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Ästhetik des Horrors : Gespenster, Vampire, Monster, Teufel und künstliche Menschen in der phantastichen Literatur /

Brittnacher, Hans Richard. January 1994 (has links)
Diss.--Freie Universität--Berlin, 1992. / Bibliogr. p. 327-356.
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Beau et laid en latin étude de vocabulaire /

Monteil, Pierre, January 1964 (has links)
Thesis (thèse complémentaire)--Paris. / Includes bibliographical references (p. [351]-355) and index.
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Beau et laid en latin étude de vocabulaire /

Monteil, Pierre, January 1964 (has links)
Thesis (thèse complémentaire)--Paris. / Includes bibliographical references (p. [351]-355) and index.
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Perspectives critiques sur la laideur : possibilités esthétiques et artistiques

Toupin, Gabriel 08 1900 (has links)
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Penser la laideur dans la théorie artistique et la peinture italiennes de la seconde moitié du Cinquecento. De la dysharmonie à la belle laideur / Thinking ugliness in Italian artistic theory and paintings from the second half of Cinquecento. From disharmony to beautiful ugliness

Chiquet, Olivier 19 November 2018 (has links)
Le présent travail étudie la manière dont la théorie artistique et la peinture italiennes de l' « automne de la Renaissance », chacune avec ses modalités propres, ont pensé le laid et l'ont progressivement rapproché du beau. La première partie est ainsi consacrée à la traditionnelle conception de la laideur comme simple contraire de la beauté, c'est-à-dire comme dysharmonie formelle. La seconde partie porte sur le passage de cette antithèse conceptuelle entre le beau et laid à leur articulation paradoxale, où la laideur se voit conférer des qualités généralement attribuées à la beauté. Plusieurs "belles laideurs" sont alors envisagées : celle des peintures sacrées « cruelles et horribles » (Gabriele Paleotti), qui tirent leur beauté de leur conformité aux Écritures, donc de leur vérité ; celle des figures dites "siléniques", dont les dehors repoussants laissent transparaître une bonté d'âme ; celle des "caprices" artistiques qui, sous une apparente difformité, recèlent une signification manifestant l‟ingéniosité de leur créateur ; ou encore celle relevant du paradoxe aristotélicien de la représentation, selon lequel des laideurs correctement imitées suscitent du plaisir chez l'observateur. Dans le cadre de l'esthétique baroque, la "belle laideur" devient un oxymore, où l‟horreur du contenu de la mimésis est consciemment exploitée afin de souligner, par contraste, le pouvoir transfigurateur de l'artiste. La théorisation de la caricature au cours du XVIIe siècle, évoquée en conclusion, viendra suggérer une coïncidence de la beauté et de la laideur qui, du moins dans leurs formes idéales, semblent en réalité constituer les deux faces d'une même médaille. / This research analyses the way Italian paintings and artistic theory from the late Renaissance conceptualised ugliness, and gradually drew it closer to beauty. The first part of this dissertation focuses on the traditional notion of ugliness as the mere opposite of beauty, in other words, ugliness as an expression of formal disharmony. The second part deals with the evolution from this conceptual antithesis to the paradoxical entwinement of these two notions, which led some authors to endow ugliness with qualities which had hitherto been applied to beauty. We will consider several forms of „beautiful ugliness‟: those of the “cruel and horrible” (Gabriele Paleotti) sacred paintings whose beauty resides in their faithful rendering of the Scriptures, or, in other words, in their truthfulness; those of the Silenus-like characters whose kindness pierces through revolting physical traits; those of the artistic capricci who, under their apparent deformity, hide the ingenuity of their creator; or those who take up the Aristotelian paradox, according to which the correct imitation of ugliness arouses a feeling of pleasure among the spectator. In the Baroque aesthetic, the „beautiful ugliness‟ is an oxymoronic creation in which the horrifying content of the mimesis is consciously used in order to highlight, by contrast, the transformative power of the artist. The conceptualisation of caricature in the 17th century, which we will mention at the end of this work, suggests that beauty and ugliness, at least in their ideal forms, are in fact the two sides of a same coin.
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Paradoxes de la mimésis : Conceptions et représentations du laid dans les textes et les images français et italiens au seuil de la modernité / Paradoxes of mimesis : Theorising and representing the ugly in early modern French and Italian texts and images

Robin, Diane 08 December 2015 (has links)
La thèse analyse les conceptions pré-modernes du laid en confrontant les traités philosophiques, rhétoriques, poétiques et artistiques italiens et français de la Renaissance à la première moitié du dix-septième siècle. En tant que difformité physique, le laid est considéré comme une transgression des normes du corps : il met en question la conception de la mimésis comme imitation idéalisante et permet de repenser la nature de la représentation. Le laid est en outre conçu comme le signe du vice : l’étude cherche à reconstituer le paradigme physiognomonique qui sous-tend cette interprétation traditionnelle du corps et s’interroge sur ses limites en examinant le paradoxe de la laideur de Socrate. Les interprétations morales de la difformité mettent en jeu différentes fonctions sémiotiques de la représentation. Dans la topique héritée de la scolastique, la mimésis du laid vise à stigmatiser les défauts moraux, comme le montrent les allégories des vices et les satires ; de son côté, la difformité paradoxale donne lieu à une herméneutique du texte et de l’image. Enfin, le laid tient à son effet sur le destinataire. Si le laid est traditionnellement appréhendé comme un objet repoussant, sa représentation vise à susciter l’effet inverse, selon les poétiques et les traités d’art inspirés d’Aristote. L’analyse de ce plaisir paradoxal met en lumière les qualités cognitives et esthétiques de la mimésis. Au seuil de la modernité, la question du laid est à la croisée des problématiques morales héritées de l’Antiquité, et des réflexions esthétiques qui se développeront pleinement du dix-huitième siècle à nos jours, notamment dans les théories de la fiction. / Through cross-analysis of French and Italian philosophical, rhetorical, poetic, and artistic treatises from the Renaissance to the first half of the seventeenth century, this study seeks to understand what the early modern period conceived of the ugly. In terms of physical deformity, the ugly is considered as a transgression of the norms of the body: it questions the concept of mimesis as an idealised imitation and allows a reconsideration of the nature of representation. Furthermore, the ugly is seen as the sign of vice: this study looks to reconstruct the physiognomical paradigm which underlies this traditional interpretation of the body and to question its limits through examining Socrates’ paradoxical ugliness. Moral interpretations of deformity bring different semiotic functions of representation into play. In the topic inherited from scholasticism, mimesis of the ugly aims to stigmatise moral defects, as they are represented in allegories about vice and satire. Paradoxical deformity, for its part, gives rise to hermeneutics of text and image. Finally, the ugly is concerned with its effect on its recipient. If the ugly is traditionally understood as a repellent object, its representation aims to arouse the inverse effect, according to the poetics and treatises on art inspired by Aristotle. Analysis of this paradoxical pleasure highlights the aesthetic and cognitive qualities of mimesis. At the brink of modernity, the question of the ugly is at the crossroads of moral issues that stem from the Antiquity, and of aesthetic reflections which develop more fully from the eighteenth century to the present day, notably in theories on fiction.
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Monstres et monstrueux dans l'oeuvre d'Emile Zola / Monsters and monstrous in Emile Zola's work

Verret, Arnaud 16 June 2015 (has links)
Le naturalisme prétendant inclure tous les aspects de la vie, la question de la monstruosité omniprésente dans l’œuvre de Zola peut se traiter sous l’approche du monstre en tant qu’être exceptionnel comme sous celle du monstrueux applicable à chaque nuance de physiologie, de caractère, de comportement ou de sensibilité. La présence des monstres chez l’auteur est concurrencée par son usage plus général du monstrueux lui permettant de concilier une poétique de l’ordinaire et un objet narratif qui ne l’est pas pour tout dire de la complexité de l’existence. Si le monstre désigne d’abord l’être biologique contrefait, l’influence du milieu et de l’hérédité conditionne son apparition : face à différents règnes naturels monstrueux l’homme est menacé de succomber ou de le devenir à son tour ; les anomalies physiques se transmettent d’un parent à son descendant mais même guettent n’importe qui à tout âge. L’œuvre de Zola met ainsi en lumière les aveux des corps mais exprime déjà un changement de regard porté sur les malheureux affublés de tares et leurs juges improvisés. Puis, dans une lecture morale, la quasi-totalité des personnages est susceptible d’être le monstre d’un autre tant c’est là un concept peignant les angoisses et les méfiances inhérentes aux rapports humains, à moins de cibler des mécanismes pernicieux comme ceux de bêtise ou d’hypocrisie pour montrer que n’est pas toujours monstrueux celui que l’on croit ; la mythologie zolienne où monstres et monstrueux occupent un rôle central permet à ce titre de reprendre des thématiques ancestrales et de les adapter au monde contemporain. Approprié par l’écrivain, le monstrueux en régime zolien devient alors un véritable sujet esthétique. Le plus grand monstre aux yeux de qui peine à créer, c’est en définitive l’œuvre d’art elle-même qu’il faut maîtriser par un labeur patient : c’est l’œuvre problématique, trop exigeante, et le monstrueux qualifie ce qu’on rejette en elle comme le laid, l’obscène, le mensonger. Zola en a été lui-même la victime, qu’il s’agisse de ses textes ou de sa propre personne déformés par des parodies, des caricatures ou des attaques ad hominem. / Naturalism claiming to include all aspects of life, Zola’s work can be treated from the angle of the monster as outstanding being or of the monstrous as applicable concept to each nuance of physiology, temperament, behavior or sensitivity. Monster’s presence in author’s work is competed with his more general use of the monstrous, allowing him to reconcile a poetic of the ordinary and an extraordinary narrative object to say all the complexity of existence. If the monster first means distorted biological being, the influence of environment and heredity determines its appearance: confronted with monstrous natural kingdoms, man is threatened to succumb or metamorphose in his turn; abnormalities are passed from parents to descendants, but also affect anyone at any age. So Zola’s work highlights the confessions of the body, but already expresses a change of look on the unfortunates whose physical defects are showed and their improvised judges. Then, in a moral reading, almost all of the characters may be others’ monster, as this is a concept which reveals anxieties and mistrusts inherent in human relationships, unless are targeted pernicious mechanisms such as those of stupidity or hypocrisy in order to prove that isn’t always the monster that is believed; Zola’s mythology whose monsters and monstrous occupy a central role allows, in this capacity, to resume ancestral themes and adapt them to the contemporary world. Appropriated by the writer, the monstrous becomes a veritable aesthetic subject. The biggest monster in the eyes of the one who hardly writes is ultimately the work of art itself which must be mastered with a patient labor: the work is problematic, too demanding, and monstrous describes what is dismissed in it as the ugly, the obscene, the false. Zola was himself victim, through his texts or in his own person deformed by parodies, caricatures or ad hominem attacks.
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La laideur et la difformité physiques dans la littérature et la société grecques des cinquième et quatrième siècles avant Jésus-Christ / Physical Ugliness and Deformity in Greek Literature and Society in the fifth and fourth Centuries Before Christ

Uto, Akiko 19 November 2011 (has links)
Le monde grec antique nous a transmis l'image d'une civilisation imprégnée de beauté à travers ses œuvres artistiques, cette image étant renforcée par la richesse et la qualité de ses productions littéraires. La quête de la beauté suprême atteint son apogée durant la période classique, et dans ce contexte où tout semble tendre vers cet idéal, la laideur d'apparence est très peu évocatrice; les quelques personnages grecs laids ou difformes auxquels nous pouvons penser, Thersite, Socrate ou Héphaïstos, semblent constituer la minorité d'exceptions qui confirme la règle tellement ils sont présentés comme des cas à part. Cette image que nous avons des Grecs est évidemment trompeuse: les maladies, les difformités et les différentes formes de laideur devaient naturellement faire partie de leur vie quotidienne. Travailler sur ce sujet encore peu exploré nous a paru fort intéressant; pour tenter de saisir ce que les Grecs eux-mêmes ont peu exprimé, nous avons couvert le plus d'aspects possibles en ayant recours à l'ensemble des textes de la période classique sans oublier l'iconographie, indispensable pour une étude sur l'esthétique. / The ancient Greek world passed on to us the image of a civilization filled with beauty through its artistic works, this image being strengthened by the richness and quality of its literary productions. The quest for supreme beauty reached its peak during the classical period, and in this context where everything seems to tend towards this ideal, physical ugliness is not something we generally equate with Greek thought; a few ugly or deformed Greek characters of whom we can think, Thersite, Socrates or Hephæstus, are so isolated that they seem to be the exception rather than the rule. Thus, this image is clearly incorrect since sickness, deformity, and other kinds of ugliness were natural parts of their lives. This little investigated subject is full of interest to us. In our efforts to seize what the Greeks themselves failed to express, we covered every relevent aspect possible by using all the texts of the classical period, not leaving the iconography behind, which is indispensable for a study on aesthetics.
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Sous le signe de Moïra : l’univers féminin dans l’œuvre romanesque de Julien Green / Under the Shadow of Moïra : the Representation of Women in the Fictional Work of Julien Green

Neves Alves Castela da Costa, Teresa 17 October 2013 (has links)
Julien Green a avoué avoir recours à l’art pour y enfermer tout ce que le monde lui offrait de déplaisant, voire d’inquiétant. Son équilibre mental dépendait de cette démarche créative et cathartique. Une telle expérience a fait surgir un univers tourmenté, dominé par des forces maléfiques dont l’influence voue les êtres au tragique. Dans une logique tout d’abord conventionnelle, les figures féminines apparaissent comme l’image la plus visible d’influences néfastes. Leur drame provient de l’obsession extrême d’un corps porté à les trahir. Qu’elles soient laides ou belles, l’attachement à leur image mine l’existence des héroïnes et les voue à la déchéance, car elles deviennent le champ de bataille où les forces du bien et du mal s’opposent. Elles sont alors pour Green le support privilégié d’une réflexion qui sonde la profondeur de l’imprégnation tragique des récits de fiction.L’encadrement social et religieux apparaît comme une forme de protection de la femme face au mal auquel elle semble promise. Mais la soumission aux normes bourgeoises s’avère pernicieuse : elle enferme les êtres sur eux-mêmes et nourrit fatalement en eux les caractéristiques propices au développement d’un mal dont l’évolution se révèle incontrôlable. En dépit de la charge négative attribuée à nombreuses de ses héroïnes, Green dépasse la représentation misogyne première. La femme bénéfique, souvent imparfaite mais purifiée par les peines endurées, par son besoin de vivre dans la vérité, devient le signe discret d’une ouverture face au tragique. Par sa présence Green parvient à introduire subtilement dans ses romans l’espérance chrétienne, sans rendre son œuvre édifiante. / Julien Green admitted turning to art to encompass everything in the world he found unpleasant or even worrying. His mental well-being depended on this creative and cathartic practice. It brought to the forefront a tormented universe dominated by malevolent forces, with tragic consequences for those involved.In accordance with conventional logic, female characters are portrayed as bearing the brunt of these harmful influences. Their drama springs from an obsession with their bodies which is destined to betray them. Be they ugly or beautiful, their attachment to their image undermines them as heroines and dooms them to failure, for they become the battlefield on which the forces of good and evil are opposed. For Green they are the preferred medium through which he fathoms the depths of the tragic in his works of fiction. The social and religious setting of the novels may appear to be a form of protection for women in the face of the evil which awaits them. But their compliance to the norms of the bourgeoisie proves to be harmful: it imprisons them within themselves and, fatally, engenders characteristics which lead to the development of an evil which proves to be out of control.In spite of the negative charges against numerous of his heroines, Green rises above simple misogyny. The altruistic woman, often far from perfect, but tempered by hardships endured, becomes, by her need to live the truth, a discreet sign of hope in the face of tragedy. It is through his female characters that Green succeeds in introducing subtly the notion of Christian hope in his novels, without making his work 'edifying'.

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