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L'iconographie de l'image zodiacale dans l'Occident médiéval, jusqu'à la fin du XIe siècle : sa transmission, sa diffusion, son interprétation / The iconographer of the zodiacal image in the medieval West, until the end of the eleventh century : its transmission, dissemination, interpretation

Malatra, Vassiliki 07 December 2016 (has links)
Le zodiaque, un motif païen antique, a été transposé tel quel dans l'iconographie chrétienne. on trouve également des signes du zodiaque isolés ou en groupes. ils sont souvent jumelés aux douze mois ou aux tâches saisonnières. les premières images en Occident apparaissent dans les manuscrits du début du ixe siècle. aux xiie et xiiie siècles, elles se diffusent dans plusieurs pays de l'Europe occidentale et sur tous les supports. le schéma zodiacal, introduit trois mille ans avant notre ère par la civilisation sumérienne, a été développé par les grecs vers le ive siècle avant j.c. au iie siècle de notre ère, Ptolémée, dans son ouvrage l'almageste, adopta la configuration de l'univers telle qu'elle avait été formulée par Aristote, allégée par Apollonius et enrichie par hipparque. l'almageste fut traduit au ixe siècle par les arabes. l'occident chrétien n'en eut généralement connaissance qu'au xiie siècle, lorsque Gérard de Crémone, le traduisit en latin. pendant les xiie et xiiie siècles tout un corpus de doctrines cosmologiques et philosophiques antiques, devint accessible à l'occident grâce aux traductions. cependant l'Eglise chrétienne, dès ses premières années, se fonda sur les connaissances astronomiques antiques pour dresser un comput ecclésiastique déterminant la date de pâques et celle la plupart des fêtes mobiles du calendrier liturgique. ce n'est que plus tard qu'elle développe une cosmologie dans laquelle s'inscrit le thème du zodiaque. cette cosmologie n'a pas voulu subordonner le monde à l'influence déterminée des astres mais trouver une unité métaphysique susceptible de donner un sens à toute existence physique. notre étude de l'iconographie du zodiaque tentera de montrer comment l'analyse des images éclaire l'histoire de la réception des doctrines cosmologiques dans le monde médiéval de l'occident. / The zodiac, an ancient pagan motif, was transmitted as it is in the Christian iconography. We also find signs of the zodiac isolated or in groups. They are often connected with the twelve months or the seasonal tasks. The first images in Occident appear in the manuscripts of the beginning of the IXth century. In the XIIth and the XIIIth centuries, they are diffused in several countries of Western Europe and in all media. The zodiac diagram, introduced by the Sumerians three thousand years B.C., was developed by the Greeks around the IVth century B.C. In the IInd century, Ptolemy, in his book "Almageste", adopted the configuration of the universe as it was formulated by Aristotle, lightened by Apollonius and enriched by Hipparque. The "Almageste" was translated in the ninth century by the Arabs. The Christian Occident was informed of it only in the XIIth century, when Gerard of Cremona translated it into Latin. During the twelfth and thirteenth centuries a body of ancient philosophical and cosmological doctrines became accessible to the Occident through translations. However, the Christian church, from its early years, relied on the ancient astronomical knowledge to develop an ecclesiastical computation to determine the date of Easter and the most movable feasts of the liturgical calendar. It was only later that the church developed a cosmology which fits the theme of the zodiac. This cosmology does not want to subordinate the world to the influence of the stars but to find a metaphysical unity that would give meaning to all physical existence. Our study of the iconography of the zodiac will attempt to show how the analysis of the images illuminates the history of the reception of the cosmological doctrines in the medieval world of the Occident.
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La cosmologie de l'Antre des Nymphes. Ses sources et ses traditions.

St-Amour, Patrick January 2016 (has links)
L'Antre des Nymphes, un texte datant de la fin du troisième siècle de notre ère écrit par Porphyre de Tyr, nous transmet une exégèse à propos d'un passage de l'Odyssée (XIII, 102-112) d'Homère. Cette thèse couvre spécifiquement la cosmologie du texte de Porphyre et discute de ses sources pythagoriciennes, néo-platoniciennes, et mithriaques. En première partie, cette thèse aborde l’arrière-plan philosophique de l’auteur de l’Antre des Nymphes et discute de la cosmologie pythagoricienne de ses origines jusqu’aux néo-platonicien. Au deuxième chapitre, le texte de Porphyre fait l’objet d’une étude directe et approfondie. Les différentes notions cosmologiques sont analysées afin d’établir l’imaginaire cosmogonique et cosmologique du texte. En tierce partie, les notions mithriaques sont mises en relation, autant avec la tradition philosophique gréco- romaine qu’avec les apports du chercheur Roger Beck.
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Images du monde roman au XXe siècle : d'Anatole de Baudot à Dom Angelico Surchamp : monographie de muséologie /

Lesec, Cédric, January 2005 (has links)
Diplôme d'études supérieures--Paris--Ecole du Louvre, 2005. / Bibliogr. p. 31-37.
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Du Zodiaque et des hommes : temps, espace, éternité dans les édifices de culte entre le IVe et le XIIIe siècle / About Zodiac and Men : time, space, eternity in religious buildings between IVth and XIIIth century

Ferrand, Angélique 10 November 2017 (has links)
Cette thèse porte sur la question de la figuration des signes du Zodiaque entre Antiquité et Moyen Âge et en particulier dans les églises entre le XIe et le XIIIe siècle. Le cœur de cette thèse est l’analyse d’un corpus de 260 occurrences des signes du Zodiaque et Occupations des mois, qu’ils soient associés ou non, au sein de la décoration ecclésiale entre le XIe siècle et la fin du XIIIe siècle. Cette période correspond à la « renaissance » et à l’essor de la figuration du Zodiaque dans un tel contexte. L’étude est organisée en trois parties. La première est consacrée à l’historiographie, à la présentation du corpus réuni, puis aux origines, réappropriations et transmissions de la tradition zodiacale entre Antiquité et Moyen Âge. La deuxième partie envisage la répartition du Zodiaque dans l’édifice ecclésial. Sa place dans le décor extérieur et en lien avec le thème de la Porta coeli est discutée avant de passer à sa place dans la structuration du décor intérieur. Du sol à la voûte en passant par les chapiteaux, piliers et arcs, la distribution des signes du Zodiaque dans l’espace ecclésial est analysée au regard des dynamiques liées aux notions de transitus et d’iter et à une certaine polarisation du lieu ecclésial. La troisième partie commence par aborder les enjeux de la figuration des signes zodiacaux dans leurs rapports dynamiques avec les Occupations des mois. Ensuite, la re-sémantisation chrétienne de chacun des signes du Zodiaque est observée grâce à une mise en série des occurrences du corpus. Enfin, l’ensemble se conclut par une approche synthétique mettant en lumière les articulations entre ciel et terre traduites par le biais des signes zodiacaux et leur pendant mensuel/terrestre. Leur insertion dans un contexte iconographique plus large lié à l’histoire chrétienne et selon une perspective eschatologique est considérée afin de montrer que les signes du Zodiaque sont comme des opérateurs entre terre et ciel, à la fois dans le lieu ecclésial tendu vers son modèle céleste et dans un contexte iconographique articulant charnel et spirituel, humain et divin. / This dissertation deals with the iconography of the Zodiac between Antiquity and Middle Age, in particular in churches between the XIth and the XIIIth century. The heart of the dissertation is the analysis of a corpus of 260 items. These items concern the figuration of the signs of the Zodiac and the Labors of the months, whether or not combinated, within ecclesial ornamentation between the XIth and the XIIIth century. This period corresponds to the “renaissance” and to the growth of the figuration of the Zodiac in this context. The study is divided into three parts. The first section deals with historiography and with the presentation of the corpus. Then, the origins, re-appropriations and transmissions of the zodiacal tradition between Antiquity and Middle Ages are discussed. The second section considers the distribution of the Zodiac in church. Its role in exterior ornamentation relating to the theme of the Porta coeli and its role in the structuring of intern ornamentation are observed. From the floor to the vault, through capitals, pillars and arches, distribution of the Zodiac in ecclesial space is analyzed in the light of the notions of transitus and iter and in the light of a certain focusing of the ecclesial place. The third section begins with the stakes of the figuration of the zodiacal signs and their dynamic relationship with the Labors of the months. Then, the “re-sémantisation” of each of the zodiacal signs is observed. Finally, the last chapter is an overall view of the connections between heavens and earth which find expression in signs of the Zodiac and the Labors of the months. Their place is considerated according to their iconographical context linked to Christian history and from an eschatological perspective. Signs of the Zodiac are like operators between heavens and earth, both in the ecclesial space tented towards its celestial model and in an iconographical context which connect caro and spiritus, the Human and the Divine.
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La Spirale, Le Zodiaque, and Mana : the convergences between Georges Migot and André Jolivet (1932-1937) = La Spirale, Le Zodiaque, et Mana : les convergences entre Georges Migot et André Jolivet (1932-1937)

Hurt, Ariana 07 1900 (has links)
Ce mémoire porte sur la convergence des compositeurs français Georges Migot (1891-1976) et André Jolivet (1905-1974) au cours des années 1930 sur le plan de leurs idées en esthétique musicale, de leur démarche compositionnelle, et de leur implication administrative sur la scène musicale parisienne. Ceci a pour but de mieux comprendre l’amitié spéciale entre Migot et Jolivet, mesurer son influence sur leurs personnalités musicales, observer son impact sur leur engagement commun au sein de la société de concert La Spirale, et, plus globalement, évaluer sa portée sur l’ensemble de la scène musicale française. Actuellement, Stravinsky, Ravel et le Groupe des Six prennent une grande place dans les histoires de la vie musicale française de l’entre-deux-guerres. Ultimement, cette étude cherche à favoriser une meilleure compréhension de la variété des manifestations musicales dans le Paris des années 1930. Le premier chapitre de ce mémoire examine les idées esthétiques respectives de Migot et Jolivet et discute leurs similitudes. Le deuxième chapitre se penche sur l’engagement des deux compositeurs au sein de la société de concert La Spirale (1935-1937). Relativement peu étudié, cet organisme est néanmoins connu pour avoir servi d’incubateur au groupe La Jeune France (1936-1942), une association réunissant Olivier Messiaen, Daniel-Lesur, André Jolivet et Yves Beaudrier. À travers l’examen des activités de La Spirale, ce mémoire propose non seulement une liste revue et corrigée de toutes les œuvres présentées dans ses concerts, mais rend également compte de la nature de l’engagement de Jolivet et Migot en son sein. Finalement, le troisième chapitre propose une analyse comparative d’une sélection de mouvements tirés de deux recueils pour piano solo de Migot et Jolivet, respectivement Le Zodiaque (1931-1932) et Mana (1935). Les analyses se concentrent sur les structures de hauteurs et l’organisation motivique (pratiques modales ou sérielles, constructions accordiques inspirées par la série des harmoniques, procédés motiviques) et sur les proportions temporelles. Dans certains mouvements, les événements structurels semblent être gouvernés par des notions mathématiques telles que le Nombre d’or ou les nombres de la suite de Fibonacci. / This Master’s thesis explores the convergences between the French composers Georges Migot (1891-1976) and André Jolivet (1905-1974) during the 1930s, in terms of their respective musical aesthetics, compositional techniques, and involvement in the Parisian music scene. The aim is to provide a clearer picture of the relationship between Migot and Jolivet, to evaluate its influence upon their musical ideas and shared interest in the development of the concert society La Spirale, and to assess its significance in the wider sphere of French music. Currently, music history of this period is saturated with writings on Stravinsky, Ravel, and the Groupe des six. This study seeks to provide a better understanding of the other various musical manifestations in 1930s Paris. The first chapter of this thesis consists of an examination of Migot and Jolivet’s respective aesthetics ideas and a discussion of their similarities. The second chapter explores a shared project of the two composers: the concert society La Spirale (1935-1937). While largely un-studied, this organization is known for having given rise to the group La Jeune France (1936-1942), an association formed by Olivier Messiaen, Daniel-Lesur, André Jolivet, and Yves Beaudrier, as the first three also took part in the executive of the former society. Through an exploration of La Spirale’s activities, this thesis not only provides a complete and revisited list of all works performed at its concerts, but also qualifies the involvement of Jolivet and Migot. Finally, this research will conclude with a comparative analysis of select movements from solo piano collections by Migot and Jolivet, Le Zodiaque (1931-1932) and Mana (1935), respectively. While Migot uses a more modal language to convey his lyrism, Jolivet employs an emancipated post-tonal idiom. This analysis will take into consideration pitch and motivic structure (modal and serial practices) and temporal sequences. Moreover, it will provide an examination of the use of the Golden Mean and the Fibonacci series in some pieces.
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Les personnifications cosmologiques sur les mosaïques romaines tardives d’Orient. Traditions iconographiques et lecture symbolique / The Cosmological Personifications on Late Roman Mosaics from the East. Iconographic Traditions and Symbolic Interpretation

Décriaud, Anne-Sophie 03 June 2013 (has links)
L’une des questions primordiales dans l’étude de l’Antiquité tardive concerne le passage de l’ancienne religion polythéiste au christianisme. Or, les découvertes archéologiques faites dans la partie orientale du Bassin méditerranéen ont révélé de nombreux pavements chrétiens (ou juifs) tardifs décorés de riches mosaïques polychromes réutilisant des figures issues de la tradition iconographique grecque, parmi lesquelles des personnifications d’éléments cosmologiques. On rencontre ainsi des éléments du temps, comme les quatre Saisons (Tropai) ou les Mois (Ménès), la Terre (Gê) parfois accompagnée de ses Fruits (Karpoi), certains astres comme le Soleil (Hélios), la Lune (Séléné), parfois accompagnés du Zodiaque, l’Élément marin féminin (Thalassa) ou masculin (Okéanos, Abyssos) et les quatre Fleuves du Paradis (Géon, Phison, Tigre et Euphrate). Cette présente thèse se propose d’étudier chacune de ces personnifications, leur iconographie et leur symbolique, en contexte religieux, mais aussi profane, dans une analyse stylistique et comparative. Cette étude a ainsi pour but de mettre en relief la spécificité de cette partie orientale de l’Empire romain, entre le IVe et le VIe siècle, et d’insister sur la pérennité de la culture grecque et de ses traditions iconographiques, malgré un changement de religion officielle. / One of the primordial questions in the study of Late Antiquity concerns the transition from the ancient polytheistic religion to Christianity. The archaeological discoveries that have been made in the Eastern part of the Mediterranean Basin have revealed a number of late Christian (or Jewish) pavements decorated with rich polychrome mosaics that reuse figures stemming from the Greek iconographic tradition, which include personifications of cosmological elements. In this manner elements of time can be encountered, such as the Four Seasons (Tropai) or the Months (Menes), the Earth (Ge) sometimes surrounded by her Fruits (Karpoi), specific celestial bodies such as the Sun (Helios), the Moon (Selene), sometimes accompanied by the Zodiac, the female marine Element (Thalassa) or the male (Okeanos, Abyssos) and the four Rivers of Paradise (Geon, Phison, Tiger and Euphrates). This thesis makes a stylistic and comparative analysis of each of these personifications, their iconography and their symbolism, in a religious context, but also in a secular one. The object of this study is to emphasise the specificity of the Eastern part of the Roman Empire between the Fourth and the Sixth centuries. And also to insist in particular on the longevity of the Greek culture and its iconographic traditions, despite an official change in religion.

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