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Learning 3D geometric features for soft-biometrics recognition / Reconnaissance de biométries douces sur le visage par apprentissage de caractéristiques géométriques 3D

Xia, Baiqiang 25 November 2014 (has links)
La reconnaissance des biomètries douces (genre, âge, etc.)trouve ses applications dans plusieurs domaines. Les approches proposéesse basent sur l’analyse de l’apparence (images 2D), très sensiblesaux changements de la pose et à l’illumination, et surtout pauvre en descriptionsmorphologiques. Dans cette thèse, nous proposons d’exploiterla forme 3D du visage. Basée sur une approche Riemannienne d’analysede formes 3D, nous introduisons quatre descriptions denses à savoir: lasymétrie bilatérale, la moyenneté, la configuration spatiale et les variationslocales de sa forme. Les évaluations faites sur la base FRGCv2 montrentque l’approche proposée est capable de reconnaître des biomètries douces.A notre connaissance, c’est la première étude menée sur l’estimation del’âge, et c’est aussi la première étude qui propose d’explorer les corrélationsentre les attributs faciaux, à partir de formes 3D. / Soft-Biometric (gender, age, etc.) recognition has shown growingapplications in different domains. Previous 2D face based studies aresensitive to illumination and pose changes, and insufficient to representthe facial morphology. To overcome these problems, this thesis employsthe 3D face in Soft-Biometric recognition. Based on a Riemannian shapeanalysis of facial radial curves, four types of Dense Scalar Field (DSF) featuresare proposed, which represent the Averageness, the Symmetry, theglobal Spatiality and the local Gradient of 3D face. Experiments with RandomForest on the 3D FRGCv2 dataset demonstrate the effectiveness ofthe proposed features in Soft-Biometric recognition. Furtherly, we demonstratethe correlations of Soft-Biometrics are useful in the recognition. Tothe best of our knowledge, this is the first work which studies age estimation,and the correlations of Soft-Biometrics, using 3D face.
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Les dénominations du visage en français et dans les autres langues romanes étude sémantique et onomasiologique /

Renson, Jean. January 1962 (has links)
Thèse (Agrégation de l'enseignement superieure)--Université de Liège, 1960. / Includes bibliographical references and index.
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Les dénominations du visage en français et dans les autres langues romanes étude sémantique et onomasiologique /

Renson, Jean. January 1962 (has links)
Thèse (Agrégation de l'enseignement superieure)--Université de Liège, 1960. / Includes bibliographical references and index.
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Le visage, entre accusatif et nominatif : de la phénoménologie à l'herméneutique de la relation / The visage, between accusative and nominative case : from the phenomenology to the hermeneutics of the relation

Dugravier-Guérin, Nathalie 22 June 2012 (has links)
Le visage, tel que le pense Levinas, échappe à tout pouvoir, à toute explication, à toute compréhension. Hors de la visée husserlienne que Levinas interprète comme réduction de l’autre au même (égologie), le visage se dérobe à son apparence physique – et se fait commandement (« Tu ne tueras pas »). À cette injonction ne peut répondre un sujet qu’à l’accusatif (le « Me voici » abrahamique), laissant en suspend toute relation. Si le visage disparaît dans sa Hauteur, instituant le je comme répondant à l’accusatif, la rencontre entre deux visages ne peut se faire – Autrui est sauvé par sa non-reconnaissance. Le prix à payer pour sauver l’altérité est celui de la relation – le je n’est pas visage. Le problème ouvert par Levinas est double ; un problème ontologique, d’une part : comment peut-on penser un sujet répondant à (et d’) autrui au nominatif, afin de fonder en droit la possibilité d’une relation intersubjective? Peut-on imaginer Abraham répondant « Je suis là » ? Ce problème ontologique croise un second problème d’ordre méthodologique : la position du visage comme phénomène est un défi lancé par Levinas à toute phénoménologie – tâche qu’il entreprend cependant. Comment faire la phénoménologie d’un non-phénomène ? C’est le point de relève d’une herméneutique du visage. Si celui-ci échappe de jure à toute description phénoménologique, c’est par le surcroît de sens dont il témoigne, et que seule une herméneutique peut chercher, et désigner. Au-delà d’une explication réductrice et d’une impossible connaissance du visage, y a-t-il place pour une reconnaissance de celui-ci ? La reconnaissance doit être ici envisagée en ses diverses acceptions : identification (par la nomination), dont le sens ultime se révèlerait, malgré le soupçon que pose Derrida, par la reconnaissance-gratitude. C’est donc à l’herméneutique – c'est-à-dire au « conflit des interprétations », selon le mot de Ricœur, que serait confiée la double charge de tracer un espace intersubjectif, ouvert à l’altérité et au sujet, espace accueillant le sens dans la multiplicité de ses significations (singulières, culturelles, universelles...), d’une part, et d’en chercher les différentes modalités relationnelles non aliénantes, d’autre part, afin de garantir une rencontre entre un je et un tu, respectueuse des deux visages. / The visage, such as Levinas means it, escapes all power, all explanation, all understanding. Out of reach of Husserl’s meaning which Levinas understands as a reduction of the Other to the Same (egology), the visage evades its physical appearance –and becomes a commandment ("You shall not kill"). To that admonition, only an accusative-case subject can answer (Abraham's answer "Here is me"), therefore discarding all relationship. If the visage disappears in its Height, establishing the I as an answer to the accusative-case, the meeting between two visages cannot happen. –The Other is saved because he is not recognized. The price to pay in order to save Otherness is that of relationship. Levinas opens a double problem. An ontological problem first: how can we conceive a subject answering to (and for) others in the nominative case in order to base legitimately the possibility of an inter-subjective relationship? Can we imagine Abraham answering "I am here"? The ontological problem meets another one, a methodological problem: the visage as a phenomenon is a challenge thrown by Levinas to phenomenology – a task he takes on nevertheless. How can one draw the phenomenology of a non-phenomenon? That's where the hermeneutics of the visage starts. If the visage escapes de jure all phenomenological description, it is because of the excess of meaning it stands for, which only hermeneutics can look for and define. Beyond a reductive explanation and an impossible knowledge of the visage, is there room for the acknowledgement of it? The acknowledgement here must be accepted in all its meanings: identification (through the naming the ultimate meaning of which would be revealed, despite Derrida's suspicion, by the acknowledgement-gratitude.Therefore, it would be given to hermeneutics – the "conflict between interpretations," according to Ricœur - the double task of defining an inter-subjective space, open to Otherness and to the subject, a space open to the diversity of all the meanings** (personal, cultural, universal, etc.), on the one hand, and, on the other hand, of looking for the various non-alienating relational modalities, in order to guarantee a meeting between a I and a You that would respect both visages.
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Traitements analytique[s] et configural dans la reconnaissance des visages : étude électrophysiologique chez le sujet normal

Lecours, Sophie January 2004 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Représentation de soi et visagéification dans les traumatismes orthopédiques de l’enfant : penser une approche psychique pour panser le corps. / Selfdrawing visage-ification in children's orthopedic trauma : thinking the body to care him

Bissouma, Anna-Corinne 14 October 2015 (has links)
Entre ici et ailleurs, entre pratiques et disciplines, entre patients, chirurgien et psychiste, cette thèse est l’effet de rencontres avec des enfants ayant subi un traumatisme orthopédique. Effraction, la fracture est traumatisme et fait trauma. Désubjectivation, parcellisation du corps, violence, douleur et souffrance sont alors le lot des enfants en chirurgie pédiatrique. Et quand le bout prévaut sur le tout du corps, le corps-je devient autre. D’Abidjan à Paris, quatre histoires cliniques d’enfant montrent que, sur fond d’effroi et de perte du regard, le dévisagement est à l’oeuvre en chirurgie pédiatrique quelle que soit la qualité ou le type de soin. Chez ces enfants, la représentation subjective de soi et le test des trois dessins ont permis d’appréhender les perturbations de l’image de soi et de visagéifier la souffrance ainsi que les autres problématiques en présence. Il est apparu que la réparation n’est pas toujours suivie d’une restauration. Médiateur thérapeutique et relationnel, le dessin s’est révélé outil de visagéification de l’effraction psychocorporelle et de revisagéification par sa fonction miroir. Dans le temps du soin, se rejoue alors le stade du miroir. Le regard maternant et étayant du psychiste, dans ce processus, favorisent une réédification du soi de l’enfant ayant pour effet de lui redonner une image unifiée de lui favorisant une réappropriation du corps. Se dégage ainsi une nouvelle fonction du psychiste en chirurgie pédiatrique, celle de « psy-chir », pour décrire les modalités d’une aide psychothérapeutique particulière, en appui sur le dessin et la visagéification, pour panser le corps. / Between here and elsewhere, between practices and disciplines, between patients, surgeons and psychiste, this thesis is the effect of meetings with children with orthopedic trauma suffered. Burglary, the fracture is orthopeadic trauma and made trauma. Desubjectivation, fragmentation of the body, violence, pain and suffering are then the lot of children in pediatric surgery. And when the end prevails over all the body, the body becomes other-I. From Abidjan to Paris, four clinical histories of children show that, amid terror and loss of the look, the face-losing is at work in pediatric surgery regardless of the quality or type of care. In these children, self-representation and subjective testing of three drawings helped to understand the disturbances in self-image and suffering taking’s face and other issues involved. It appeared that the repair is not always followed by restoration. Therapeutic and relational mediator, drawing has proven tool visage-ification of burglary and psycho revisage-ification its mirror function. In the time of care, then replays the mirror stage. The underpinning of mothering look and psychiste, in the process, promote rebuilding of the child's self whose effect is to give it a unified picture of him promoting a reappropriation of the body. Thus emerges a new function of psychiste in pediatric surgery, that of "psy-chir" to describe the terms of a particular psychotherapeutic assistance in support of the design and visage-ification, to heal the body.
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Reconnaissance Biométrique par Fusion Multimodale du Visage et de l'Iris

Morizet, Nicolas 18 March 2009 (has links) (PDF)
La biométrie se réfère à la reconnaissance automatique des individus basée sur leurs caractéristiques physiologiques et/ou comportementales. Les systèmes biométriques unimodaux permettent de reconnaître une personne en utilisant une seule modalité biométrique, mais ne peuvent pas garantir avec certitude une bonne identification. De plus, ces systèmes sont sensibles au bruit introduit par l'unique capteur, à la non-universalité et au manque d'individualité de la modalité biométrique choisie ainsi qu'aux tentatives d'intrusion. La plupart de ces problèmes peuvent être réduits par la mise en place de systèmes biométriques multimodaux utilisant plusieurs signatures biométriques d'une même personne. Dans cette thèse, nous abordons plusieurs points importants concernant la biométrie multimodale. Tout d'abord, après avoir dressé un état de l'art en fusion multimodale, nous faisons le lien entre le fonctionnement du cerveau et certains algorithmes fondamentaux utilisés en reconnaissance faciale. Ensuite, nous mettons en avant l'utilisation des ondelettes à divers niveaux du système biométrique multimodal. Enfin, l'exploration de nouvelles techniques de fusion de signatures biométriques issues du visage (modalité naturelle et non intrusive) et de l'iris (une des modalités les plus précises) ainsi que des analyses statistiques à grande échelle des scores de similarité provenant de chaque modalité ont permis de mettre au point une méthode originale de fusion adaptative combinant l'utilisation des ondelettes et des moments statistiques.
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Analyse statistique et typologique des représentations du visage sur le mobilier dorsétien et les pétroglyphes du site rupestre de Qajartalik

Bergeron, Annick January 2009 (has links) (PDF)
La présente recherche s'intéresse principalement à l'analyse formelle et typologique des visages que l'on retrouve dans l'art mobilier dorsétien ainsi qu'au site de rupestre de Qajartalik, et ce, afin d'obtenir une vision plus large de ce qu'on entend aujourd'hui par « art dorsétien ». Cette recherche a démontré l'importance de s'attarder au visage comme lieu d'introspection, notamment pour identifier certaines règles de la « grammaire visuelle » dorsétienne, soit lors du transfert marquant le passage d'un sujet tridimensionnel à sa représentation bidimensionnelle. Cette relation nous aura aussi permis d'identifier un peu plus le vocabulaire visuel dorsétien et d'identifier à travers la forme du visage, plus spécifiquement, le thème chamanique de la transformation ou de la transfiguration.
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Vers la compréhension du traitement dynamique du visage humain / Moving towards the understanding of dynamic human face processing

Richoz, Anne-Raphaëlle 12 January 2018 (has links)
Au cours des dernières décennies, la plupart des études investiguant la reconnaissance des visages ont utilisé des photographies statiques. Or dans notre environnement naturel, les visages auxquels nous sommes exposés sont des phénomènes dynamiques qu’il est difficile de communiquer écologiquement avec des images statiques. Cette exposition quotidienne et répétée à des visages en mouvement pourrait-elle avoir un effet sur notre système visuel, favorisant le traitement de stimuli dynamiques au détriment des statiques ?Afin d’éclairer cette problématique, les recherches présentées dans cette thèse avaient pour but d’utiliser des stimuli dynamiques pour étudier différents aspects du traitement des visages à travers plusieurs groupes d’âge et populations. Dans notre première recherche, nous avons utilisé des visages animés pour voir si la capacité de nourrissons âgés de 6-, 9- et 12 mois à associer des attributs audibles et visibles à un genre est influencée par l'utilisation d’un discours de type adulte par opposition à un langage de type enfantin. Nos résultats ont montré qu’à partir de 6 mois, lorsqu'ils étaient soumis à un discours de type adulte, les nourrissons associaient les voix et visages de femmes. Par contre, lorsqu'ils étaient confrontés à un langage de type enfantin, cette capacité apparaissait seulement à l'âge de 9 mois. Ces premiers résultats soutiennent l'idée selon laquelle le développement de la perception multisensorielle chez les nourrissons est influencé par la nature même des interactions sociales.Dans notre deuxième recherche, nous avons utilisé une nouvelle technique 4D pour reconstruire les représentations mentales des six émotions de base d’une patiente présentant un cas unique et pure de prosopagnosie acquise (i.e., une incapacité à reconnaître les visages), afin de réexaminer une question bien débattue, à savoir si les modules cérébraux sous-jacents à la reconnaissance de l’identité et des expressions faciales sont séparés ou communs. Les résultats ont montré que notre patiente a utilisé toutes les caractéristiques faciales pour identifier les émotions de base, ce qui contraste fortement avec son utilisation déficitaire de l'information faciale pour la reconnaissance de l’identité. Ces résultats confortent l’idée selon laquelle différents systèmes de représentations sous-tendent le traitement de l'identité et de l'expression. Par la suite, nous avons pu démontrer que notre patiente était capable de reconnaître adéquatement les expressions émotionnelles dynamiques, mais pas les émotions statiques provenant de ses propres représentations internes. Ces résultats qui pourraient être expliqués par un ensemble spécifique de lésions dans son gyrus occipital inférieur droit, soutiennent l’idée selon laquelle le traitement des stimuli statiques et dynamiques se produit dans des régions cérébrales différentes.Dans notre troisième recherche, nous avons investigué si d'autres populations ayant un système visuel neurologiquement fragile ou en développement bénéficient également de la présentation d’expressions dynamiques. Nous avons demandé à plus de 400 sujets âgés de 5 à 96 ans de catégoriser les six expressions de base en versions statique, dynamique ou bruitée. En utilisant un modèle Bayésien, nos résultats nous ont permis de quantifier la pente d'amélioration et de déclin pour chaque expression dans chaque condition, ainsi que d'estimer l'âge auquel l’efficacité est maximale. En résumé, nos résultats montrent la supériorité des stimuli dynamiques dans la reconnaissance des expressions faciales, de manière plus marquée pour certaines expressions que d'autres et de façon plus importante à certains moments spécifiques du développement.Dans l'ensemble, les résultats de cette thèse soulignent l'importance d’investiguer la reconnaissance des visages avec des stimuli dynamiques, non seulement en neuropsychologie, mais aussi dans d'autres domaines des neurosciences développementales et cliniques. / The human visual system is steadily stimulated by dynamic cues. Faces provide crucial information important for adapted social interactions. From an evolutionary perspective, humans have been more extensively exposed to dynamic faces, as static face images have only appeared recently with the advent of photography and the expansion of digital tools. Yet, most studies investigating face perception have relied on static faces and only a little is known about the mechanisms involved in dynamic face processing.To clarify this issue, this thesis aimed to use dynamic faces to investigate different aspects of face processing in different populations and age groups. In Study 1, we used dynamic faces to investigate whether the ability of infants aged 6, 9, and 12 months in matching audible and visible attributes of gender is influenced by the use of adult-directed (ADS) vs. infant-directed (IDS) speech. Our results revealed that from 6 months of age, infants matched female faces and voices when presented with ADS. This ability emerged at 9 months of age when presented with IDS. Altogether, these findings support the idea that the perception of multisensory gender coherence is influenced by the nature of social interactions.In Study 2, we used a novel 4D technique to reconstruct the dynamic internal representations of the six basic expressions in a pure case of acquired prosopagnosia (i.e., a brain-damaged patient severely impaired in recognizing familiar faces). This was done in order to re-examine the debated issue of whether identity and expression are processed independently. Our results revealed that our patient used all facial features to represent basic expressions, contrasting sharply with her suboptimal use of facial information for identity recognition. These findings support the idea that different sets of representations underlie the processing of identity and expression. We then examined our patient’s ability to recognize static and dynamic expressions using her internal representations as stimuli. Our results revealed that she was selectively impaired in recognizing many of the static expressions; whereas she displayed maximum accuracy in recognizing all the dynamic emotions with the exception of fear. The latter findings support recent evidence suggesting that separate cortical pathways, originating in early visual areas and not in the inferior occipital gyrus, are responsible for the processing of static and dynamic face information.Moving on from our second study, in Study 3, we investigated whether dynamic cues offer processing benefits for the recognition of facial expressions in other populations with immature or fragile face processing systems. To this aim, we conducted a large sample cross-sectional study with more than 400 participants aged between 5 to 96 years, investigating their ability to recognize the six basic expressions presented under different temporal conditions. Consistent with previous studies, our findings revealed the highest recognition performance for happiness, regardless of age and experimental condition, as well as marked confusions among expressions with perceptually similar facial signals (e.g., fear and surprise). By using Bayesian modelling, our results further enabled us to quantify, for each expression and condition individually, the steepness of increase and decrease in recognition performance, as well as the peak efficiency, the point at which observers’ performance reaches its maximum before declining. Finally, our results offered new evidence for a dynamic advantage for facial expression recognition, stronger for some expressions than others and more important at specific points in development.Overall, the results highlighted in this thesis underlie the critical importance of research featuring dynamic stimuli in face perception and expression recognition studies; not only in the field of prosopagnosia, but also in other domains of developmental and clinical neuroscience.
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Evaluation du traitement visuel précoce des visages chez les usagers de cannabis : étude par potentiels évoqués / Assessment of early visual processing of faces in regular cannabis users : an event-related potentials study

Jeantet, Coline 07 December 2016 (has links)
Le cannabis est la drogue illégale la plus consommée actuellement en France. Le Δ9-tétrahydrocannabinol (Δ9-THC), en tant qu’excocannabinoïde, a un impact sur le système visuel via le système endocannabinoïde. Physiologiquement, parmi les deux voies majoritairement responsables de la transmission de l’information visuelle aux stades les plus précoces, la voie magnocellulaire pourrait être la plus sensible à l’effet du Δ9-THC. La perception des visages, stimuli complexes, nécessite le traitement précoce d’informations de bas niveaux : les fréquences spatiales. Or, les différentes gammes de fréquences spatiales, séparables en gamme de basses (BFS) et de hautes fréquences spatiales (HFS) seraient respectivement transmises de manière privilégiée par les voies magnocellulaire et parvocellulaire. Par ailleurs, la littérature fait état d’anomalies du traitement magnocellulaire dans la schizophrénie, une pathologie dont le risque accroît avec l’usage de cannabis. Ainsi, par le concours d’études chez des usagers de cannabis, des personnes souffrant de schizophrénie et des volontaires sains, notre recherche devait permettre d’évaluer l’impact de l’usage de cannabis sur les processus sensoriels et perceptifs en jeu dans le traitement des visages. Grâce à la mesure des composantes des potentiels évoqués P100 et N170 en réponse aux différentes gammes de fréquences spatiales contenues dans les visages, nous validons dans une première étude la méthodologie utilisée, confirmant notamment la sensibilité de la composante P100 aux BFS et de la N170 aux HFS. Une deuxième étude utilisant la même méthodologie suggère une altération du traitement des informations de BFS chez les consommateurs de cannabis, mesurable par une altération de l’étape perceptive d’intégration des informations de bas niveau associée à la N170. Une troisième étude portant sur des patients souffrant de schizophrénie retrouve une altération du traitement des BFS au cours des étapes précoces (composantes P100 et N170) et permet d’interpréter les résultats observés chez les usagers de cannabis sur la base d’une pathologie dont les dysfonctions visuelles sont mieux connues. / Cannabis is currently the most consumed illegal drug in France. The Δ9-tetrahydrocannabinol (Δ9-THC), as an exocannabinoid impacts the human visual system through the endocannabinoid system. Among the two main pathways responsible for early visual transmission, the magnocellular pathway might be the most affected by Δ9-THC. As they are complex stimuli, visual perception of faces requires the early processing of spatial frequencies, which are a type of low level information. The extreme ranges of spatial frequencies, qualified as low spatial frequencies (LSF) and high spatial frequencies (HSF), would be mainly transmitted, respectively by magnocellular and parvocellular pathways. In addition, literature already provides evidence towards magnocellular pathway impairments in schizophrenia, a pathology which incidence is known to increase with cannabis use. Hence, from studies with cannabis regular users, patients suffering from schizophrenia, and healthy controls, our research aimed at assessing the impact of regular cannabis use on early visual processes of face perception. Considering the P100 and N170 event-related potential (ERP) components in response to specific ranges of spatial frequencies available in our face stimuli, our first study tested and validated the methodology. As expected, healthy participants showed a stronger sensibility in response to LSF stimuli on the P100 and to the HSF stimuli on the N170. Using the same methodology, the second study suggests a LSF processing alteration in cannabis users, as reflected by the N170 ERP component. Our last study was conducted on patients suffering from schizophrenia and confirmed an alteration of LSF processing on both the P100 and the N170. On the basis of a pathology presenting well documented visual deficits, this last observation allows us to propose an interpretation of cannabis users’ data.

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