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Le mythe de la Vierge Noire de Montserrrat : formation et instrumentalisations (IXe-XXIe siècle) / The myth of the Montserrat Black Virgin : formation and implementation (IXe-XXIe century)

Imperiali-Decker, Odile 13 December 2013 (has links)
Grâce à la présence et à l’instrumentalisation de la Mare de Déu, l’abbaye et le massif de Montserrat sont devenus, au fil des siècles, un symbole religieux et un bastion du christianisme, puis les gardiens des traditions, de la culture et de l’identité catalanes. Le mythe fondateur religieux, lié à la Vierge de Montserrat, est associé au mythe fondateur de la Catalogne, lié au comte de Barcelone Guifré le Velu, de sorte que religion et identité nationale sont étroitement imbriquées dès la fin du Moyen Âge. Beaucoup d’autres légendes sont élaborées à cette époque, mais la relation entre les Catalans et la Mare de Déu de Montserrat prend une orientation particulière et s’exerce dans un cadre à part.L’universalité de la pensée mythique permet une instrumentalisation politico-religieuse de l’image mariale tout au long de l'histoire de la Catalogne, jusqu’à aujourd’hui. Le XIXe siècle marque une étape majeure dans l’instrumentalisation de la Moreneta et sa liaison avec le sentiment identitaire. Le massif de Montserrat devient le symbole de la patrie catalane et la Vierge de Montserrat se transforme en Vierge de la Patrie. Le régime franquiste signifie une rupture profonde. La Moreneta, dans un premier temps, protège l’action de suppléance intellectuelle et culturelle accomplie par les Bénédictins de Montserrat, puis l’engagement politique devient total. Avec l’arrivée de la démocratie, la Catalogne se réapproprie son passé, et un nouveau rôle se dessine pour la Mare de Déu de Montserrat. / Thanks to the presence and implementation of the Mare de Déu, the abbey and the mountain of Montserrat became, in the course of the centuries, a religious symbol and a bastion of christianity, and, later on, the guardians of the catalan traditions, culture and identity. The religious founding myth, linked to Montserrat Virgin, is associated with Barcelona Count Guifré le Velu, so that religion and national identity have remained closely interlinked since the end of the Middle Ages. Numerous other legends were created at the same time, but the relationship between Catalan people and the Mare de Déu of Montserrat takes a special orientation and grows in a specific place.The universality of the myths enables a political and religious implementation of the marian image throughout the history of Catalonia, until nowadays. The XIXe century marks a major step in the implementation of the Moreneta and Her connection with the sense of identity. The Montserrat mountain becomes the symbol of the Catalan mother country and the Virgin of Montserrat is transformed into the Virgin of the mother country. The pro-Franco regime meant a deep change. At first, the Moreneta protectd the intellectual and cultural substitution carried out by the Montserrat Benedictines, then their political commitment became total. With the arrival of democracy, Catalonia has been recovering its past, and a new role has been emerging for the Mare de Déu of Montserrat.
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L'Abbaye d'Auberive et la vallée de l'Aujon aux XII-XIIIe siècles : réussite d'une entreprise cistercienne

Calfat, Marc 25 April 2018 (has links)
L'historiographie monastique, les études antérieures consacrées à Auberive et l'organisation topographique du cartulaire ont conduit à l'examen de deux des onze granges créées par l'abbaye cistercienne d'Auberive. Le caractère stéréotypé des quelque 200 chartes du dossier et le traitement statistique des informations qui en découle nous amènent à poser une triple interrogation qui détermine la structure de la démonstration. Comment et â quel rythme les granges ont-elles été implantées et se sont-elles développées dans la vallée de l'Aujon? Quelle fut la nature de l'exploitation et comment a-t-elle évolué? Pouvons-nous enfin saisir l'impact de cette implantation sur la région? En filigrane et coiffant le tout, la question essentielle: l'entreprise auberiveraine dans la vallée correspond-elle toujours à l'idéal économique des Cisterciens? La pénétration de la vallée fut progressive et se déroula en trois étapes: le démarrage (1135-1179); puis, quarante années d'intense activité (1180-1220); enfin, la consolidation (1220-1279). Même s'il faut prendre garde au vocabulaire qui masque souvent les motivations réelles, se dégagent néanmoins les grandes lignes d'un processus de l'appropriation du territoire: les sollicitations qui attirent les donations (55%), l'installation subséquente qui provoque des accrochages, d'où querelles et abandons (36%); cette situation, enfin, fait intervenir les compensations financières (9%). L'analyse des acquisitions et de la production spécifique de la vallée nous amène à conclure que l'économie auberiveraine intégra à la pratique du faire-valoir direct des méthodes d'exploitation seigneuriale et s'ouvrit lentement à une économie de marché. Trois étapes marquent ce changement. De la fondation à 1185, l'idéal cistercien fut respecté: le recrutement fut aisé, nulle dîme ne fut acceptée, etc.; la vallée pourvoit la communauté en laine. L'étape décisive à cet égard se situe entre 1190 et 1220. Quelques écarts à la morale cistercienne sont alors apparus: transactions financières, réceptions de dîme, possession de main-d'oeuvre laïque. L'ouverture d'une seconde exploitation à Pelonqerot accentua la vocation pastorale de la vallée. A partir de 1220, l'abbaye opta définitivement pour une économie ouverte. Les religieux investirent dans l'acquisition de droits et de revenus seigneuriaux. Les troupeaux d'ovins atteignirent une envergure que seule la commercialisation peut expliquer. Cette marche vers la spécialisation et l'exploitation seigneuriale explique en partie le succès économique d'Auberive. D'autres éléments doivent également être considérés. Les appuis d'abord. L'évêque de Langres et son vidame, la famille Saulz-Grancey, traditionnellement allié au duc de Bourgogne, soutinrent Auberive tout au long de sa croissance. Ensuite, Auberive sut tirer au maximum de l'environnement physique en reconnaissant les capacités pastorales de la vallée. Enfin, le succès auberiverain découle d'une administration prévoyante et suivie. Le trait le plus important de la gestion fut la recherche constante de la concentration des biens et la poursuite d'une politique de rentabilité. Les perspectives économiques pour les communautés habitant la vallée de l'Aujon, aux XIIe-XIIle siècles, paraissaient excellentes. Mais l'installation d'une maison cistercienne à Auberive bouleversa le dynamisme de cette région. La pénétration presqu'exclusive des finages, les méthodes particulières d'exploitation (concentration, faire-valoir direct) et la nature même de cette exploitation (élevage) entraînèrent une nette diminution de l'aire économique des communautés aujonnaises. Les paysans furent expulsés et plusieurs localités disparurent. Chevaliers et seigneurs de la vallée ne purent freiner l'élan des Cisterciens. Leur action se limita à négocier des ententes entre leurs hommes et les religieux, au sujet des droits d'usage dans les finages. Bref, la domination auberiveraine sur la vallée fut incontestable. Pénétration, mise en valeur et domination du territoire s'expliquent selon des concepts écologiques. L'agrosystème mis en place par Auberive correspondait très bien aux capacités de l'écosystème aujonnais mais déséquilibra l'agrosystème des communautés de la vallée. Ces communautés, qui ne comptaient que sur un seul agrosystème, résistaient difficilement a une entreprise dont la force économique reposait sur plusieurs agrosystèmes dispersés sur un vaste territoire. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Les formes circulaires sculptées : étude de cas : la frise à médaillons du portail roman de l'église abbatiale de Cluny au XIIe et XIIIe siècles / Formes circulaires sculptées

Genest, Renée 18 April 2018 (has links)
L'abbaye de Cluny a été, jusqu'à la reconstruction de Saint-Pierre de Rome, la plus grande église de la chrétienté en raison de ses dimensions, mais principalement par son influence. Nous nous sommes questionnés sur le peu d'études de certains fragments conservés au musée d'Art et d'Archéologie de Cluny, particulièrement la frise à médaillons de l'avant-nef dont l'absence de recherches sérieuses nous a étonnée. Afin de comprendre cette oeuvre, nous avons dû réfléchir sur l'espace dans lequel elle prit place, soit l'avan-nef : le choix du vocable, sa signification et ses fonctions. La description des fragments conservés de la frise et son emplacement, ainsi qu'une analyse de l'ensemble ont menés à une réflexion sur l'image-lieu, soit la frise à l'intérieur de l'avant-nef. Un dialogue s'installe alors entre ces deux éléments et leur superposition éclaire alors sur le sens qu'a revêtu cet élément sculpté dans son lieu architectural.

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