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Habitat selection, ecological energetics, and the effects of changes in white pine forests on breeding red crossbills (Loxia curvirostra) in Algonquin Provincial Park, Ontario

Simard, Julie H. January 2001 (has links)
Habitat selection by, ecological energetics of, and the effects of changes in white pine (Pinus strobus L.) forests on Red Crossbills (Loxia curvirostra) were studied in Algonquin Provincial Park, Ontario. Birds were surveyed in several forest habitats and daily activities were observed during the breeding season in the autumn of 1998, a good year for white pine seed production. During the autumn of 1997 and summer of 1998, surveys of white pine stumps from trees harvested in the mid-late 1800s were conducted. Breeding birds foraged in stands with a minimum of 40% white pine, and appeared to prefer stands, both mixed deciduous-coniferous (40--70% white pine) and pine (>70% white pine) along roads. Possible reasons for this were: (1) seeds from trees along the road were more available to birds; (2) open-grown trees along the road had larger crowns with more seeds; and (3) the road provided grit and was adjacent to a favorite foraging area. (Abstract shortened by UMI.)
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Polysémie et structure conceptuelle du morphème verbal -ipal- en innu

Renaud-Roy, Émilie 02 1900 (has links) (PDF)
La structure verbale de l'innu comprend trois composantes : l'initiale, la médiane et la finale. Le morphème -ipal- apparait en position finale dans plusieurs verbes de mouvement sur place, mais aussi de déplacement, de fonctionnement, de changement d'état et de déroulement. Les sens distincts empruntés par la finale suggèrent qu'il s'agisse d'une finale polysémique. Cette étude comprend deux objectifs, le premier consiste à identifier les relations sémantiques qui unissent les sens distincts de la finale dans une perspective polysémique, le second est d'établir les patrons de lexicalisation de chacune des acceptions observées afin d'établir la correspondance entre la structure conceptuelle du verbe et ses composantes. L'ensemble de l'analyse repose sur la sémantique cognitive, à savoir les modèles de catégorisation et la polysémie (Kleiber 1990 ; Lakoff 1987 ; Evans et Tyler 2003) ainsi que les patrons conceptuels (Jackendoff 1990). Le corpus à l'étude comprend exclusivement des verbes intransitifs formés du morphème -ipal-. Ce mémoire s'inscrit dans le groupe de recherche sur la grammaire innue dirigé par Lynn Drapeau et financé par une subvention du CRSH (Conseil de Recherche en Sciences Humaines du Canada # 856-2004-1068). ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : innu, algonquien, sémantique cognitive, polysémie, mouvement.
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Le site rupestre du Rocher à l'Oiseau : palimpeste patrimonial

Royer, Emily 12 1900 (has links) (PDF)
L'un des plus éloquents sites rupestres enregistrés du Bouclier canadien, le Rocher à l'Oiseau, souffre de vandalisme depuis plusieurs décennies. Plus que jamais, il est urgent de préserver les témoins à l'ocre rouge du paysage culturel ancestral des Premières nations qui témoignent de sa particularité. Par ailleurs, des résidents et les groupes autochtones de la région réclament des mesures de protection pour ce lieu historique de la rivière des Outaouais. Cette ancienne voie de communication importante pour les peuples qui occupaient le Bouclier canadien avant l'arrivée des premiers Européens tout comme ce monument naturel sont encore aujourd'hui fréquentés, quoique à d'autres fins. C'est avec l'intention de sauvegarder ces motifs marqués sur cette impressionnante falaise par ceux que l'on croit être des ancêtres des Algonquiens actuels, que cet effort de recherche conjugue les outils de diverses disciplines dont l'histoire de l'art, l'ethnohistoire, l'archéologie, l'anthropologie, la sémiologie et la phénoménologie. L'analyse contextuelle ainsi élaborée considère autant l'environnement naturel du site, que ses singularités physiques, que la culture autochtone à qui l'on en attribue la création, que les récepteurs provenant de sociétés autres et qui visitent ce site depuis l'arrivée des explorateurs européens dans la vallée de l'Outaouais. Le Rocher à l'Oiseau est alors érigé au statut de véritable palimpseste patrimonial. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Rocher à l'Oiseau, Analyse contextuelle, Site Rupestre, Culture algonquienne, Bouclier canadien, Patrimoine autochtone.
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Contribution à la définition d'une foresterie autochtone : le cas des Anicinapek de Kitcisakik (Québec)

Saint-Arnaud, Marie January 2009 (has links) (PDF)
Anicinape Akîkak, c'est la « Terre des Algonquins » où le sapin baumier est vigoureux mais où les grands pins blancs ont presque disparu. Comme c'est le cas pour de nombreuses communautés autochtones du Canada, cette « terre indienne » a fait l'objet d'interventions forestières continues depuis la fin du XIXe siècle. Pour les gens de Kitcisakik, les kîckatikweninî, ceux qui coupent les arbres, sont devenus un autre symbole de la colonisation. Entre manâden, leur représentation de la forêt dévastée et minokwa, celle de la belle forêt qu'ils ont perdue, se joue l'avenir de nopimik, la forêt identitaire, lieu de déploiement de la culture anicinape. Partageant les mots, les savoirs, les attitudes, les histoires, mais également les espoirs qui décrivent leur relation à la forêt et à la foresterie, les Anicinapek parlent ainsi d'eux-mêmes et de leur avenir. Si la plupart des aînés de cette petite communauté qui compte aujourd'hui 420 personnes ont travaillé entre les années 1940 et 1970 pour les premières compagnies forestières de l'Abitibi-Témiscamingue, tous diront qu'ils « n'avaient pas pensé » et que « la coupe en Blancs » crée aujourd'hui le « désert » et des « forêts synthétiques ». Confrontés à la dégradation de leur milieu de vie et à l'aliénation culturelle, les gens de Kitcisakik ont voulu se donner les moyens de renégocier l'aménagement de la forêt sur leur territoire ancestral. C'est dans ce contexte que notre équipe interdisciplinaire, composée de biologistes, d'ingénieurs forestiers, d'anthropologues et de spécialistes des sciences de l'éducation, a été invitée à accompagner les Anicinapek dans cette démarche émancipatrice d'appropriation de la problématique forestière. Conjointement avec les membres du Comité Forêt de Kitcisakik et un regroupement de partenaires industriels et gouvernementaux, nous avons mis en place un processus de recherche-intervention collaborative qui s'est articulé autour de la question de recherche suivante: Quels seraient les fondements et les pratiques d'une foresterie dite « autochtone » qui serait adaptée au mode de vie, aux valeurs et aux aspirations des Anicinapek de Kitcisakik? Nous avons développé un projet en quatre volets dont chacun comportait des objectifs scientifiques et des objectifs communautaires. Un volet ethnographique (volet 1) visait la caractérisation du système de représentation anicinape de la forêt et de la foresterie, dans le but d'identifier des critères et des indicateurs de foresterie autochtone. Le deuxième volet était de nature stratégique et visait l'élaboration et la discussion de scénarios d'aménagement forestier pour le territoire de Kitcisakik. Le troisième volet qui sera complété en 2009 permettra de réaliser une synthèse des éléments théoriques et pratiques d'une foresterie autochtone à Kitcsakik. Enfin, l'ensemble du projet s'est articulé autour d'un volet transversal qui visait le renforcement de la dynamique participative et des capacités communautaires en aménagement forestier. Cette thèse présente les résultats du volet ethnographique (volet 1) et du volet transveral de notre projet de recherche. Le volet 1 a permis de clarifier la dimension phénoménologique de la relation Anicinapek/forêt/foresterie. En nous appuyant sur une méthodologie multi-stratégique adaptative, nous avons mis au jour le caractère fortement identitaire et traditionnel du rapport qu'entretiennent les Anicinapek envers la forêt. Nos résultats montrent également que la représentation de la « forêt colonisée » domine le discours des Anicinapek sur la forêt et la foresterie. Les activités des kîckatikweninî sont associées à un ensemble d'éléments représentationnels à connotation fortement négative: menace à la survie culturelle, usurpation du territoire, aliénation, dégradation du milieu de vie et manque de respect. Dans ces circonstances, il était difficile pour les Anicinapek d'imaginer une alternative à la foresterie conventionnelle. Toutefois, la dimension participative et éducative que nous avons développée à travers le volet transversal de la recherche a permis d'accompagner la communauté dans l'élaboration de l'idée d'un « compromis forestier » qui permettrait de cheminer vers la mise en oeuvre d'une foresterie autochtone. Pour donner forme à cette idée, nous présentons ici un cadre anicinape de critères et indicateurs de foresterie autochtone. Cette proposition comprend 5 principes (culturel, éthique, éducatif, écologique et économique) et 28 critères qui pourraient concourir à la mise en oeuvre d'une foresterie plus acceptable pour les gens de Kitcisakik. Cette thèse décrit également les résultats du volet participatif et éducatif, articulé autour d'un cadre de référence en éducation relative à l'environnement. La « communauté d'apprentissage » que nous avons mise sur pied au sein du Comité Forêt a soutenu le développement d'un réel pouvoir-faire à Kitcisakik face aux enjeux forestiers.
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Large Mammal Movement: Differences in Primary and Branch Logging Road Use in Algonquin Provincial Park, Ontario

Roulston, Hillary Emma January 2013 (has links)
There is an expansive network of roads in Algonquin Provincial Park (APP) to facilitate forestry resource extraction. This leaves a research need for examining how the logging road network in APP affects the large mammals, and what local-level and landscape-level variables influence that use. Local-level data was collected directly at observation points, and landscape-level data was produced from ArcGIS for 40km2, 80km2, and 130km2 buffer areas. The objective of my study was to look at the use of primary and branch logging roads by five large mammal species in APP, and determine if landscape-level variables had an influence on the level of movement and utilization. The five species included moose, white-tailed deer, American black bear, eastern wolf and coyote. My null hypothesis (H0) states that there will be no difference in large mammal use between the primary and branch logging roads within APP and that local- and landscape-level variables will have no influence on them; my alternative hypothesis (H1) states that there will be less large mammal activity on the primary logging roads, more large mammal movement on the branch logging roads and local- and landscape-level variables will influence this use. Tracking was done by vehicle on six transects across the park for three repeated surveys where species identification and local-level variables were recorded. Landscape-level variables were acquired through GIS analysis in the lab. Based on the results from the local-level data, branch and primary logging road use differed in composition, though no significance was found between the use by large mammals for these two types of road. Through generalized linear models, specific combinations of landscape-level variables did influence large mammal movement on the primary and branch logging roads within three habitat range scales (130km2, 80km2, and 40km2). The most significance was seen at the buffer of 40km2 on the branch logging roads, with the variables road density (p < 0.01), percent forest cover (p = 0.04) and topographic ruggedness (p < 0.01) all having a strong impact on large mammal movement. The only significant findings for primary logging roads were also at the 40km2 scale with percent forest cover (p = 0.03) and percent water cover (p = 0.02) having an impact on large mammal movement. Overall, the landscape variables had greater influence on branch logging roads that may be explained by the quality of the surrounding habitat, as well as greater influence at smaller buffer scales. Further research and monitoring of the large mammals in APP is recommended to expand on this preliminary study. Greater understanding of the local- and landscape-level variables at differing habitat ranges will assist in understanding these large mammal movements and provide data to base logging road management on. As large mammals are wide-ranging species, my study informs APP that their logging road network does not seem to hinder the movements of this group of animals. Overall, the large mammals in APP did not have any significant difference in their use of primary and branch logging roads of APP. Further research has the potential to give greater understanding of the impacts of the logging road network on the five large mammal species studied in APP. There is also the potential for useful management strategies to emerge for large mammals in this park, and how to incorporate human activities within their habitat while maintaining sustainable populations.
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In the Eye of the Beholder: Perceptions of Ecotourism in Algonquin Provincial Park

Penney, Elizabeth Jane January 2014 (has links)
Since its inception, ecotourism has been promoted as a solution to some of the problems of biodiversity conservation. It has been touted as having the potential to balance the diverse interests of various publics by ensuring the protection of landscapes from development and extraction, offering unique tourism experiences, contributing economically to local communities, and fostering support for conservation efforts. Inconsistent success in achieving these goals, however, suggests that the effectiveness of ecotourism ought to be assessed on a case-specific rather than an industry-wide basis. Further, different stakeholders are likely to perceive the impacts of ecotourism in very different manners. The research on ecotourism and conservation rarely considers multiple perspectives, instead reflecting a one-sided understanding of the issues. As a step towards addressing these shortcomings, this thesis brings to light differing perspectives of ecotourism at the site of Algonquin Provincial Park. Through interviews and surveys, I uncover differences in conceptualisations of key ideas of conservation, knowledge of Algonquin Park, and perspectives of ecotourism between two primary groups of participants: tourists visiting the park and residents living in surrounding areas. Their responses reveal that, to residents, the park is a representation of livelihood; for tourists, the park represents ???pristine nature.??? The park is staged for its various publics, strategically representing only those aspects that will be looked upon favourably to a given group. These multiple constructions may be beneficial, however, as diverse viewpoints of these participants prompted attitudes and behaviours that were advantageous to the varied objectives of the park???s mandate, ultimately contributing to the success of the park as a site of landscape and biodiversity conservation.
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The influence of food web structure on the growth and bioenergetics of lake trout (Salvelinus namaycush) /

Pazzia, Ivano. January 2000 (has links)
Most fish species tend to feed on larger prey as their size increases. The lack of suitable prey during critical periods of their life can prevent them from shifting their diet to larger prey and also from reaching larger body sizes. In this study, we compared the energy budget of lake trout ( Salvelinus namaycush) populations with contrasting food webs. Non-piscivorous lake trout (NPLT) populations reached a much smaller size and grew at a much slower rate than picivorous lake trout (PLT) populations. Food consumption rates were on average, 2--3 times higher in NPLT when they were expressed on a wet weight basis. However, only a slight difference in their energy intake was detected (less than 10%) once consumption rates were corrected for differences in prey caloric content. Growth efficiency was about two times lower in NPLT compared to PLT, while their metabolic costs were higher and assimilation efficiency was lower. It is most likely that the increased metabolic costs were associated with higher foraging costs, since more feeding attempts must be made to acquire a given quantity of food when fish are feeding on smaller prey. Furthermore, the portion of indigestible matter is likely to be higher in the diet of NPLT than in PLT (e.g. chitin versus bone). These results are consistent with theoretical models of fish growth that have showed that lake trout must have access to larger prey, even if they are rare, to reach larger body sizes. Our study also illustrates how the restructuring of a prey community by the arrival of an exotic species into a food web could alter the growth rate of a top predator. Furthermore, our study suggests that age at first maturity is influenced by growth efficiency in indigenous populations of fish. Therefore, the dynamic of a population and its vulnerability to exploitation are likely to be influenced by their energy allocation strategy.
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The influence of food web structure on the growth and bioenergetics of lake trout (Salvelinus namaycush) /

Pazzia, Ivano. January 2000 (has links)
No description available.
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La séquence d'utilisation de la terre Pachirini, au site de la place d'Armes des Trois-Rivières (CcFd-19) : fin XVIᵉ - fin XVIIIᵉ siècles

Duguay, Françoise 18 April 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 24 juillet 2023) / Notre thèse s'appuie sur une réflexion amorcée en lien avec une mention historique connue de tous : celle de Laviolette, le père fondateur des Trois-Rivières, et la date de 1634. Le questionnement quant à cet énoncé est basé sur le fait que les évènements surgissent rarement du néant. Il a conduit à utiliser des données archéologiques (vestiges structuraux, strates de sols et collection), ethno-historiques, historiques et biophysiques, afin de reconstruire une séquence évènementielle étoffée et d'identifier les acteurs en présence, ainsi que leurs activités. Le site archéologique d'échantillonnage pour éclairer notre questionnement gravite autour de la terre initialement concédée en 1648 à Charles Pachirini, un chef algonquin ; cette ancienne propriété est intégrée au parc de la place d'Armes (code Borden : CcFd-19 ; lieu classé en 1960). Les données archéologiques et ethno-historiques concordent pour démontrer la présence de deux groupes ethniques à cet emplacement, depuis au moins la fin du XVIᵉ siècle : Autochtones et Français. En effet, les Trois-Rivières servaient de lieu de regroupement estival à diverses nations algonquiennes ce qui permettaient les échanges entre elles, mais aussi avec des groupes iroquoiens. Ces échanges peuvent impliquer le transfert de biens, mais aussi de trais culturels et de technologie. Les Français y viennent à prime abord en été pour le commerce des fourrures, avant d'y implanter un poste de traite fortifié en 1634. Un bourg prendra ensuite forme, à partir des années 1650. La terre Pachirini est incluse dans cette évolution car partiellement scindée en censives urbaines attribuées à des colons français, notamment en bordure de la rue Saint-Louis, ce qui permettra l'émergence d'une spécialisation dans l'utilisation de l'espace. Trois de ces lots ont fournis des indices archéologiques, ceux initialement attribués à : Barthelémy Bertaut, Jacques Aubuchon et Michel Pelletier dit Laprade. L'emplacement connu sous le toponyme de « place d'Armes » deviendra la première place du marché, lieu où l'on peut se procurer biens, denrées et services. Le tout se fait en parallèle avec une utilisation de l'emplacement par les peuples autochtones, qui y disposent d'un bâtiment fixe et où ils installent également des campements du printemps jusqu'à l'automne. Cela fait de la place d'Armes un centre de rencontre et d'échange, dont l'accès est relativement public. Le tout se poursuit depuis les années 1650 jusqu'à la fin du XVIIIᵉ siècle, moment où la décision est prise de déplacer la place du marché vers l'ouest et de retirer l'ensemble du bâti sur la terre Pachirini initiale. L'inclusion de données archéologiques permet d'apprécier le fait que la trame événementielle des Trois-Rivières est beaucoup plus complexe que ne le laisse croire une prémisse réductrice, imprimée tel un dogme dans l'historiographie locale. Par contre, la notion d'espace public se poursuit quant à elle à travers les siècles et ce jusqu'à ce jour, car la place d'Armes demeure un lieu d'accès public, sous la forme d'un parc municipal. L'aspect collectif semble y avoir primauté et s'être perpétué dans l'inconscient collectif, sans faire l'objet d'une évaluation critique sur la nature de cet état de fait. / Our thesis is constructed around the well-known historical assertion that Laviolette is the founding father of Trois-Rivières, in 1634. Something in the story seemed to be missing, for such events rarely occur out of the blue. Questioning this statement led to the use of archaeological data (structural remains, soil strata, artifacts and ecofacts), as well as ethnohistorical, historical and environmental data in order to trace an expanded sequence of events, in an effort to identify the people involved and their activities. Our archaeological sample was collected on a piece of land conceded in 1648 to an Algonkian chief, Charles Pachirini, land which is now included in Place d'Armes park (Borden code: CcFd-19; protected by law since 1960). Archaeological and ethnohistorical data demonstrate that two ethnic groups, First Nations and French, had shared the use of this area from at least the end of the XVIth century. Indeed, Trois-Rivières used to be a traditional summer gathering centre for various Algonkian nations, who also had contacts with Iroquoians. Such gatherings were used for the exchange of goods, but most probably also of cultural traits as well as technology. French traders first came into the mix to initiate fur trade, which led to the establishment of a fortified trading post in 1634. A village started developing during the 1650's, a process which included space use specialization on Pachirini's land after plots were allotted to French settlers. Three of these plots are included in our archaeological sample, the ones initially allocated to: Barthelémy Bertaut, Jacques Aubuchon and Michel Pelletier dit Laprade. The park now named "Place d'Armes" would become Trois-Rivières' first market place, where one could acquire goods, food and services. Such activities took place alongside Aboriginal groups, who had the use of a permanent building and could also build encampments there during summer; such common usage qualifies Place d'Armes as a public space. The pattern went on from the 1650's to the end of the XVIIIᵗʰ century, when the market place was transferred westward, leading to the dismantling of all buildings from what used to be Pachirini's land. Including archaeological data in the historical sequence's modelling brings forth the fact that Trois-Rivières' history is far more complex than the reductive premise that has become dogma. However, the notion that the area called "Place d'Armes" is considered a public space has lived on through the ages, even to this day, since the municipal park is still a common gathering place. It is as if the notion of a public space has made its way into the collective unconscious mind, as a primordial idea never submitted to a critical assessment of its cause.
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First Nations, environmental interests and the forest products industry in Temagami and Algonquin Park

Lawson, James Charles Barkley. January 2001 (has links)
Thesis (Ph. D.)--York University, 2001. Graduate Programme in Political Science. / Typescript. Includes bibliographical references (leaves 550-592). Also available on the Internet. MODE OF ACCESS via web browser by entering the following URL: http://wwwlib.umi.com/cr/yorku/fullcit?pNQ66354.

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