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Rythme et civilisation dans la pensée allemande autour de 1900Hanse, Olivier Cluet, Marc Vondung, Klaus January 2007 (has links)
Thèse de doctorat : Etudes germaniques : Rennes 2 : 2007. / Version de diffusion non illustrée (droit d'images non acquis). Bibliogr. f. 436-451. Index des noms propres.
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Histoire et philosophie des sciences biologiques et médicales chez Georges Canguilhem [Tārīh al-ʻulūm al-biyū̄lūǧiyyaẗ waṭ-ṭabiyyaẗ wa falsafathā ʻind ǧūrǧ kānḡīlham] /Dehdouh, Rachid Vermeren, Patrice. Baghoura, Zouaoui. January 2008 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Philosophie : Paris 8 : 2007. Reproduction de : Thèse de doctorat : Philosophie : Constantine, Université Mentouri : 2007. / Thèse soutenue en co-tutelle. La thèse électronique comporte de légères différences de mise en page par rapport à l'originale imprimée. Texte en arabe. Présentation en français. Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. p. 437-449 et p.39 (Présentation en français). Notes bibliogr. Index. Lexique.
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Die Produktivität der Natur : Schellings Naturphilosophie und das neue Paradigma der Selbstorganisation in den Naturwissenschaften /Heuser-Kessler, Marie-Luise, January 1986 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Naturphilosophie--Düsseldorf--Universität Düsseldorf, 1981. / Bibliogr. p. 112-126. Index.
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Das individuelle Ganze : zum Psychologismus der Lebensphilosophie /Ebrecht, Angelika, January 1900 (has links)
Diss.--Fachbereich Philosophie und Sozialwissenschaften I--Berlin--Freie Universität, 1990.
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Vital forces and organization : vitalism and philosophy of nature in Germany (1752-1802) / Forces vitales et organisation : vitalisme et philosophie de la nature en Allemagne (1752-1802)Gambarotto, Andrea 16 September 2014 (has links)
Forces vitales et organisation : vitalisme et philosophie de la nature en Allemagne (1752-1802). / In the course of the last thirty years, a considerable body of scholarship has examined the life sciences that arose in Germany at the end of the eighteenth century. This literature has shown that previous dismissals of this tradition, assumed to be infected with a pathological imagination, were unwarranted. Yet the interpretations of the period have not always been consistent with each other, and they often have been characterized by vagueness. Generally speaking, the scholarly debate has focused on the historical and conceptual relationship between three elements: (1) Kant's philosophy of biology, as it is formulated in the Critique of the Power of Judgment , (2) the biological vitalism developed at the Göttingen medical school by Blumenbach and his students Kielmeyer, Link, Reil and Treviranus, and (3) the Naturphilosophie of Goethe, Schelling, Oken and Carus. In his pioneering studies, Timothy Lenoir (1978, 1980, 1981, 1982) argues that, although the life sciences developed in Germany in the late eighteenth century have been dismissed as an era dominated by empty speculation, they were in fact the result of a coherent research program. This program was developed in Göttingen by a wellconnected group of biologists after receiving its first formulation in Kant's Critique of the Power of Judgment in 1790. In the second part of this work, Kant sees teleology as a necessary tool to understand fundamental features of living beings such as functions and development. He also considers it as a mere heuristic principle, not as a constitutive character of organized bodies. According to this account, Blumenbach was the first naturalist to accept the Kantian understanding of teleological principles and organize it as a structured research program. This program was first developed by his most distinguished students Kielmeyer, Treviranus and Reil, and then employed by Meckel, von Baer and Müller (Lenoir 1982, 54-111). The disregard of this “Kantian” tradition in life sciences has, for Lenoir, both theoretical and historical grounds. The main issue is the assumption that only reductionist models are capable of generating a quantitative account of natural phenomena. Nevertheless, the idea that biological organization is not quite reducible to the laws of physics and chemistry is fully compatible with the fidelity to quantitative rigor as a touchstone of scientific explanation. According to Lenoir, the “vitalmaterialism” of the Göttingen School accepted this challenge and developed a “teleomechanical” research program based on the Kantian distinction between constitutive and regulative understanding of teleology. […]
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Le concept de vie dans les travaux de Michel Foucault / Michel Foucault's concept of lifeMauer, Manuel 20 March 2012 (has links)
Des analyses consacrées au vitalisme de Bichat, en 1963, à l’étude du bios cynique dans les toutes dernières leçons de son dernier cours au Collège de France, les références à la vie sont constantes dans l’œuvre de Michel Foucault. C’est dans le cadre du projet philosophico-politique d’un dépassement de l’humanisme moderne que la question de la vie fera irruption dans son œuvre. Notre thèse est désormais que le défi auquel sera confrontée la pensée foucaldienne, consistera à déplacer le centre de l’analyse de l’homme (en tant que fondement supposé des savoirs et des pouvoirs modernes) vers la vie (i.e., vers les savoirs et les pouvoirs qui l’investissent et la produisent), sans pour autant faire de celle-ci un nouveau fondement (que ce soit à la manière d’une philosophie naturaliste, d’une ontologie vitaliste ou d’une phénoménologie du vécu).C’est dans les travaux biopolitiques que la stratégie foucaldienne (contourner l’homme en passant par la vie) se déploie le plus clairement : l’homme y apparaît, en effet, non point en tant que fondement (comme dans les théories contractualistes, qui partent d’une certaine anthropologie afin d’en déduire une certaine politique), mais comme effet et enjeu d’un pouvoir ayant la vie pour but, objet et modèle.Or un tel déplacement n’implique-t-il pas une promotion de la vie au rang du fondement déserté par l’homme ? C’est, comme nous essayons de le montrer dans la deuxième partie de la thèse, le pas que franchissent, parfois, ces deux lectures en apparence antagoniques de l’œuvre foucaldienne que sont les interprétations d’orientation « naturaliste » d’une part (qui insistent surtout sur la « biologisation » de la politique moderne mise en lumière par Foucault) et, de l’autre, les lectures d’inspiration « vitaliste » (qui, à l’instar du commentaire deleuzien, invoquent plutôt l’idée d’une résistance possible aux biopouvoirs qui prendrait appui sur la puissance propre à cette même vie que le pouvoir cherche à investir).C’est dans les travaux archéologiques de Foucault que ces deux lectures de la biopolitique foucaldienne nous semblent trouver leur réfutation la plus flagrante, d’où le fait que la troisième section de notre travail leur soit entièrement consacrée. Foucault y établit en effet l’historicité foncière de cette vie biologique à laquelle seront ordonnés les dispositifs modernes de pouvoir. Par ailleurs, il prend bien soin de mettre en lumière ce qui compromet la prétendue positivité de ces savoirs sur la vie que sont la biologie et la médecine clinique. Il montre enfin à quel point la notion moderne – aussi bien biologique que métaphysique – de vie constitue le revers de la figure moderne de l’homme, de ses détermination empiriques mais aussi de ses prérogatives transcendantales. D’où, sans doute, le fait que son premier effort pour penser une issue possible au « cercle anthropologique » – centré autour de l’expérience littéraire – repose, non sur une revendication des puissances de la vie, mais sur une conceptualisation ontologique de la mort et de sa paradoxale fécondité.Il n’en reste pas moins qu’entre la fin des années 1970 et le début des années 1980, Foucault articulera bien une pensée de la résistance aux biopouvoirs avec une certaine problématisation de la vie. Or – décalage essentiel – il reconceptualisera aussitôt celle-ci à partir de la notion grecque de bios. L’hypothèse qui structure la quatrième partie de notre travail est alors que l’introduction du concept de bios répond au défi de redonner une certaine initiative à la vie (i.e., d’introduire une certaine distance entre celle-ci et la figure moderne, entièrement objectivée, naturalisée, médicalisée de l’homme normal), sans pour autant restaurer le sujet métaphysique ou phénoménologique, dont Foucault aura mené la critique dès le début des années 1960, ni basculer dans une métaphysique vitaliste – dont il aura montré qu’elle ne constitue que le revers de la figure moderne de l’homme. / From the analysis focused on Bichat’s vitalism, in 1963, to the study of the cynical bios in every last lesson of his last course at the Collège de France, the references to life are a constant in the work of Michel Foucault. The issue of life will appear in his work in the context of his philosophical and political project of going beyond modern humanism. From now on, our thesis will be that the challenge confronting Foucault’s thinking will consist in moving the center of the analysis from man (as the alleged foundation of modern knowledge and power) to life (that is, to the knowledge and power that produces and invests it, so as to what, in life, opposes some resistance to them), without turning life into a new foundation (whether the way of a naturalistic philosophy, a vitalist ontology or phenomenology of the vécu).It’s in the biopolitical works (on which the first part of our thesis is focused) where the Foucauldian strategy (getting around man through life) displays itself most clearly: man appears, indeed, not at all as foundation (as in the contract theories, which start with a certain anthropology in order to deduce a certain politics), but as an effect and a stake of a power that has life as goal, object and model. But wouldn’t such a move promote life to the status of a new foundation? It would, as we try to show in the second part of the thesis, the way that crosses sometimes these two seemingly conflicting readings of his work: “naturalistic” interpretations on one hand (which insist mainly on « biologisation » of modern politics, highlighted by Foucault) and, on the other hand, “vitalist” views (which following Deleuzian comments, invoke instead the idea of a possible resistance to biopowers which would rest on life’s own puissance).We think that these two readings of Foucault’s biopolitics find their highest refutation on Foucault’s archeological works. That’s why the third section of our work is completely devoted to them. Foucault, in fact, establishes here the historicity of biological life to which modern power devices will be closely related. Otherwise, he is careful to highlight what compromises the alleged positivity of knowledge. He also shows how the modern notion of life - both biological and metaphysical - is the reverse of man’s modern figure, of his empirical determinations but also of his transcendental prerogatives (that’s what we call “anthropological downturn” of life, which would find one of his endpoints on the phenomenological figure of the vécu). That is why, no doubt, his first effort to think of a possible outcome for the “anthropological circle” - centered on the literary experience- lays not on a argument in favor of the powers of life, but on an ontological conceptualization of death and his paradoxical fertility.It nevertheless remains true that, between the late ‘70s and the early ‘80s, Foucault will articulate a thought of resistance to biopowers with a certain problematization of life. Or – a critical shift – he will soon re-conceptualize it based on the Greek notion of bios. The hypothesis that structures the fourth part of our work is, then, that the introduction of the concept of bios addresses the challenge of restoring some initiative to life (i.e., to insert a certain distance between it and the common man’s modern figure, completely objectified, naturalized, medicalized), without therefore restoring a metaphysical or phenomenological subject (man as empirical-transcendental doublet, center and foundation of any experience, epistemological and practical), of which Foucault himself has been the led critic since the early ‘60s, or falling into a vitalist metaphysics – which he had revealed as only the reverse of men’s modern figure.
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Le concept de vie dans les travaux de Michel FoucaultMauer, Manuel 20 March 2012 (has links) (PDF)
Pas de résumé français
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Båret mot livet : En lesning av D. H. Lawrences Sons and LoversRøkkum, Eirik Smiset January 2014 (has links)
No description available.
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Du Free Fight aux Arts Martiaux Mixtes : sportivisation, violence et réception d'un sport de combat extrême / From Free Fight to Mixed Martial Arts : sportivization, violence and the criticalreception of an extreme combat sportRamirez, Yann 16 April 2015 (has links)
Véritable phénomène de société, le mixed martial arts ou MMA est l'un des sports qui connaît actuellement le plus grand essor. Dans la traduction française, le terme d'arts martiaux mixtes revient fréquemment. Sport contemporain par excellence, le MMA est né et s'est développé au cours du XXème siècle où il est resté très marginalisé, pour connaître son aspect formalisé et médiatisé seulement dans les années 1990. Cette discipline qui a connu un processus de sportivisation inversée, est marquée par une réception difficile de la part des autorités, des fédérations sportives olympiques et de l'opinion publique : la cage qui accueille les combats, le sang et les frappes sur un homme au sol posent des problèmes d'acceptation. Ces éléments négatifs se retrouvent dans les représentations sociales et individuelles, chez les réponses des enquêtés qu'ils soient initiés ou non-initiés aux pratiques de combat hybride. En France, la compétition de MMA n'est pas autorisée alors que les clubs l'enseignent auprès de pratiquants de plus en plus nombreux. Les arts martiaux mixtes réunissent les contraires : une altérité fondée sur l'utilisation de l'agression instrumentale potentiellement destructrice, une réciprocité violente, mais socialisatrice et un sport « viril » capitaliste qui se nourrit du libéralisme et du débridement du pouvoir étatique. Pris dans un contexte post-moral, l'extériorisation d'une violence dans le MMA est à contre-courant du processus de pacification que la société connaît, associé à la quête de sécurité. Enfin, l'engagement corporel intense de ce sport ne correspond pas au culte du corps en bonne santé qui prédomine désormais. De ce fait, cette discipline questionne sur la place des sports-spectacles violents au sein d'une société pacifiée. / Nowadays MMA is truly a phenomenon of society, it is among the fastest-growing sports of our time. The French translation frequently uses the words: arts martiaux mixtes. Contemporary sport par excellence, MMA was born and expanded during the late 20th century where it remained very marginalized. Its expansion came in the 1990s thanks to media coverage. This sport experienced an inversed process of sportivization. It is characterized by a hesitant reception from authorities, Olympic sport federations and public opinion: the cage, blood and hitting a grounded opponent pose problems for many observers. These negative aspects may be found in the social and individual representations in the answers of surveyed individuals, both initiated and non-initiated to hybrid combat sports. Mixed Martial Arts competition is not allowed in France, while athletes are more and more numerous within French MMA academies and gyms. This sport combines opposing concepts: otherness based on the utilization of instrumental, potentially destructive aggression, a violent but socializing reciprocity and a manly, capitalist sport which is based on liberalism and a stripping of state power. Taken in a post-moral context, the violence acts out against the process of pacification. This process is associated with a search for security and peace. Finally, the intensive bodily engagement of MMA does not correspond with the healthy body cult which predominates nowadays. Therefore, this practice questions the role of sport entertainment within a peaceful society.
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La technique et le vivant en biologie de synthèse : réflexion sur l'actualité de Georges CanguilhemPelletier, Guillaume 08 June 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2017-2018 / La biologie de synthèse est souvent dépeinte comme étant l’irruption de principes d’ingénierie dans les sciences de la vie. À partir de pratiques telles que la standardisation et la modélisation, les promoteurs de cette discipline relativement jeune espèrent en arriver à réduire suffisamment les difficultés liées à la complexité du monde vivant afin de rendre la conception de réseaux génétiques analogue à celle de circuits électroniques. Ce genre d’aspiration a récemment remis à jour, dans la littérature philosophique, des questionnements relatifs aux relations entre machine et organisme ainsi qu’à la portée de notre maîtrise technique du vivant. Pour alimenter ces réflexions, il nous semble pertinent de recourir à la pensée du philosophe français Georges Canguilhem (1904-1995). Selon Canguilhem, les mécanismes construits par l’être humain ont pour condition préalable la propriété du vivant à produire des mécanismes, nous obligeant ainsi à envisager la technique dans son origine et sa finalité biologique. Sans poser de principes métaphysiques tels qu’une âme ou une force vitale, la reconnaissance des origines vitales de la technique conduit néanmoins à reconnaitre que la capacité de l’organisme à instituer des normes demeure irréductible à la division et à l’analyse scientifique du vivant. À partir d’une exploration de la philosophie biologique de Canguilhem, nous montrerons qu’il est possible, au-delà des ambitions premières de la biologie de synthèse, de retrouver dans plusieurs de ses pratiques les plus récentes une attitude qui, en instrumentalisant les propriétés de la vie, actualise certaines des positions canguilhemiennes concernant la technique et le vivant. / Synthetic biology is often depicted as the application of engineering principles in the life sciences. Through practices such as standardisation and modeling, promoters of this relatively young discipline hope to overcome difficulties related to the complexity of living organisms, in order to make the design of genetic network similar to that of electronic circuits. This kind of aspiration recently brought up philosophical questions concerning the relations between organism and machine, as well as the scope of our technical mastery of life. The thought of French philosopher Georges Canguilhem (1904-1995) seems especially relevant to these issues. According to Canguilhem, man-made devices presuppose the ability of living organisms to produce mechanisms, and requires us to consider the vital purpose and origin of technology. Without assuming the existence of a soul or a vital force, the origin of technology nevertheless forces us to acknowledge that the capacity of organisms to create norms is irreducible to the scientific analysis of living beings. After exploring the biological philosophy of Canguilhem, I will argue that synthetic biology, despite its main discourses and ambitions, frequently exploit the properties of life in a way that actualizes some of Canguilhem’s perspectives regarding life and technology.
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