans le champ des ONG ces individus utilisent divers réseaux politiques et associatifs et savent « manœuvrer », notamment en choisissant une « thématique porteuse », en veillant à maintenir une constante « visibilité » ou en ayant recours à des formations continues pour acquérir ou consolider des compétences recherchées par les bailleurs de fonds. Par ailleurs, l’analyse des trajectoires professionnelles féminines a révélé qu’alors que le poids des responsabilités familiales a fait que les « pionnières » de l’intermédiation sont entrées de façon tardive dans une profession dominée par les hommes, et se sont toutes focalisées sur des thématiques liées directement aux droits des femmes, les parcours de leurs cadettes sont bien différents. Ces dernières ne travaillent pas dans le traditionnel domaine du « genre », et même si elles reconnaissent aussi leurs difficultés à concilier responsabilités professionnelles et devoir familial, elles ne sont pas prêtes à mettre de côté leur carrière et ont une perception très différente de leurs aînées des rôles genrés au sein de la famille. / This dissertation focuses on individuals in local non-governmental organizations (NGOs) who, in the current configuration of international development, act as relays or intermediaries between international donors and recipient populations in sub-Saharan Africa. By analyzing the careers of 32 female and male "leaders" in NGOs in Cotonou (Benin) and Lomé (Togo), the dissertation aims to understand the social processes through which these individuals become intermediaries in the development arena. The research mobilizes a theoretical approach that combines the actor-oriented perspective in socio-anthropology of development, the sociology of individuation and the life course paradigm. This thesis also takes a comparative approach, first, by contrasting the careers of development intermediaries from Benin with those from Togo, two countries that experienced in the 1990s and early 2000s opposite fates in terms of their relations with international donors. Also, the analysis compares two generations of intermediaries and contrast the experiences of male and female intermediaries. The analysis shows that, first, the Benin National conference of 1990 and the one in Togo in 1991 were turning points in the careers of intermediaries in both countries, by creating a supportive working environment for intermediaries in Benin, and, on the opposite, a deleterious context for those in Togo. However, over the past decade, these differences in working conditions have dwindled, and the challenges faced by intermediaries in both countries are once again similar; the current contexts are characterized by a limited state support, a very competitive and politicized working environment, a professionalization of the field, and a strong dependence toward external donors. Second, four types of intermediaries’ profiles at the time they enter the NGO sector emerged from the life history analysis: the "converted", the "new graduates of the 1990s," the "careerists" and the "activists". Generational comparison shows that the first two types best describe the intermediaries that started their activities before 2000, while "careerists" are mostly intermediaries from the younger post-2000 generation. The research also shows that in order to enter, and more importantly to "last", in the NGO sector these individuals use various political and associative networks and develop various strategies such as choosing a “fashionable” field of interest, remaining “visible”, and constantly seeking trainings in order to acquire “marketable” expertise. In addition, the analysis of women's professional trajectories revealed that while “pioneers” female intermediaries entered the male dominated NGO sector late in their life due to their familial obligations and all worked in the area of women's rights, the experience of their younger counterparts are quite different. The latter work outside the traditional “gender” arena; and, although they also have difficulties reconciling work and family duties, they are not ready to give up their career, and they have very different perceptions of gender roles within the family than their older counterparts.

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