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What moves real exchange rates? : differences between industrialized and emerging countries

Bleidiesel, Simon January 2006 (has links) (PDF)
Depuis la fin des accords de Bretton Woods, les taux de change réels ont affiché de grandes et persistantes fluctuations. Ces fluctuations se sont avérées difficiles à expliquer, tant de manière théorique qu'empirique. Ce mémoire utilise une approche d'autorégression structurelle de vecteurs pour (i) identifier les chocs fondamentaux qui expliquent la plus grande partie des fluctuations du taux de change réel; (ii) quantifier l'impact que ces chocs ont sur d'autres agrégats macroéconomiques prédominants; et (iii) documenter les différences de ces chocs pour les pays industrialisés et les pays émergents. Nous analysons un échantillon de cinq pays: le Canada, le Mexique, l'Afrique du Sud, la Thaïlande et les États-Unis. Nos principaux résultats sont les suivants: (i) les fluctuations du taux de change sont menées par un seul choc majeur; (ii) ce choc ressemble le plus à un choc de demande; et (iii) le détachement du taux de change est plus fort dans les pays émergents que dans les pays industrialisés. En outre, notre analyse confirme que ni la parité du pouvoir d'achat, ni la parité du taux d'intérêt découvert ne tiennent.
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Les effets de la dévaluation du taux de change nominal sur le taux de change réel : expérience des pays en voie de développement

Tarchani, Sameh January 2007 (has links) (PDF)
Il existe une vaste littérature relative à l'étude de la transmission de la variabilité du taux de change au prix. La plupart d'entre elles essayaient de trouver un fondement théorique à la faible transmission de la variabilité du taux de change au prix. Peu de recherches ont essayé d'identifier les effets d'une dévaluation anticipée et celle non anticipée sur le prix et aucune n'a essayé de capter la dynamique du taux de change des pays en voie de développement par une marche aléatoire avec dérive. Dans ce présent mémoire nous avons construit un modèle théorique avec anticipations rationnelles nous permettant de distinguer l'impact de la dévaluation anticipée du taux de change et de la dévaluation non anticipée sur le prix. Un résultat majeur qui en découle est que l'effet de la dévaluation non anticipée devrait être plus grand que celui de la dévaluation anticipée sur le prix et donc sur le taux de change réel. Pour tester ce résultat dans le cadre des pays en voie de développement de notre échantillon, nous avons eu recours au modèle de Mishkin (1983). Il s'agit d'un modèle composé de deux équations: une première équation traduisant les anticipations des agents qui sont supposées être rationnelles, et nous permettant de scinder le taux de change en composante anticipée et celle non anticipée et une deuxième équation nous permettant de régresser ces dernières sur le prix, et d'identifier leurs significativités. Quant à notre méthode d'estimation, nous avons utilisé la méthode des doubles moindres carrés. Dès lors, nous avons fait face au problème de nuisance posé par la présence de « generated regressors ». Selon Pagan (1984, 1986), la méthode des doubles moindres carrés fournit des estimateurs convergents mais l'inférence est invalide. Il a proposé une correction de la matrice variance covariance des estimateurs permettant d'avoir les vraies statistiques. Pour pouvoir se prononcer sur la significativité des estimateurs, nous avons effectué un programme moyennant e-views nous permettant de récupérer. les bonnes valeur-p. Malgré les imperfections des données, nous obtenons des résultats convaincants et conformes à nos attentes. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Taux de change, Dévaluation anticipée versus non anticipée, Inflation et prix, Équations simultanées, Régresseurs estimés.
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Globalisation financière et croissance dans les pays en développement : mise en évidence des effets sur l’instabilité financière et l’instabilité monétaire / Financial globalization and growth in developing countries : evidence on the effects of financial and monetary instability

Gaies, Brahim 24 January 2018 (has links)
La présente thèse tente de savoir s’il est opportun pour les pays en développement les moins avancés de s’engager davantage dans le processus de globalisation financière pour promouvoir leur croissance, et si ce processus influence les effets des instabilités, financière et monétaire, sur cette dernière. A cette fin, la thèse se déroule en trois parties. Avant d’examiner le cadre théorique de la globalisation financière, la première partie esquisse sa genèse avec en arrière-fond la recherche d’une réponse au problème de sa régulation. La deuxième partie s’intéresse à la littérature sur les effets de la globalisation financière sur la croissance, afin d’en tirer les enseignements pour une étude de 72 pays en développement à revenu bas de 1972 à 2011. La troisième partie se focalise sur les impacts de la globalisation financière et des deux instabilités considérées isolément, puis en interaction avec la globalisation sur la croissance à travers deux études empiriques basées sur le même cadre spatio-temporel que l’étude précédente. Ces dernières sont précédées par une revue des relations entre la globalisation financière, l’instabilité financière puis monétaire et la croissance, avec une analyse théorique de l’instabilité financière. Il en ressort que les instabilités, financière et monétaire, ont des effets négatifs sur la croissance, tandis que la globalisation financière, et en particulier la globalisation par l’investissement contrairement à celle par l’endettement, promeut les bienfaits des politiques économiques et du commerce extérieur, en plus de son effet positif direct sur la croissance même en présence des deux instabilités dont elle diminue les effets négatifs. / This thesis examines whether or not it is beneficial for least developed countries to engage more in the process of financial globalization in pursuit of their economic growth, and if this process influences the effects of financial and monetary instability on the latter. This thesis is divided into three parts. Before examining the theoretical framework of financial globalization, the first part sketches its genesis on a background of the research for an answer to the problem of its regulation. The second part focuses on the literature on the impact of financial globalization on growth. This is done in order to draw lessons for the establishment of a study covering 72 low-income developing countries over the period 1972-2011. The third part centers on the impact on economic growth of financial globalization and the two aforementioned types of instability, discussed both separately and in conjunction. Evidence is provided by two empirical studies based on the same spatio-temporal framework as the previous one. These studies are preceded by a review of the literature on the relationship between financial globalization, financial and then monetary instability and growth, in addition to a theoretical analysis of financial instability. This illustrates that financial and monetary instability have negative effects on growth, while financial globalization and in particular investment-globalization, unlike indebtedness-globalization, promotes the benefits of macroeconomic policies and international trade. This can be find in addition to its direct positive effect on growth, even in the presence of the two instabilities of which it reduces the negative effects.
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EXCHANGE RATE POLICY AND PRODUCTIVITY

Diallo, Ibrahima Amadou 22 November 2013 (has links) (PDF)
Cette thèse étudie comment le taux de change effectif réel (TCER) et ses mesures associées (volatilité du TCER et désalignement du TCER) affectent la croissance de la productivité totale des facteurs (CPTF). Elle analyse également les canaux par lesquels le TCER et ses mesures associées agissent sur la productivité totale des facteurs (PTF). La première partie étudie comment le TCER lui-même, d'une part, et la volatilité du TCER, d'autre part, influencent la productivité. Une analyse du lien entre le niveau du TCER et la PTF dans le chapitre 1 indique qu'une appréciation de taux de change cause une augmentation de la PTF. Mais cet impact est également non-linéaire: en-dessous du seuil, le TCER influence négativement la productivité tandis qu'au-dessus du seuil il agit positivement. Les résultats du chapitre 2 illustrent que la volatilité du TCER affecte négativement la CPTF. Nous avons également constaté que la volatilité du TCER agit sur PTF selon le niveau du développement financier. Pour les pays modérément financièrement développés, la volatilité du TCER réagit négativement sur la productivité et n'a aucun effet sur la productivité pour les niveaux très bas et très élevés du développement financier. La deuxième partie examine les canaux par lesquels le TCER et ses mesures associées influencent la productivité. Les résultats du chapitre 3 illustrent que la volatilité du TCER a un impact négatif élevé sur l'investissement. Ces résultats sont robustes dans les pays à faible revenu et les pays à revenu moyens, et en employant une mesure alternative de volatilité du TCER. Le chapitre 4 montre que le désalignement du taux de change réel et la volatilité du taux de change réel affectent négativement les exportations. Il démontre également que la volatilité du taux de change réel est plus nocive aux exportations que le désalignement. Ces résultats sont corroborés par des résultats sur des sous-échantillons de pays à bas revenu et à revenu moyen.
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Exchange rates policy and productivity / politique de taux de change et productivité

Diallo, Ibrahima Amadou 22 November 2013 (has links)
Cette thèse étudie comment le taux de change effectif réel (TCER) et ses mesures associées (volatilité du TCER et désalignement du TCER) affectent la croissance de la productivité totale des facteurs (CPTF). Elle analyse également les canaux par lesquels le TCER et ses mesures associées agissent sur la productivité totale des facteurs (PTF). La première partie étudie comment le TCER lui-Même, d'une part, et la volatilité du TCER, d'autre part, influencent la productivité. Une analyse du lien entre le niveau du TCER et la PTF dans le chapitre 1 indique qu'une appréciation de taux de change cause une augmentation de la PTF. Mais cet impact est également non- inéaire: en-Dessous du seuil, le TCER influence négativement la productivité tandis qu'au-Dessus du seuil il agit positivement. Les résultats du chapitre 2 illustrent que la volatilité du TCER affecte négativement la CPTF. Nous avons également constaté que la volatilité du TCER agit sur PTF selon le niveau du développement financier. Pour les pays modérément financièrement développés, la volatilité du TCER réagit négativement sur la productivité et n'a aucun effet sur la productivité pour les niveaux très bas et très élevés du développement financier. La deuxième partie examine les canaux par lesquels le TCER et ses mesures associées influencent la productivité. Les résultats du chapitre 3 illustrent que la volatilité du TCER a un impact négatif élevé sur l'investissement. Ces résultats sont robustes dans les pays à faible revenu et les pays à revenu moyens, et en employant une mesure alternative de volatilité du TCER. Le chapitre 4 montre que le désalignement du taux de change réel et la volatilité du taux de change réel affectent négativement les exportations. Il démontre également que la volatilité du taux de change réel est plus nocive aux exportations que le désalignement. Ces résultats sont corroborés par des résultats sur des sous-Échantillons de pays à bas revenu et à revenu moyen. / This dissertation investigates how the real effective exchange rate (REER) and its associated asurements (REER volatility and REER misalignment) affect total factor productivity growth (TFPG). It also analyzes the channels through which the REER and its associated measurements act on total factor productivity (TFP). The first part studies how the REER itself, on the one hand, and the REER volatility, on the other hand, influence productivity. An analysis of the link between the level of REER and TFP in chapter 1 reveals that an exchange rate appreciation causes an increase of TFP. But this impact is also nonlinear: below the threshold, real exchange rate influences negatively productivity while above the threshold it acts positively. The results of chapter 2 illustrate that REER volatility affects negatively TFPG. We also found that REER volatility acts on TFP according to the level of financial development. For moderately financially developed countries, REER volatility reacts negatively on productivity and has no effect on productivity for very low and very high levels of financial development. The second part examines the channels through which the REER and its associated measurements influence productivity. The results of chapter 3 illustrate that the exchange rate volatility has a strong negative impact on investment. This outcome is robust in low income and middle income countries, and by using an alternative measurement of exchange rate volatility. Chapter 4 show that both real exchange rate misalignment and real exchange rate volatility affect negatively exports. It also demonstrates that real exchange rate volatility is more harmful to exports than misalignment. These outcomes are corroborated by estimations on subsamples of Low- ncome and Middle-Income countries

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