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Wagners Tristan im Blickfeld der neuen Tonalität: Eine Betrachtung der V. Szene im Ersten Aufzug mit einer Anmerkung zur Semantik und Konnotation des Tristanakkordes

Pütz, Elisabeth 22 October 2023 (has links)
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AN ENGLISH TRANSLATION OF ULRICH VON TÜRHEIM'S CONTINUATION OF GOTTFRIED VON STRASSBURG'S TRISTAN

McMackin, Daniel Edwin 23 June 2011 (has links)
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Chausson dans l'ombre de Wagner? : de la genèse à la réception du Roi Arthus

Benoit-Otis, Marie-Hélène 02 1900 (has links)
Thèse réalisée en cotutelle avec la Freie Universität Berlin. La version intégrale de cette thèse est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de musique de l’Université de Montréal (www.bib.umontreal.ca/MU). / Ce travail aborde l’aspect spécifiquement compositionnel du phénomène wagnérien en France dans les dernières décennies du XIXe siècle, par le biais d’une étude de cas centrée sur l’opéra Le Roi Arthus d’Ernest Chausson (1855-1899). Exceptionnellement bien documenté grâce à de nombreuses sources dont une bonne part sont inédites (brouillons et esquisses du livret et de la partition, correspondance, etc.), cet opéra composé de 1886 à 1895 et créé en 1903 au Théâtre de la Monnaie de Bruxelles offre en effet un aperçu privilégié de la relation complexe qu’entretiennent les compositeurs français de cette époque avec l’imposante figure de Wagner. La question de l’influence wagnérienne dans Le Roi Arthus est abordée ici dans le cadre d’une démarche appliquant, dans une perspective historique, la méthode sémiologique développée par Jean Molino et Jean-Jacques Nattiez. L’analyse de la genèse, de la version finale et de la réception de l’oeuvre au moment de sa création permet d’obtenir une vue d’ensemble inédite des rapports s’établissant entre l’opéra de Chausson et les drames lyriques de Wagner, en particulier Tristan und Isolde. Il en ressort que des premières esquisses à la création de l’opéra, Le Roi Arthus a évolué dans une dialectique complexe avec un modèle à la fois craint et admiré. Ardent wagnérien dès son plus jeune âge, Chausson ne souhaite pas pour autant devenir un épigone de Wagner. Sur les conseils d’Henri Duparc, il déploie donc de grands efforts pour « déwagnériser » le livret du Roi Arthus, qu’il rédige lui-même à partir d’un sujet mythique rappelant fortement Wagner. La version finale du livret, si elle présente encore quelques points de contact avec Tristan und Isolde et Der Ring des Nibelungen, incarne cependant une vision du monde très éloignée de celle de Wagner, et dans laquelle des valeurs comme l’honneur et la fidélité l’emportent sur un amour interdit apparaissant condamné d’avance. Cette dramaturgie aux antipodes de celle de Tristan s’appuie, paradoxalement, sur des références musicales wagnériennes que Chausson intègre et précise graduellement au fil de la genèse de la partition, et dont la mise en oeuvre souligne habilement tout ce qui sépare Lancelot et Genièvre, amants dépareillés, du couple indissociable formé par Tristan et Isolde. Dans cet opéra conçu, mais jusqu’à un certain point seulement, dans l’ombre de Wagner, ce sont les ressemblances musicales et surtout dramatiques avec Tristan und Isolde qui ont le plus frappé les critiques des premières représentations, donnant lieu à une réception où la question de l’influence wagnérienne occupe une place prépondérante. Mais si tous les recenseurs abordent cette question, ils le font sous des angles variant en fonction de facteurs extérieurs à l’oeuvre, comme leur formation antérieure, leur propre position face à Wagner et les liens qu’ils ont entretenus avec Chausson alors qu’il était encore vivant. Au-delà des connaissances qu’elle permet d’acquérir sur l’oeuvre, et plus particulièrement sur sa genèse, l’étude du Roi Arthus dans une triple perspective poïétique, immanente et esthésique s’ouvre donc sur un portrait du rôle central joué par le « Maître de Bayreuth » dans l’imaginaire musical de la fin du XIXe siècle, tout en jetant les bases d’une synthèse encore à faire des stratégies créatrices employées par les compositeurs d’opéra français face au modèle de Wagner. / This thesis examines the compositional aspect of Wagnerism in France during the final decades of the 19th century, through a case study of Ernest Chausson’s (1855-1899) opera Le Roi Arthus. Exceptionally well documented thanks to a large number of sources, most of which are unpublished (drafts and sketches of the libretto and score, correspondence, etc.), this opera, composed between 1886 and 1895 and premiered at the Théâtre de la Monnaie in Brussels in 1903, in fact allows a remarkable glimpse into the relationship between French composers of the period and the imposing figure of Wagner. The question of Wagnerian influence in Le Roi Arthus is here approached through a methodology that applies the semiotic model developed by Jean-Jacques Nattiez and Jean Molino in a historical perspective. An analysis of the genesis of the opera, its final version and the reception of its premiere provides a fresh overall view of the connection between Chausson’s opera and Wagner’s music dramas, particularly Tristan und Isolde. What emerges is a complex dialectic between Le Roi Arthus—from the first sketches to the opera’s premiere—and a model that provoked both disquiet and admiration. Though an ardent Wagnerian from an early age, Chausson did not want to merely become an epigone of the German composer. Following advice from Henri Duparc, Chausson therefore expended considerable effort in “dewagnerizing” the libretto of Le Roi Arthus, which he wrote himself, based on a mythical subject strongly reminiscent of Wagner. The final version of the libretto, while it maintains some links with Tristan und Isolde and Der Ring des Nibelungen, otherwise projects a worldview quite unlike Wagner’s, in which values such as honor and fidelity outweigh a forbidden love that seems doomed from the start. Paradoxically, this un-Tristanesque dramatic setup rests in part on Wagnerian musical references that Chausson integrated and honed gradually as he composed the score, and whose treatment cleverly underscores what separates Lancelot and Genièvre, poorly matched lovers, from the integrated couple formed by Tristan and Isolde. In this opera conceived, but only up to a point, in Wagner’s shadow, the musical and especially dramatic resemblances with Tristan und Isolde are what have most struck the critics of the first performances, which has given rise to a reception where the question of Wagnerian influence dominates. However, even though all critics touched on this question, they did so from points of view that vary according to factors extrinsic to the work, such as their own prior training, their personal positions on Wagner and the relationships they had had with Chausson during his lifetime. Beyond the knowledge it allows us to gain on the work itself, and more particularly on its early development, the study of Le Roi Arthus from poietic, immanent and esthesic perspectives opens onto an understanding of the central role played by the “Bayreuth Master” in late 19th-century musical imagination, while creating the basis necessary to undertake a new synthesis of the creative strategies used by composers of French opera faced with the Wagnerian model.
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Neue Funktionen für eine alte Bühnentradition - Richard Wagners Musik auf dem Theater / New Functions for an Old Stage-Tradition - Richard Wagner´s On-Stage-Musik

Fink, Gerald January 2008 (has links) (PDF)
„Musik auf dem Theater“ bildet eine lange Tradition, die Schauspiel und Oper großteils gemeinsam haben. Die Bezeichnung „Inzidenzmusik“ verweist auf die enge Bindung an die Handlung, in die sie „einfällt“. Richard Wagner, der alle seine musikdramatischen Werke mit Bühnenmusik versieht, knüpft an diese Tradition an. Dabei können drei Traditionsstränge unterschieden werden: Die inzidierende Musik, die sich dadurch auszeichnet, dass sie nach der Konvention feststehender Instrumenten-Emblematik im gesprochenen wie im gesungenen Drama eingesetzt wird, findet bei Wagner regelmäßig Anwendung. Die banda sul palco, die dagegen als Opernspezifikum zu betrachten ist, setzt er nur in seinen ersten Opern ein. Relativ selten treten gemischte, meist nicht sichtbar hinter der Bühne positionierte Instrumentengruppen auf, die mit transzendierender Musik eine jenseitige Welt repräsentieren sollen. Wagner weist der Bühnenmusik, neben ihren konventionellen Funktionen, weitere, neue Aufgaben zu. Die Musik auf dem Theater, die oft eher im Zusammenhang aufführungsbedingter Praxis denn als Teil auktorialer Originalität gesehen wird, erhält dadurch einen entscheidenen Platz in der Gesamtkonzeption und kann nicht beliebig ausgetauscht oder weggelassen werden. Ihre substantielle Rolle zeigt sich bereits im Kompositionsprozeß: Die Skizzen zur Bühnenmusik entstehen sehr früh, häufig weisen sie sogar in die Zeit der ersten Inspiration. Ihr motivisches Material hat Einfluß auf die Anlage des Werkganzen, formuliert aber auch in Form höchstverdichteter musikalischer Chiffren die wesentliche Aussagen des Gesamtwerkes. Am „fertigen“ Musikdrama zeigt sich, dass sie häufig Einsatz an den dramaturgisch wichtigen Stellen der Aktanfänge und -zäsuren findet. Als eine „ursprüngliche Sprache“ repräsentiert sie außerdem (ästhetisch gesehen) eine Sphäre, die sich von der Musik aus dem Orchestergraben deutlich unterscheidet. Obwohl Wagner die Bühnenmusik in seinen theoretischen Schriften kaum thematisiert, vertraut er ihr in allen Phasen seines Schaffens wesentliche Aufgaben an. Die herausgehobene Stellung der Musik auf dem Theater stellt eine bedeutende Konstante im Werk Richard Wagners dar. / On-Stage-Music are found in all operas of Richard Wagner. On one hand they follow old traditions, as the "banda sul palco". On the other hand Wagner gives new functions to incidental music.
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'Sie rief mich aus der Nacht' : the birth complex in Nietzsche and Wagner

Lebiez, Judith January 2018 (has links)
This thesis addresses the role of the birth complex in Friedrich Nietzsche’s philosophy and in Richard Wagner’s operas. I see the birth complex as characterised by a dialectical relation between flesh and light, which is itself polarised by the tension between desire and anxiety. A structural determinant of the human relation to the world, this complex in my argument is of special importance for understanding the roles given to and assumed by women. Wagner gave the birth complex its first comprehensive elaboration through his operas. This, I contend, is the aspect of Wagner’s work that Nietzsche in his writings particularly reacted to through the ambivalent fascination it awakened in him. I argue that, even after Nietzsche’s break from Wagner, the birth complex remains central in his philosophy. The primary reference I build on here is Otto Rank’s theory of birth trauma, as set out in Das Trauma der Geburt (1924). To me, Rank’s theorisation of the trauma of birth is a translation into psychoanalytic language of Nietzsche’s philosophy, which itself arose with a translation into philosophical language of Wagner’s operas. In this thesis I build especially on Rank’s formulation of the tension between desire and anxiety and on his suggestions concerning the causes of the undoing of women. However, Rank did not take into account what I contend is a key aspect of both Nietzsche’s and Wagner’s work: the role of light in its dialectical relation with the flesh. By flesh I mean the interiority of the mother’s body and, by extension, the human body insofar as it is conceived through its relation to the maternal body. In the first main section of my PhD, I propose a theoretical understanding of the birth complex through an analysis of Nietzsche’s philosophy. I start with his writings pro and contra Wagner, showing that what Nietzsche primarily sees in Wagner’s operas is the birth complex. I then go on to argue that Nietzsche’s philosophy of life and of creativity is an exploration of the ways in which birth could be overcome. The second main section of my PhD is dedicated to Wagner, with largely text-based readings of three operas. I first discuss the extent to which death in Der fliegende Holländer and in the Freudian conception of the death drive is a mask for birth. I then tackle Tristan und Isolde and its famous celebration of night and death, in order to investigate whether love can be reduced to the birth complex. The last chapter of this section presents a close analysis of Das Rheingold and especially of its first scene and of Wagner’s indications on lighting. In a third and shorter section, I show that Hugo von Hofmannsthal’s and Richard Strauss’s Elektra pursued and reviewed this fundamental preoccupation of Nietzsche’s and Wagner’s work in proposing a further formulation of the birth complex that incorporates the scene of matricide. Finally, as a coda to the thesis, I explore the extent to which the uses of stage lighting pioneered by Adolphe Appia have been coming to terms with the birth complex.

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