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I'll force thee yield to my desire. Représenter l’Espagnol en Angleterre dans la seconde moitié du XVIe siècle / I'll force thee yield to my desire. Representing the Spaniard in England during the second half of the XVIth century

Garcia, Mélodie 04 November 2017 (has links)
Les relations entre l'Angleterre et l'Espagne constituent un aspect important de l'histoire de la seconde moitié du XVIe siècle européen. Poursuivant des buts concurrents sur les plans religieux et politique, ces deux puissances ne cessent de s'opposer et de s'éviter. Les représentations de l'Espagnol qui sont diffusées en Angleterre par les pamphlets, les gravures, les textes littéraires et les pièces de théâtre, semblent dans un premier temps refléter ces affrontements et nous font parvenir l'image d'un Espagnol violent et menteur, hérétique et cruel, conforme en tous points à ce qu'il est attendu du « natural enemy » qu'évoquait encore Cromwell en 1656, un siècle plus tard. Toutefois, si l'Angleterre et l'Espagne s'affrontent et se contournent, elles ne cessent également de se rencontrer tout au long de cette période : l’ennemi héréditaire est également un partenaire et un modèle privilégiés, tant sur le plan des alliances dynastiques que des relations commerciales et culturelles. Marie épouse Philippe II d’Espagne, Bartholomew Yong traduit La Diana de Montemayor, l'orange de Séville gagne les tables élisabéthaines et la langue castillane est admirée tandis que les manuels de navigation sont traduits avec empressement et révérence. / The relations existing between England and Spain are an important feature in the history of the second half of the XVIth century in Europe. Pursuing competing aims on political and religious levels, those two powers are engaged in constant confrontation, or prefer avoiding contact altogether. The images of the Spaniards that are circulated in England at the time, through pamphlets, engravings, literary texts and plays, seem at first to reflect this opposition as they offer a picture of the Spaniard characterized by violence and deception : he is cruel and heretical, just as may be expected of the “natural enemy” Cromwell referred to, a century later, in 1657. However, although the two countries do oppose each other, they have more in common than England cares to admit. The hereditary enemy is also a privileged partner the country turns to, both for marital alliances, trade, and cultural material. Mary weds Philip II of Spain, Bartholomew Young translates Montemayor’s La Diana, oranges from Seville are served to English tables and the Castillan tongue is admired while Spanish seafaring books are translated with urge and deference.
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L'architecture commune à Paris au XVIe siècle (1530-1600) / The common architecture in paris in the 16th century (1530-1600)

Barzanooni, Anousheh 06 October 2018 (has links)
Les maisons modestes sont rarement prises en compte dans les études qui portent sur l’architecture de la capitale au XVIe siècle. Elles représentaient pourtant l’essentiel de l’activité de construction à Paris à cette époque, et de nombreux exemples en subsistent aujourd’hui, souvent difficiles à identifier en raison des transformations subies aux époques postérieures. Leur étude a été menée pour une période allant de 1530 à 1600. Elle a été réalisée selon trois axes complémentaires : un dépouillement des archives notariales du XVIe siècle, une étude des sources iconographiques et, enfin, une analyse des maisons anciennes conservées. En confrontant ces trois types de sources, on s’est interrogé sur le rôle respectif des maîtres d’ouvrage et des maîtres d’œuvre, maçons ou charpentiers, sur la persistance des formes traditionnelles médiévales, sur l’influence des premiers traités d’architecture imprimés ainsi que sur celle des chantiers aristocratiques sur l'architecture mineure, notamment dans le domaine du décor. L’évolution de la réglementation concernant la voirie et la construction a été également prise en compte pour en évaluer les conséquences sur le bâti parisien. Le but de cette recherche était de décrire la morphologie des maisons, de préciser les techniques et les matériaux employés et d’observer les changements survenus au cours de la période. Enfin, on s’est efforcé d’identifier des exemples de maisons construites au XVIe siècle existant encore dans le Paris d'aujourd'hui, et de les documenter sur une longue durée, pour dater les modifications apportées à la construction initiale. / The modest houses are rarely taken into account in capital architecture studies of 16th century. However, they represented the majority of construction activity in Paris at that time, and many examples still exist today, but they are often difficult to identify because of the transformations in later times. Their study was conducted for the period 1530 to 1600. It was carried out following three complementary axes : a review of the notarial archives of the 16th century, a study of iconographic sources and, finally, an analysis of old houses preserved. In confronting these three types of sources, some questions were raised about the role of project owners and project managers, masons and carpenters, the persistence of traditional medieval forms, the influence of first architectural treatises and aristocratic building on minor architecture, especially in the field of decor. The evolution of construction regulations has also been taken into account in order to evaluate the consequences on Parisian buildings. The purpose of this research was to describe the morphology of the houses, to specify the techniques and materials used and to observe the changes during the period. Finally, we tried to identify examples of Parisian houses built in the 16th century, still existing, and to document them over a long-term, to date the changes made to the initial construction.
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Les serviteurs de Navarre à Tours dans la seconde moitié du seizième siècle / The servants of the household of Navarre in Tours in the second half of the sexteenth century

Barker Harai, Claire Taylor 18 December 2014 (has links)
Nombreuses sont les études portant sur les grands personnages de la maison de Navarre à l’époque moderne, mais leurs serviteurs n’ont pas encore fait l’objet d’une étude approfondie. Cette thèse a pour ambition d’examiner les 106 serviteurs de la Maison de Navarre qui sont présents dans les actes notariés tourangeaux de la seconde moitié du XVIe siècle conservés aux Archives départementales d’Indre-et-Loire. Complétées par des manuscrits (comptes royaux, mandements, quittances, etc.) conservés à Pau et à Paris, ces soucres éclairent la vie de ces individus, leurs liens de parenté et leurs rôles au sein des Maisons royales navarraises. À la lumière de cette documentation, nous découvrons les structures et le dynamique interne d’un « milieu navarrais » de Tours, dont le « coeur » était constitué d’une poignée de familles au service principalement des maisons de Jeanne d’Albret et d’Henri de Navarre, futur Henri IV / The early modern members of the royal family of Navarre have been the subjects of many academic studies, but the servants of their household have not yet been studied in depth. This dissertation aims to examine the 106 members of the household of Navarre whose presence is noted in notarial acts from 16th century Tours, stored in the Departemental Archives of Indre-et-Loire. These texts, combined with other manuscripts (royal accounts, letters, receipts, etc.) from Pau and from Paris, allow us to examine the lives of these individuals, how they were related, and what roles they played in the royal households of Navarre. Using source documents, we observe the structures and the internal dynamics of the « Navarrese milieu » that existed in the city of Tours, and its « heart » composed of a handful of families who primarily served the households of Jeanne d’Albret and of Henri de Navarre, the future king Henri IV
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Philippe de Gueldre (1465-1547), « royne de Sicile » et « povre ver de terre » / Philippa of Guelders (1465-1547), « royne de sicile » and « povre ver de terre »

Tranié, Ghislain 06 October 2012 (has links)
Philippe de Gueldre, duchesse de Lorraine puis religieuse au couvent des Pauvres clarisses de Pont-à-Mousson, est une figure de la Lorraine ducale assez méconnue au-delà. Demoiselle d’honneur de Marie de Bourgogne, un temps tutrice de l’enfant Marguerite d’Autriche, instrument de la politique d’Anne de France, confidente de la bienheureuse Marguerite de Lorraine, mère des « guerriers de Dieu » de Saverne, patronne des Colettines, etc. : celle qui signe « royne de Sicile » à la cour ducale, « povre ver de terre » en religion, offre un exemple du pouvoir et du rayonnement des dames autour de 1500. Car, dans les cours de l’espace franco-bourguignon, les dames sont des acteurs incontournables. Appréhender les pratiques d’une dame devenue religieuse passe cependant d’abord par une étude des représentations du féminin, des imaginaires politiques, sociaux, culturels et religieux qui s’emparent de cette figure du féminin, et des pratiques que peuvent développer des acteurs au féminin. Pour Philippe de Gueldre, l’analyse se démarque d’une vision duale qui opposerait la duchesse à la religieuse. Elle propose une lecture centrée sur ses pratiques, sur son rôle dans l’élaboration du capital identitaire des Lorrains, sur son insertion dans la réforme monastique et, enfin, sur le hiatus entre son assimilation mariale pour des Lorrains en croisade, ses propres dévotions, et les traces d’une religiosité riche, complexe et projetée dans une temporalité nouvelle. La vie de Philippe de Gueldre n’est alors que la première d’une série de vies recomposées et remodelées tant que dure l’État lorrain, et dont l’examen permet de préciser les modalités de la mémoire d’une dame et d’une religieuse. / Philippa of Guelders, Duchess of Lorraine then nun at the Pont-à-Mousson Poor Clarisses’ convent, is one of the most famous women in ducal Lorraine, although quite unknown beyond. Mary of Burgundy’s bridesmaid, guardian of the very young Margaret of Austria (during her journey to the French court), part of Anne of France’s policy, blessed Margaret of Lorraine’s confidante, mother of the Saverne “guerriers de Dieu”, Colettines’s leader, etc.: she signs “royne de Sicile” as Duchess and “povre ver de terre” as nun, and provides an example of the power and influence of a lady around 1500. At that time, ladies are key players of princely courts. Understand imaginary and behavior of such a lady needs, first at all, a study of how women are represented, what kind of imaginary use feminine representations, and how female rulers act around Philippa of Guelders. Thus the analysis differs from a dual vision dissenting the Duchess to the nun. It offers a reading centered on the practice of the lady, its role in the fashioning of a princely identity in Lorraine as in the diffusion of monastic reform, and, at last, on the gap between his assimilation to Mary (whereas her sons fight heresy) and the signs of a rich and complex religion (whereas Luther impulse Reform). After all, the life of Philippa of Guelders is only the first of a series of lives reshaped until to the insertion of Lorraine in the French kingdom, and whose examination can specify how the memory of a lady and a nun have been fashioned.
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La Responsabilité pénale dans l'ancien droit : XVIe-XVIIIe siècle... /

Laingui, André. January 1970 (has links)
Thèse--Droit--Rennes, 1967. / Bibliogr. p. 351-359. Index.
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Penser la laideur dans la théorie artistique et la peinture italiennes de la seconde moitié du Cinquecento. De la dysharmonie à la belle laideur / Thinking ugliness in Italian artistic theory and paintings from the second half of Cinquecento. From disharmony to beautiful ugliness

Chiquet, Olivier 19 November 2018 (has links)
Le présent travail étudie la manière dont la théorie artistique et la peinture italiennes de l' « automne de la Renaissance », chacune avec ses modalités propres, ont pensé le laid et l'ont progressivement rapproché du beau. La première partie est ainsi consacrée à la traditionnelle conception de la laideur comme simple contraire de la beauté, c'est-à-dire comme dysharmonie formelle. La seconde partie porte sur le passage de cette antithèse conceptuelle entre le beau et laid à leur articulation paradoxale, où la laideur se voit conférer des qualités généralement attribuées à la beauté. Plusieurs "belles laideurs" sont alors envisagées : celle des peintures sacrées « cruelles et horribles » (Gabriele Paleotti), qui tirent leur beauté de leur conformité aux Écritures, donc de leur vérité ; celle des figures dites "siléniques", dont les dehors repoussants laissent transparaître une bonté d'âme ; celle des "caprices" artistiques qui, sous une apparente difformité, recèlent une signification manifestant l‟ingéniosité de leur créateur ; ou encore celle relevant du paradoxe aristotélicien de la représentation, selon lequel des laideurs correctement imitées suscitent du plaisir chez l'observateur. Dans le cadre de l'esthétique baroque, la "belle laideur" devient un oxymore, où l‟horreur du contenu de la mimésis est consciemment exploitée afin de souligner, par contraste, le pouvoir transfigurateur de l'artiste. La théorisation de la caricature au cours du XVIIe siècle, évoquée en conclusion, viendra suggérer une coïncidence de la beauté et de la laideur qui, du moins dans leurs formes idéales, semblent en réalité constituer les deux faces d'une même médaille. / This research analyses the way Italian paintings and artistic theory from the late Renaissance conceptualised ugliness, and gradually drew it closer to beauty. The first part of this dissertation focuses on the traditional notion of ugliness as the mere opposite of beauty, in other words, ugliness as an expression of formal disharmony. The second part deals with the evolution from this conceptual antithesis to the paradoxical entwinement of these two notions, which led some authors to endow ugliness with qualities which had hitherto been applied to beauty. We will consider several forms of „beautiful ugliness‟: those of the “cruel and horrible” (Gabriele Paleotti) sacred paintings whose beauty resides in their faithful rendering of the Scriptures, or, in other words, in their truthfulness; those of the Silenus-like characters whose kindness pierces through revolting physical traits; those of the artistic capricci who, under their apparent deformity, hide the ingenuity of their creator; or those who take up the Aristotelian paradox, according to which the correct imitation of ugliness arouses a feeling of pleasure among the spectator. In the Baroque aesthetic, the „beautiful ugliness‟ is an oxymoronic creation in which the horrifying content of the mimesis is consciously used in order to highlight, by contrast, the transformative power of the artist. The conceptualisation of caricature in the 17th century, which we will mention at the end of this work, suggests that beauty and ugliness, at least in their ideal forms, are in fact the two sides of a same coin.
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Les croyances dans les propos de table de Martin Luther / Beliefs in the Table-Talk of Martin Luther

Clauss, Martine 28 November 2009 (has links)
Relevant de l’histoire des mentalités, notre étude vise à cerner les croyances présentes dans les Propos de table de Martin Luther : à partir des nombreuses occurrences se rapportant au diable, aux « esprits », aux diverses créatures diaboliques, à la magie et à la sorcellerie, notre objectif a été, sous l’habillage chrétien que revêtent les récits, de reconnaître, d’identifier et de reconstituer une filiation avec des faits de croyance bien antérieurs à la Réforme. Cette confrontation des textes a permis de redécouvrir des restes de croyances ancestrales sous la forme d’entités venues de temps immémoriaux. La diabolisation systématique pratiquée par Luther n’est possible que grâce au recours à des êtres issus de la petite mythologie tels que, par exemple, les génies domestiques. En parallèle, l’analyse des manifestations de « revenants », d’« apparitions » et des esprits frappeurs ainsi que celle des actions néfastes des sorcières illustrent une certaine conception du devenir après la mort, une notion de vie post mortem et dans l’au-delà, parfois bien éloignée du dogme chrétien, ce qui permet de nuancer le portrait traditionnellement véhiculé de Luther. / Based on a choice of texts from the Table-Talk of Martin Luther, the aim of this study is to show how certain ancestral beliefs dealing with death and with life in the other world after dying are solidly anchored in the mentalities of people and of the Reformer too, in an era in which humanist thinking prevailed and in texts under the influence of the Christianity. In doing so, certain “phenomena” are portrayed such as household genies, “spirits”, “revenants” and apparitions. On another hand, we consider the “phenomena” as they relate to the behaviour of men and women taxed with witchcraft and magic, the whole instigated by the devil of course.
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Les représentations de l'Italie et des Italiens dans le théâtre de William Shakespeare et Ben Jonson. / The representations of Italy and Italians in the drama of William Shakespeare and Ben Jonson

Camard, Christophe 15 June 2010 (has links)
Cette thèse propose d’étudier la place et la portée de l’Italie comme lieu scénique dans les pièces de deux célèbres dramaturges de la période élisabéthaine. L’introduction met en lumière la présence et l’influence de l’Italie durant la période qui précède l’essor du théâtre à Londres, ainsi que l’omniprésence de la péninsule au théâtre entre 1580 et 1620, en particulier chez William Shakespeare. La première partie de l’étude s’attache à mettre en évidence la façon dont le décor italien se met en place et dont se construit la figure de l’Autre sur la scène élisabéthaine. Sur une scène où le décor physique est limité, les procédés de création d’une couleur locale prennent des formes diverses et variées et révèlent la nature de la dualité entre identité et altérité pour le spectateur de la Renaissance anglaise. C’est alors que l’on entrevoit les différences entre la représentation satirique de Ben Jonson et celle de William Shakespeare, dont la vision de l’Italie apparaît bien plus vague, complexe et changeante. La seconde partie de ce travail repose sur l’étude des différents topoï auxquels est liée l’Italie au théâtre. Ces derniers permettent de comprendre que la représentation de la péninsule s’appuie sur un certain nombre de codes en partie attendus du public. Ils démontrent en outre combien l’identité anglaise se construit à la fois à travers le rejet et l’imitation de la patrie de la Renaissance, en un temps où l’Europe est coupée en deux sur le plan politique et religieux. / This dissertation proposes the study of the place and significance of Italy as a dramatic setting in the plays of two famous dramatists of the Elizabethan period. The introduction describes the presence and influence of Italy during the period preceding the rise and blossoming of the theatre in London, as well as the omnipresence of the Italian peninsula in drama between1580 and 1620, particularly in that of William Shakespeare. The first part of the study aims to show how the Italian setting is constructed and how the figure of the Other is represented on the Elizabethan stage. In a theatre where the physical décor is limited, the methods for creating local colour take diverse and varied forms and reveal the nature of the duality between identity and otherness for the English Renaissance spectator. This then brings into focus the differences between the satirical representation of Ben Jonson and that of William Shakespeare, whose vision of Italy appears far more vague, complex and mutable. The second part of this work focuses on the study of the different topoi to which Italy is linked in their plays. They reveal the extent to which representation of the Italian peninsula is based on a collection of codes shaped in part by the expectations by the public. Moreover, they demonstrate the importance of the simultaneous rejection and imitation of the homeland of the Renaissance in the construction of English identity,at a time when Europe is divided in two on political and religious grounds.
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Tragédie historique ou Histoire en Tragédie ? : les sujets d’histoire moderne dans la tragédie française (1550-1715) / Historical Tragedy or Tragic History ? : modern Historical Subjects in French Tragedy (1550-1715)

Postert, Kirsten 18 December 2008 (has links)
Dès son apparition en 1550, la tragédie française trouve la plupart de ses sujets dans l’histoire. Si les auteurs dramatiques, suivant le goût du temps, semblent favoriser l’histoire antique ou mythologique, les sujets d’histoire moderne ou contemporaine n’en sont pas moins très présents dans la production théâtrale des années 1550-1715. Le présent ouvrage explicite les liens entre histoire et tragédie : il ne confronte pas seulement œuvres dramatiques et histoire véritable, il met aussi en lumière les rapports entre historiographie et écriture dramatique aux XVIe et XVIIe siècles. / From its apparition in 1550, French tragedy tends to draw most of its subjects from history. Though most dramatic authors, according to the taste of the times, tend to favour classical or mythological plots, subjects drawn from modern or contemporary history are nevertheless very present in the works produced between 1550 and 1715. The present work seeks to explain the links between history and tragedy. It compares not only the dramatic works with real historical events but also seeks to illuminate the relationship between historiography and dramatic writing in the 16th and 17th centuries.
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Le protomédico et le contrôle des pratiques médicales dans le royaume de Castille au XVIe siècle (1477-1593) / The protomédico and the control of medical practices in the kingdom of Castile in the XVIth century (1477-1593)

Fernández Vidal, Marta 27 September 2014 (has links)
La présente thèse analyse le contrôle des pratiques médicales dans le royaume de Castille au XVIe siècle à travers, notamment, les procès des protomédicos. Le changement substantiel qui a lieu au sein des professions de santé se produit au moment où les protomédicos parviennent à obtenir le monopole légal sur le contrôle des pratiques médicales. Ce fait demeure en étroite relation avec la consolidation du pouvoir royal. Le processus d’institutionnalisation de la charge de protomédico n’est pas en progression régulière et n’est pas exempt de difficultés ; il touche non seulement ceux qui ont pour métier de soigner mais aussi le pouvoir municipal, le royaume et le pouvoir royal. Dans ce concert de forces, le protomédico est l’une des branches du pouvoir royal qui joue un rôle fondamental. Sa légitimité : être médecin de la Chambre du roi et son « alcalde examinador mayor ». Or son autorité est très contestée dans la pratique car il représente la mainmise royale sur des métiers qui autrefois furent sous l’autorité des autorités municipales. Ses actions sur le terrain sont ainsi une permanente source de conflits et controverses dans le royaume de Castille au XVIe siècle. / The present dissertation examines the control over medical practices in the kingdom of Castile during the XVIth century and, notably, the trials against protomédicos. An essential change that occurred in the medical profession during the period saw the protomédicos attempting to gain control of legal monopoly over the all medical practices. This issue was strictly linked to the consolidation of royal power in Castile. The establishment process of the office of the protomédico does not follow a regular progression and it was not created without struggles. This process does not only concern those that provide medical care but also the municipal authorities, the kingdom and the royal power. Thus, through this interplay, the protomédico became one of the branches of royal power that exercised a major role in the kingdom. The protomédico became the first official physician at the royal Chamber and the “alcalde examinador mayor”. However, his authority is highly contested in the practical field because he holds royal stranglehold over offices that were formerly subordinated to the municipal authorities. The protomédico’s activities on the ground were thus a permanent source of conflicts and controversies in 16th century Castile.

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