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Adolescence féminine et violence familialeConti, Jean-Louis Roussillon, René January 2004 (has links)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Psychopathologie et psychologie cliniques : Lyon 2 : 2004. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. Index.
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Macht und Gedeihen : eine politische Interpretation der Hiketiden des Aischylos /Rohweder, Christine January 1998 (has links)
Diss. : Freiburg im Breisgau : 1991. / Bibliogr.: p. 187-191.
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Familles victimes de violence perpétrée par un proche souffrant de troubles mentaux sévères : une théorisation du phénomèneParadis-Gagné, Etienne 18 January 2019 (has links)
Cette recherche a gravité autour des soins offerts aux familles de patients atteints de troubles mentaux et qui sont hospitalisés en milieu de psychiatrie légale. Le but de cette recherche doctorale était d’étudier le phénomène de la violence familiale perpétrée par un proche atteint de troubles mentaux et de mettre en lumière les dynamiques qui existent entre les acteurs impliqués (familles, milieux hospitaliers et organismes de soutien). Selon les écrits recensés, les familles vivant avec un proche atteint d’un trouble mental sont bien souvent confrontées à une problématique de violence. En effet, près de la moitié de ces familles en sont victimes. On observe dans la pratique clinique et en recherche la difficulté des familles à devoir conjuguer la violence et la maladie. Il ressort des écrits que ces familles doivent faire intervenir les policiers et effectuer des démarches juridiques afin de faire hospitaliser le proche contre son gré. Cette réalité entraîne une animosité chez le proche à l’endroit de sa famille, et peut exacerber les perceptions paranoïdes ou persécutrices. Pareille interaction entre la psychiatrie et le système judiciaire est par contre délétère pour la relation familiale. Ce projet doctoral avait pour but d’étudier l’expérience vécue des membres de ces familles, qui sont à la fois soignants et victimes de violence. Nous voulions également explorer les impacts de la violence à l’endroit des membres de la famille ainsi que les stratégies utilisées afin de la prévenir. La théorie du gouvernement des familles de Donzelot (1977/2005) a été préconisée comme cadre théorique. Le concept de gouvernementalité englobe les différents mécanismes de pouvoir et de contrôle qui s’exercent à l’endroit de la famille. Sur le plan méthodologique, le devis est de type qualitatif et la théorisation ancrée a été utilisée comme stratégie de recherche. Cette méthode de recherche a pour objectif de mettre en lumière les processus, les interactions et le vécu des participants (Corbin et Strauss, 2014). Lors de la collecte de données, 14 participants ayant été victimes de violence perpétrée par un proche atteint de troubles mentaux sévères ont été recrutés. Les participants provenaient de dix familles différentes à travers la grande région de Montréal, et ont été rencontrés dans le cadre d’entretiens semi-structurés en individuel, en couple ou en groupe. Des notes d’observation et des mémos analytiques ont été rédigés, et ont aussi fait partie du matériel analysé. Cinq thèmes ont émergé de l’analyse qualitative des données : 1) le dispositif médico-légal ; 2) l’expérience de la violence ; 3) la prise en charge du proche par la famille ; 4) les mécanismes d’exclusion et de stigmatisation ; et 5) souffrances et résilience. Les principaux résultats de notre recherche indiquent qu’un gouvernement de la famille s’effectue par l’entremise de certains mécanismes, dont l’instrumentalisation du rôle de la famille et le transfert du mandat de soin à cette dernière. Nous avons pu observer qu’un double mandat (soin et contrôle) est imposé à la famille. L’existence de ce double mandat engendre une ambivalence affective chez les familles et est source de tensions internes. Nous avons aussi observé la présence de barrières à l’inclusion des familles dans la trajectoire de soins, soit entre autres la confidentialité, le vocabulaire psychiatrique hermétique et la stigmatisation de la famille en présence de la violence. En résumé, cette recherche s’avère pertinente pour la discipline et la pratique infirmières puisqu’elle permet d’éclairer les interventions cliniques et les politiques de santé par rapport aux soins à la famille. Elle est aussi pertinente afin de pouvoir offrir des soins de qualité adaptés à une situation familiale des plus complexes. Enfin, grâce à cette recherche, nous avons tenté de donner une voix aux membres de familles, sur qui pèse un lourd fardeau.
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Dis/membering the family, marital breakdown, domestic conflict, and family violence in Ontario, 1830-1920Lepp, Annalee E. January 2001 (has links) (PDF)
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La polyvictimisation comme variable modératrice des conséquences de l'exposition à la violence familialeDumont, Annie 19 April 2018 (has links)
La présente recherche veut connaitre l’ampleur des victimisations autres vécues par les jeunes exposés à la violence familiale et en savoir davantage en regard des effets de l’accumulation de violence dans la dernière année sur les conséquences de cette exposition. Pour ce faire, des données secondaires de deux recherches québécoises sur la polyvictimisation des enfants et des adolescents québécois sont utilisées, ainsi qu’une adaptation du Stress Process Model en tant que cadre théorique. L’analyse des données démontre que les enfants exposés à la violence familiale vivent plus de formes de violence diverses et d’événements aversifs que les enfants non exposés. Ils présentent aussi de l’anxiété, de la colère, de la dépression et du stress post-traumatique à un plus haut niveau. Le nombre d’autres victimisations vécues dans la dernière année a un effet modérateur sur la colère des deux à 11 ans et sur le syndrome de stress post-traumatique des 12 à 17 ans. La variation des symptômes de trauma est par contre faiblement expliquée par le modèle utilisé, impliquant que d’autres variables doivent être prises en compte pour bien comprendre les processus sous-jacents à l’apparition de conséquences psychologiques dans la vie des enfants vivant une accumulation de violences diverses. / The current research explores the importance of victimization of young people who have been exposed to family violence. It investigates the effects of violence accumulation in the last year and the consequences of their exposure to these specific circumstances. This project uses an adaptation of the Stress Process Model as a theoretical framework and two poly-victimization studies of children and teenagers as empirical evidence. Overall, this study shows that children who have been exposed to family violence experience more types of violence and adverse events than non-exposed children. They also suffer from anxiety, anger, depression and post-traumatic stress at a higher level. In concrete, the results show that the number of victimizations observed during the last year have a moderating effect on the anger of the 2 to 11 year-olds and on the post-traumatic syndrome of the 12 to 17 year-olds. Yet, the variation of traumatic symptoms is only weakly explained by the model used. Other variables must be taken into account to have a better understanding of how psychological consequences affect children who have endured the accumulation of diverse types of violence.
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Traumas interpersonnels dans l’enfance, empathie dyadique et violence conjugale envers la conjointe chez les hommes adultes d’une population cliniqueCharbachi, Noëlle January 2014 (has links)
Selon les données de l’Association des centres jeunesses du Québec (ACJQ), les signalements retenus concernant la violence physique subie et d’exposition à la violence conjugale durant l’enfance sont en constante augmentation alors que l’agression sexuelle représente 5,6 % des signalements retenus en 2011 et 2012 (ACJQ, 2012). Ces traumas de nature interpersonnelle peuvent avoir un impact important sur le développement comportemental, cognitif et émotionnel des victimes. Certaines études rapportent des niveaux d’empathie émotionnelle et cognitive plus faibles chez les enfants victimes et témoins de violence familiale (Davis, 1996; Hinchey & Gavelek, 1982; Straker & Jacobson, 1981), ce qui est aussi rapporté à l’âge adulte (Simons, Wurtele, & Heil, 2002). Les enfants témoins de violence conjugale et victimes de violence physique auraient tendance à être eux-mêmes impliqués dans une relation amoureuse violente à l’âge adulte (Jose & O’Leary, 2009; Stith et al., 2000) alors que l’agression sexuelle vécue durant l’enfance prédirait la violence conjugale physique émise par les hommes adultes (Fang & Corso, 2008). Des études montrent que la violence conjugale psychologique est liée à un plus faible niveau d’empathie cognitive (Covell, Huss, & Langhinrichsen-Rohling, 2007; Péloquin, Lafontaine, & Brassard, 2011) alors que la violence conjugale physique est liée à une moindre empathie globale (Clements, Holzworth-Munroe, & Schweile, 2007). La présente étude vise à évaluer les liens entre deux traumas interpersonnels vécus durant l’enfance (témoin ou victime de violence familiale, agression sexuelle), l’empathie dyadique (émotionnelle et cognitive) et la violence conjugale émise à l’âge adulte (psychologique et physique) au sein d’une
population clinique. À leur admission à un service d’aide pour difficultés conjugales, 198 hommes adultes ont complété des questionnaires auto-administrés d’empathie dyadique, de caractéristiques sociodémographiques (incluant les expériences de traumas durant l’enfance), de désirabilité sociale et de perpétration de violence conjugale. Des analyses de régression hiérarchique révèlent un lien négatif entre l’agression sexuelle et l’empathie dyadique émotionnelle ainsi qu’un lien marginalement significatif entre la violence familiale et l’empathie dyadique cognitive. La violence familiale est négativement liée à la perpétration de violence conjugale physique. L’agression sexuelle est liée à l’émission de violence conjugale physique (tendance) et psychologique. Des analyses de covariance montrent que les hommes ayant vécu deux types de traumas émettent davantage de violence conjugale psychologique que ceux qui ont vécu un seul trauma, mais ils ne diffèrent pas de ceux qui n’ont pas vécu de traumas. L’empathie dyadique cognitive est négativement liée à la violence conjugale physique et psychologique tandis que l’empathie dyadique émotionnelle est positivement liée à la violence conjugale psychologique émise. De plus, l’empathie dyadique émotionnelle est une variable médiatrice du lien entre l’agression sexuelle et la violence conjugale psychologique tandis que l’empathie dyadique cognitive est une variable modératrice du lien unissant ces deux variables. Au plan clinique, les résultats mettent en évidence les conséquences néfastes de l’agression sexuelle et l’importance de cibler l’empathie dyadique cognitive dans le traitement de la violence conjugale chez les hommes.
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Il est minuit cinq pour les femmes autochtones du Canada : vers une analyse intersectionnelle des discriminations de genre et de raceBoulanger, Isabelle January 2010 (has links) (PDF)
Le but de ce mémoire est de démontrer par le biais d'une analyse intersectionnelle que les discriminations sexuelles dites "résiduelles" de la Loi sur les Indiens s'avèrent aussi des discriminations raciales; ce chevauchement des discriminations signifie par ailleurs leur renforcement mutuel, contribuant à la cristallisation des discriminations subies par les femmes autochtones, notamment la violence à leur égard qui en représente indéniablement le pic. Les fameuses "discriminations sexuelles résiduelles" de la Loi sur les Indiens (expression consacrée notamment par la Commission canadienne des droits de la personne) font référence aux dispositions juridiques demeurées ou devenues discriminatoires à l'égard des femmes depuis l'adoption, en 1985, de l'adoption de la Loi C-31 visant à modifier la Loi sur les Indiens. Mais ces discriminations, dont l'impact n'a en fait rien de "résiduel", ne visent pas que les femmes autochtones: toute la population autochtone est touchée. Ce sont davantage que de "simples" discriminations à l'égard des femmes. Le principe du "père non-déclaré présumé blanc" par le Registraire des Indiens inscrits, est un exemple d'intersectionnalité des discriminations de genre et de race que nous examinerons. L'approche intersectionnelle permet d'appréhender la complexité de discriminations multiples vécues par des groupes souvent marginaux ou minoritaires. L'intersectionnalité n'exclut pas les discriminations les unes des autres: elles se chevauchent et se renforcent mutuellement. Cette approche, dont l'intérêt est déjà reconnu en sociologie, est de plus en plus utilisée dans l'analyse des discriminations des droits de la personne. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Femmes autochtones, Intersectionnalité, Discriminations, Loi sur les Indiens, Violence
familiale, Autochtone.
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Traumas interpersonnels dans l???enfance, empathie dyadique et violence conjugale envers la conjointe chez les hommes adultes d???une population cliniqueCharbachi, No??lle January 2014 (has links)
Selon les donn??es de l???Association des centres jeunesses du Qu??bec (ACJQ), les signalements retenus concernant la violence physique subie et d???exposition ?? la violence conjugale durant l???enfance sont en constante augmentation alors que l???agression sexuelle repr??sente 5,6 % des signalements retenus en 2011 et 2012 (ACJQ, 2012). Ces traumas de nature interpersonnelle peuvent avoir un impact important sur le d??veloppement comportemental, cognitif et ??motionnel des victimes. Certaines ??tudes rapportent des niveaux d???empathie ??motionnelle et cognitive plus faibles chez les enfants victimes et t??moins de violence familiale (Davis, 1996; Hinchey & Gavelek, 1982; Straker & Jacobson, 1981), ce qui est aussi rapport?? ?? l?????ge adulte (Simons, Wurtele, & Heil, 2002). Les enfants t??moins de violence conjugale et victimes de violence physique auraient tendance ?? ??tre eux-m??mes impliqu??s dans une relation amoureuse violente ?? l?????ge adulte (Jose & O???Leary, 2009; Stith et al., 2000) alors que l???agression sexuelle v??cue durant l???enfance pr??dirait la violence conjugale physique ??mise par les hommes adultes (Fang & Corso, 2008). Des ??tudes montrent que la violence conjugale psychologique est li??e ?? un plus faible niveau d???empathie cognitive (Covell, Huss, & Langhinrichsen-Rohling, 2007; P??loquin, Lafontaine, & Brassard, 2011) alors que la violence conjugale physique est li??e ?? une moindre empathie globale (Clements, Holzworth-Munroe, & Schweile, 2007). La pr??sente ??tude vise ?? ??valuer les liens entre deux traumas interpersonnels v??cus durant l???enfance (t??moin ou victime de violence familiale, agression sexuelle), l???empathie dyadique (??motionnelle et cognitive) et la violence conjugale ??mise ?? l?????ge adulte (psychologique et physique) au sein d???une
population clinique. ?? leur admission ?? un service d???aide pour difficult??s conjugales, 198 hommes adultes ont compl??t?? des questionnaires auto-administr??s d???empathie dyadique, de caract??ristiques sociod??mographiques (incluant les exp??riences de traumas durant l???enfance), de d??sirabilit?? sociale et de perp??tration de violence conjugale. Des analyses de r??gression hi??rarchique r??v??lent un lien n??gatif entre l???agression sexuelle et l???empathie dyadique ??motionnelle ainsi qu???un lien marginalement significatif entre la violence familiale et l???empathie dyadique cognitive. La violence familiale est n??gativement li??e ?? la perp??tration de violence conjugale physique. L???agression sexuelle est li??e ?? l?????mission de violence conjugale physique (tendance) et psychologique. Des analyses de covariance montrent que les hommes ayant v??cu deux types de traumas ??mettent davantage de violence conjugale psychologique que ceux qui ont v??cu un seul trauma, mais ils ne diff??rent pas de ceux qui n???ont pas v??cu de traumas. L???empathie dyadique cognitive est n??gativement li??e ?? la violence conjugale physique et psychologique tandis que l???empathie dyadique ??motionnelle est positivement li??e ?? la violence conjugale psychologique ??mise. De plus, l???empathie dyadique ??motionnelle est une variable m??diatrice du lien entre l???agression sexuelle et la violence conjugale psychologique tandis que l???empathie dyadique cognitive est une variable mod??ratrice du lien unissant ces deux variables. Au plan clinique, les r??sultats mettent en ??vidence les cons??quences n??fastes de l???agression sexuelle et l???importance de cibler l???empathie dyadique cognitive dans le traitement de la violence conjugale chez les hommes.
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Comportements sexuels problématiques d'enfants pris en charge par les centres jeunesse : facteurs associésLepage, Joelle. January 1900 (has links)
Thèse (M.Sc.)--Université de Sherbrooke (Canada), 2008. / Titre de l'écran-titre (visionné le 23 avril 2009). "Essai présenté à la Faculté d'éducation en vue de l'obtention du grade (M.Sc.) Maître ès sciences (Psychoéducation) " In ProQuest dissertations and theses. Publié aussi en version papier.
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La concomitance de la violence conjugale et des mauvais traitements envers les enfants : le point de vue d'enfants et d'adolescents /Lapierre, Simon. January 2003 (has links)
Thèse (M. Ser. Soc.)--Université Laval, 2003. / Bibliogr.: f. 194-200. Publié aussi en version électronique.
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